dimanche 21 avril 2013

Shlomo Sand - Le contôle des oppositions




"Post" d'une incommensurable importance qui fait "la preuve par neuf" de l'influence méphistophélique du sionisme et ses ramifications, qui s'étendent bien au-delà de la Palestine, qui influence notre vie et influencera celle de nos descendants.
Il faut, nous n'avons pas d'autre solution que de renverser la classe politique actuelle pour la remplacer par des êtres justes qui placent l'honnête au premier rang des qualités nécessaires à un futur dirigeant politique. La classe politique actuelle est à jeter au rebut, ils sont corrompus, nous mentent, nous exploitent, ce sont des êtres mineurs que aucune bassesse répugne, nous ne devons plus accepter leur nuisance. 

 
Le contrôle de l'opposition, de Goldstein a Soros (caricaturiste libanais) et au-delà

gilad.co

Dans son dernier livre,  The Invention of the Land of Israël  (l'invention de la terre d'Israël), l'érudit israélien Shlomo Sand parvient à produire des preuves concluantes de l'invraisemblance du récit historique sioniste: que l'exil juif est un mythe comme c'est le peuple juif et même la terre d'Israël.

Toutefois, Shlomo Sand et beaucoup d'autres n'abordent pas la question la plus importante: si le sionisme est basé sur le mythe, comment les sionistes gèrent un mode de vie avec ses mensonges et depuis si longtemps?
Si le "retour à la maison" pour les Juifs et la demande d'un foyer juif ne peut pas être justifiée historiquement, pourquoi a été soutenue à la fois par les juifs et l'Occident depuis si longtemps ? Comment s'arrange l'Etat juif depuis si longtemps pour célébrer  son idéologie raciste  et expansionniste au détriment des peuples palestinien et arabe?



Une réponse est, évidemment, le pouvoir juif.
  • Mais quelle est la puissance juive ?
  • Pouvons-nous poser cette question sans être taxé d'antisémite ?
  • Pouvons-nous discuter de la signification et examiner sa politique ?
  • Le pouvoir juif est-il un pouvoir occulte, géré et gouverné par un pouvoir conspiratif ?
  • Est-ce quelque chose que les Juifs eux-mêmes fuient ? Bien au contraire, le pouvoir juif, dans la plupart des cas, se développe sous nos yeux.
  • Comme nous le savons, l'AIPAC est loin d'être une organisation silencieuse avec leur agenda, ses pratiques ou ses réalisations.
  • L'AIPAC aux USA, CFI au Royaume-Uni et le CRIF en France, fonctionnent aussi au vu et au su de tous et se vantent ouvertement de leur succès. (*)

Mais par ailleurs, nous sommes habitués à voir nos dirigeants démocratiquement élus faisant la queue et sans vergogne  s'agenouiller devant leurs maîtres économiques. Les néoconservateurs, apparemment ne semblent pas ressentir le besoin d'occulter les liens étroits qui les unissent aux sionistes. La Ligue Anti-Diffamation (ADL), présidé par Abe Foxman, qui travaille ouvertement à la judaïsation du discours occidental, de poursuivre et de harceler toute personne qui ose exprimer toute critique d'Israël ou même de l'éligibilité du peuple juif. Et bien sûr, la même chose s'applique pour les médias, La finance, la banque et de Hollywood. Nous connaissons beaucoup de juifs puissants qui n'ont pas la moindre honte de leur relation avec Israël, de son compromis avec la sécurité d'Israël, l'idéologie sioniste, la primauté de la souffrance juive, l'expansionnisme israélien et même l'insolent caractère de l'exceptionnalisme juif.

Mais, étant omniprésents comme le sont, AIPAC, CFI, l'ADL, Bernie Madoff, le «libérateur» Bernard Henri-Lévy, le défenseur de guerres David Aaronovitch, le prophète du libre marché Milton Friedman, Steven Spielberg, Haim Saban, Lord Levy, de nombreux enthousiastes partisans sionistes et défenseurs de Hasbara (propagande sioniste, N. T.), ne sont pas nécessairement l'âme ou la force motrice derrière le pouvoir juif, mais ils sont symptomatiques. Le pouvoir juif est en réalité beaucoup plus complexe qu'une simple liste de groupes de pression juifs ou des individus qui développent des compétences hautement manipulatrices. Le pouvoir juif est la capacité unique pour que nous cessions de discuter ou même contempler la puissance juive. C'est la capacité de déterminer les limites du discours politique et la critique en particulier.

Contrairement à la croyance populaire, ce n'est pas la «droite sioniste» qui facilite la puissance juive. Ils sont en fait «bon», le pouvoir juif «éclairé» et «progressiste» qui font de la puissance juive le pouvoir le plus efficace et convainquant de la terre. Sont les «progressistes» qui confondent notre capacité à identifier les politiques tribales judéo-centriques esquissés dans le cœur du néo-conservatisme, dans l'impérialisme américain contemporain et dans la politique étrangère. C'est ce qu'on appelle «anti» sioniste qui fait tout son possible pour détourner notre attention du fait qu'Israël se définit comme l'Etat juif et nous aveugle sur le fait que leurs chars sont décorés de symboles juifs. Ce sont des intellectuels juifs de gauche qui s'empressèrent de dénoncer les professeurs ont été laissés qui ont été prompts à dénoncer les professeurs Mersheimer et Walt, a Jeff Blankfort et l'œuvre  de James Petras devant le lobby juif. Et ce n'est pas un secret que, Occupy AIPAC, la campagne contre le lobby  politique le plus dangereux aux États-Unis, est dominée par quelques membres corrects de la tribu élue. Nous devons faire face au fait que nos voix dissidentes sont loin d'être libres. Bien au contraire, nous nous trouvons  devant un cas institutionnel de contrôle de l'opposition.

En 1984 par George Orwell (*), peut-être Emmanuel Goldstein est le personnage central. Le Goldstein dans Orwell est un Juif révolutionnaire, une Leon Trotsky de friction représentant comme le chef d'une mystérieuse organisation anti-parti appelé "La Fraternité" et qui est également l'auteur de la plupart des textes révolutionnaire subversif (Théorie et pratique du collectivisme oligarchique). Goldstein est la «voix dissidente», celui qui réellement dit la vérité. Cependant, lorsque nous approfondissons le texte d'Orwell, on se rend compte que le parti d'O'Brien "Inner Circle" que Goldstein a été en réalité inventée par le Grand Frère  dans une tentative claire de contrôler l'opposition et les limites possibles de la dissidence.

Le récit personnel d'Orwell sur Guerre civile espagnole Hommage à la Catalogne, présageait clairement la création d'Emmanuel Goldstein. Se fut le témoignage d'Orwell sur la guerre d'Espagne, qu'une décennie plus tard se convertit en une compréhension profonde de la dissidence comme une forme d'opposition contrôlée. Ma conjecture est que, a  la fin de 1940, Orwell avait compris la profondeur de l'intolérance et les tendances tyranniques et complices qui sont au cœur de la «grande fraternité» de la politique et de la pratique sur la gauche.
Étonnamment, une tentative d'examiner notre opposition contemporaine contrôlé au sein de la gauche progressiste et révèle que loin d'être un conspirateur. Comme dans le cas du lobby juif, «l'opposition» tente tout juste de travestir ses intérêts tribaux ethnocentriques, son orientation spirituelle et idéologique de son l'affiliation.
C'est vrai, mais les gauches aujourd'hui participent intégralement à la déconstruction sociétale ; à la globalisation esclavagiste ; à la victoire du financier sur l'humain ; à la destruction de nos valeurs [...]. Ces gauches là, se laissent happer par le sionisme pour la sauvegarde d'intérêts idéologiques ou communautaristes, tel que le font les droites les plus extrêmes, pour la sauvegarde de leurs intérêts économiques.

Un bref examen de la liste des organisations fondées par l'Open Society Institute (OSI) de George Soros, dresse un panorama bien sombre. Presque tout le réseau progressiste américain est financé, en partie ou en grande partie, par un sioniste libéral, le milliardaire philanthropique qui soutient très bien des causes importantes qui le sont aussi pour les Juifs. Et, tel que pratiqué par le fervent sioniste Haim Saban, Soros ne fonctionne pas dans la clandestinité. Sa Open Society Institute offre fièrement toutes les informations nécessaires concernant les grandes quantités de shekels (monnaie israélienne, N. T.) qui déborde de bonnes et importantes causes.  Dont l'une d'entre-elles est le financement des conférences utilisant des anciens présidents, comme Bill Clinton, G.W. Bush, Tony Blair, José-Maria Aznar [...] pour services rendus.    

Donc, on ne peut pas accuser Soros ou l'Open Society Institute d'aucune sinistre investigation du discours politique qui étouffe la liberté d'expression, voire de «contrôler l'opposition». Tout ce que Soros fait, c'est soutenir une grande variété de «causes humanitaires»: les droits humains, les droits des femmes, droits des homosexuels, l'égalité, la démocratie, le «printemps arabe», l'hiver arabe, les opprimés, les oppresseurs, la tolérance, l'intolérance, la Palestine, Israël, anti-guerre, pro-guerre (seulement si vraiment nécessaire) et ainsi de suite.
C'est ainsi que les actions présentées comme un bien, l'intervention française au Mali par exemple, obéit à l'impérieuse nécessité de protéger la propagande sioniste qui voudrait que l'islam soit la religion de la terreur. La France en combattant les "islamistes" que les USA financent, contribue à cette propagande avec l'arrière pense que les islamistes poussées vers le Nord déstabiliseront à nouveau l'Algérie et ses réserves gazières.
Comme le Big Brother d'Orwell, qui encadre les limites de la dissidence par le biais du contrôle de l'opposition, Open Society de Soros détermine aussi, consciemment ou inconsciemment, les limites de la pensée critique. Cependant, contrairement à 1984, qui est la partie qui invente sa propre opposition et écrit des textes au sein de notre discours «progressiste», sont nos propres voix de la dissidence, volontairement et sciemment, ce qui compromet leurs principes.
Soros aurait pu lire Orwell, et croit clairement a son message, parce que de temps en temps, soutien des forces d'opposition. Par exemple, finance, le mouvement filosionista du mouvement J. Street, ainsi que des ONG palestiniennes. Et devinez quoi ? Elles ne consacrent jamais trop de temps aux bénéficiaires palestiniens, compromettent ses propres et précieux principes pour s'intégrer parfaitement dans le monde de son bienfaiteur.

La main visible.
«La main invisible» du marché est une métaphore inventée par Adam Smith pour décrire le comportement autorégulateur du marché. Dans la politique contemporaine, la «main visible» est une métaphore semblable qui décrit la tendance de l'autorégulation du bénéficiaire politique des fonds, afin d'intégrer pleinement dans leur agenda politique la vision du monde de son bienfaiteur.

Democracy Now, le plus important dissident américain n'a jamais discuté du lobby juif avec Mearsheimer, Walt, Petras, Blankfort, les quatre experts qui aurait pu informer le peuple américain de la domination juive dans la politique étrangère américaine, qu'exerce ce lobby. Pour les mêmes raisons, Democracy Now n'explore pas l'agenda judéo centrique des néoconservateurs, ni parlerait honnêtement de politique identitaire juive avec votre serviteur. Democracy Now peut accueillir Noam Chomsky ou Norman Finkelstein, inclus il peut même laisser Finkelstein faire un commentaire sarcastique sur un dessin animé sioniste d'Alan Dershowitz, très bon, mais insuffisant.
Est-ce que le fait que Democracy Now soit fortement financé par Soros est-il pertinent ? Je vous laisse juger.

Nous pourrions avoir à faire face au fait que le discours progressiste opère effectivement comme un long bras d'Israël et que certainement agit comme un gardien protecteur du sionisme juif et intérêts tribaux. Si Israël et ses partisans s'affrontassent quelque fois à une opposition réelle, pourrait avoir lieu et largement attendue une autoréflexion. Mais pour le moment Israël où les lobbys pro israéliens ne rencontrent qu'une résistance progressiste insipides, dilué, qui enquête superficiellement et qui, en pratique, maintien l'occupation israélienne, l'oppression et une litanie de violations des droits de l'homme. Au lieu d'une opposition massive a l'Etat juif et a son lobbying agressif, notre «résistance» est réduite à une chaîne d'actions insignifiantes, de dépenses pour des robes, keffieh, des mini-affiches,  participant à des réunions avec la rage occasionnelle d'une  juive névrosé, filmé par un autre bon Juif. Si quelqu'un pense que quelques badges, beaucoup de vidéos montées sur Youtube, célébrant la justice juive mèneront a un mouvement mondial anti-israélien, il est naïf ou stupide.
C'est vrai, mais prendre conscience de la nuisance du sionisme, est une obligation pour qu'a plus ou moins long terme on y puise mettre fin. Et plus cette nuisance sera puissante et généralisée  plus dure sera la chute. Il n'y là aucune prédiction, c'est une loi de la nature.

En fait, un récent sondage Gallup a révélé qu'à l'heure actuelle la sympathie des Américains à Israël a atteint son plus haut niveau historique. 64% des Américains sympathisent avec l'Etat juif, alors que seulement 12% considèrent les droits des Palestiniens. Ce n'est pas une surprise et notre conclusion doit être claire. En ce qui concerne la Palestine, l'idéologie et la pratique «progressiste» ne nous ont conduites précisément nulle part. Au lieu de promouvoir la cause palestinienne, pour situer le «bon» Juifs au centre du discours de solidarité.

À quand remonte la dernière fois qu'un combattant de la liberté palestinienne est apparu sur l'écran de votre téléviseur ? Il ya vingt ans, le Palestinien était destiné à devenir le nouveau Che Guevara. Certes, le combattant de la liberté palestinienne n'avait pas besoin de parler un anglais parfait et n'a pas été diplômé d'une école publique anglaise, mais il était libre, authentique et déterminé. Il ou elle a parlaient  de leurs terres confisquées et de leur volonté pour les récupérer. Mais maintenant, les Palestiniens sont «sauvés», il ou elle n'aura pas à se battre pour leur terres, le «progressiste» s'occupe de tout.
Shlomo Sand parle souvent de progressisme, que l'on assimile souvent au socialisme, or le socialisme n'a jamais œuvré, (je parle des dirigeants) pour la justice ou pour l'application du droit international en Palestine, bien au contraire. Je pense qu'il faudrait que Shlomo Sand parle de gens honnêtes attachés à la justice, la vrai, qui ne tient pas compte de données politiques. C'est peut être-là l'handicap des palestiniens.
Le Socialisme aujourd'hui plus que toute autre idéologie est partie prenante dans la déconstruction de nos sociétés prônée par Derrida où toutes les valeurs sociétales qui nous ont construits foutent le camp.       
Pour le discours progressiste juif, le but derrière le soutien pro-palestinien est clair. Il vise à offrir une impression de pluralisme au sein de la communauté juive. Il est là pour suggérer que tous les juifs ne sont pas des sionistes mauvais. Philip Weiss, fondateur du très populaire blog progressiste pro-palestinien, même assez courageux pour admettre devant moi que ce sont l'intérêt même des juifs qui sont au centre de l'activité pro-palestinienne. Avec milliardaires comme Soros soutenant le discours, la solidarité est désormais une industrie, préoccupée par les profits et le pouvoir plutôt que l'éthique ou les valeurs humaines et le spectacle tragi-comique où les Palestiniens deviennent un enjeu secondaire dans leur propre discours de la solidarité.
Alors, peut-être qu'avant de discuter de la «libération de la Palestine», nous devrions d'abord nous libérer de nous-mêmes.


Le livre plus récent de Gilad Atzmon est: The Wandering Who ? A Study of Jewish Identity Politics. Traduction: L'identité errante, Editorial Orient et Méditerrané 2012,

Source:
rCR

(*) Ce sont des organisations, qui sous la dénomination d'associations représentatives des Juifs, fonctionnent comme un État dans l’État. Et ont la faculté mais surtout les mayens de corrompre nos dirigeants, qui courent à leurs dîner de "charité" faire la révérence. Ces êtres cupides, déloyaux, hypocrites et amoraux que nous élisons. Car c'est une évidence, ces dirigeants, a soutenir de tels criminels, ont perdu toute morale. Ce sont des êtres répugnants moins par leur volonté de soutenir des malfrats que par le manque de caractère que leur cupidité, carriérisme, stupidité, poltronnerie, hypocrisie, déloyauté, duplicité [...], met en évidence.     
Si nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir, pour sauvegarder l'intégrité des Juifs, que le sionisme met en péril par l'instrumentalisation qu'il fait de l'antisémitisme, nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour annihiler sa funeste nuisance.
Autrement dit : Défendre les Palestiniens, défendre l'idée d'une paix juste basé sur la droit international, défendre un concept de vie en commun où les sioniste n'y auraient pas de place, n'est pas seulement un acte humanitaire envers les Palestiniens ou les Juifs de bonne volonté, rescapés ou non des camps de la mort, c'est aussi pour sauvegarder l'avenir de nos petits-enfants et nos arrières petits-enfants. C'est une évidence, après la "Terre promise" où les Palestiniens n'y ont pas leur place, viendra le "Peuple élu" où nos descendants serviront de "chair-à-canon" (esclaves) à cette caste supranationale qui ne tient pas compte de l'Ethnie ni de la religion et si le Nouvel Ordre Mondial (MON) du groupe "Bilderberg" en est la "clé de voute" le sionisme en est la "pierre angulaire" qui relie les intérêts du N.O.M.

(*) George Orwell, de son vrai nom Eric Arthur Blair, est un écrivain anglais né le 25 juin 1903 à Motihari (Inde britannique, aujourd'hui en Inde) et mort le 21 janvier 1950 à Londres.
Son œuvre porte la marque de ses engagements, qui trouvent eux-mêmes pour une large part leur source dans l'expérience personnelle de l'auteur : contre l'impérialisme britannique, après son engagement de jeunesse comme représentant des forces de l'ordre colonial en Birmanie ; pour la justice sociale et le socialisme, après avoir observé et partagé les conditions d'existence des classes laborieuses à Londres et à Paris ; contre les totalitarismes nazi et soviétique, après sa participation à la guerre d'Espagne.
Témoin de son époque, Orwell est dans les années 1930 et 1940 chroniqueur, critique littéraire et romancier. De cette production variée, les deux œuvres au succès le plus durable sont deux textes publiés après la Seconde Guerre mondiale : La Ferme des animaux et surtout 1984, roman dans lequel il crée le concept de Big Brother, depuis passé dans le langage courant de la critique des techniques modernes de surveillance. L'adjec

Un exemple de la stupidité de notre monde. Ce dimanche 21 avril 2013, un média diffuse son émission sur le sport automobile et la course de formule 1 qui se court au Bahreïn. Jusque-là rien d'anormal.
Mais là où notre stupidité éclate au grand jour, même qu'il faille admettre que les journalistes sportifs ne soient pas les reporters les plus sensibilisés aux droits de l'homme. Cependant une question est posé aux auditeurs, les appelant à un débat : " Pensez-vous qu'il faille maintenir un Grand-prix automobile dans un pays anti démocratique ? ". Bien qu'habitué aux journalistes de brocante - vu qu'en France les journalistes de légende sont rares - je suis toujours étonné de les entendre formuler des questions en accord avec les droits humains et là c'est le Bahreïn mais ils (les médias) dénoncent les pays qui sont en opposition avec la politique occidentale, mais jamais au grand jamais, il dénonceraient les manquements au droits humains ou les politiques terroristes des pays de la sphère occidentale comme par exemple Israël, qui défie tous ces voisins et qui n'a jamais, pas une seule fois dans sa courte histoire (62 ans), respecté les droit de l'homme, les résolutions de l'ONU, le Droit international ou le peuple qui l'a accueilli.
A ces moments là je me dis :
"Sommes nous aussi stupides que ça, est-il possible qu'il y ait sur terre des êtres à l'état de conscience d'un pissenlit, que leur inintelligence les amène à être des criminels par procuration ?" Car c'est une évidence s'il faut dénoncer le Bahreïn et tous les pays antidémocratiques il faut y inclure le premier d'entre eux Israël, qui n'impose sa dictature à son peuple mais qui détruit la société qui, l'avait accueilli.  Et comme le dit Hajo Mayer - rescapé d'Auschwitz : "Israël est une démocratie pour les Juifs et une dictature pour les autres et en particulier pour les Palestiniens." Faut-il encore avoir l'intelligence suffisante pour l'admettre...


   


              Criminels de guerre                 













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