vendredi 14 décembre 2012

Jean-Vincent Brisset, chercheur...



Jean-Vincent Brisset, directeur de recherche à l'Institut des relations internationales et stratégiques (IRIS) déclare qu'à l'échelle internationale, la Corée du Nord fonctionne depuis vingt ans  par le chantage : elle utilise les essais militaires et l'éventualité qu'elle posséderait l'arme nucléaire  pour faire monter la pression et réclame postérieurement  à ces essais et en échange  du respect  des Accords internationaux et du Droit international, des aides extérieures pour son pays.

La CIA, déjà en 1973, affirmait que la Corée du Nord  avait de quoi faire des armes nucléaires.

L'ONU peut elle avoir une influence sur la Corée du Nord ou d'ailleurs sur un État qui ne respecterait pas le Droit international ou même ses propres résolutions ? La réponse est non. Le droit de véto des grandes puissances d'après guerre sont là pour l'affirmer.

Les cas de la Corée du Nord, comme celui de la Libye ou même de l'Irak, [...] pays dirigées par des despotes, font exception à la règle qui voudrait qu'un "bloc" ami se prévale de son droit de véto pour absoudre ses crimes. (Tout du moins pour que l'ONU ne puisse sanctionner ses crimes ou ses manquements au Droit international ou aux Conventions internationales, comme par exemple la 4e. Convention de Genève, régissant les conflits armées). Des intellectuels juifs, fourbes et manipulateur, argumentent que la Palestine n'est pas un État et que par conséquent les dispositions de la 4e Convention de Genève ne peuvent s'appliquer. Et oublient de préciser que Golda Meïr, quatrième Premier ministre israélien, né à Kiev, avait un passeport palestinien durant vingt ans. (mais tout le monde "sait" que les États ne délivrent pas les passeports)   

Il faut cependant admettre que le cas de l'Irak est un peu différent et ressemblerait d'avantage à l’Égypte de Hosni Moubarak ou la Tunisie de Ben Ali à la différence que l'Irak ne cautionnait pas la politique sioniste de l’État israélien.

En conséquence lorsque l'on appartient clairement à un des "blocs" en présence on peut se croire à l'abri des sanctions onusiennes. Comme s'est le cas d'Israël protégée par ceux-là même qu'il asservit. En effet, l'Amérique protège Israël quelque soit son crime ou ses manquements au Droit international. Pourtant l'influence du lobby juif aux USA est indéniable et finance, avec les lobbys : Militaro/industriel ; Pétrole ; Finance..., les candidats à la présidence qui, qu'ils le veuillent ou non restent redevables de leurs mentors. C'est ainsi que la politique du Proche et Moyen-Orient et plus largement, là où les intérêts juifs pro israéliens sont en jeu, se fait, non  à New York mais à Tel-Aviv. Et la réponse des USA à la demande de la Palestine d'être reconnue comme État y compris non membre, éclaire nos craintes spectaculairement.

Les conflits qu'il peut y avoir dans ce que l'on pourrait appeler "bloc" de l'Est sont soit fomentés par l'Occident, via la CIA ou systématiquement présentés par les médias occidentaux de manière erroné visant à manipuler les citoyens occidentaux. A contrario les conflits provoqués par le "bloc" occidental nous sont présentés comme légitimes ou comme des guerres ethniques, de religion ou politiques, alors qu'elles servent l'intérêt et l'influence de l'Occident y compris lorsque des citoyens occidentaux dénoncent ces manipulations. Pour parvenir à ce point à tromper les citoyens occidentaux il faut d'énormes capitaux, mais aussi l'influence qu'a la communauté juive pro sioniste en Occident qui par népotisme, phagocyte nos médias, nos institutions, tirant le meilleur parti, après les avoir rendu antidémocratiques, prenant des décisions contraires à l'intérêt des populations au prétexte d'une réalité économique qui bénéficie, finalement, qu'aux actionnaires des banques privés. Et nous savons que 80% des banques privés sont à capitaux juifs. Les crises économiques des États engraissent ces banques qui pourtant sont, comme Goldman/Sachs (subprimes) à l'origine des crises savamment programmées. Depuis plus de cinq ans, la banque d'affaires américaine Goldman Sachs ou l'escroc Maadof -directement lié à Israël-, incarnent tous les excès et dérives de la spéculation financière.


De là vient sans doute la main mise du sionisme sur l'Occident et la globalisation qui nous étrangle. Globalisation voulue par Rothschild & Rockefeller,  membres éminents du groupe Bilderberg.   

Aujourd'hui on s'indigne des essais Nord Coréens, de la Guerre civile en Syrie..., du coup de force du Président Egyptien, du Hamas, du Hezbollah, de l'Iran, de la Chine, [...] mais on se tait de la guerre que mène Israël contre la population de Palestine y compris avec les factions résistantes, depuis 62 ans ! Certains journalistes, avec quelques dirigeants politiques, s'indignent de l'intransigeance du Hamas du caractère inacceptable que représenterait l'abolition de la résolution 181 voté par l'ONU le 26 novembre 1947, mais aucun des ces êtres hypocrites ne se soucie du crime que représente la spoliation et les assassinats du peuple de Palestine.
Il ne peut y avoir de paix dans le monde avec cet occident-là..., pourquoi s'entête-il à croire que seul son idéologie est la bonne, pourquoi applique-t-il deux-poids, deux-mesures, aux mêmes effets, pourquoi la politique irrespectueuse du Droit international d'Israël serait acceptable et la résistance de la Palestine serait condamnable ? 




      

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