Seuls les Etats-Unis et d'Israël votent en faveur du maintien.
188 pays ont demandé à l'ONU la levée du blocus américain
contre Cuba.
30-10-2013
L'Assemblée générale de l'ONU a voté mardi, une nouvelle fois,
l'appel pour la levée de l'embargo que les USA maintiennent sur le peuple de
Cuba.
Après un débat qui portait sur un projet de résolution qui
a souligné la nécessité de mettre fin à l'embargo économique, commercial et
financier imposé par les Etats-Unis à l'île depuis plus de 50 ans, 188 Etats
membres ont voté en faveur de cette initiative, tandis que deux (USA et Israël)
ont voté contre et trois (Iles Marshall, Micronésie et Palau) se sont abstenus.
L'Assemblée générale de l'Organisation des Nations Unies
(ONU) a voté mardi, une fois de plus, un appel demandant la levée du blocus que
les États-Unis (É.-U.) maintient sur le peuple et le Gouvernement de Cuba, depuis
plus d'un demi-siècle, une politique unilatérale rejeté par cette organisation
depuis 21 ans.
C'était un document similaire à ceux qui depuis 1992 a
reçu un large soutien de la communauté internationale, a fourni plus de 180
nations en charge pour les sept dernières années.
En outre, la 38e réunion plénière de l'Assemblée générale,
qui depuis 17 Septembre installé sa 68e session, sur l'ordre du jour est la
présentation d'un rapport par le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, le
blocus nord-américain.
Ce document contient des informations fournies par au
moins 150 pays, l'Union européenne, le Saint-Siège et diverses entités des
Nations Unies, visant à fixer leur position contre le blocus américain,
dénoncer son impact et préciser leur soutien au projet de résolution.
Pendant ce temps, La Havane a envoyé à l'agence un texte
qui contient, en détail, les effets du blocus par secteur et dénonce son
caractère extraterritorial et sa résurgence en matière financière par
l'actuelle administration américaine.
Le projet doit être examiné par l'Assemblée qui rappelle les
principes de "souveraineté et de
l'égalité des Etats, la liberté du commerce et de la navigation et de la
non-ingérence dans les affaires intérieures", pour, sur cette base,
exigeant la levée des sanctions de Washington.
Il ya quelques semaines, plus de 40 présidents, premiers
ministres et ministres des Affaires étrangères des cinq continents ont demandé
lors du débat général de la session 68 de l'Assemblée du blocus, le forum a
reçu le label de "génocide, illégal
et héritage de la guerre froide".
L'administration Obama a intensifié le blocus.
Il y a de quoi se poser des questions sur les "réels
gouverneurs" des USA. Obama à tenté d'instaurer un nouvel ordre mondial
plus humain -discours du Caire-. Quelles sont les pressions exercées sur les
dirigeants américains, pour qu'ils renient leurs convictions aussi rapidement ?
Réfléchissez, la réponse est aisée. Il y a dans ce monde un "Etat"
illégal qui ne reculera devant aucune bassesse pour maintenir son influence.
Influence dont nous serons, à plus ou moins longue échéance, tous
victimes.
Le ministre des Affaires étrangères de Cuba Bruno
Rodriguez a déclaré que sous la présidence de Barack Obama le blocus financier sur
l'île des Caraïbes à été «intensifié». Il a noté que le président américain à généré
une nouvelle "dynamique" pour changer de façon permanente la réalité
de ce pays, lors de son discours devant l'Organisation des Nations Unies (ONU).
Le ministre des Affaires étrangères de Cuba a déclaré que le
président Barack Obama a est à l'origine de l'intensification du blocus
financier contre l'île et ses habitants. Il a affirmé que les opérations
monétaires de Cuba sont étroitement surveillées par le "énorme système
d'espionnage global" des Etats-Unis. Espionnage dénoncée par les
différents pays.
Quels sont les bénéfices de cette politique vieille et
éthiquement inacceptable qui n'a pas fonctionné ces 50 dernières années? S'est
demandé Rodriguez dans son discours à New York après avoir rappelé au Président
américain qu'il a été élu "pour le changement".
Il a assuré que malgré les obstacles, le gouvernement de
Raul Castro est "engagé" pour continuer à avancer dans un «processus
de transformation économique, dans le but de rendre plus efficace notre
économie socialiste».
Le ministre des affaires étrangères de Cuba a expliqué que
le blocus de ce pays affecte l'ensemble de la population. Il s'est référé à des
patients d'un centre de cardiologie qui ne peuvent pas être pris en charge avec
la plus haute technologie parce que l'administration Obama le considère comme
"hôpital refusé".
Bruno Rodriguez a raconté que y compris les athlètes cubains
sont gravement affectés par le blocus est à l'origine de pertes économiques
s'élevant à "un billion 157 milliards de dollars."
Il est
nécessaire que les populations nord-américaines, prennent conscience du
despotisme de leurs dirigeants contre les populations du monde. Ici c'est Cuba,
mais il n'est pas nécessaire de rappeler la nuisance de la politique Américaine
à travers le monde. C'est une hégémonie qui n'amène à la guerre, au conflit
entre les peuples, quel plus bel exemple que la Palestine où les USA -quelque
fusse la raison et être la nation la mieux armée, ne pourrait le justifier-
jeté un peuple souverain dans les oubliettes de l'histoire, pour assouvir
l'ambition de ses dirigeants qui se laissent acheter par un lobby, certes
influent. Influent, c'est vrai, mais uniquement par la faiblesse d'êtres
cupides, Américains, c'est vrai, mais aussi Européens.
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