VIDEO FRANCE 2. Hassan Rohani devant la photo d'une
Iranienne non voilée : "En Iran, toute personne doit respecter les
lois"
Hassan Rohani, Président de la République d'Iran
Si la vidéo est détournée, cliquez sur :
https://www.youtube.com/watch?v=1u-FcoXM9aY
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Le conflit syrien, l'arme nucléaire et les relations commerciales franco-iraniennes dans un futur proche ont fait l'objet d'échanges entre des journalistes de France 2 et d'Europe 1 et le chef d’État iranien Hassan Rohani.
Mon
opinion sur la Vidéo de l’interview de Hassan Rohani, Président de la
République d'Iran, par David Pujadas et Jean-Pierre Elkabbach.
"Nul besoin d'être expert en
politique internationale, pour lire entre les lignes des question de ces deux
journalistes de brocante.
En effet: Ils reprochent au Président iranien son soutient à Bachar el-Assad,
comme si la France ou les français avaient un droit de regard sur la politique
étrangère de l'Iran. Ne serais pas
plutôt, au vu de leur interview, parce que la Syrie est toujours en guerre avec Israël ?
Ils (journalistes
de brocante) demandent si Israël a sa place au Proche-Orient ? A part la très
bonne réponse de Hassan Rohani, cette question établit le lien de subordination
ou la volonté de préservation, qu'il y a entre les grands média français et le
sionisme. Ces "journalistes"* n'ont jamais ouvert un livre d'histoire
et encore moins les compte rendu des résolutions onusiennes et en particulier
la N°181 (obtenue grâce au chantage des USA sur les pays émergents, poussé au
crime par le Lobby juif américain). Pourtant lorsqu'on s'adresse à un chef
d’État la moindre des politesses serait de connaitre les tenants et les
aboutissants de la question que l'on pose.
Au début,
ces... mettaient en question la capacité de l'Iran à respecter les accords avec
TNP et les inspections de l'AIEA.
Pourtant
l'Iran est membre de l'AIEA et à signé le Traité de Non Prolifération depuis
longtemps, très longtemps. A contrario Israël qui a l'arme nucléaire depuis
1948 (grâce à la France (Léon Blum)) n'a jamais signé le Traité de Non Prolifération
et par conséquent peut refuser en toute légalité les inspections de l'AIEA.
etc. etc. etc. [...] Vous peuple de France ne croyez rien de ce que ce type de
journalistes cherchent à vous faire avaler et mettez tout au conditionnel".
* Le journaliste de légende expose les tenants et
les aboutissants d'un cas pour que le lecteur, l'auditeur, le téléspectateur se
fasse une opinion. Le journaliste de brocante cherche à imposer sa vision, son
opinion, du cas qu'il vous expose. Ce que, malheureusement, sont la majorité
des journalistes en France. A contrario, nos dirigeants politiques économiques
nous relatent, non, leur vision de la société (a part la rubrique des chiens
écrasés), mais l'opinion qui leur est imposé par l'influence la Conférence trilatérale,
(groupe Bilderberg) mais aussi par l'influence des sionistes qui, comme les mauvais
pécheurs, récoltent leur fruits, dans l'eau trouble...
En effet: Ils reprochent au Président iranien son soutient à Bachar el-Assad, comme si la France ou les français avaient un droit de regard sur la politique étrangère de l'Iran. Ne serais pas plutôt, au vu de leur interview, parce que la Syrie est toujours en guerre avec Israël ?
Par Francetv
info
Avant sa visite en France
les 16 et 17 novembre, le président iranien, Hassan Rohani, a
reçu deux journalistes de France 2 et d'Europe 1 dans sa résidence de
Téhéran pour une longue interview enregistrée mardi 10 novembre. Le conflit
syrien, l'arme nucléaire et les relations commerciales franco-iraniennes dans
un futur proche y ont fait l'objet d'échange entre journalistes et chef d'Etat.David Pujadas, présentateur du journal de 20 heures de France 2, a sorti durant l'entretien la photo d'une femme iranienne enlevant son voile, pour faire réagir Hassan Rohani. "Est-ce que cette image vous choque ?" lui demande le présentateur. "Vous savez, on a tellement de problèmes graves qu’on n’a pas le temps de s’occuper de cela. Chaque personne a le droit de faire ce qu’il veut dans sa vie privée, chez soi. En Iran, toute personne doit respecter les lois et si quelqu'un est à l’extérieur de l’Iran, alors…" a répondu Hassan Rohani, esquissant un léger sourire et surpris par la question.
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