mardi 10 mars 2015

Les agences de notation, un outil de pression contre la Russie



L’Occident essaie, semble-t-il, de lutter contre la Russie au moyen d’agences de notation. La récente baisse par Standard&Poor’s de la notation souveraine de la Russie jusqu’au niveau de non-investissements fait penser à une décision politique.
Il n’existe pas de raisons économiques sérieuses pour une telle notation, estiment les experts. Il est possible que ce soit un élément de la guerre informationnelle et économique qui nous a été déclarée, la Russie ayant refusé de se soumettre à la volonté politique des pays de l’OTAN. 


© REUTERS/ Brendan McDermid/Files


Deux types essentiels de paramètres sont pris en considération lors de l’évaluation de la notation. Premièrement, les critères qualitatifs financiers du pays, par exemple le taux de corruption et le degré de protection des droits de la propriété. En ce qui concerne l’argent, tout est bien en Russie. La dette extérieure et le déficit budgétaire sont peu importants. Au reste, de l’avis des agences de notation comme Moody`s, Standard&Poor`s et Fіtch, il existe des problèmes, en particulier une basse diversification de l’économie. Le bien-être du pays dépend des prix du pétrole et du gaz: s’ils montent ou non. La Russie est sans doute exposée aux risques dans ce domaine. C’est l’argument invoqué par S&P lors de la baisse de la notation de la Russie jusqu’au «BB-». Les autres agences se sont pour le moment abstenues.
Pratiquement tous les processus économiques sont actuellement empreints de la politique, dit le membre du Conseil de direction de l’organisation publique des PME « Appui de la Russie » Alexandre Svinine: 
Il n’y a pas de formules objectives, les notations sont subjectives, politisées. Ainsi, la chute du rouble c’est la chute des prix du pétrole, ce sont des problèmes liés aux relations entre Etats, etc. Quant aux prix du pétrole, les Etats-Unis essaient, ne fut-ce qu’au détriment de leur pétrole de schiste, de reprendre le scénario des années 1970. Alors on a réussi à baisser les prix du pétrole grâce à l’Arabie saoudite. Ils ont sapé par là même l’économie de l’URSS orientée vers les exportations d’hydrocarbures. 
Il convient d’évoquer un fait qui confirme que les actes de Moody`s, de Standard&Poor`s et de Fіtch sont politisés. Les Etats-Unis ont une dette colossale dépassant 17 trillions de dollars. La notation des Etats-Unis est parmi les plus élevées d’après S&P: «АА+». Dans le même temps, celle de la RPC aux immenses réserves de change est, selon S&P – «АА-». Cependant, la Chine est depuis longtemps sur le point de rattraper l’Amérique.

Lire la suite:


Si l'on ne comprends pas que derrière ces "règlements" il y a une organisation supranationale, qui parce qu'illégale doit phagocyter tout concept qui n'y adhère pas, on n'a rien compris. Si l'on pense que le groupe "Bilderberg" dirigé par les chantres de la modalisation, que sont Roquefeller et Rothschild, (sionistes notoires) est une organisation estimable, là non plus on a rien  compris.  La Russie (Poutine) oppose son droit de  VETO à tout résolution contre l"Iran, la Syrie. Il est donc un ennemi du sionisme..., qu'il faut "dégommer" comme les dirigeants de l'Irak, la Libye, l’Égypte [...] J'entends déjà les "langues de pute": "il est antisémite, il 'est pas d'accord avec les crimes que commettent quelques juifs en Palestine..., sans compter les manipulations dans nos pays d'organisations nauséeuses comme le CRIF en France.
 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire