Le Figaro, écrit : "Le sud d'Israël vit au rythme des tirs de roquette", sous entendu : le sud d'Israël est saturé des tirs palestiniens, comme si les israéliens avaient besoin de motifs pour agresser quelqu'un !
Il faut être un voyou du journalisme, un escroc de la pensée,
pour se cantonner à la stricte vision occidentale et israélienne de ce conflit.
Les gouvernements israéliens diffusent leur propagande à
l'intention des occidentaux, mais il n'y que les émerveillés pour croire que
cet État voyou est une démocratie.
Israël, c'est toujours comporté depuis sa création, tel un État
tyrannique envers ceux-là même, qui
l'avaient accueilli en frères, les Juifs rescapés des camps de la mort. Pourtant et
cela dès l'immigration des juifs en Palestine de l'entre deux-guerres, les palestiniens on
vu dans cette immigration leur futur bourreau, il suffit de relire les
déclarations de Theodore Herzl pour en être convaincu et affirmer que le
sionisme n'a jamais eu à l'égard des palestiniens le moindre scrupule à les spolier, à les
expulser par la violence, à les emprisonner, à les tuer.
Les réelles motivation de l'agression israélienne sur Gaza sont
: la déclaration de l’Émir du Qatar en visite à Gaza et la demande de
reconnaissance par l'ONU de l’État de Palestine. Le reste est de la littérature.
C'est une punition collective que condamnent les Droit de l'homme, mais que le très "démocratique" Occident, non seulement cautionne, mais finance et absout.
Israël maintient depuis 2007 un blocus sur Gaza avec la bénédiction d'un Occident va-t-en-guerre. Cautionnant des crimes qu'il a de tous temps commis.
C'est une punition collective que condamnent les Droit de l'homme, mais que le très "démocratique" Occident, non seulement cautionne, mais finance et absout.
Israël maintient depuis 2007 un blocus sur Gaza avec la bénédiction d'un Occident va-t-en-guerre. Cautionnant des crimes qu'il a de tous temps commis.
L'opération militaire israélienne «Pilier de Défense» n'en
est qu'à son deuxième jour. Pourtant, ce jeudi, huit Palestiniens ont déjà péri
dans des raids aériens sur Gaza, ce qui porte à seize le nombre de victimes à
Gaza depuis mercredi. En deux jours, l'armée de l'air israélienne a effectué
«quelque 150 frappes» sur l'enclave palestinienne et «au moins 250 roquettes»
auraient été tirées.
A Gaza, les rues sont presque vides. Un silence inhabituel
emplit la ville, rompu seulement par les sirènes des ambulances et le fracas
des frappes aériennes israéliennes.
En Israël, trois personnes ont été tuées jeudi en début de matinée par une roquette qui a touché de plein fouet un immeuble d'habitation à Kiryat Malachi, à 30 kilomètres de la bande de Gaza. Par ailleurs, deux roquettes ont été tirées de la bande de Gaza vers de Tel-Aviv.
La situation ne devrait pas s'améliorer dans les prochains jours. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a déclaré que l'état hébreu prendra «toute action nécessaire pour défendre la population» tandis que le Hamas a rejeté «toute discussion sur une trêve avec Israël en ce moment».
En Israël, trois personnes ont été tuées jeudi en début de matinée par une roquette qui a touché de plein fouet un immeuble d'habitation à Kiryat Malachi, à 30 kilomètres de la bande de Gaza. Par ailleurs, deux roquettes ont été tirées de la bande de Gaza vers de Tel-Aviv.
La situation ne devrait pas s'améliorer dans les prochains jours. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a déclaré que l'état hébreu prendra «toute action nécessaire pour défendre la population» tandis que le Hamas a rejeté «toute discussion sur une trêve avec Israël en ce moment».
Comme Théodore
Herzl l'avait préconisé lors du 1r. Congrès sioniste mondial de Bâle, Israël
cherche à justifier sa politique criminelle, justifiant ses agression comme étant des représailles.
Or, tous ceux informés des tenants et des aboutissants de ce conflit, les
dirigeants politiques, les journalistes, savent que ce n'est pas la
réalité.
Israël menace de renverser Abbas
s'il présente son projet à l'ONU
La 29e Assemblée générale décidera si elle doit accorder à la Palestine le statut d'Etat observateur.
La 29e Assemblée générale décidera si elle doit accorder à la Palestine le statut d'Etat observateur.
Le
Président palestiien, Mahmoud Abbas. / ABBAS MOMANI (AFP)
Les menaces israéliennes gagnent en intensité à
l'approche de la date à laquelle les
Palestiniens demandent à l'ONU, de
les reconnaître comme Etat observateur
non-membre.
L'initiative
diplomatique palestinienne est confronté a une forte opposition d'Israël et des États-Unis, qui craignent les progrès vers la reconnaissance de la Palestine comme un Etat à part entière. Si le Novembre
29th l'Assemblée générale de l'ONU à Gaza et
en Cisjordanie, a accordé un statut
similaire à celui du Vatican, les
portes des divers organismes multilatéraux,
y compris la justice internationale pour
les Palestiniens seront ouvertes.
Le Ministre israélien des Affaires étrangères Avigdor Lieberman,
c'est chargé ce mercredi de filtrer un document demandant aux
ambassadeurs israéliens de faire parvenir dans leurs différentes, le message
suivant : si les Palestiniens continuent
à aller de l'avant avec leur projet de reconnaissance, Israël démantèlera
l'Autorité palestinienne et à renversera son Président, Mahmoud Abbas, comme l'ont confirmé des responsables
israéliens. "Si la
proposition palestinienne est acceptée par l'Assemblée générale des Nations Unies,
à notre avis, ce serait
enfreindre les règles et provoquera
une réaction extrême de notre part",
a déclaré Lieberman ce mercredi lors d'une visite à Ariel, l'une des colonies de tête intégrés dans les territoires palestiniens.
Au-delà
des menaces de Leiberman, Israël
n'a pas commenté officiellement sur la possibilité de représailles, que cela pourrait
être adopté lors d'un vote. Parmi les mesures
envisagées comprennent le gel
du transfert des taxes d'Israël dans les coffres palestiniens, l'expansion des colonies et la restriction de mouvement pour les politiciens palestiniens.
Washington n'a pas précisé quelles seront
les prochaines étapes après que
le président Barack Obama ait appelé dimanche son homologue palestinien et
lui a demandé de reporter l'initiative
diplomatique. "Il ne siffit pas de nous dire
de ne pas aller à l'ONU, la question est de savoir ce qu'on nous offrons en retour", à
déclaré cette semaine à Ramallah le dirigeant palestinien Mohamed Stayyeh, et a rappelé aux journalistes.
"[Barack] Obama a eu quatre ans pour nous donner quelque chose, mais il ne l'à pas
fait", a-t-il ajouté.
Les Palestiniens comptent sur une large majorité d'au moins 130 voix à
l'Assemblée générale. Il n'y a pas de consensus parmi
les Européens et il est prévu de
vote individuel.
Plus de deux ans que les négociations entre
les Palestiniens et les Israéliens sont au point mort. Le manque de propositions sur la table et l'expansion
incessante des colonies en territoire
palestinien a encouragé ces derniers à chercher de nouvelles façons de progresser sur la voie de la création d'un Etat palestinien sur les frontières de 1967, un objectif qui a
le consensus de la communauté
internationale.
L'idée
est cependant que cet objectif soit atteint par des négociations directes
entre les parties, qui doivent décider
sur les questions les plus épineuses,
y compris la démarcation des frontières, l'avenir des réfugiés palestiniens et de Jérusalem.
Les Palestiniens accusent Israël de
ne pas vouloir s'asseoir et de négocier. Et les Palestiniens ont refusé de s'asseoir à la table des négociations
jusqu'à ce qu'ils cessent l'expansion
des colonies. Plus d'un demi-million
d'Israéliens vivent dans des colonies en
Cisjordanie et à Jérusalem-est, dans les territoires qui sont censés venir un jour à l'Etat
palestinien.
Provocation disais-je :
Israël
tue commandant du Hamas dans une vague d'attaques sur Gaza
Ahmed Jabari est le leader islamiste le plus important tué depuis l'opération israélienne (Plomb durci) de la bande de Gaza en 2008.
Ahmed Jabari est le leader islamiste le plus important tué depuis l'opération israélienne (Plomb durci) de la bande de Gaza en 2008.
Qui fit, je le rappelle 6.000
victimes 1600 morts dont 450 enfants et la destruction d'écoles, d'hôpitaux,
des bâtiments internationaux, comme celui de l'ONU à Gaza (...)
Plusieurs hommes tentent d'éteindre le feu du véhicule Jabari.
/ MAHMUD HAMS
(AFP)
Ahmed Jabari, le chef militaire du Hamas, qui a été tué mercredi dans un soi-disant assassinat ciblé de l'armée israélienne.
Ahmed Jabari, le chef militaire du Hamas, qui a été tué mercredi dans un soi-disant assassinat ciblé de l'armée israélienne.
Tel-Aviv
a commencé ce mercredi le bombardement sur Gaza provocant la réaction des milices résistantes palestiniennes.
PÚBLICO
/ EFE JERUSALÉM 15/11/2012 09:00 Actualisé 15/11/2012 18:32
Un journaliste
de la BBC, Jihad al-Masharawi, pleure la mort de son fils, suite aux
bombardements israéliens sur Gaza. - REUTERS
Le
chiffre des victimes sont, à ce jour, de 15 morts et une centaine de blessés coté
palestinien et trois israéliens tués par une roquette lancé par les milices palestiniennes.
Entre les
civils tués à Gaza il y a le fils de Jihad al-Masharawi, journaliste a la BBC.
Trois Palestiniens ont été tués ce matin dans les attaques israéliennes sur la ville de Khan
Younis. Parmi les treize Palestiniens morts
hier on trouvé deux enfants (âgés
de sept et onze mois), les femmes enceintes et huit hommes âgés.
En réponse, les milices de Gaza ont lancé environ
115 roquettes sur Israël depuis
l'offensive israélienne, qui a commencé
hier avec l'assassinat du chef
de la branche armée du Hamas,
L'incident
d'aujourd'hui s'ajoute à ceux
enregistrés dans les dernières heures ayant causé une dizaine d'autres blessés, principalement des éclats d'obus
dans les communautés israéliennes
proches de la bande de Gaza.
Les écoles israéliennes à moins de 40 kilomètres
autour de la bande de Gaza seront
fermées aujourd'hui. Les
autorités ont demandé aux habitants vivant dans les cinq miles
de la Bande de rester à la maison
et ne pas aller au travail. La police israélienne a augmenté le niveau d'alerte et a renforcé sa présence dans
toutes les villes du pays en prévision
d'éventuelles attaques palestiniennes.
Israël
mène aussi la guerre sur en Twitter.
"Les forces armées se sont engagés dans l'opération "Pilier défensif." Avec ce
tweet : "les
Forces de défense Izrael (IFD), ont
officiellement annoncé hier leur intention de soumettre
la bande de Gaza à d'une offensive
de haute intensité."
Dans les faits l'agression israélienne à débuté le 24 octobre après
la déclaration de l’Émir du Qatar Son
Altesse Cheikh Hamad bin Khalifa Al Thani, en visite à
Gaza.
Pour mieux comprendre qui est l'Occident, les USA ; l'Europe actuelle
; Israël, les manipulation sur les citoyens occidentaux. Les dessous du bombardement par Israël du Soudan :
Publico
13/11/ 2012
Passés inaperçus. Dans la matinée
du 24 Octobre dans la campagne électorale américaine, un escadron
de huit F-15 israéliens
ont attaqué le Soudan, lançant quatre bombes de
deux tonnes sur le Yarmouk complexe
militaro, près de Khartoum. La
"communauté internationale" et
l'ONU n'ont pas dit mot.
La presse spéculait sur les raisons qu'avait
Israël. Elles sont très variés. Comme celle des groupes de Yarmouk, accusant l'Iran d'armer les islamistes dans la région, et inclus qu'il s'y fabriquait une bombe nucléaire, ou encore que ce raid était un essai avants d'attaquer l'Iran, car la distance entre Israël et le Soudan est presque la même que celle avec l'Iran, a été un
message aux candidats américains
sur la capacité Tel-Aviv à donner une leçon à Téhéran
sans le soutien américain, et a voulu
réparer l'atteinte faite à la réputation de l' armée israélienne, après le survol de
l'espace aérien israélien d'un avion sans pilote iranien ; montrer sa
puissance militaire après avoir subi deux revers lors du
«printemps arabe», et destinés à mesurer
la réactivité des gouvernements et des peuples contre l'agression d'un autre pays
musulman.
Nous constatons donc que les médias français nous mentent sur
les réelles motivations israéliennes dans le bombardement des populations de
Gaza.
Et aussi : Nul doute que l'attaque avait l'appui de l'administration Obama États-Unis, parce que c'est arrivé à la veille de la manœuvre interarmées appelé «Défi Austère, 2012."
Quelques jours plus tôt, les Etats-Unis
à fermé son ambassade à Khartoum.
De plus, pour atteindre le Soudan, Israël avait besoin de la permission de l'Arabie saoudite (et donc les
Etats-Unis) de survoler son
espace aérien.
En outre, l'Iran n'est pas
le Soudan. Non seulement les différences évidentes géographiques,
mais aussi par la capacité défensive,
à moins que les Israéliens ont vraiment
le "impulsion électromagnétique" dont l'explosion serait en mesure d'offrir un niveau élevé de rayonnement dans l'atmosphère devient indésirable équipement militaire électronique l'ennemi. Et,
dans le cas où le but était de détruire toutes les installations nucléaires
iraniennes, doit envoyer au moins
trente avions et non pas quatre.
Il semble donc que l'objectif principal
de cette opération était d'affaiblir le
gouvernement islamiste de Khartoum.
En outre : l'Iran n'est pas
le Soudan. Non seulement les différences évidentes géographiques,
mais aussi par sa capacité défensive,
à moins que les Israéliens comptent
réellement sur l' "impulsion
électromagnétique" dont l'explosion serait en mesure d'offrir un niveau élevé de rayonnement dans l'atmosphère
rendant inutilisable l'équipement
militaire électronique de l'ennemi.
Et, dans le cas où le but était de détruire toutes les installations nucléaires iraniennes, doit
envoyer au moins trente avions
et non pas quatre. Il semble donc que
l'objectif principal de cette opération
était d'affaiblir le gouvernement islamiste de Khartoum.
Autrement dit tout ce qui n'est pas pro sioniste, devient une
menace potentielle pour Israël et a ce titre cet État va-t-en-guerre voudrait
légitimer ses crimes !
L'importance stratégique de Soudan,
qui a été le plus grand pays d'Afrique
avant sa partition, est le principal partenaire commercial de la Chine,
lui donnant l'impulsion essentielle lui permettant, comme les puissances
mondiales de s'emparer des ressources de l'Afrique. Depuis que les USA ont coupé
(Juillet 2011) le
Soudan en deux, en collaboration avec ses partenaires européens et Israël, qui
font "main basse" sur le Sud, mais n'ont plus d'accès
à la mer, malgré une production d'huile importante,
les mines d'uranium, d'or et de diamants,
la "coalition" espérait que le gouvernement d'Omar el-Béchir du Nord, céderait sous la pression des sanctions économiques
sévères, finirait par accepter le
nouvel état, et lui permettre d'exporter
son pétrole par les pipelines qui
traversent le Nord du territoire jusqu'à la mer Rouge.
Ce n'est pas
ainsi que cela s'est passé :
L'exportation de carburant
est au point mort et la tension monte
entre les deux pays, et empêche l'exécution des plans militaires et
économiques que les Occidentaux avaient imaginé pour le sud d'Israël. L'infaisabilité
d'un projet du nouveau gazoduc qui doit relier les champs du Sud-Soudan à la ville côtière kenyane de Lamu a conduit à un «plan B», déstabiliser davantage le Nord, pour devienne un "Etat en faillite" lui permettant de maîtriser le territoire du Nord et les eaux.
Nous pouvons voir
là, que les arguments avancés par Israël, de lutter contre le terrorisme
islamiste ou encore l'argument qui consistait a accuser le Soudan de fournir
des armes au Hamas sont apocryphes et mensongers. Se sont bien des intérêts
économiques, et de suprématie politique qui sont les véritables motivation des
criminels Américains, Européens et Israéliens.
Il n'es pas
étonnant qu'Israël soit devenu un des principaux diamantaires, espérons
simplement qu'ils les ont payés.
Là, on comprend
mieux, pourquoi les médias occidentaux font sienne la propagande de ces
criminels. On comprends, aussi, pourquoi l'intelligentsia pro sioniste, dénigre
la Chine et plus largement tous ceux risquent d'hypothéquer leurs rapines.
Je suis
occidental, (chrétien) mais je ne cautionne pas ces agissements et je me
désolidarise de ce terrorisme d’État.
Les USA étendent leur
présence dans les ressources naturelles
d'Afrique. Et a depuis 2011, déployé 100 unités
d'opérations spéciales au Sud-Soudan, au Congo,
en Ouganda et en République centrafricaine, et encore 3.200 soldats de l'armée du camp
de base Lemonnier (Djibouti), l'extension du AFRICOM (commandement de l'OTAN pour l'Afrique). CQFD.
Nous faisons face à un nouveau type de
guerres appelle des
«guerres civiles» comme a souffert le Soudan, dont les pousse au crime sont la compagnies pétrolières telles que Lundin, consortium Suédois-Autrichien-Malais, accusé de crimes contre l'humanité.
Quand en 1997, il
a reçu le prix du gouvernement de M. Béchir pour développer
la production de pétrole dans une zone de
conflit, a exigé une sécurité absolue dans la région. Et c'est ce qu'ils firent: plusieurs jours de bombardement du village
de Koch, où 12.000 villageois furent tués et la fuite de centaines de milliers. Lundin en flammes villages incendiés, le
consortium a commencé à forer le sol, «propre».
La Chine, partenaire
commercial le plus important du Soudan,
les USA/Israël après avoir perdu l'Irak, l'Iran, la
Libye et le Soudan aujourd'hui,
sa sécurité énergétique est menacée sa
politique de «non-ingérence» dans les affaires intérieures des pays, et devient une
«ingérence créative" sans
donner l'image de l'impérialisme.
En d'autres termes, il ne partira pas
d'Afrique et il y aura la guerre,
plus de guerre.
Israël en Afrique
Dans la foulée des États-Unis, Israël a bombardé le Soudan en 2009 et 2010, sous le prétexte de combattre le terrorisme.
Dans la foulée des États-Unis, Israël a bombardé le Soudan en 2009 et 2010, sous le prétexte de combattre le terrorisme.
L'intérêt d'Israël pour le Soudan
commence dans les années 50. La «doctrine de la périphérie" de David Ben Gourion, qui vise des pays non arabes (l'Iran du Shah, Pakistan, Turquie, etc) Comme partenaires
stratégiques potentiels. Vision qui
a échouée, et qui n'a réussi qu'à diviser les
populations par la religion
ou l'origine ethnique, mais nullement par
leur pouvoir sur les ressources.
La participation
de Tel-Aviv dans l'aide
humanitaire au Rwanda ou au Congo,
loin de la philanthropie et de la
solidarité, était une stratégie
pour présenter les conflits comme étant des conflits raciaux, entre Arabes et
non-Arabes.
Ainsi, les non-Arabes du Soudan furent considérés comme
des alliés occidentaux, pour contenir l’Égypte alors pan-arabe et le
commandement du charismatique Gamal Abdel Nasser. Les années 70, ces non-Arabes
furent utilisés sur le territoire de l'Ouganda, pour aider les rebelles soudanais qui en Juillet
2011 avec les USA promulgua l'indépendance
du Sud, reconnue par Moubarak, au moment du printemps Arabe qui le destitua.
Israël, le premier pays à ouvrir une ambassade dans le
nouvel Etat, a réussi à briser un pays musulman, affaiblir le front de
soutenait la résistance palestinienne, la création d'une alliance commerciale
et militaire au Sud-Soudan, des positions gagnantes dans leurs négociations
avec l'Egypte Morsi , de vendre le surplus d'eau dessalée aux Africains
accueillir une partie des 26.000 africains immigrants sans papiers résidant en
Israël, et fantasmer sur leurs besoins or noir du Soudan.
Israël malgré m'importation de 282.000 barils par jour, n'a pas été en
mesure de réaliser le rêve ultime. Qui voudrait, en collaboration avec les
États-Unis, tenter de renverser le gouvernement de Khartoum et d'atteindre la
mer Rouge.
La Chine est en
passe de devenir le principal partenaire économique des africains. IL doit y
avoir pourtant une raison, seraient-ils plus honnêtes dans l'exécution de leur
contrats ? Dans génocide
à l'ordre du jour, le journal israélien Haaretz explique pourquoi Israël
craint la Chine.
L’Occident fomente
des guerres dites d'indépendance ; Ethniques ; de religion ; lutte contre le
terrorisme, pour faire main-basse sur les richesses de leur sous-sol ou dominer
des Etats moins bien armés que lui. Voila donc les motivation de cet Occident
que nous aimons tant et à qui nous donnons des dirigeants sans état de conscience
ou qui se révèlent à nous tels de véritables va-t-en guerre, dénoués de
scrupules.
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