lundi 22 avril 2013

L’observatoire syrien pour les droits de l'homme est financé par l'UE



Avec ce "post" nous entrons au cœur des manipulations les plus abjectes de la part nos dirigeants. D'autant plus abjectes qu'ils nous mentent. Le mensonge d'une personne à qui on a fait confiance, ne peut être l'acte de quelqu'un psychologiquement sain, mais d'un nain intellectuel ou d'un fourbe sans état de conscience. (et comble de la bêtise, il se croit plus intelligent) En effet, tromper quelqu'un qui vous fait confiance est a la porté du premier imbécile venu sans honneur, un petit homme. Nous élisons des dirigeants pour qu'ils apportent leur compétences à la gestion de la Nation et ces êtres sans honneur fraichement élus s'empressent de nous trahir, de nous manipuler pour des intérêts personnels ou communautaires.
Les principales victimes de l'attentat contre les tours jumelles de New-York (WTC) du 11 septembre 2001, contrairement a ce que l'on a voulu nous faire croire sont les musulmans et les citoyens européens.
La diabolisation des Arabes, n'a pas d'autre but que de justifier les crimes israéliens et les conflits que fomente l'Occident, qu'il nome "manifestation démocratique" ; "guerre de religion" ; "guerre ethnique" [...] sont des arguties pour permettre  le "vol des terres" en Palestine ; le "vol des matières premières" en Afrique ; à la " finance globalisante des escrocs fortunés de s'enrichir au détriment des populations, qu'ils rendront à plus ou moins long terme, à la condition d'esclave ".
La décadence de l'Europe, mais surtout des populations européennes n'a pas d'autre origine, que l'élection de ces escrocs, serviteur d'une idéologie avilissante à qui ils font la révérence... Quel bel exemple que celui de François Copé (un des principaux dirigeants sionistes en France) qui triche au sein d'un des principaux partis français pour en devenir "le chef" et qui persiste et signe a vouloir nous donner des leçons de honnête et du patriotisme. Et ce ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius (juif ce qui ne regarde que lui) qui œuvre ouvertement pour Israël, ce qui nous concerne, au prétexte humanitaire de qualifier une guerre civile de : "manifestation pacifique" en Syrie.


Information Clearing House

En fait, l'Observatoire syrien pour les droits de l'homme a longtemps été dénoncé comme front de la propagande absurde dirigé par Rami Abdul Rahman de sa maison de campagne en Angleterre. Selon un article de Reuters Décembre 2011 intitulé: «Coventry constitue un lieu improbable pour un militant syrien de premier plan», Abdul Rahman admet qu'il est un membre de la soi-disant «opposition syrienne» et vise le renversement du président syrien Bachar Al Assad:
Après trois brefs séjours dans une prison en Syrie pour l'activisme anti-gouvernemental, Abdul Rahman est arrivé en Grande-Bretagne en 2000, craignant un quatrième séjour en prison. «Je suis arrivé en Grande-Bretagne le jour de la mort de Hafez al-Assad, et je reviendrais quand Bachar al-Assad s'en aille", a déclaré Abdul Rahman, se référant à son père et prédécesseur, Hafez de Bachar, un autre autocrate.

On ne pouvait pas imaginer une source plus volatile, compromise et partielle quand à l'information mais malgré tout au cours des deux dernières années, son «Observatoire» était la seule source d'information du flot ininterrompu de propagande émanant des médias occidentaux. Sans doute le pire de tout a été que les Nations Unies utilisaient cette source de propagande compromise come base de ses divers rapports, du moins c'est ce qu'affirme maintenant le New York Times dans un article récent: "A Very Busy Man Behind the Syrian Civil War’s Casualty Count" [Un homme très occupé derrière le décompte des morts de la guerre civile syrienne].

L'article du NYT admet:
A Washington, les analystes militaires suivent ses décomptes de victimes des soldats syriens et rebelles syriens pour évaluer le développement de la guerre. L'Organisation des Nations Unies et les organisations des droits humains examinent soigneusement ses descriptions de morts de civils cherchant des preuves pour d'éventuels procès pour crimes de guerre. Les principaux organes de presse, y compris celui-ci, citent ses chiffres en baisse.
Cependant, en dépit de son rôle central dans la brutale guerre civile, l'Observatoire syrien pour les droits de l'homme est pratiquement un "homme orchestre". Son fondateur, Rami Abdul Rahman, 42 ans, qui a fui la Syrie il ya 13 ans, travaille dans une maison de brique rouge dans une rue résidentielle commune et courante dans cette ville industrielle [Coventry, en Angleterre].

Le New York Times révèle également pour la première fois que l'opération d'Abdul Rahman est en fait financée par l'Union européenne et un pays «européen» qui refuse de s'identifier:
Qui peut encore douter que se pays européen soit la France et son Ministre des Affaires étrangère M Laurent Fabius. Que M Fabius soit juif cela ne regarde que lui, que par son intermédiaire des fausses - au mieux exagérées - manipulent les populations parce que cela arrange la politique israélienne, cela nous regarde. Et là, il est responsable et coupable. La France, mais aussi toute démocratie, n'a pas besoin de ces escrocs qui par intérêt communautariste n'hésitent à trahir le peuple qui lui à fait confiance.
Les profits de deux magasins de vêtements couvrent les besoins de base pour informer sur le conflit, ajoutés aux petites subventions de l'Union européenne et un pays européen qui refuse d'identifier.
Et tandis qu'Abdul Rahman refuse d'identifier ce "pays européen" aucun doute que c'est le Royaume-Uni lui-même, puisque Abdul Rahman a un accès direct au secrétariat du Foreign Office, William Hague, avec lequel il s'est entretenu personnellement en de multiples occasions dans le bureau Foreign and Commonwealth Office à Londres.
En fait, le New York Times révèle que c'est le gouvernement britannique qui a placé Abdul Rahman à Coventry, en Angleterre, après sa fuite de Syrie depuis plus d'une décennie pour ses activités anti-gouvernementales:
Lorsque deux de ses associés ont été arrêtés en 2000, a fui le pays, payant un passeur pour l'emmener en Angleterre illégalement. Le gouvernement l'à placé à Coventry, où il a décidé qu'il y aimait la tranquillité.

Abdul Rahman n'est pas un «militant des droits de l'homme". C'est un propagandiste rémunéré. Il n'est pas différent de la bande de menteurs désagréables, têtus et traîtres qui ont trouvé refuge à Washington et à Londres au cours de la guerre d'Irak et du dernier abus occidental en Libye, dans le seul but d'alimenter les gouvernements occidentaux dans un constant vacarme de propagande et de rapports de renseignement intentionnellement falsifiés, faits spécifiquement pour justifier les intentions hégémoniques de l'Occident.

Les contemporains d'Abdul Rahman le comparent au tristement célèbre  déserteur irakien   le transfuge irakien l'infâme Rafid al-Janabi, alias “Curveball”, qui se vante désormais publiquement d'avoir inventé les accusations des armes de destruction massive, le casus belli de l'Occident pour une guerre de 10 ans qui a finalement a coûté plus d'un million de vies, y compris des milliers de soldats occidentaux, qui a quitté l'Irak en ruine jusqu'à aujourd'hui. Il y a aussi le moins connu Dr Sliman Bouchuiguir de Libye, qui a fondé l'arnaque des droits de l'homme pro-occidentaux de Benghazi et maintenant se vante ouvertement que les récits des atrocités du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi contre le peuple libyen ont été inventés pour donner l'OTAN l'argument pour intervenir militairement.

Contrairement à l'Irak et la Libye, l'Occident a lamentablement échoué dans la tentative de promouvoir une intervention militaire en Syrie, et même leur manigances secrètes ont été percées à jour et commencent à se dénouer à mesure que le public comprend de mieux en mieux que les soi-disant «rebelles pro-démocratie" que l'Occident a armé durant des années sont en fait des extrémistes sectaires combattant sous la bannière d'Al-Qaïda. Le canular que représente l'«Observatoire syrien pour les droits de l'homme» est également découvert. Il est peu probable que le rapport limité dans le New York Times convaincre les lecteurs que Rami Abdul Rahman n'est autre chose qu'un «Curveball» qui aide les élites politiques, patronales et financières de Wall Street et Londres pour convaincre l'opinion publique mondiale de la nécessité d'une autre quelque guerre inutile.
Je crois sincèrement que cet Occident, ses dirigeants, ses élites sont des êtres sans scrupules à la cupidité incommensurable remarquables par leur hypocrisie. Ce sont des poltrons sans caractère qui pour survivre doivent faire la "courbette" et présentent leur croupe aux israéliens ou à ses ramifications incrustés dans nos États, qu'ils phagocytent à volonté. En France le C.R.I.F. et les associations créées ad hoc.    






















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