vendredi 15 janvier 2016

Les efforts israéliens pour masquer la vérité



Les efforts israéliens pour masquer la vérité, pousse à la  démission le Rapporteur Spécial de l'ONU, sur la situation des droits de l'homme en Palestine.


Ce post je le dédie à tous les intervenants de l'émission "Ce soir ou jamais", du vendredi 15/01/2016, qui semble-t-il, on oublié dans leur excellentes analyses les raisons des jugés et en premier lieu la Palestine, qui, avec l'agression de l'Irak par GW Bush, sont les actes fondateurs, pour la comprendre le terrorisme dit islamique. Comment cet Occident va-t-en guerre a pu croire pouvoir agir comme il le fait ?Comment Hollande a pu croire, qu'il pouvait bombarder des dizaines de milliers de civils innocents. (je le rappelle, sans une résolution de l'ONU)
Puis il y a aussi un fait qui n'a, apparemment, pas été signalé: au début de l'émission le discours du Premier ministre l'à été depuis la tribune du C.R.I.F. (cela ne vous dit, peut-être, rien mais à moi cela me dit tout) [Le CRIF est une organisation raciste qui utilise son influence à l'acceptation des crimes israéliens]. Sans omettre: "La Conférence de San Remo" ; la "Déclaration Balfour"...
La France patrie des droit de l'homme, est une sémantique  malhonnête, du moins aujourd'hui. La haine des musulmans n'a d'égal que les mensonges d'un Fabius, d'un Valls, d'un Hollande, d'un Le Drian (...) à l'égard de la Syrie, par exemple. Où tous les témoignages honnêtes établissent que Bachar el Assad doit faire face a une guerre civile alimenté justement par cet Occident félon, dont la France est devenue un laquais. 



Palestinian Center for Human Rights (PCHR)
08-01-2016

Le Rapporteur spécial des Nations Unies sur la situation des droits de l'homme dans les territoires palestiniens, Makarim Wibisono, a présenté hier sa démission, devant le président du Conseil des Droits de l'Homme après qu'Israël lui refuse l'accès, à plusieurs reprises, aux Territoires palestiniens occupés (OPT ). Le Centre palestinien pour les droits de l'Homme (PCHR) souligne qu'Israël interdit en permanence que les Rapporteurs Spéciaux de l'ONU entrent dans les Territoires Palestinien Occupés dans le cadre de la politique d'Israël d'occulter les vérités fondamentales en rapport à la commission de crimes de guerre et les violations graves des droits humains contre les Palestiniens, qui sont les propriétaires originaux de la terre. En outre, le PCHR souligne que la communauté internationale doit adopter une position ferme pour arrêter les violations israéliennes contre le peuple palestinien et mettre fin à la violation israélienne du droit international.

Dans sa lettre de démission, Wibisono mentionne que les demandes répétées de l'entrée soumise par écrit et verbalement, n'avaient pas eu de succès depuis plus de 18 mois. Israël n'a donné de réponse a sa dernière demande, faite en Octobre 2015. En outre, Wibisono a souligné que son mandat ne pouvait être développé s'il ne pouvait pas avoir un accès direct aux victimes palestiniennes de la Cisjordanie et de la bande de Gaza.

«Malheureusement, mes efforts pour aider à améliorer la vie des victimes palestiniennes des violations de l'occupation israélienne ont été frustrés tout le temps ... Je l'espère sincèrement que la personne qui me succèdera réussira à résoudre l'impasse actuelle et puisse apaiser les souffrances du peuple palestinien qui, après presque un demi-siècle d'occupation, le monde n'a pas oublié la dramatique situation dans laquelle se trouve le peuple palestinien et que les droits de l'homme universels,  soient en réalité universels », a déclaré Wibisono.

Wibisono a présenté son dernier rapport en Mars 2016, lors de la 31e session du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies. Ce rapport met fin  a son mandat unique de 21 mois pour laquel il a été nommé par le Conseil en Juin 2014. Sa démission prendra effet le 13 Mars 2016.

Les autorités israéliennes continuent à refuser l'accès des Territoires Palestiniens Occupés (OPT) aux Rapporteurs Spéciaux puisque, selon le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères, le mandat du Rapporteur spécial sur la situation des droits de l'homme dans les TPO, puisque les 47 États membres de l'ONU qui ont adoptée au Conseil des droits de l'homme, est "partial et déformée". L'allié d'Israël, les Etats-Unis, a également confirmé évaluation similaire. D'autre part, Israël avait, aussi, interdit a Richard Falk, ancien Rapporteur spécial des Nations Unies, l'entrée des Territoires Palestiniens Occupés  tout le long de son mandat, qui avait duré six ans.

Il est à noter que le mandat du Rapporteur Spéciale fait partie des mécanismes de l'ONU pour protéger les droits de l'homme, conformément à un mécanisme connu sous le nom «Procédures Spéciales». Procédures spéciales comprennent des experts des droits de l'homme indépendants pour mener à bien leur travail indépendant, avec mandats qui informent des violations des droits humains dans une perspective thématique ou spécifique à un pays. Le Conseil des Droits de l'Homme créé en 1993 le poste de Rapporteur spécial sur la situation des droits humains dans les Territoires Palestiniens Occupés, et le mandat a été renouvelé jusqu'à présent.


Le PCHR dénonce l'interdiction d'enter qui est faite au Rapporteur Spéciale de l'ONU dans  les TPO et la négativité de la communauté internationale qui fait d'Israël un Etat criminel. Cette interdiction fait partie d'une série d'obstacles imposés par les autorités israéliennes à toutes les missions d'enquête de l'ONU ; dont la dernière était la Mission d'Investigation des Nations Unies après l'offensive israélienne de 2014 contre la bande de Gaza. PCHR met en garde contre les pratiques israéliennes qui son le reflet de la portée des crimes israéliens contre les Palestiniens et des efforts réalisés pour cacher ces crimes au monde. Le PCHR appelle également à:
  1. La communauté internationale doit faire pression sur Israël pour permettre l'entrée inconditionnelle dans le TPO de toutes les missions des Nations Unies.
  2. Le Conseil des droits de l'homme et de tous les mécanismes internationaux doivent mener des efforts extraordinaires pour transmettre au monde la réalité des violations israéliennes contre les Palestiniens.
  3. L'ONU doit activer ses mécanismes des droits humains pour faire front au flagrant défi israélien des mécanismes de l'ONU et de la violation des droits des Palestiniens dans les territoires occupés; et
  4. Toutes les parties compétentes au niveau international devront mettre un terme à l'impunité accordée à Israël qui a provoqué une augmentation des violations des droits contre les Palestiniens.

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