mardi 15 mai 2012

M Hollande Président de la France


Nombreux sont les citoyens qui pensent que la Droite ou la Gauche, c'est du pareil au même. Que ce soit M Sarkozy ou M Hollande, cela ne changera pas grand chose, même s'il faut l'avouer, avec un président de Gauche, les petits souffrirons un peu moins.
Cependant le nœud de la problématique est et restera le même. En effet, tant que les États seront aliènes à la finance privé, la souveraineté des États sera compromise par des intérêts qui ne sont pas les siens et  les citoyens seront pris au piège  de cette idéologie globalisante voulue par des escrocs sous couver de démocratie, oubliant que le vocable démocratie au sens fondateur du terme, veut dire : "pour et par le peuple", et non comme "ils" le voudraient : "se servir du peuple". 

Aliéner les États à des intérêts particuliers, sort de toute logique, non seulement démocratique, mais  de toute logique intelligente. Comment, dans ces conditions, a-t-on pu livrer des nations aux requins de la finance ?
La seule explication qui puisse être admise, c'est qu'il y a des intérêts particuliers, si puissants, qui en dehors de toute humanité, (y compris lorsqu'ils se réclament de cette humanité) sont  capables de phagocyter nos démocraties... 

Le traité de Maastricht et ceux qui suivirent, en sont l'exemple parfait. La majeur partie de la population européenne a refusé ces traites.  Les uns, l'ont soumis a référendum. Référendum refusé par le peuple, puis, le texte est représenté pour tenter de le faire tout-de-même accepter "démocratiquement" au voté des députés. Où est la démocratie lorsqu'on passe outre le vote des populations avec autant de duplicité ? D'autres, l'ont d'office présenté au Parlement, esquivant ainsi le risque que pouvait présenter un référendum.
En effet, le traite de Maastricht à permis d'aliéner nos États à la finance privé. Comment un être responsable, élu ou non, peut ainsi hypothéquer l'avenir de millions de ses compatriotes et se soumettre à une idéologie qui a pour but d'assujettir les populations mondiales a d'une minorité de privilégiés ?

La classe politique européenne, à part leur soumission  à la globalisation, se comporte comme l'avait fait la la "noblesse" créant de fait une nouvelle aristocratie, qui n'œuvre nullement pour la Nation, pour le Peuple, mais, prennent nos bulletins pour des "chèques-en-blanc" qu'ils utilisent à leur enrichissement...  (Le cas de la Grèce est, aussi, un exemple parlant. On demande au peuple de faire des sacrifices, quand les députés grecs sont parmi les mieux payés d'Europe...) -
D'autres réclament la réductions des fonctionnaires, initient le désengagement de l’État de la solidarité nationale, mais aucun ne demande la réduction des parlementaires, sénateurs et que sais-je encore. L'exemple de l'Europe est aussi parlant : les politiques européens se sont ajoutés aux politiques nationaux, au lieu, comme il aurait été intelligent de procéder,  d'utiliser les "vases communicants" pour que l'Europe remplisse les mission qui étaient les siennes.
Aux USA il y a un nombre équivalent de responsables politiques qu'en France, pour une population six fois plus importante. Rien que ce fait, devrait permettre d'alimenter les neurones de gens intelligents. 

Je ne vois qu'une seule réponse à tant de prévarication de la part de nos élus. Ces élites que nous élisons, doivent espérer faire partie de cette minorité de privilégiés se donnant les moyens d'assujettir les populations. Comment croire, autrement, que des responsables politiques intelligents, accepteraient d'abandonner des prérogatives en accordant aux tenant de la finance privé le droit de financer les États et comble de la stupidité, la finance privé emprunte auprès des Banques Centrales, pour ensuite prêter aux États à des taux qui varieront en fonction de critères privés*, au lieu d'avoir recours au système, qui à fait ses preuves, c'est-a-dire : que les États empruntassent directement à leur Banque Centrale.  On est, actuellement, dans la démarche la plus stupide qu'un homme puisse imaginer. Et, soit nos élus sont totalement ineptes à l'exercice de la politique, soit ils "roulent" pour des intérêts inavouables qui nous dépassent. Il faut donc reconnaitre que, et cela mise à part  le jeu de "loterie" auxquels se livrent les banques, soutenir ce système relève de la prévarication la plus extrême, d'un système qui hypothèque l'avenir du peuple et de la nation et par conséquent celui de nos enfants, pour que des escrocs aient, eux, un avenir radieux... 

Les responsables politiques, vivent grâce au peuple, c'est un fait. Comment dans ces conditions peuvent-ils scier la branche dans la quelle ils sont "couchées" ?
Parce qu'ils espèrent faire partie de cette fameuse élite...  et oublient que tout escroc vit au dépends de celui qui l'écoute...

(*) Les taux dit variables, sont en soi une escroquerie, mais encore ils sont illégaux. Illégaux au sens noble de l'équité. En effet, quelque soit le contrat, le traité, pour être légal, les parties en présence doivent être informés de toutes les données techniques du contrat, du traité. Dans le cas où une donné variable y est incluse, les parties en présence ne maitrisent plus toutes les données techniques, en résumé : "l'emprunteur sait la somme qu'il emprunte, il se sait pas la somme qu'il va devoir rembourser", un contrat dont une des parties ne sait pas à quoi elle s'engage, ne peut, en toute intelligence être légal, et comble de la stupidité pour les uns, de la fourberie pour les autres, ces taux peuvent être révisés/fixés  sur des critères subjectifs par de gens qui ont tout intérêt à ce qu'il soient le plus élevés possible. (les supprimes, à l'origine de la crise mondiale, n'ont pas d'autre genèse)


Nos responsables politiques qui demandent des efforts aux populations, ont comme principe premier la déloyauté, ils dépensent des sommes pharaoniques pour combattre le terrorisme, a ces montants s'ajoutent les sommes  pour soutenir l'Etat qui en est à l'origine. Et là est le "Nœud gordien" car en Occident siègent au sein de nos parlement, de nos gouvernements, des gens qui soutiennent et ouvrent à rendre pérenne cet Etat illégal, qui se maintien par la force des armes.  Si nos "démocraties" ne soutenaient plus cet Etat, j'ai nommé Israël, il devrait s'intégrer dans son environnement au lieu de le combattre. Et le terrorisme dit musulman ne trouverait plus, du moins aussi facilement, les jeunes musulmans s'engageant dans le Djihad, par solidarité ou conviction, et tenter de nous faire comprendre le crime que représente la colonisation juive en Palestine.  Car rappelons-nous, le terrorisme, avants d'être "musulman" il était allemand (bande à Bader), français (action directe), italien (brigades rouges)..., les motifs de leur révolte étaient, que l'on le veuille ou non, semblables : ils refusaient l'exploitation des uns pas les autres.

La nomination de Laurent Fabius  aux Affaires étrangères, est sans conteste une erreur. En effet, comment un homme qui ne maîtrise pas  les affaires du monde, qui à une vue partisane et sectaire des affaires de ce monde, peut-il être un homme pour qui son engagement serait d'œuvrer pour la bonne entente entre les habitants de ce monde ? 
Cette nomination fait suite au "voyage" de membres du PS en Israël où il ont pris contact avec un responsable politique d'un extrémisme des plus fanatique...
Prendrions-nous les ordres de Tel-Aviv ?  A constater, les déclarations de M Fabius, dénigrant l'Iran, on pourrait le croire. Pourtant nous avons en France le meilleur diplomate de ces trente dernières années. Hubert Védrine n'est ni le représentant d'une caste, ni celui d'un parti, d'une grande finesse d'analyse, maitrisant parfaitement les rouages diplomatiques. Pourquoi dans ces conditions on nomme un personnage sectaire et incompétent à ce poste ?  Sa déclaration le prouve... 

Vendredi 31 août 2012 :
 S'il fallait apporter la preuve des accointances du parti socialiste français et le sionisme, la nomination   de la Banque Lazzard, dirigé par Mattieu Pigase, fidèle soutien de François Hollande, en est une  infaillible. Le népotisme de cette décision est assimilable à celui de M  Sarkozy nommant ses proches aux postes "clés". Le sionisme place là, ses "pions", et comme aux USA, la France, l'Europe dans un second temps, seront la soubrette des intérêts israéliens. 

Après la création d'une commission confié à Lionel Jospin, la décision de confier la stratégie économique à un homme autant impliqué dans les intérêts juifs dans le monde, est inapproprié et dangereuse pour notre indépendance.   


Arnaud Montebourg a "regretté", vendredi 31 août, que Bercy ait confié un mandat à la banque d'affaires Lazard France, dirigée par Matthieu Pigasse, pour conseiller le gouvernement pour la création de la future Banque publique d'investissement.
"Je regrette que cette décision ait été prise", a déclaré Arnaud Montebourg lors de l'Université d'été du Medef. "Je ne la connaissais pas, je l'ai découverte, donc vous comprenez que je ne suis pas très content", a-t-il ajouté.
"Moi, je pense que c'est une très mauvaise idée", a-t-il poursuivi en rappelant que la décision avait été prise par le ministre de l'Economie, Pierre Moscovici.
D'autant, a-t-il poursuivi, que la Banque publique d'investissement, je trouve qu'elle ne peut pas être réalisée par des banquiers, parce que faire une banque qui ressemblerait à d'autres banques, c'est vraiment pas ce que l'on cherche à faire".
 

Dans ces conditions comment faire confiance à un élu favorable à Israël. La plupart des élus favorables au sionisme, juifs ou non, n'agissent pas pour la nation, dont ils ont normalement la charge, mais se servent d'elle. Pour un enrichissement personnel ou pour pérenniser Israël dont ils ont la plupart du temps la nationalité, y compris si elle est double...

N'importe quel économiste sensible aux difficultés économiques de notre pays verrait à la colonne "CRÉDIT" de notre bilan, qui le poste dépenses de personnel est trop important. Principalement celui des "cadres dirigeants". Que les élus politiques représentent a eux seuls la plus grande partie de cette dépense. 
Mais que pouvons-nous attendre de ces êtres entrés en politique, pour les avantages que la fonction procure et éventuellement se laisser corrompre intellectuellement ou/et physiquement pour satisfaite leur "égo" ou/et le caractère cupide de la plupart de nos dirigeants politiques    
  

On ne peut ainsi que s’interroger sur les raisons de leur importance actuelle dans divers secteurs “décisifs” de la vie du pays. De deux choses l’une, où ils sont véritablement géniaux, et dans ce cas, il faudrait prendre acte d’une telle supériorité collective qui relève du prodige, ou alors il y a tricherie massive quelque part. Comme eux-mêmes n’oseraient prétendre appartenir à une “race supérieure” spécifique (même si dans le fond, suivant en cela leurs textes religieux, ils en sont réellement persuadés !…), c’est donc qu’il y a anomalie. Ils usurpent une position qui ne devrait pas être la leur et doivent leur succès au détriment des habitants d’origine du pays où ils résident, empêchés de manière déloyale de s’épanouir. Les siècles de grandeur de notre histoire prouvent amplement qu’avant les Juifs, sans les Juifs, nous pouvons de nous-mêmes pourvoir à tous les talents dont notre pays a besoin. L’exorbitante prédominance juive actuelle ne prouve ni leur supériorité, ni notre incompétence.
Une conclusion d’autant plus fondée que, dans le monde occidental, ce n’est pas seulement en France que les Juifs occupent une situation prépondérante, sans rapport avec leur nombre et ce à quoi ils auraient dû normalement avoir droit. Ils ont partout “réussi” avec les mêmes procédés déloyaux, pour finir par provoquer les mêmes réactions de rejet. Une hostilité que l’on s’empresse de qualifier de “racisme” ou d’”antisémitisme”, en considérant simplement que cela relève d’une mystérieuse “maladie criminelle” passible de la répression et que l’on doit essayer de prévenir par une intensification de la propagande antiraciste. Davantage de répression, davantage de surveillance et de délation, davantage d’endoctrinements, davantage d’abrutissements généralisés, davantage de désagrégation culturelle, davantage de métissage pour faire disparaître les enracinements et les repères. Davantage de pouvoir aux Juifs.
Une telle situation, devenue pour nous insupportable, nous oblige à une remise en cause, et de nous-mêmes, et des institutions de ce pays qui, chaque jour davantage nous devient plus étranger. Cette fois-ci, c’est la France en tant que pays européen, et les Français en tant que peuple de race blanche, qui risquent de disparaître, mettant fin à une histoire de plusieurs dizaines de millénaires. Personne n’a le droit de nous obliger à subir un tel sort, de renoncer à perpétuer notre identité ancestrale. D’en être fier. Et donc aussi de la défendre activement par tous les moyens.

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