Les bombes au phosphore blanc, lancés par Israël ne serait pas du terrorisme?
Manuel Valls qualifie la lutte contre le terrorisme de
Guerre de civilisations, propos colportés, aussi, par Bernard Cazeneuve. (L'un
Premier ministre, l'autre Ministre de l'intérieur du Gouvernement Hollande)
Ces déclarations, collent comme une sœur, à la pensée
dominante diffusée en France par des personnalités favorables, sans exception,
à Israël. Il y a donc là des questions à se poser, une réflexion à mener sur
les enjeux de la politique française et surtout occidentale actuelle, qui se
dresse (il faut le dire) moins contre des Etats voyous que contre les États qui
n'agréent pas cette politique.
Tant que nos dirigeants seront soumis aux USA et aussi, il faut le constater, à Israël, au sionisme le monde sera un rapport de forces permanent, par la suprématie US et le caractère illégal d'Israël facteurs favorisant la déstabilisation actuelle. Vous pouvez faire semblant de l'ignorer mais la réalité y compris du terrorisme actuel, prend appui sur ces deux événements que vous le vouliez ou non :
- http://rubinenc67.blogspot.fr/2010/09/georges-kennan-declaration.html
Tant que nos dirigeants seront soumis aux USA et aussi, il faut le constater, à Israël, au sionisme le monde sera un rapport de forces permanent, par la suprématie US et le caractère illégal d'Israël facteurs favorisant la déstabilisation actuelle. Vous pouvez faire semblant de l'ignorer mais la réalité y compris du terrorisme actuel, prend appui sur ces deux événements que vous le vouliez ou non :
- http://rubinenc67.blogspot.fr/2010/09/georges-kennan-declaration.html
A part le fait, que pas une seule fois on ne s'est
posé la question de savoir par quoi est motivé le terrorisme islamiste. Le terrorisme dit "islamiste" a été crée (financé et favorisé) par le Sénateur US John McCain et les services
secrets israéliens Mossad dont un de ses membres s'est infiltré au sein du
"commandement" de l’État islamique (Daech) (avec l'assentiment
d'Obama, bien entendu).
Comment imposer une vision chimérique et illégale ? En
démontrant qu'elle combat un mal pire que cette vision chimérique, fusse-t-elle
illégale.
Pour
masquer les crimes que s'est rendu coupable Israël et cela depuis sa création,
enfanter (McCain/Mossad) un mal pire que la politique sioniste d'Israël, était une
solution.
Depuis GW Bush et l'agression contre l'Irak, en Libye par
Nicolas Sarkozy, en Syrie principalement par la France et Fabius, au Mali,
l'Occident en Ukraine le mensonge est présenté comme un argument de justice, de
démocratie, qui autorise tous les crimes.
L'occident actuel se sert des opposition (inhérentes à
tous les pays démocrates ou non) pour déstabiliser les Etats dont leurs
gouvernements s'opposent à la politique occidentale et aux intérêts Américains,
mais surtout israéliens. Cette réalité-là est palpable en Syrie et d'avantage
en Ukraine.
Les population occidentales doivent comprendre que cette
politique du mensonge, de la manipulation, se réalise également contre nous
(populations occidentales). [L'Occident à
trouve soixante milliards pour sauver les banques, l'Allemagne à demandé en
1952 de diminuer sa dette de moitié, ce que l'ensemble des Etats ont accepté,
la faillite de la Californie ne l'a pas obligé de quitter les Etats-Unis et on
voudrait nous faire croire qu'il n'y a pas de solution acceptable pour la Grèce,
le Portugal, l'Irlande, l'Espagne (...) et bientôt la France !] Cette politique et les peurs qu'elle engendre,
nous oblige, ou tendrait à nous obliger, d'accepter des mesures économiques et
sociales que normalement nous aurions refusé, et qui n'ont rien de commun avec
la lute contre le terrorisme. Sauf, en effet, que si la mondialisation justifie
l'appauvrissement des plus fragiles et l'enrichissement des plus aisés, la
lutte contre le terrorisme permet de mettre en place des lois restrictives. Et
nous pouvons aisément remarquer que quelque soit le parti en place
(gouvernement) la politique menée parvient aux mêmes résultats. (l'appauvrissement
des populations et primauté de la fiance).
Mais si le terrorisme dit islamiste s'alimente de nos
jeunes d'origine ou non musulmane, c'est qu'une injustice les fait se révolter.
Il peut y avoir en effet les difficultés économiques, mais il y a aussi et
principalement la politique menée contre les Etats musulmans, ou a majorité
musulmane et en particulier la
Palestine, qui depuis l'entre deux guerres (plus de soixante années) subit
l'influence d'une politique sioniste qui à permis à l'Europe dès la fin de la
Deuxième guerre mondiale de s'amender de ses crimes.
La première fois que le vocable: "Guerre de
Civilisation" a été prononcé en France l'à été par des personnalités
juives favorable à Israël. Et cette pensé dominante permet à Israël ( y compris
au moment ou j'écris) de perpétuer ses
crimes contre des musulmans, bien sur, mais aussi contre les chrétiens de
Palestine.
Cependant là où personne ne peut être d'accord avec les
crimes commis au nom de l'Islam, c'est que les responsables de ce terrorisme
sont des pirates moins motivés par l'injustice subie par les musulmans que par
l'envie d'en découdre, sous des prétextes religieux, contre
"l'infidèle". Nos jeunes tombent dans leur piège, en pensant prendre
part à la lutte pour la justice.
Naturellement le citoyen lambda, ne sait pas, parce que
aucun de nos grand médias ne diffuse la réalité des événement en Palestine,
sauf lorsqu'un palestinien excédée par la vie misérable qu'il mène, (plus de 60
années, je le rappelle) assassinats impunis par les es colons et l'armée (sous
des faux prétextes), les arrestation arbitraires, (y compris d'enfants de 4/5
ans, la destruction de l'habitat autochtone, des oliveraies (par le feux ou par
des engins), l'arasement des cultures (par des engin militaires), la
destructions des puits, l'empoisonnement de l'eau [...] ces media manipulateurs
diffusent, jusqu'a plus soif, le crime que le kamikaze palestinien à
commis contre un bus, un groupe de
personnes... Le tout cautionné par l'Occident (en majorité), les USA, l'Europe,
la France...
Comment pouvons-nous croire, que nous occidentaux avons le
droit de nous conduire à l'égal de terroristes et reprocher au terrorisme
islamiste le manque de communication qui nous à permis de berner la quasi
totalité des populations.
Les versions et déclarations exprimés par les dirigeants
occidentaux sur Irak, la Libye, le Mali, la Syrie, l'Ukraine pour ne parler que
des plus significatifs et en fin la Palestine sont mensongères qui n'ont
d'autre but que d'assoir une bande d'assassins au Proche-Orient. qui n'hésitent
pas à déblatérer sur l'Iran (y compris en le menaçant de l'attaquer) par exemple
[J'ai nommée le sionisme].
Le jour où la cupidité de nos dirigeants ne pourra plus
être achetée, le jour où l'honnêteté
sera la vertu principale des gouvernants, le monde aura fait un grand pas vers
la sérénité.
Vous pensez qu'exagère!
Ci dessous un petit aperçu de ce que j'ai tenté d'exprimer...
Les banquiers de la FED et les GUERRES (banque centrale US - finance internationale & guerres) https://www.youtube.com/watch?v=PU9MP9J68Wo&list=TLEdZQvNKOQ9I
Gaza
La bande de Gaza est un territoire de 41
km de long et de 7 km de large.
Elle compte 1,86 million de personnes dont 1,26 million de réfugiés (67%).
Elle compte 1,86 million de personnes dont 1,26 million de réfugiés (67%).
L’attaque israélienne de juillet-août 2014
Depuis 2008, l’opération dite « Bordure
protectrice » est la quatrième offensive de l’armée israélienne sur la
bande de Gaza (voir les chiffres clefs 2014). Elle a duré 50 jours (du 8
juillet au 26 août 2014) et est à ce jour la plus destructrice pour les
Gazaouis.
2132 Palestiniens ont été tués, dont près de 70% de civils parmi lesquels 501 enfants. Du côté israélien, 71 personnes ont été tuées, dont 5 civils parmi lesquels 1 enfant.
Plus de 11 100 Palestiniens et 69 Israéliens ont été blessés.
2132 Palestiniens ont été tués, dont près de 70% de civils parmi lesquels 501 enfants. Du côté israélien, 71 personnes ont été tuées, dont 5 civils parmi lesquels 1 enfant.
Plus de 11 100 Palestiniens et 69 Israéliens ont été blessés.
500
000 personnes ont été déplacées au cours du conflit (soit 28% de la
population gazaouie), et 18 000
logements ont été détruits ou gravement endommagés.
Depuis le cessez-le-feu du 26 août 2014, on compte plus de
400
incidents de tir aux frontières et en mer du fait des forces israéliennes,
et une dizaine de roquettes tirées depuis la bande de Gaza.
Economie / Société
L’offensive israélienne a grandement fragilisé
l’agriculture – l’une des activités économiques principales de la bande avec la
pêche –, 30%
des terres ont été endommagées.
Le secteur privé a lui aussi été touché : 128 entreprises et ateliers ont été détruits ; tout comme la santé et l’éducation : 14 établissements de santé ont été détruits et 250 écoles endommagées. En outre, près d’1/4 de la population est privée d’électricité.
Le secteur privé a lui aussi été touché : 128 entreprises et ateliers ont été détruits ; tout comme la santé et l’éducation : 14 établissements de santé ont été détruits et 250 écoles endommagées. En outre, près d’1/4 de la population est privée d’électricité.
L’économie peine à redémarrer par manque d’infrastructures
de base et à cause du blocus
terrestre, maritime et aérien imposé par Israël depuis 2007 et l’arrivée du
Hamas au pouvoir à Gaza. Cela empêche également la reconstruction : si 60
000 familles de réfugiés ont pu retrouver leur foyer grâce à des
reconstructions légères, aucun
logement détruit cet été n’a été reconstruit.
A la Conférence des bailleurs de fonds pour Gaza du 12
octobre 2014, les participants se sont engagés à verser 3,5
milliards de dollars pour la reconstruction. Seulement 27,5%
ont été débloqués.
La crise humanitaire à Gaza empire : 80%
de la population reçoit de l’aide internationale et plus de 70%
est en situation d’insécurité alimentaire. Encore 100
000 personnes demeurent sans-abri.
Le taux de pauvreté est de 39% et le chômage a atteint 44% (63% chez les jeunes) alors qu’il était de 18,7% en 2000.
Le taux de pauvreté est de 39% et le chômage a atteint 44% (63% chez les jeunes) alors qu’il était de 18,7% en 2000.
Plus de 90%
de l’eau provenant de l’aquifère de Gaza n’est pas potable. Dès 2016, cette
aquifère devrait être inutilisable. 20
000 mètres de canalisations ont été endommagés.
Pour aller plus loin : consultez les chiffres clefs sur
l’économie.
Accès
Suite à l’offensive militaire de l’été dernier, les
restrictions maritimes ont été portées à 6 milles
nautiques, soit 9,6 km. Les restrictions à l’accès maritime entraînent une
perte estimée à 26
millions de dollars par an pour l’économie palestinienne.
Sur terre, la zone d’accès interdit s’étend de 100 mètres le
long de la frontière avec Israël, couvrant 35% des
terres agricoles de la bande de Gaza. Pendant l’offensive israélienne, les
restrictions allaient jusqu’à 3 km de
la clôture séparant Gaza d’Israël (soit 43% du territoire).
Ce qui rentre et sort
Il existe deux points de passage avec Israël :
1. Le point de passage de Kerem Shalom réservé au transit
de marchandises. Depuis 2007, Israël interdit
l’exportation de marchandises depuis la bande de Gaza (exceptés les produits
agricoles). Depuis novembre 2014 et la mise en place du Mécanisme
de reconstruction de Gaza, les matériaux de construction peuvent entrer
dans Gaza, mais ce seul point de passage ne suffit pas à faire transiter tous
les matériaux nécessaires.
2. Le point de passage d’Erez pour le transit des personnes. Israël autorise la sortie de personnes uniquement dans des « cas humanitaires exceptionnels » et pour certains commerçants.
Le passage de Rafah à la frontière égyptienne permettait la circulation de biens et de personnes, mais il demeure fermé depuis octobre 2014. Il ouvre parfois pour des cas exceptionnels.
2. Le point de passage d’Erez pour le transit des personnes. Israël autorise la sortie de personnes uniquement dans des « cas humanitaires exceptionnels » et pour certains commerçants.
Le passage de Rafah à la frontière égyptienne permettait la circulation de biens et de personnes, mais il demeure fermé depuis octobre 2014. Il ouvre parfois pour des cas exceptionnels.
En 2014, les passages d’individus de Gaza à la Cisjordanie
par Erez étaient de 6 270 par mois
en moyenne. En janvier 2015, on a compté 10 198 sorties
de Gaza et 11
909 en février, dont 60% de commerçants.
De janvier à mars 2015, le passage de Rafah a ouvert à 2
reprises et 2
517 personnes ont pu sortir de Gaza, alors que de janvier à juin 2013,
elles étaient 40 000 personnes par mois à transiter par Rafah (voir chiffres
clefs 2014).
De octobre 2014 à mars 2015, 48 camions de
marchandises sortaient de Gaza tous les mois. C’est 4,5% seulement de qui
sortait à la veille du blocus.
Depuis le cessez-le-feu du 26 août 2014 jusque la fin du
mois de février 2015, 462 926 tonnes
de matériaux de construction sont entrées dans Gaza, ce qui représente
seulement 9%
des besoins pour reconstruire Gaza.
Pour la première fois depuis 2007, Gaza a exporté en mars 2015 des produits agricoles à Israël ; 234 camions de marchandises sont sortis de Gaza, destinés à Israël, la Cisjordanie et le marché international.
Comprendre la situation à Gaza en vidéo.
Gaza 6 mois après l’offensive israélienne, en vidéo.
Sources :
Centre d’actualités de l’ONU, UNRWA (United Nations Relief and Works Agency for Palestine Refugees) OCHA (Office for the Coordination of Humanitarian Affairs)
UNISPAL (United Nations Information System on the question of Palestine)
Banque mondialeAIDA (Association of International Development Agencies)
Gisha–Legal Center for Freedom of Movement FIDH (Fédération internationale des droits de l’homme)
Centre d’actualités de l’ONU, UNRWA (United Nations Relief and Works Agency for Palestine Refugees) OCHA (Office for the Coordination of Humanitarian Affairs)
UNISPAL (United Nations Information System on the question of Palestine)
Banque mondialeAIDA (Association of International Development Agencies)
Gisha–Legal Center for Freedom of Movement FIDH (Fédération internationale des droits de l’homme)
Al-monitor.com
La commission d’enquête sur Gaza : contexte, enjeux
et positionnement de nos élus
Plateforme des ONG françaises pour la Palestine, le 23
juin 2015
La commission indépendante mandatée par l’ONU pour
enquêter sur les violations du droit international et du droit international
humanitaire commises lors de l’offensive israélienne contre la bande de Gaza
pendant l’été 2014 vient de publier son rapport.
Quel avenir pour ce rapport ? lire l’article
d’IRIN news en Anglais
Un an après la fin de l’offensive, où en est la
reconstruction ? lire notre fiche contexte
de juin 2015
La bande de Gaza en chiffres-clef
Nos élus soutiennent
le travail de la commission.
Question écrite / Cresta Jacques Député,
Languedoc-Roussillon
Question écrite
sur la commission du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU et de la CPI
Question publiée au JO le : 09/06/2015 page : 4216 Texte de la question M. Jacques Cresta attire l’attention de M. le ministre des affaires étrangères et du développement international sur les difficultés rencontrées par la commission du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU et de la CPI chargée d’enquêter sur les violations du droit international commises dans le cadre des opérations militaires conduites par l’armée israélienne à l’été 2014. Les autorités israéliennes entravent l’accès des membres de (...)
Question publiée au JO le : 09/06/2015 page : 4216 Texte de la question M. Jacques Cresta attire l’attention de M. le ministre des affaires étrangères et du développement international sur les difficultés rencontrées par la commission du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU et de la CPI chargée d’enquêter sur les violations du droit international commises dans le cadre des opérations militaires conduites par l’armée israélienne à l’été 2014. Les autorités israéliennes entravent l’accès des membres de (...)
Question écrite / Bachelay Alexis Député, Ile de France
Question publiée au JO le : 09/06/2015 Texte de la
question M. Alexis Bachelay appelle l’attention de M. le ministre des
affaires étrangères et du développement international sur les difficultés du
travail de la commission du Conseil des droits de l’Homme de l’Organisation des
Nations unies et de la Cour pénale internationale chargée d’enquêter sur les
violations du droit international commises dans le cadre des opérations
militaires conduites par l’armée israélienne à l’été 2014 dans la bande
Question écrite / Issindou Michel Député, Rhône-Alpes
Question écrite - M. Michel Issindou attire l’attention de M. le ministre des affaires étrangères et du développement international sur les difficultés rencontrées par la commission du Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU et de la CPI chargée d’enquêter sur les violations du droit international commises dans le cadre des opérations militaires conduites par l’armée israélienne à l’été 2014. Les autorités israéliennes entravent l’accès des membres de cette commission à la bande de Gaza et empêchent son (...)
Question écrite / Allain Brigitte Député, Aquitaine
Question publiée au JO le : 31/03/2015 page :
2399 Texte de la question Mme Brigitte Allain appelle l’attention de
M. le ministre des affaires étrangères et du développement international sur
les violations du droit international humanitaire qui perdurent dans la bande
de Gaza, avec ces derniers jours des violations commises par des groupes armés
palestiniens. Le rapport d’Amnesty international dresse un bilan accablant des
derniers mois de conflits armés. « Au moins 1 585 civils palestiniens,
(...)
Question écrite / Michel Heinrich Député, Lorraine
Question publiée au JO le : 03/03/2015 page :
1398 Réponse publiée au JO le : 31/03/2015 page : 2476 Texte de la
question M. Michel Heinrich appelle l’attention de M. le ministre des
affaires étrangères et du développement international sur la situation au Moyen
Orient. Il semble que le droit international humanitaire soit régulièrement
violé et des crimes de guerre régulièrement commis, notamment au cours des
opérations militaires menées dans la Bande de Gaza, et ce, par les deux parties
au conflit. (...)
Question écrite / Bouillon Christophe Député,
Haute-Normandie
Question publiée au JO le : 05/05/2015 page : 3327 Texte de la question M. Christophe Bouillon interroge M. le ministre des affaires étrangères et du développement international sur la Commission d’enquête initiée le 23 juillet 2014, par le Conseil des Droits de l’homme de l’ONU, dans le cadre du conflit entre Israël et la Palestine. Des deux côtés et depuis des années, le droit international humanitaire et relatif aux droits humains a été transgressé. Aucune instance internationale contraignante n’a (...)
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