mardi 1 mars 2016

La France vecteur et defenseur de la propagande sioniste





Encore aujourd'hui en 2016 on peut se poser la question du nombre de fictions, documentaires ou reportages sur la Deuxième guerre mondiale diffusés par le cinéma et les média  où la persécution des Juifs est mise en avant. Pourtant si nous prenons l'exemple de l'Holocauste l'origine des victimes du nazisme est multiple et leur nombre difficilement quantifiable. Nous sommes incapables de chiffrer le nombre de victimes des communautés minoritaires victimes du nazisme. [En tout état de cause, aucun chiffrage des victimes Tziganes, Malades psychiatriques, par exemple, ne nous est parvenu]  mais connaissons très exactement le nombre de victimes juives (6.000.000). Et là je me pose la question de savoir si ce décompte est loyal et justifié ou un moyen de s'autoriser, ou influer la décision qui permettra l'appropriation d'un territoire peuple par 6.000.000 d'âmes. A cette époque la Palestine comptait 6.000.000 d'habitants... dont des dizaines de milliers furent massacrés 1947/48 par les hordes terroristes juives avant de détruire les 351 villages qui les abritaient et dont plus de 750.000 palestiniens furent expulsées de leurs maisons de leurs terres et subissant un exil brutal dont des milliers d'exilés sont morts dans la marche d'expatriation.


Hollywood, dès la fin de la guerre a porté à l'écran des fiction où les Juifs apparaissent comme les victimes exclusives du nazisme. Rares très rares sont les fictions honnêtes montrant toutes les horreurs commises par l'Allemagne nazie. Le "martèlement" répété, a ce point des consciencesà permis d'inculquer dans le psychisme populaire la légitimité, recherché par le sionisme, des crimes a commettre y compris chez les Juifs lambda, eux mêmes, qui exposés à une vision orienté des événements intègrent dans leur subconscient la légitimité des crimes commis ou a commettre. L'instrumentalisation de l'antisémitisme est venu combler le vide qu'à pu laisser la vision orienté des événements. Et comble le de l'hypocrisie, a été de soigneusement occulter ou minimiser la collaboration des juifs, eux mêmes, à la politique criminelle nazie. [Les kapos, le soutien des lobby juifs américains a Hitler dès le début du nazisme ... par exemple].       

La France, La Shoah est érigée en religion d’État n'a pas échappée à l'instrumentalisation de l'antisémitisme et où l'influence sioniste s'est immiscée au sein de l'appareil politique et naturellement des Média. La Déclaration Balfour stipule, entre autres : "étant clairement entendu, que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte ni aux droits civils et religieux des collectivités non juives existant en Palestine, ni aux droit et au statut politique dont les juifs jouissent dans tout autre pays." Et si les droits des palestiniens ont été bafoués sans vergogne, le statut de juifs dans "leurs" pays respectifs a été respecté, considérés comme tout autre citoyen comme nous l'avons constaté. Les Média français où des juifs pro sionistes officient ont occulté la réalité historique des événements tant en France qu'en Palestine. Tout acte violent contre un juif, avéré ou non, est médiatisé a outrance, à chaque journal, pendant  plusieurs jours a contrario un acte violent et jusqu'à au bombardement de populations civiles à l'encontre des palestiniens est occulté avec une déloyauté extrême: la responsabilité israélienne est occultée ou imputé sous fausse bannière aux victimes elles-mêmes sous des slogans hypocrites, "Israël à le droit de se défendre". Il y a quelques semaines tous les média français exposaient les agressions au couteau de juifs par des palestiniens. Avez entendu un seul media vous informer sur le Nettoyage ethnique de Jérusalem-Est à l'encontre des palestiniens depuis un peu plus de deux ans ?  Non, ce qui prouve l'hypocrisie et le manque de déontologie de nos médias, qui ressemble d'avantage a de la propagande qu'a de l'information. Sur ce point Arte, dans l'émission "28 minutes" est d'une mauvaise-foi sans bornes lorsqu'il s'agit du Proche-Orient.
France Télévision mais aussi Arte, Canal+ et BFM TV, principalement se font très souvent l'aqueduc privilégié a haut degré d'hypocrisie de la propagande sioniste. Rien de très étonnant a cet état de fait, les exemples ne manquent pas et pour le téléspectateur un peu attentif et soucieux du monde dans lequel il vit ne manquera pas de souligner cette dérive de la Télévision et des autres vecteurs de l'information.

Prenons un exemple: celui du journaliste Didier Epelbaum autoproclamé historien, correspondant RMC et Antenne 2 en Israël puis Rédacteur en chef du journal de 20 heures sur France2  en 1989 et Directeur du service étranger jusqu'en 1997, Médiateur de la rédaction de FRance2, et pour services rendus Chargé de mission a France-Télévision. Écrivain exclusif de la cause juive fait le rapprochement de 1944 à 1994 des Camps de la mort avec le génocide Rwandais. Comme si le Génocide et le Nettoyage Ethnique de Palestine en 1947/1948 n'avait pas existé où comme si la politique menée par les gouvernements sionistes n'était une dictature théocratique et criminelle.
C'est cette façon particulière et parcellaire qu'on ces juifs-là de raconter l'Histoire qui les rend soupçonnables et éclairent d'un autre angle,  les persécutions et crimes à l'encontre de l'ensemble des juifs. Comment est-il possible que perpétuellement et depuis si longtemps  les juifs sont si souvent persécutés s'ils avaient un  comportement irréprochable ? 

Les gouvernements français, principalement depuis Sarkozy et Hollande, ont non seulement  cautionné les crimes sionistes  mais ils y ont participé, faisant perdre à notre pays sa souveraineté politique et l'essence même de ce qui fait la France, la "Patrie des Droit de l'Homme", s'abaissant pour des intérêts idéologiques à faire la guerre plutôt qu'a tenter de retrouver sa souveraineté et la prospérité au Pays.  

Ramón Pedregal Casanova explique très bien dans son article le rapport du nazisme et du sionisme au sein de nos institutions ou nos média. 
Le sionazisme sympathique d'Adelson et David Landete



Pour illustrer ce que j'ai tenté de faire comprendre, l'exemple de ce matin mercredi 2 mars sur RMC est tout-a-fait explicite.

Aux info de 8heures, la journaliste Apolline Demalherbe conteste les décision de l'Europe qui dénonce certaines dérives françaises comme par exemple: l'interdiction du port du voile ; l'attitude de certain dirigeants politiques attisant le racisme et l'islamophobie ;  (...). Et développe le principe contraire en disant que s'interroger sur la religion islamique ou sur l'islamophobie n'est pas du racisme, ...

En somme: S’interroger sur l'islamophobie n'est pas du racisme, mais s''interroger sur le judaïsme et le soutient que ce dernier apporte au sionisme en Israël c'est de l'antisémitisme. Antisémitisme reporté et répété à l'infini par tous ces êtres malodorant qui cautionnent par leurs dires les crimes que commet l'armée israélienne, les colons juifs y compris l’épuration ethnique qui subit actuellement Jérusalem-Est. Et après on nous "bassine" avec les quelques attaques au couteau de jeunes palestiniens qui n'en peuvent plus après deux ans d'assassinats (pour rien) par des colons fanatiques, la démolition de leur habitat, l’asséchement de leurs puits, [...]

Je ne sais pas, mais j'ai l'impression que l'on nous prend pour des grenouilles...

Quelle preuve faut-il de plus pour admettre que nous sommes actuellement manipulés comme jamais, depuis le Général de Gaulle. Cette journaliste dit et redit que s’interroger et nous savons ce que ce  " S’interroger" veut dire... Autrement dit remettre en question l'Islam et ses pratiques est tout-a-fait acceptable. Acceptable ? Oui à la condition que les religions puissent être mises en question. Or en France on est qualifié d'antisémite non pour avoir tenu des propos racistes envers un juif mais pour avoir osé critiquer la criminalité de la politique israélienne. Et c'est justement cette différentiation de traitement qui est inacceptable. Et ne croyez pas que ce mode de penser vient de journalistes illuminés comme vient de le faire cette dame, non, les plus hauts représentants de l’État se vautrent, apparemment avec délectation à moins que ce ne soit par cupidité ou carriérisme, dans la défense de ces criminels.     


 


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