lundi 13 octobre 2014

Les États-Unis sont une pire menace que l'Etat islamique, disent les étudiants de Harvard




Argenpress
13-10-2014

Voila que le bel édifice de la démocratie occidentale commence à s'effriter, les USA et les chevaliers d' "eon" européens vont devoir, leur belle queue entre les jambes, faire leur mea-culpa. Et j'espère que les dindons de cette farce seront ces êtres répugnants qui martyrisent un peuple, parce qu'il gêne leurs desseins.      

Les étudiants de l'Université américaine de Harvard considèrent que les États-Unis constituent une plus grande menace pour la paix internationale que l'État islamique (AI) a révélé aujourd'hui une étude du site Digital Campus Reform.

«À bien des égards, je pense que le principal danger est mon pays, car il est celui qui prend les décisions qui affectent le monde et qui provoquent des actions destructrices", a déclaré une jeune femme dans un entretien avec les réalisateurs de l'enquête.

Le journaliste qui a mené l'enquête a filmé les réactions des jeunes et placé sur YouTube.
"Dans le cadre de la civilisation occidentale nous sommes les coupables  de la plupart des problèmes auxquels nous sommes confrontés aujourd'hui et dans ce cas, la majorité des Américains ont une vision déformée des djihadistes", a déclaré un autre étudiant.

La Maison Blanche a lancé des frappes aériennes contre des onjextifs EI en Irak, le 8 Août et après a élargi les opérations contre les fondamentalistes en Syrie a partir du 23 Septembre, contre la volonté du gouvernement de Damas.

Un article du New York Times a mis en garde aujourd'hui que la campagne contre les extrémistes islamiques en Syrie peut devenir un nouveau Vietnam pour les USA, comme il y a 50 ans, après que le président Lyndon B. Johnson a autorisé une opération aérienne stratégique contre le Vietnam Nord.
Cette escalade du conflit a été rapidement suivie par le déploiement de troupes au sol et a conduit Johnson à une longue lutte qui s'est terminée par une défaite amère, a conclu le Times.


Argenpress
13-10-2014

Voila que le bel édifice de la démocratie occidentale commence à s'effriter, les USA et les chevaliers "eon" européens vont devoir, leur belle queue entre les jambes, faire leur mea-culpa. Et j'espère que les dindons de cette farce seront ces êtres répugnants qui martyrisent un peuple, parce qu'il gêne leurs desseins.      

Les étudiants de l'Université américaine de Harvard considèrent que les États-Unis constituent une plus grande menace pour la paix internationale que l'État islamique (AI) a révélé aujourd'hui une étude du site Digital Campus Reform.

«À bien des égards, je pense que le principal danger est mon pays, car il est celui qui prend les décisions qui affectent le monde et qui provoquent des actions destructrices", a déclaré une jeune femme dans un entretien avec les réalisateurs de l'enquête.

Le journaliste qui a mené l'enquête a filmé les réactions des jeunes et placé sur YouTube.
"Dans le cadre de la civilisation occidentale nous sommes les coupables  de la plupart des problèmes auxquels nous sommes confrontés aujourd'hui et dans ce cas, la majorité des Américains ont une vision déformée des djihadistes", a déclaré un autre étudiant.

La Maison Blanche a lancé des frappes aériennes contre des onjextifs EI en Irak, le 8 Août et après a élargi les opérations contre les fondamentalistes en Syrie a partir du 23 Septembre, contre la volonté du gouvernement de Damas.

Un article du New York Times a mis en garde aujourd'hui que la campagne contre les extrémistes islamiques en Syrie peut devenir un nouveau Vietnam pour les USA, comme il y a 50 ans, après que le président Lyndon B. Johnson a autorisé une opération aérienne stratégique contre le Vietnam Nord.
Cette escalade du conflit a été rapidement suivie par le déploiement de troupes au sol et a conduit Johnson à une longue lutte qui s'est terminée par une défaite amère, a conclu le Times.

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