Ce matin sur France-Info, le pseudo journaliste de TF1 qui doit présenter le débat de
l'élection Présidentielle épiloguait sur la difficulté de l'organisation d'un
tel débat et donnait comme exemple du spectre de la discussion: parler de Bachar el-Assad et du Gasoil.
Pourtant la seule question qui intéresse les français est:
"Pourquoi que la France se soumet a
des influences qui lui sont néfastes". Quelles soient politiques, idéologiques ou communautaristes.
La France telle qu'elle est-là ne va pas bien pour les citoyens, c'est un
fait.
Mais revenons si vous le voulez-bien à l'exemple qu'a donné ce pseudo journaliste. Il
n'a pas dit; des morts en Syrie, quelque fussent les responsables. Non ce
manipulateur abonde dans le sens de la pensée dominante répandue par ces élites
qui nous veulent tant de mal. Quelle est cette pensée, elle est pourtant simple
à remarquer: Dénigrer, empêcher de parler, tout ce qui peut ou pourrait porter
atteinte aux intérêts de la finance et d'Israël. "Dégommer" Bachar
el-Assad, comme le fut Saddam Hussein sous des prétextes aussi apocryphes qu'il
a gazé son peuple (avec les armes que nous lui avons vendu, et exclusivement
parce qu'il s'opposait à la politique israélienne).
Ce pseudo journaliste, n'a pas parlé de la Guerre civile à
laquelle Bachar el-Assad devait faire face. Il n'a pas parlé de révolté
(fomentée par l'Occident) très rapidement armée par cet Occident (la France aussi
bien entendu) et où la plus grande partie des armes est tombé, comme par
hasard, aux mains des terroristes de l'Etat Islamique (Daesh).
Daesh que tout homme un peu informé sait qu'il a été crée
avec des anciens militaires que la coalition en Irak a rejetés et un des
principaux dirigeants est un Arabe, ancien agent du Mossad et que le Sénateur Jhon
McCain et Israël ont financé et armé dès le départ et favorisé la prise d'armement
et engins militaires.
Dans ces conditions je désespère et me rappelle la phrase
du Général de Gaulle qui disait: "Les français sont des veaux, il ne voient
pas plus loin que le bout de leur nez".
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