La Nakba: Israël, le côté sombre de l'ONU.

vendredi 4 mars 2016

Israël, le côté sombre de l'ONU.

Quand vous qualifiez de criminel un Barak Obama, un Davis Cameron, un François Hollande, une Angela Merkel [...] vous n'êtes pas loin de la réalité.

Non qu'ils soient les seuls, mais prenant appui sur les oppositions inhérentes à tous les pays, démocraties ou non, déstabilisent tout dirigeant qui n'agrée pas leur politique, l'obligent a se radicaliser et comme eux commettre ....

La seule différence est dans la médiatisation de la propagande.

CONTRE L'OUBLI

Mémoire photographique de la Palestine avants la Nakba,

1889 - 1948

Ramón Pedregal Casanova

03-03-2016

La création de l'Organisation des Nations Unies avait comme finalité d'assurer la paix et établir des lois fondées sur la compréhension et le respect. Mais a crée un problème qui a grandi jusqu'a se placer dans la nuit la plus sombre de la colonisation: La Palestine n'a pas été traité dans le cadre de l'égalité définie, les puissances l'ont réservé (égalité) pour établir sur son fondement les bases d'une nouvelle colonisation, qui devait nourrir le germe d'une entité agressive, de conquête et d'extermination, de l'égocentrisme théologique et divin, classiciste et raciste jusqu'a rendre insignifiant le soi-disant «nettoyage ethnique». Ce fut le principe d'un monde qui se disposait sur le côté sombre de l'organisation naissante, à des fins pacifiques, pour surmonter les accords conclus.

En 1948, 85% de la population palestinienne a été expulsé de leurs terres vers d'autres pays par cette force meurtrière préparée par l'Angleterre comme puissance coloniale en Palestine. Le projet caché attendait son heure, et le resta dans les premières années du XXe siècle. Le monstre créé par le grand capital allait être le fer de lance et donner une continuité au vol de terres et de matières premières dont l'Occident avait vécu jusque-là.

L'expulsion par la violence du peuple palestinien et le vol de leurs terres a été bientôt renforcée par la loi créée par l'entité israélienne: La nouvelle puissance coloniale interdit le retour des réfugiés. [Le Droit au Retour a été un des point essentiel des négociations qu'Israël a toujours refusé. Pourtant un des points que le sionisme voulait comme légitime le Mythe Biblique du Droit de Retour des Juifs en Palestine.] Et Israël a commencé une course contre la montre pour que se rendre en Palestine une émigration de race et de croyance juive en provenance monde entier, le financement garanti par bancaire juive, de caractère sioniste, et son gouvernement qui jusqu'à aujourd'hui encourage la création de colonies, désobéissant aux Résolutions du Conseil de sécurité, 9 jusqu'en 2011, sur les violations du Droit International Humanitaire ; 17 autres résolutions manifestement contre l'annexion de Jérusalem ; et 26 autres résolutions condamnant Israël pour non respect de la quatrième Convention de Genève dans les colonies, les déclarant comme des crimes de guerre est applicable. [Comme les bombardements de populations civiles par trois-fois à Gaza.]

Il n'y a pas un tribunal dans le monde qui n'a pas condamné Israël, mais Israël transgresse toutes les mandats, cependant aucune puissance ne bloque l'expansion de l'entité colonialiste, aucune puissance lui impose des sanctions, aucune puissance rompt ses relations. L'Organisation des Nations Unies, le Conseil de sécurité, la quatrième Conventions de Genève, la Commission du droit international, la Cour Internationale de Justice, ... condamnent, il n'y a pas de comparaison dans le monde. Mais Israël ne souffre pas de conséquences qui découlent des protestations des organisations de défense des Droits de l'Homme, des organisations de solidarité avec les Droits des Peuples à l'indépendance. Ce sont les institutions gouvernementales de chaque pays qui les premières permettent à Israël de poursuivre sa tâche colonisatrice, sont ces gouvernements qui signent les Résolutions, et après se "croisent les bras", depuis 1948. Le monde entier est au courant, les yeux de tous les gouvernements et des peuples sont imprégnés depuis longtemps de la cruauté d'Israël avec la population de Gaza, qui subit un blocus illégal pour l'empêcher d'accéder à la nourriture, à l'eau, a la médecine, [Israël répand, même, des pesticides sur les cultures, pour les rendre impropres à la consommation ] ... Population soumise aux pires atrocités guerrières d'Israël, il vont jusqu'a tester son armements, sur les populations civiles, armement qu'il vend ensuite à d'autres gouvernements.

Il est également dans les yeux du monde ce que l'armée israélienne fait en divisant le petit territoire qui reste au Peuple palestinien, Jérusalem et la Cisjordanie, l'encerclant en de petites villes, des îlot entourées de colons, des murs et des check-points militaires, sous commandement militaire et lois racistes: arrestations, emprisonnement, torture et finalement la mort, tout ce que les colons et l'armée régulière se permettent: le symbole du jours est Muhammad al-Qiq, 94 jours de privation de nourriture et aucun gouvernement européen, américain, ou autre dimension capitaliste pour élever leurs voix contre ce crime.

États-Unis, la Communauté européenne, ... ont mis en place des accords de libre-échange, des accords de coopération militaire, des arrangements financiers, en violation du droit international: jusqu'à quand?

Ces escrocs qui nous gouvernent ont été jusqu'à faire condamner des militants du BDS distribuant des tracts, pour incitation à la haine raciale et entrave au commerce. Alors que des produits israéliens, fabriques dans les colonies en territoire palestinien, entraient en Europe en exonération de TVA.

A cette époque, quand la guerre mondiale la plus destructrice est plus proche que jamais, a commencé depuis longtemps au même point géographique que les anciens colonisateurs retenus après la création de l'ONU, il est une exigence essentielle pour toutes les consciences de prendre la défense de la Palestine, c'est le point par lequel, nous devons commencer à nouveau la proposition de paix, d'égalité et ''indépendance pour tous les peuples.

Ramón Pedregal Casanova est l'auteur de “Agenda des Crises”, “Sept Romans de la Mémoire Historique. Postfaces”, et “Gaza 51 jours”. Président de AMANE, Association Européenne de Coopération International et d'Etudes Sociales.