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à l'article Le
dialogue entre musulmans et juifs de France gelé par la guerre - il y a 3
ans 4 mois
Pour ceux
qui aiment l’histoire, je vous recommande le livre de l’hitorien israélien Ilan
Pappé et son livre le Nettoyage Ethnique de la Palestine édité chez FAYARD, et
dont voici un extrait :
Ben
Gourion écrivait en 1937 : « si je suis un adepte enthousiaste de la
création d’un Etat juif immédiatement, c’est parce que suis convaincu qu’un
Etat juif partiel n’est pas une fin mais un début (…) nous rapprochant de l’acquisition
du pays tout entier ».
Cette réalité du sionisme inclut tout naturellement le Dogme du « Transfert ». (Expulsion manu militari des Palestiniens et les spoliation de leurs terres et de leurs bien) Ce transfert aussi dramatique qu’il puisse être n’est pas aussi traumatisant qu’est le processus actuel […] C’est un processus en profondeur, un processus rampant qu’on ne voit pas […] Sa principale composante est la destruction graduelle des infrastructures de la vie de la population civile palestinienne les territoires : c’est l’étranglement progressif par les bouclages te les sièges, qui empêchent les gens d’aller au travail ou à l’école et d’avoir accès aux services médicaux, qui barrent la route aux camions comme aux ambulances, renvoyant ainsi les Palestiniens à l’époque des ânes et des charrettes […] Et ce que les bouclages de l’armée ne réussissent pas à faire, les colons y parviennent : « chaque nouvelle implantation ou avant-poste exige des mesures de sécurité, c’est-à-dire aux yeux des colons, l’expulsion des Palestiniens des zones environnantes et la transformation des terres agricoles en terres de mort – qui conque les travaille ou cueille des olives risque de le payer de sa vie », constataient en 2002 deux militants de l’association israélienne Ta’ayoush, dont le nom signifie « vivre ensemble » . Gadi Algazy et Azmi Bdeir évoquaient alors, notamment, le cas du village de Khirbet Yanoun, situé au sud de Naplouse, en Cisjordanie sous occupation militaire israélienne. Un village que les habitant harcelés par l’armée et la violence des colons, ont été contrains de quitter en octobre 2002, avant d’y retourner sous la protection des militants internationalistes et des pacifistes de Ta’ayoush. Et Gadi Algazy et Azmi Bdeir le soulignaient : « Khirbet Yanoun n’est pas un cas isolé ».
A ce constat de 2002 fait tragiquement écho la réalité de la stratégie actuelle de la puissance occupante, tandis que la population continue à résister, c’est-à-dire à vivre, à demeurer sur sa terre, à tenter, chaque jour, chaque heure, de poursuivre une ébauche de vie sociale. Comment dès lors ne pas interroger l’histoire citée en référence du projet politique israélien ?
Cette réalité du sionisme inclut tout naturellement le Dogme du « Transfert ». (Expulsion manu militari des Palestiniens et les spoliation de leurs terres et de leurs bien) Ce transfert aussi dramatique qu’il puisse être n’est pas aussi traumatisant qu’est le processus actuel […] C’est un processus en profondeur, un processus rampant qu’on ne voit pas […] Sa principale composante est la destruction graduelle des infrastructures de la vie de la population civile palestinienne les territoires : c’est l’étranglement progressif par les bouclages te les sièges, qui empêchent les gens d’aller au travail ou à l’école et d’avoir accès aux services médicaux, qui barrent la route aux camions comme aux ambulances, renvoyant ainsi les Palestiniens à l’époque des ânes et des charrettes […] Et ce que les bouclages de l’armée ne réussissent pas à faire, les colons y parviennent : « chaque nouvelle implantation ou avant-poste exige des mesures de sécurité, c’est-à-dire aux yeux des colons, l’expulsion des Palestiniens des zones environnantes et la transformation des terres agricoles en terres de mort – qui conque les travaille ou cueille des olives risque de le payer de sa vie », constataient en 2002 deux militants de l’association israélienne Ta’ayoush, dont le nom signifie « vivre ensemble » . Gadi Algazy et Azmi Bdeir évoquaient alors, notamment, le cas du village de Khirbet Yanoun, situé au sud de Naplouse, en Cisjordanie sous occupation militaire israélienne. Un village que les habitant harcelés par l’armée et la violence des colons, ont été contrains de quitter en octobre 2002, avant d’y retourner sous la protection des militants internationalistes et des pacifistes de Ta’ayoush. Et Gadi Algazy et Azmi Bdeir le soulignaient : « Khirbet Yanoun n’est pas un cas isolé ».
A ce constat de 2002 fait tragiquement écho la réalité de la stratégie actuelle de la puissance occupante, tandis que la population continue à résister, c’est-à-dire à vivre, à demeurer sur sa terre, à tenter, chaque jour, chaque heure, de poursuivre une ébauche de vie sociale. Comment dès lors ne pas interroger l’histoire citée en référence du projet politique israélien ?
Les colonies dites de
peuplement, sont en fait des colonies d’occupation. Et comme si cela ne suffisait
pas les permis de construire accordés aux colons sont refusés aux Palestiniens.
Non seulement un jeune palestinien qui se marie et pour fonder sa famille veut
construise sa petite maison la plus part du temps très petite, les forces
d’occupation non seulement ne lui donnent pas l’autorisation mais encore
démolissent celles que les palestiniens construisent soit pour y abriter sa
famille soit pour reconstruire celle que l’armée israélienne à démolie.
Les majorité des colons sont
des colons fanatiques et intransigeants ils harcèlent les villageois sous le
regard des militaires qui sont là non pour veiller à la sécurité du secteur
mais pour protéger ces colons. A Hébron par exemple c’est quotidiennement que
les palestiniens se font agresser par des colons et dans le cas où un colon
tue, comme c’est déjà arrivé à plusieurs reprises ce dernier n’est même pas
inquiété.
Les colonies déversent leurs eaux usées à travers champs, polluant les cultures.
Des colons sous le regard de militaires arrachent ou détruisent des oliviers, très souvent la seule ressource de la famille.
Des Israéliens dits péjorativement « pacifistes », alors qu’ils ne cherchent qu’à vivre en bonne intelligence avec leurs voisins, aident les villageois à la cueillette des olives pour : qu’ils ne se fassent molester par les colon ou pire encore qu’ils ne se fassent tirer dessus par les soldats. En Cisjordanie cueillir des olives peut vous coûter la vie.
Les colonies déversent leurs eaux usées à travers champs, polluant les cultures.
Des colons sous le regard de militaires arrachent ou détruisent des oliviers, très souvent la seule ressource de la famille.
Des Israéliens dits péjorativement « pacifistes », alors qu’ils ne cherchent qu’à vivre en bonne intelligence avec leurs voisins, aident les villageois à la cueillette des olives pour : qu’ils ne se fassent molester par les colon ou pire encore qu’ils ne se fassent tirer dessus par les soldats. En Cisjordanie cueillir des olives peut vous coûter la vie.
Le MUR dit de sécurité est en
fait le « Mur de l’apartheid ». Il est trois fois plus long que la
frontière séparant Israël de la Cisjordanie. En fait de sécurité il sert à
séparer les villages palestiniens et même les villageois de leurs terres
arables et ils ont besoin d’un permis spécial pour cultiver leurs terres.
Permis très difficile à obtenir et que les autorités d’occupation ne leur
délivrent pas toujours. On suppose que la délivrance du dit permis n’à rien à
voir avec le titre de propriété mais avec des critères particuliers, très
éloignés de la démocratie.
Comme si cela ne suffisait pas : le villageois qui ne cultive ses terres pendant plus d’un an perd d’ipso facto le titre de propriété.
Dans le désert du Néguev les Bédouins perdirent leurs terres ainsi même si leur cas fut légèrement différent en effet : « les Bédouins vivant là depuis des générations ont perdu la propriété de leurs terres suivant les mêmes dispositions que les villageois à la différence près qu’ils furent déplacés avec l’interdiction de retourner sur leurs terres sous le prétexte qu’elles étaient devenues terrain militaire. Aujourd’hui leurs villages n’existent plus à leur place des colonies. Les Bédouins ne comprennent d’autant pas qu’ils ne se sont jamais opposés à une coexistence avec les colons ils estiment Qu4il y a suffisamment de place.
Comme si cela ne suffisait pas : le villageois qui ne cultive ses terres pendant plus d’un an perd d’ipso facto le titre de propriété.
Dans le désert du Néguev les Bédouins perdirent leurs terres ainsi même si leur cas fut légèrement différent en effet : « les Bédouins vivant là depuis des générations ont perdu la propriété de leurs terres suivant les mêmes dispositions que les villageois à la différence près qu’ils furent déplacés avec l’interdiction de retourner sur leurs terres sous le prétexte qu’elles étaient devenues terrain militaire. Aujourd’hui leurs villages n’existent plus à leur place des colonies. Les Bédouins ne comprennent d’autant pas qu’ils ne se sont jamais opposés à une coexistence avec les colons ils estiment Qu4il y a suffisamment de place.
Contrairement à la présentation
des medias dominants, l’attaque israélienne de la bande de Gaza n’est pas une
riposte aux tirs de roquettes ! ça c’est le “ cadre ” matraqué et imposé
par la propagande gouvernementale israélienne qui à pour but de renverser les
rôles, de pervertir la réalité en faisant passer l’agresseur pour la victime.
Quand Israël bombarde la bande de Gaza ce n’est pas de l’autodéfense ou de la
légitime défense, pas plus que ne l’était l’attaque du Liban en juillet
2006 par les mêmes israéliens, pas plus que ne l’était l’invasion de
l’Irak par les USA en mars 2003.
Le Hamas qui avait respecté
la trêve souhaitait la levée du blocus pour reconduire la trêve. Le Hamas
qualifié trop légèrement de mouvement terroriste et Gaza d’entité hostile ne
cherchait qu’a lever le blocus inhumain. Les “ experts ” israéliens déclarent
qu’ils ne s’ont pas les ennemis de la population et qu’ils cherchent uniquement
à éliminer le Hamas. Pourtant cette formation politico/religieuse a été élue
démocratiquement. Qui sommes nous pour imposer au peuple Palestinien un autre
chemin que celui qu’ils ont librement consenti de suivre ? Je le répète le
Hamas ne cherchait qu’a lever le blocus qui les prive du minimum vital depuis
deux ans.
Ce bombardement est la
continuation logique du mur de l’apartheid en Cisjordanie, des exécutions
extrajudiciaires, c’est la continuation des crimes de guerre de Jenine,
Naplouse en 2002, C’est la continuation de nettoyage ethnique et de massacres
commence en novembre 1947. A cette époque sur des villageois largement sans
défense, aujourd’hui contre une formation politique qui n’a pas et de loin les
moyens que Européens et Américains octroient à Israël.
Ce bombardement survient après la décision du conseil des 27 ministres des Affaires étrangères européens qui ont décidé contre l’avis des Députés Européens du “ rehaussement des accords d’association avec Israël ” Il est aujourd’hui de la responsabilité de tous et en premier des partis politiques de dénoncer ces crimes et les basses manœuvres de Bernard Kouchner. Coupable de prévarication à sa charge. Est-il au service de la France ou d’Israël ?
Ce bombardement survient après la décision du conseil des 27 ministres des Affaires étrangères européens qui ont décidé contre l’avis des Députés Européens du “ rehaussement des accords d’association avec Israël ” Il est aujourd’hui de la responsabilité de tous et en premier des partis politiques de dénoncer ces crimes et les basses manœuvres de Bernard Kouchner. Coupable de prévarication à sa charge. Est-il au service de la France ou d’Israël ?
e milite dans une association
Judéo-Arabe et citoyenne pour la paix au Proche Orient. Je suis donc bien
placé, même si je ne suis pas juifs ni arabe, pour dire que le fonctionement
népotique de la majorité de la communauté Hébreu de par lemonde a acquis une
grande influence et participe dans presque tous les gouvernements occidentaux .
c’est aini qu’en Amérique lèvent des fonds pour financer la campagne électorale
du candidat à la Maison Blanche s’il fait allégeance à Israël. En France il n’y
pas un parti où ils ne soient présents. La communauté Israélite maitrise ou a
une grnade influence dans des pans entiers de notre économie. Cela dit pour les
côtoyer qu’ils sont des gens très instruits et parmi eux il y en a de très
frequentables.
Ils ne sont pas tous sionistes, ni pour le gouvernement israélien.
Malheureusement ils sont en nombre insuffisant y compris en Israël.
Ils ne sont pas tous sionistes, ni pour le gouvernement israélien.
Malheureusement ils sont en nombre insuffisant y compris en Israël.
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