lundi 28 octobre 2013

Autre Prix Nobel de la Paix ou une autre farce ?



Ce "post" est d'importance capitale pour comprendre le mode d'emploi d'un Occident, manipulateur, cupide, va-t-en-guerre [...]. C'est un Occident qui utilise la Technique et la manipulation pour soumettre les peuples et les nations, non seulement, qui risquent de s'opposer a ses intérêts mais surtout qui n'ont pas la même philosophie de vie.
Si nous prenons l'exemple  de la Syrie, l'Occident veut détruire son arsenal chimique, sans que les inspections aient fait la preuve de sa culpabilité, mais en Occident des pays y compris Israël possèdent des armes chimiques...
Cet Occident, pour ânes bâtés, s’élève contre les gouvernants islamistes les accusant de vouloir imposer la "charria" à leur peuple, mais l'Occident se tait face à l'Arabie Saoudite, -par exemple- qui pratique la "charria" la plus dure. Dans les faits, à moins d'être un imbécile, nous voyons bien que cet Occident s'en prend aux pays qui n’agréent pas sa politique, cet Occident défenseur, souteneur, -au sens le plus bas du terme- de l’état illégal qu'est Israël.

Autrement dit: un mande sans cet Occident, serait un monde où les différentes cultures pourraient éventuellement coexister, loin de sa rapacité.

Global Research
22-10-2013

Le Prix Nobel de la paix nous apporte-t-il une autre surprise ou une autre farce? Tout dépend du point de vue de chacun.

Dans l'histoire relativement récente il y a eu Henry Kissinger (1973), architecte suprême  des attaques assassines contre des nations souveraines ou les Nations Unies (2001), avec son activisme belliciste et ses holocaustes passifs et silencieux (pensez aux embargos de l'ONU). C'est lui qui a façonné la politique sioniste des ces années où il était responsable de la politique Etrangère des USA au Moyen-Orient. Et permis à Israël de devenir un Etat "légal" y compris contre les fondements même, des Droits de l'Homme, et du Droit International.
Comment les hommes peuvent-ils être aussi naïfs et confier à un homme qui, par son appartenance au sionisme, est juge et partie de l'action qui devait mener Juifs et Palestiniens, à la réconciliation ? Il est évident, que même pour un homme honnête, il y avait conflit d'intérêt. Et il faut s'appeler Henry Kissinger, c'est à dire que: comme un  escroc, porter tort  aux populations qu'il devait considérer avec justice et loyauté. [Dire qu'il y avait un complot juif est excessif, mais affirmer qu'il y a un complot sioniste contre la Palestine soutenue -principalement après la Deuxième guerre mondiale et l'Holocauste-  par une majorité de Juifs et de tous ceux qui pensent bénéficier de leur influence, est tout à fait judicieux..., comprenons, aussi, que cela se réalise également à notre propre détriment.]

En 2002, ce fut Jimmy Carter, dont sa toxique "Doctrine Carter» de 1980 qui incluyait la déclaration de l'objectif de contrôle par les USA du Golfe Persique comme un «intérêt vital américain" justifiée "par tous les moyens nécessaires". En 2005, le prix a été décerné à l'Agence internationale de l'énergie atomique [AIEA], qui fait la promotion de l'énergie nucléaire, créant les polluants les plus meurtriers de la planète. Les déchets nucléaires de l'industrie promue par l'AIEA sont convertis maintenant en déchets "classiques", mais pas moins nucléaires et chimiques moyennant la tromperie qui saute aux yeux d'étonnantes proportions historiques.

Barack Obama (2009) qui s'est révélé à postériori un bourreau, au moyen d'assassinat sur toutes ses formes, à tout moment, quelque fut le lieu, quelque fut l'endroit, quelque soit sa considération (et non par un juge ou un jury) imposant désormais le mot joker " terrorisme " à la moitié du monde.
Le camp de concentration de Guantanamo dont la fermeture avait été clairement promise par Obama (en 60 Minutes du 17 Novembre, 2008), déclarait:
  • "Je l'ai dit à plusieurs reprises que je vais fermer Guantanamo et je m'y conformerai. Je l'ai dit à plusieurs reprises que les Etats-Unis ne pratiquent pas la torture. Et je vais m'assurer que nous ne torturons pas... cela fait partie intégrante d'un effort pour retrouver la stature morale des USA dans le monde".
Le goulag de Guantanamo poursuit avec ses prisonniers, pathétique, désespérés, non jugés, ou ceux dont la libération a été ordonnée, et qui se languissent année après année. La « stature morale " US est tombé plus bas que dans les années Nixon. La Libye est en ruine, la Syrie survit à peine avec les sponsors terroristes aidés par la myriade de portes arrières de Washington, et dans des bases étrangères globales prospère la torture incité ou soutenue par les États-Unis
Evidement ces mensonges, ces crimes nous sont présentés comme un bien par les médias aux "ordres". Je disais médias mais aussi tous ces dirigeants cupides et parvenus qui pour un peu d'aisance maltraitent la Nation et les populations dont ils ont la charge, trahissant la confiance de ceux qui les ont élus. En une phrase: ce sont des hommes indignes.
C'est le problème du terrorisme, de la Palestine, mais aussi très largement celui de nos sociétés où les populations perdent leur acquis les uns après les autres sous des arguments apocryphes au bénéfice de ces êtres indignes.  

L'Union européenne, primée avec le prix Nobel de 2012, qui depuis sa création a gâté les économies commerciales plus petites, a établi des barrières, conditions irréalisables, qui peuvent être, presque, qualifiées d'extorsions commerciales avec les pays les plus pauvres (souvent d'anciennes colonies).
Les États membres de l'UE ont également imposé des embargos punitives nations sans défense ont soutenu avec enthousiasme la nation dernier objectif est réduit à une ère préindustrielle (correction: est libéré pour accueillir la démocratie et l'Etat de despotes se complaît impôts, ou une longue, meurtrière, l'occupation étrangère irresponsable et d'appropriation des ressources.) l'éminent expert en droit international le professeur Francis Boyle, a décrit le Prix européen de "une plaisanterie malade et un fou de la fraude".

L'Union européenne, primée avec le prix Nobel 2012, qui depuis sa création a détruit tant d'économies plus petites, a mis en place des barrières et des conditions irréalisables, ou bien, des quasi extorsions commerciales avec les pays les plus pauvres (souvent d'anciennes colonies).
Les États membres de l'UE ont également imposé des embargos punitifs aux nations sans défense militaire et ont soutenu avec enthousiasme, que ces nations objectifs soient réduites à une ère préindustrielle (correction: que ces nations soient libérés pour accueillir la démocratie et les délices d'un gouvernement se complaisant dans les impositions despotiques et une longue, et très souvent meurtrière, occupation étrangère s'appropriant les ressources naturelles du pays.) l'éminent expert en droit international le professeur Francis Boyle, a qualifié le Prix décerné à l' Europe de: "une plaisanterie malade et de fraude démentielle".

Le prix de la paix a été décerné cette année, le vendredi 11 Octobre, à l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), l'organisation basée aux Pays-Bas, fondée seulement en 1997, inconnue de la plupart, ayant la responsabilité de débarrasser le monde d'armes chimiques.
L'OIAC a reçu le prix quelques jours après l'arrivée de son équipe en Syrie pour éliminer arsenal d'armes chimiques du pays. Une brève visite en Août qui a mis fin à la lâcheté jusque-là elle avait preuve. En effet, le président Assad avait sollicité leur intervention en Mars, après qu'il a été affirmé que les factions terroristes avaient utilisé des armes chimiques, les insurgés que nous croyons syriens, viennent d'environ 83 pays, soutenus principalement par les Etats-Unis, le Royaume-Uni, le Qatar et Arabie saoudite.
Le retour de l'OIAC, le premier octobre, se vante maintenant d'une réalisation face à un régime intransigeant qui l'avait précédemment toujours bloqué -régime qui avait pourtant ouvert la porte en Mars- une équipe présentée maintenant comme une âme courageuse travaillant dans une zone de guerre, dans une insurrection qui baigné dans le sang par cette fameuse «communauté internationale».

Est-ce que cela justifie le prix Nobel à un organisme qui, malgré les dangers pour l'ensemble de la population, a accepté de détruire 1.000 tonnes de produits chimiques extrêmement dangereux (si nous croyons ce qui avait été dit) en quelques mois?
Dans ce contexte, les États-Unis possède encore le triple d'armes chimiques (estimé à plus de 3.100 tonnes) et a contesté la période spécifiée d'avril 2012 pour l'élimination, sur la base que les dangers sont si grands qu'il ne peut pas terminer la construction d'installations appropriées avants 2020 (certains rapports parlent de 2023). Pour les mêmes raisons de sécurité et des obstacles techniques, on croit que la Russie devrait détruire cinq fois la quantité des États-Unis (1). Les honteux doubles standards dominent toujours.
Là, nous sommes de nouveaux face aux manipulations exercées par les nations les mieux armées, mais aussi, face à des manipulations que l'on peut qualifier de méprisables. Comment peut-on exiger d'un autre pays ce que l'on refuse de faire soi-même? L'Amérique, c'est un secret de polichinelle, est assujettie aux lobbys, qui aidés par les néoconservateurs (neocons) [groupe d'hommes politiques américains cherchant à régler les problèmes de ce monde par la manière forte] favorisent et absolvent les crimes des gouvernements israéliens.] La bouclée est boucle.
Wade Mathews, qui a travaillé sur le dossier de la destruction de l'arsenal chimique américain, n'est pas sûr que la Syrie puisse respecter l'échéance. Il souligne que l'élimination de ces armes a couté à l'Amérique des milliards de dollars, la coopération des différents niveaux de gouvernement, y compris l'armée et un environnement sécurisé, afin de s'assurer que la destruction a été exécutée en toute sécurité. (Voir 1)
Naturellement, tous les bellicistes imbéciles de la planète vont se ruer sur la Syrie, parce que cet Etat n'aura pas pu respecter les engagements qu'on lui a imposés. 
Pour un observateur, il peut sembler que l'OIAC s'est chargé d'une entreprise de haut niveau, de manière précipité, imprudente, sous la pression américaine et l'ONU, qui pourrait prendre le risque d'empoisonner les gens et l'environnement de la Syrie à une plus grande échelle que les supposées horreurs qui se sont déchainés, avec une sécurité quasi absolue, par les insurgés.
Alors, quelle est la raison éventuelle d'avoir décerné le prix Nobel à l'OIAC et pourquoi maintenant? Fait intéressant, le directeur général de l'OIAC, Ahmet Üzümcü, est Turc, ex-consul à Alep, en Syrie, ancien ambassadeur en Israël, ex-représentant permanent de la Turquie à l'OTAN et à l'ONU à Genève.
Mis à part le fait que le PDG Üzümcü a évidemment certains contacts internes remarquablement utiles, la Turquie, voisine de la Syrie, est le seul Etat membre de l'OTAN au Moyen-Orient (peu importe qu'il n'ait pas de connexion avec l'Atlantique Nord, puisqu'il se trouve entre la Méditerranée, la mer Egée, la mer Noire, la mer de Marmara, le Bosphore et les Dardanelles).
L'OTAN ne va pas rester les bras croisés lorsqu'il s'agit de la Syrie, ni l'Union européenne, que la Turquie, en dépit d'être le «porte de l'Orient» à laquelle appartient la majorité du pays, aspire à l'adhésion. Grande-Bretagne et la France sont, bien sûr, des membres de l'UE, unies avec la Turquie et son interférence en Syrie.

Il y a longtemps que l'OTAN recherche des points d'appui plus à l'est. Dans une lettre cité fréquemment dans ses colonnes, le 26 Juin 1969, le général Alexander Haig, retraité du poste de Commandant suprême allié de l'OTAN en Europe, a écrit au Secrétaire général Joseph Luns.
La mise au point des tactiques s'est réalisé dans un contexte de guerre froide, cependant la géographie régionale et l'habilité diplomatique du président Poutine et du ministre des Affaires étrangères Lavrov sur la crise syrienne font que les tactiques délimitées sont à nouveau très pertinentes, en particulier puisque l'on peut  dire que le président Obama et la secrétaire d'Etat Kerry ont été éclipsés diplomatiquement jusqu'à devenir presque hors de propos.

Les aspirations des États-Unis-UE-OTAN pour la route Bagdad-Damas qui mènerait à Téhéran (avec ou sans «percée» diplomatique) ne doit jamais être sous-estimé. Ni, d'ailleurs, comment il a été démontré depuis la chute du mur de Berlin en 1989, le désir d'encercler la Russie comme l'a confirmé la mise en place de bases US-OTAN à une vitesse surprenante et avec une égale audace (2).
On peut dire que la tactique de la lettre à l'OTAN sont aussi pertinentes pour les objectifs actuels que quand il a été écrit, même si les objectifs, les circonstances, le terrain (ou guerre planifiée) ont été élargies. L'avant-dernier paragraphe dit:
"Nous devrions toujours prendre en compte la nécessité de diriger continuellement attention la... menace et a activer d'avantage  notre collaboration avec les mass-médias.
«Si les arguments, la persuasion et l'impact des médias échoue, nous n'avons pas d'autre alternative que secouer dirigeants pusillanimes en Europe, moyennant la création de situations, pays après pays, tel que se considère nécessaire, pour les convaincre de l'endroit où sont leurs intérêts.
«Le plan des action auxquelles nous pensons peuvent se convertir dans le seul moyen sûr de garantir les intérêts de l'Occident».
Autrement dit: c'est la fuite en avant, nous devons faire la guerre assujettir les peuples pour espérer garantir nos intérêts. C'est-a-dire: la loi du plus fort. On ne peut continuer ainsi, si l'on veut vivre dans un monde apaisé. Il faudra un jour juger ces criminels qui nous dirigent, de leur vivant ou par contumace et exiger de leur descendance qu'ils payent pour leurs crimes...

Retournons au Prix Nobel de la Paix de 2013. Le norvégien Fredrik Heffermehl, avocat, écrivain, traducteur, ancien vice-président de l'Association internationale des juristes contre les armes nucléaires, parmi beaucoup d'autres charges internationales prestigieuses, a été depuis longtemps une épine clouée au sein du Comité Nobel, basée en Norvège (3).
Heffermehl a fait valoir dans son étude publiée : " Le Prix Nobel de la Paix. Que ce Nobel voulait vraiment ", le Parlement norvégien a détournée l'intention d'Alfred Nobel pour attribuer le Prix. Ses recherches ont révélé de nombreuses études académiques qui ont soutenu ses thèses. Le Parlement norvégien et le Comité Nobel l'on énergiquement refusé. Cependant, sa thèse a été publié et a été divulgué en chinois, suédois, finnois, russe..., et en Décembre 2011 a été soutenue par Michael Nobel, de l'Association des familles Nobel, qui soutiennent Heffermehl dans son affirmation selon laquelle le chemin actuel, les politiciens norvégiens pourraient perdre le contrôle du Prix de la Paix.
La Norvège est, en effet, dans la «famille» de l'OTAN. Fait intéressant, les critères de nomination au Prix Nobel de la Paix. Le site précise:
«Délais de propositions. Le Comité fonde son évaluation sur les propositions enregistrées avant le 1er Février de chaque année... Au cours des dernières années, le Comité a reçu près de 200 candidatures provenant de différents candidats pour le Prix Nobel de la Paix. Les quantités des lettres de candidatures est beaucoup plus élevé, car beaucoup sont pour les mêmes candidats. "
Qui, donc, s'est précipité lors de l'exercice précédent du 1 Février 2013, de proposer l'OIAC presque inconnue? Et il est concevable qu'il pourrait y avoir eu une certaine date d'ajustement (à Dieu ne plaise).
Eh bien, sauf si vous êtes très jeune, vous ne pouvez jamais savoir, il faudra attendre un certain temps:
«Les noms des candidats et d'autres renseignements sur les nominations ne peuvent pas être révélés pendant encore 50 ans", fait remarquer le site Nobel.
Il pourrait être intéressant de noter que les membres du Conseil exécutif de l'OIAC pour 2012-2013 comprennent des pays qui ont interféré plus qu'un peu dans les affaires de la Syrie, dont la France, le Royaume-Uni, Etats-Unis, le Qatar et l'Arabie saoudite. La Norvège a également siégé au conseil cette année.
Autrement dit; le Prix Nobel de la Paix est une imposture a destination des laissés pourcompte que nous sommes... (Matière négligeable indigne de réflexion).
Le Ministre des Affaires étrangères de Grande-Bretagne, Hugh Robertson, a envoyé ses félicitations enthousiastes à l'OPAC pour le prix et a ajouté:
"Le Royaume-Uni fournit une contribution initiale de 2 millions de livres sterling pour soutenir le travail de l'OIAC en Syrie, et nous sommes prêts à fournir plus d'aide" (4).
Robertson fait aussi l'éloge de l'OPAC, se référent à: "L'utilisation récente d'armes chimiques par le régime syrien...», une déclaration sans preuves et que l'on peut qualifier  encore de diffamatoire.
En effet, aucune preuve n'a été apporté, ni par l'OPAC, ni par la Commission de l'ONU, par plus que par la France ou les USA, ni par qui conque, de la culpabilité du régime syrien actuel.
C'est à dire, que depuis quelque temps déjà, les pays musulmans qui sont, soit, en guerre avec Israël ou qui refusent le dictat sioniste sont déstabilisés par l'Occident. Autrement dit: "lorsqu'un Etat, communauté ou groupe de personnes dénonce la politique hégémonique occidentale, dont, il faut le reconnaitre, bénéficie  à Israël, à tout a craindre de cet Occident.
Néanmoins, tel qu'a eu lieu le surprenant Prix Nobel de la paix n'a pas de sens. Cependant, il est intéressant de parier que d'ici cinquante ans, les historiens honnêtes vont secouer leurs têtes, avec le doute qui s'impose.
Autre prix Nobel, Autre farce.
Oh, au cas où vous ne le saviez pas: Monsanto et Syngenta, ont remporté, ce mois-ci,  le Prix mondial de l'alimentation, connu comme "le prix Nobel de l'agriculture» (5).
Or, nous sommes tous d'accord pour dire que Monsanto empoisonne le monde...!

Nous vivons des temps très étranges...

Notes

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire