samedi 31 mars 2018

Privatisations





Je me demande parfois, si les élites politiques n'ont pas le chromosome de l'irresponsabilité. Nous avons maintenant suffisamment de recul et d'expérience pour apercevoir du caractère néfaste des privatisations sur les populations et les pertes de recette pour l'État, a moyen et long terme pour l'État

Une privatisation c'est quoi? C'est le droit, pour ceux qui ont les capitaux nécessaires, de s'approprier d'un service d'Etat dont tous les citoyens ont besoin d'utiliser et où la concurrence est quasiment inexistante.

Et qui place le citoyen en état de serviteur des plus nantis. Rien d'étrange c'est cela le capitalisme. Il ne tient qu'a nous, malgré les menaces du pouvoir, (du style: "nous irons jusqu'au bout") de ne pas accepter un tel diktat.

Bien sur dans le cadre de la SNCF, on parle d'ouverture à la concurrence, mais ont ne dit pas que c'est aussi une ouverture au profit, au détriment des utilisateurs, que ces "patrons" utiliseront comme une rente.
Le déficit de la SNCF, comme pour les conflits, ça et là,  ont été habilement programmés visant à nous faire accepter ce que normalement nous aurions refusé.   

L'autre exemple de privatisation est la démission de l'Etat. Et exemple de l'arrêt ou presque de la construction de logements sociaux, est flagrant de la politique mondialiste qui écrase les populations au bénéfice des plus argentés de ces derniers gouvernements, et a un double effet négatif:
  • Celui de faire grimper le montant des loyers ;
  • De fragiliser les revenus des plus faibles ;
  • De favoriser les impayés, par les familles qui ne trouvent pas de logement social et s'adressent aux bailleurs privés, dont les loyers sont plus élevés.
Nous le constatons depuis une vingtaine d'années, voir un peu plus,  que nous gouvernements, aidés par l'Europe que dirigent des truands, démissionnent de leurs prérogatives au point que nous nous demandons pourquoi ils se font élire, puisqu'ils n'ont rien de positif à présenter au citoyen
Tout est soi-disant fait pour l'amélioration de l'économie à moyen et long terme, mais cela fait quarante années que l'on nous le fait "manger", on est si sots que cela ?

L'ors qu'on se plonge un peu dans les arcanes de la politique on remarque bien:
  • Le suivi idéologique, dont il n'est pas nécessaire d'être sorti de Saint-Cyr pour remarquer qu'il se réalise au détriment des populations ;
  • Que tout va dans le sens du bien-être des dirigeants politiques, dont il n'est pas nécessaire d'être sorti de Saint-Cyr pour remarquer qu'il se réalise au détriment des populations ;
  • sans oublier les magouilles de la plupart d'entre eux, dont il n'est pas nécessaire d'être sorti de Saint-Cyr pour remarquer qu'il se réalise au détriment des populations ;  
  • Emanuel Macron  qui devait nous amener "sur le droit chemin"  fait comme les "copains" et nous a tracé un boulevard vers la mondialisation, dont il n'est pas nécessaire d'être sorti de Saint-Cyr pour remarquer qu'il se réalise au détriment des populations.   

Gaza, Marche pacifique mais meurtrière.

Et dire qu'il a des personnalités qui ne comprennent pas le "racisme" qu'elles inspirent en protégeant des ciminels.  Les BHL, les Calvi, les Golnadel, les Glucksmann, les Finquelkraut … et touts ceux qui collaborent avec Israël y compris les politiques comme le maire de Nice, le Président de la République, ont-il suffisamment d'état de conscience … pour admettre qu'ils cautionnent des criminels ?
Un homme sans état de conscience, est un animal qui procédé par instinct ou/et intérêt.
   
Avec de tels collabo Hitler serait parvenu à ces fins.  

VIDEO:















Israël vante les mérites de Tel-Aviv, Jérusalem, la Mer-morte … Une honte pour n'importe quel homme intelligent et honnête, ce qui va de pair.
C'est comme un voleur de voiture qui customiserait la "caisse" puis vanterait les mérites de son moteur.

vendredi 30 mars 2018

RTL, Yves Calvi, interviewe Alain Duhamel.

Israël vante les mérites de Tel-Aviv, Jérusalem, la Mer-morte … Une honte pour n'importe quel homme intelligent et honnête, ce qui va de pair.

C'est comme un voleur de voiture qui customiserait la "caisse" puis vanterait les mérites de son moteur. 

Ce matin, vendredi  Yves Calvi sur RTL en remet une couche, dan son émission interviewe le journaliste Alain Duhamel, sur les antisémitismes existants. Et il ne se rend pas compte qu'il est un des éléments vivant qui l'exhorte, par son comportement dans les débats à la télévision. Lorsqu'il s'agit d’Israël se mute en propagandiste et manipulateur intolérable pour un vrai journaliste.

On n'est jamais totalement innocent par rapport à ce qui nous arrive. Le sionisme a fait croire aux Juifs qu'il était leur "planche de salut", alors qu'il est la "corde qu'ils ont autour du cou". 

Quand à Alain Duhamel je trouve qu'il considère pas le conflit en Palestine à sa juste valeur. Cela fait 70 longues années que ce Peuple est martyrisé sans qu'il le place au rang qu'il mérite. C'est sans doute, aussi, un racisme qui ne dit pas son nom.   

Cet homme, comme tant d'autres utilise la médiatisation que son  "métier" confère pour permettre à des criminels de tuer impunément. Si vous êtes sioniste, agissez en conséquence, mais ne vous cachez pas derrière une profession, c'est valable pour les politiques, les avocats, les pseudos intellectuels …, ne jetez pas l'opprobre ou la responsabilité sur les autres assumez votre criminalité latente.  

Voila une des pistes de travail, pour ces escrocs de la pensée. Quelle mentalité saine peut ainsi croire  que le monde entier lui veut du mal? 

Se posent-ils la question sur leur propre comportement? Tout homme responsable, mettrait sont propre comportement en question s'il devrait constater autant d'actes contraires a son encontre. Vous vous plaignez depuis la nuit des temps, et vous ne vous posez toujours pas des questions, sur votre propre comportement?   

Cessez de vous croire le nombril, du monde. Tous ceux qui vous font des courbettes, comme Emmanuel Macron, c'est qu'ils attendent quelque chose en retour, et comme tous les autres une-fois usé il sera rejeté.  Et s'est bien ainsi, dans la vie il faut agir en son âme et conscience sans rien en attendre. 

Nous savons tous pourquoi vous exhortez l’antisémitisme et dénigrez les musulmans. Le sionisme a toujours instrumentalisé l'antisémitisme, parce que cela les servait, aujourd'hui vous (ces juifs propagandistes) dénigrer les musulmans au-de-là du terrorisme alors que vous les juifs en êtes à l'origine. Si vous l'ignorez c'est que vous êtes comme les truands et comme eux vous vous trouvez des excuses à vous actes. 

Lisez, si vous n’êtes pas trop illuminé par la connerie:

https://www.facebook.com/Palvox17/videos/1241041176029251/

https://docs.google.com/presentation/d/1BW8RWjxEiBwX5EI1oH563pHfwg2cfJlSLZpGTGOXmH4/edit#slide=id.p3

jeudi 29 mars 2018

BHL, les actes antisémites cela suffit !



J'écoute les informations et aussi 28', BHL …, et je me demande si les juifs que j'ai entendus ont toutes leurs facultés mentales?

On peut passer sur beaucoup de turpitudes, mais il y a des mots complètement stupides, l'antisémitisme, le racisme, la haine, les militants pro-palestiniens, le conflit Israélo/palestinien et que sais-je encore, si l'on refuse d'y incorporer ses propres responsabilités.
On n'est jamais totalement innocent par rapport à ce qui nous arrive. Le sionisme a fait croire aux Juifs qu'il était leur "planche de salut", alors qu'il est la "corde qu'ils ont autour du cou".  
  
Désolé, le conflit Israélo/palestinien n'est pas la cause, mais la conséquence des agissements de la Communauté juive. Des sionistes, d'accord, mais aussi des membres de la communauté qui les soutiennent. Oubliez cela quand vous condamnez et vous aurez toujours quelqu'un pour vous le rappeler.
  
Que veulent les Palestiniens? La Paix par le Droit, c'est-a-dire que leurs droits  soient respectés. Les étranger volant les terres de l’autochtone sont les juifs et non le contraire. Oubliez cela quand vous condamnez et vous aurez toujours quelqu'un pour vous le rappeler.

Que veulent les militants pro-palestiniens, l'application en Palestine du Droit International et le respect des Droit de l'homme. Oubliez cela quand vous condamnez et vous aurez toujours quelqu'un pour vous le rappeler.

S'il y a quelqu'un suffisamment con pour ne pas comprendre cela, je ne suis pas étonné de l'antisémitisme. Oubliez cela quand vous condamnez et vous aurez toujours quelqu'un pour vous le rappeler.

Tout homme est responsable de ses actes et de la façon dont les autres se comportent envers lui. Oubliez cela quand vous condamnez et vous aurez toujours quelqu'un pour vous le rappeler.

Nul besoin de ne pas être raciste, nul besoin de ne pas être  antisémite pour avoir le droit de vous dire : "je ne suis pas être d'accord avec vous". Tous ceux qui juifs ou non favorisent l'avènement des criminels sionistes.

Que cela vous plaise ou non, ne pas être d'accord avec ceux qui cautionnent des criminels s'est un droit et compte tenu des crimes que vous commettez, un devoir.  

Le philosophe pour ânes bâtés BHL dit: cela suffit. En parlant des actes dits antisémites. Cet scolastique personnage se pose-t-il la question de savoir si les emprisonnements illégaux et l'assassinat de palestiniens, la destruction de leurs maisons, le vol de leurs terres, cela suffit aussi?  

Je dis, actes dit antisémites, parce que huit fois sur dix des actes qualifiés d'antisémites de prime-a-bord, par es autorités religieuses, politiques se révèlent, après enquête, sans fondement religieux ou ethnique, mais des actes de droit commun, commis par des voyous ou comme on l'à déjà vu, des actes mensongers ou fabriqués. 

Une dame de 85 ans à été sauvagement assassiné, au moment où l'information est sorti, personne n'a la faculté de dire si c'est un cambriolage qui à mal tourné, un assassinat crapuleux  ... ou un assassinat raciste, antisémite commis par un musulman, un juif ou un chrétien. Puisque apparemment il est si important de connaitre la confession de la victime ou de l'assassin. 

Aucune personnalité, aucun journaliste, radio ou télévision, aucun de ces pseudo intellectuels qui nous polluent la vue,  n'a fait le rapprochement avec l'assassinat du gendarme qui s'est offert pour remplacer un otage, il n'y rien qui vous dérange, vous les supermans  de la manipulation? Non eh!, bien je vais vous le dire : 

  • Personne ne s'est soucié de l'origine ethnique ou de la religion de ce gendarme. Il, y aurait donc une loi, divine assurément, qui demanderait que soit divulgué l'ethnie et la religion lorsqu'il s'agit d'un juif? 
  • N'avez vous par remarqué que ces atavisme adoucissent les crimes que commettent par ailleurs d'autres juif? 

Lisez, si vous n'êtes par trop illuminé par la connerie:
https://mail.google.com/mail/u/0/?hl=fr&shva=1#inbox/1626d8238d0e47a6

https://www.facebook.com/Palvox17/videos/1241041176029251/

Pourquoi Israël ne peut pas attaquer l'Iran

Israël vante les mérites de Tel-Aviv, Jérusalem, la Mer-morte … Une honte pour n'importe quel homme intelligent et honnête, ce qui va de pair.

C'est comme un voleur de voiture qui customiserait la "caisse" puis vanterait les mérites de son moteur. 


Analyse: Malgré la menace qu'ils représentent, attaquer les sites nucléaires iraniens reste un scénario très périlleux pour l'Etat hébreux. Explications.

Levy. (afp/nxp)
25.02.2012

Cet article de la TRIBUNE DE GENEVE, écrit par le "journaliste" Levy de l'Agence France Pesse en 2012, présente les installations nucléaires des pays Arabes et iraniennes  comme un danger pour la paix mondiale, mais il apporte la preuve, aussi, que c'est justement Israël qui est le danger pour la paix mondiale. Car il me parait flagrant que les pays Arabes en général, la Palestine en particulier et indirectement l'Iran sont victimes de la velléité et des attaques israéliennes. Israël est entrée dans le club nucléaire par la petite porte (illégalement) fait peser un danger sur ces pays, sans qu'il aient la possibilité d'une riposte du même niveau.

Si l'Iran par exemple accédait à l'arme nucléaire, Israël devrait revoir sa copie et mener une politique plus en adéquation avec le Droit et la Justice. Devrait prendre en considération ses voisins au lieu d'en faire ses ennemis.

Israël, contrairement à l'Iran, n'a pas signé les Accords de non prolifération de l'AIEA et ne peut, par conséquent, être contrôlé par cette agence. L'Iran qui a lui, signé les Accords de l'AIEA et est à ce titre contrôlé par elle. Dans ces conditions de quel droit le va-t-en-guerre, qu'est l'Etat israélien, agresse des Etats souverains?
Ce que veulent les pays précités est, en ce qui me concerne, très clair. Ils veulent qu'Israël change de politique vis-à-vis de la Palestine et aussi des Etats de la région, c'est une évidence.

Israël est la seule puissance nucléaire de la région, est cautionné par les USA pour la seule raison qu'il est le fer de lance de sa politique au Proche et Moyen-Orient. Dans ces conditions qui est le réel danger pour la paix mondiale? Israël agit en prédateur sans scrupules et outrepassant le Droit international, les Droits de l'homme, les Résolutions de l'ONU, seul un gangster affirmera le contraire. Et l'on voudrait nous faire croire que le danger c'est l'Iran!

Nous subissons le terrorisme musulman c'est un fait, mais sommes-nous conscient que c'est l'Occident en général et Israël en particulier qui en sommes à l'origine. Et pourquoi? Pour pérenniser un Etat illégal dirigé par des criminels de guerre. Il n'y pas un seul dirigeant d'Israël qui ne puisse être condamné pour des crimes de guerre.
   

Un bombardement par Israël des sites nucléaires iraniens serait extrêmement périlleux pour l’Etat hébreu mais aussi pour les Etats-Unis, qui risqueraient d’être emportés dans un conflit, estiment des experts américains.
Ces dernières semaines, Israël a soufflé le chaud et le froid sur la possibilité de mener des bombardements pour paralyser le programme nucléaire de Téhéran. Mais Américains et Européens ont redoublé leurs pressions pour éviter toute attaque et donner une chance aux sanctions internationales.
En cas d’attaque, la défense aérienne et les avions de chasse vieillissants de Téhéran ne devraient pas poser de gros problèmes à Israël, mais la réussite d’une telle mission dépendrait largement de la fiabilité des renseignements israéliens et de la capacité de l’Iran à cacher son matériel sensible.
Tâche hasardeuse
Israël est réputé pour sa capacité à frapper les sites cachés de ses ennemis, mais attaquer le dispositif nucléaire iranien représente une tâche bien plus hasardeuse en comparaison des raids menés dans le passé contre l’Irak et la Syrie.
En 1981, des chasseurs israéliens avaient détruit le réacteur atomique irakien d’Osirak sans perdre un avion et en 2007 les Israéliens sont fortement soupçonnés d’avoir anéanti un réacteur clandestin en Syrie.
Mais parcourir 1600 km pour atteindre l’Iran serait un défi pour la capacité de ravitaillement des avions israéliens, alors que les sites iraniens --dont une usine construite dans la montagne-- constituent des objectifs difficiles à atteindre.
Sites dispersés
"Il ne s’agit pas d’une croix sur une carte, d’une cible unique qu’on anéantit avec un bombardement et puis c’est réglé", résume William Fallon, ancien amiral de la marine américaine qui était à la tête des opérations militaires américaines au Moyen-Orient et en Asie centrale jusqu’en 2008.
Une attaque serait "très difficile" parce que les Iraniens "ont été assez intelligents dans la façon de disperser leurs sites nucléaires", a déclaré M. Fallon jeudi lors d’une conférence d’un centre de réflexion à Washington.
Les experts estiment que l’Iran serait sans doute capable de relancer sa production d’uranium enrichi après avoir encaissé des bombardements.
"Les équipements qui servent à concevoir des centrifugeuses peuvent être déplacés assez rapidement et l’ont déjà probablement été. Du coup, ce qu’on croit savoir à un instant T n’est plus forcément valable un mois plus tard", déclare David Albright, président de l’Institut pour la science et la sécurité internationale.
Mobilisation totale
Selon Scott Johnson, consultant pour les questions de défense, Israël aurait besoin de mobiliser la totalité de sa flotte de 125 chasseurs et de huit ravitailleurs pour mener à bien un tel raid. Les Israéliens "auraient besoin de mobiliser tout ce qu’ils ont. L’ensemble du dispositif serait prêt et utilisé", dit-il.
Parmi les cibles visées, on peut recenser le centre d’enrichissement souterrain de Natanz, une centrifugeuse à Téhéran et l’usine, dont l’existence a été récemment révélée, construite dans la montagne à Fardo, près de Qom. Cette installation a été construite à au moins 80 mètres sous terre et est probablement hors de portée même des bombes conventionnelles les plus puissantes des Américains.
Israël serait par ailleurs sous pression pour mener une attaque rapide, dans la mesure où une opération durant plus d’une nuit ferait peser des risques "à la fois politiques et militaires" importants, souligne Daniel Levy, du centre de réflexion New America Foundation, qui a travaillé pour le gouvernement israélien entre 1999 et 2001.
Une attaque de plusieurs jours permettrait plus facilement à l’Iran de contrer les plans israéliens. Et un travail à moitié fini, avec des capacités nucléaires iraniennes entamées mais pas anéanties, pourrait entraîner des représailles visant les Etats-Unis.
"Quand les Israéliens mettent sur pied un tel scénario, ils partent du principe que les Américains seront obligés d’entrer dans le jeu", observe M. Levy. (afp/nxp)


Lisez, si vous n'êtes par trop illuminé par la connerie:


Marche Blanche, pour moutons de Panurge.

Israël vante les mérites de Tel-Aviv, Jérusalem, la Mer-morte … Une honte pour n'importe quel homme intelligent et honnête, ce qui va de pair.

C'est comme un voleur de voiture qui customiserait la "caisse" puis vanterait les mérites de son moteur. 


Depuis l'affaire Dutroux, l'expression « marche blanche » a été reprise à tout propos par les journalistes, et à leur suite par certaines associations ou par la population locale, dès qu'il s'agit de désigner simplement une marche silencieuse (terme approprié) de soutien ou de protestation, organisée autour de la mort d'une victime de fait divers ; et principalement quand la victime est un enfant ou un adolescent, quand elle a succombé à une action des forces de l'ordre, ou quand les circonstances de sa disparition ne sont pas élucidées.  Cette marche silencieuse ne peut donc, dans son principe même, être comparée avec la Marche blanche du peuple belge.

Le sionisme a fait croire aux Juifs qu'il était leur "planche de salut", alors qu'il est la "corde qu'ils ont autour du cou". 

On peut même ajouter que la Marche-Blanche organisé par le CRIF, suite à l'assassinat d'une personne âgée au motif qu'elle est juive, est non seulement un abus de langage, mais aussi une manipulation du CRIF qui se sert des français comme des: "moutons de Panurge" pour sa cause criminelle. 
L'enquête sur cet horrible assassinat n'a pas commencée, que les escrocs du CRIF la qualifient, déjà, d'acte antisémite.
Pourquoi instrumentaliser l'antisémitisme aussi outrageusement?
·        Une des réponses est que le sionisme a depuis toujours instrumentalisé l'antisémitisme parce que cela favorisait l'adhésion de l'ensemble de la communauté juive à ses idées.  
·    Idées, qui jusqu'à la Deuxième guerre mondiale n'ont pas eu beaucoup d’écho parmi les Juifs du monde entier.
·     Cependant cette instrumentalisation a servi à justifier les crimes que le sionisme a commis en Palestine.
·    L'autre forme d'instrumentalisation de l'antisionisme à été les attaques contre la Communauté juive de la part du sionisme.
·     Après la création du sionisme, des groupes juifs se sont formés menant des actions terroristes contre des Synagogues, Afrique du Nord ; Proche et Moyen-Orient, par exemple, visant à effrayer les populations juives pour quelles aillent grossir les rangs sionistes en Palestine.
·  Aujourd'hui l'instrumentalisation de l'antisémitisme est utilisée quasi exclusivement pour culpabiliser les citoyens du monde en général, ici, les français, afin qu'ils ne condamnent pas les crimes et le non respect du Droit international et les Droit de l'homme que bafoue systématiquement Israël en Palestine.

On peut même ajouter que cette marche-blanche est une marche pour: "Moutons de Panurge" qui ignorent la réalité criminelle du CRIF. Cette association de malfaiteurs, qui finance l'armée israélienne avec des dons que des français peuvent déduire de leurs revenus imposables, se servent d'un crime abject contre une femme âgée parce qu'elle est rescapée des camps de la mort, pour que les moutons taisent leurs  bêlements aux crimes que le sionisme commet contre l'humanité. 
Et je ne comprends pas l’adhésion de nos dirigeants à l'injustice que représente le sionisme en Palestine. 
Apparemment le Gouvernement de Vichy fait des émules encore de nos jours. 
Soyez certain qu'avec ces gouvernements-là, la vie de nos petits-enfants ne sera pas un: "long fleuve tranquille". Il nous restera la révolution où nous remplacerons la noblesse par les politiques escrocs.  

Cette marche ressemble à l'enterrement de Johnny Hallyday, où des parasites se sont sentis obligés de se montrer.   

Lisez, si vous n'êtes par trop illuminé par la connerie:
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mercredi 28 mars 2018

Assassinat d'une personne âgée.


Le Mercredi 28 mars dans l'émission de RMC, JJ Bourdin et Rachida Datti convenaient d'un acte antisémite, l'assassinat d'une dame de 82 ans rescapé de l'Holocauste (la Shoah pour les Juifs).

L'assassinat d'une personne âgée est toujours un acte qui déshumanise son auteur, qui le place au niveau de l'animal, nous sommes d'accord. Mais se servir de ces actes abominables, pour tenter de faire passer un message, n'est pas irréprochable.  

Le fait que l'on déclare qu'elle était rescapée de l'Holocauste n'a en l'occurrence d'intérêt que si l'assassinat a été accompli pour la seule et unique raison de son origine juive. Que cette dame soit rescapé de l'Holocauste  devrait être rapproché aux responsables de sa déportation et non à la société. Cependant, cela ne me dérangerait pas, si, il n'y avait pas d'autres juifs, sionistes d'accord, qui se servant de ses déclarations (y compris avants la conclusion de l'enquête qui doit déterminer les circonstances de du crime), en qualifiant d'assassinat antisémite, espérant adoucir les crimes qu'ils commettent, par ailleurs. 
Des crimes tout  aussi horribles en Palestine, contre des êtres humains qui ne leur avaient rien fait, volent les terres d'un peuple qui avait accueilli les rescapées des camps de la mort comme des frères.

Le CRIF, association de criminels par procuration, qui manipule les citoyens français et finance l'armée israélienne.  Utilise ces actes pour tenter de justifier les crimes que je viens d'exposer. Israël est, que vous le vouliez ou non, un Etat illégal et c'est justement parce qu'il est illégal qu'il doit se maintenir par la force des armes et influer l'opinion par associations crées ad-hoc. 

Nous ne connaissons pas l'origine ou la religion du Gendarme, qui vient d'être lâchement assassiné, et c'est très bien ainsi. Ce qui ne m'empêche pas de compatir avec ses proches, quelque soit son origine ou sa religion.    

=-=-=-=-=-=-=-=

Tous ceux qui instrumentalisent l'antisémitisme, se rendent-ils compte que leur action le conforte ? Aujourd'hui nous devons faire face à une vague de terrorisme sans précédent. Cependant toutes ces "élites" qui crient: "sus aux musulman" se posent-ils la question de de savoir qui a crée la matrice de ce terrorisme ? 

Alain Duhamel a déclaré se soir: que les Juifs considéraient, les antisionistes défenseurs de la cause palestinienne, comme des antisémites. Il oublie, cependant, la notion de justice qu'il y a dans leur combat.
En ce qui me concerne je leur dis: "Ce sont des gens comme nous qui avons extirpé quelques juifs des griffes nazies. Si nous nous étions comportés comme la plupart des juifs aujourd'hui, les palestiniens vibraient en paix". Comment pouvez vous abonder dans le sens de ces criminels. Il n'y a pas un dirigeants israélien qui n'ait pas du sang sur les mains. Du sang de gens instruits, pacifiques qui ne demandaient que de vivre en paix.   


Vous les irréprochables.
Lisez, si vous n'êtes par trop illuminé par la connerie:


lundi 26 mars 2018

Notes Catalanes, institutions espagnoles et indépendantisme.

Quelques considérations préoccupantes après l'emprisonnement de cinq autres politiques de Catalogne

Apuntes catalanes
Concentración Parlem, en Barcelona, el 7 de octubre. 
Foto: Jorge Lizana / Fotomovimiento

redaccion@lamarea.com
24 mars 2018



Quelques notes sur les dernières étapes des institutions espagnoles contre les procès catalans, quel qu'en soit le moment. Cependant, je veux d'abord que quelque chose soit clair:

Cette semaine, le Parti populaire, le PSOE et le Parti citoyens ont empêché une modification de la loi d'amnistie de 77 dont la seule intention était de pouvoir juger les crimes de Franco contre l'humanité. C'est-à-dire, les exécutions sommaires, les disparitions forcées, la torture, le rap de personnes et autres. 
Le groupe formé par ces trois partis compte 250 députés sur les 350 que compte le Congrès espagnol. Autrement dit, la grande majorité du Parlement est contre le jugement de tels crimes. Quelles que soient les excuses, c'est ainsi. Ce n'est pas par hasard s'ils sont aussi les principaux partisans de l'application de l'article 155 en Catalogne.

A l'ensemble de partis mentionnés ci-dessus, y compris le Gouvernement espagnol, il faut y ajouter le chef de l'Etat, à savoir, le roi Philippe VI, puisqu'il a pris position ouvertement par les décisions antérieures et par la punition infligée aux partisans du Procès.

Maintenant, les notes:
Nous nous sommes habitués au fait que le gouvernement d'une communauté autonome soit occupé par l'État en application de l'article 155, ce qui nous semblait scandaleux, sinon martien, il y a tout juste un an.

De la même manière, a été normalisé l'appelé «crime de rébellion» contre lequel viennent de mettre en garde de nombreux universitaires et juristes.

Nous nous sommes habitués à ce que des dirigeants politiques et quelques présidents d'associations civiques restent en prison sans avoir étés reconnus coupables.

En ce sens, nous avons fini par assimiler la détention préventive à une forme de punition.

Ils nous ont convaincus que les actions des juges sont indépendantes de l'exécutif. Au-delà de ce sophisme, le bureau du Procureur, duquel le juge Llarena agit - disons - appartient au Gouvernement espagnol et dépend de lui.

Nous avons supposé que le mouvement indépendantiste n'est pas une idéologie mais un crime, admettant de la part des secteurs du PP la possibilité même d'interdire que cette tendance puisse être présentée aux élections.

Nous avons supposé que l'analyse de tous les événements vécus au cours des derniers mois doit être juridique, alors qu'il s'agit clairement d'une action politique.

Il a été popularisé l'idée que le président du Gouvernement, Mariano Rajoy "ne fait rien" et "ne prend pas de décisions". L'idée de «l'inaction» de Rajoy se répand, ignorant le fait que toute inaction politique - s'il y en a une - est une forme d'action.

Il dépeint «la masse citoyenne» comme une entité intrinsèquement dangereuse et sa mobilisation comme quelque chose susceptible d'être puni.

Il y a ici et là des titres informatifs et des opinions politiques qui répondent à la déclaration le "Procés a pris fin". Ces déclarations ne tiennent pas compte de la très grande partie de la population catalane qui soutient une nouvelle définition des relations avec l'Espagne, que ce soit le mouvement indépendantiste ou non. Ainsi, l'illusion de la «fin du problème» est créée, alors que la vérité est que le «problème» continue de grandir.

Il semble normal que le Parti socialiste soit représenté avec le PP et le Parti Cidadanos en actes de la société Civile Catalane, oubliant que les crimes commis par le Parti populaire (Rajoy) doivent être considérés comme appartenant à un gang organisé pour le crime. En d'autres termes, le mouvement d'indépendance est «pire» que la destruction du bien public, la corruption, le vol et l'association criminelle généralisée.

Nous leur avons permis de pervertir l'idée de la violence, en l'étiquetant comme de telles manifestations citoyennes où plus d'un million de personnes sont descendues dans la rue encore et encore dans une paix très remarquable. 
Et avec cela nous permettons, encore une fois, l'idée de «la masse citoyenne», c'est-à-dire de la manifestation massive, comme un exemple de violence.

Nous avons supposé comme normal que dans le reste de l'Espagne les citoyens ne se prononcent pas contre l'emprisonnement, les exercices évidemment répressifs et l'arbitraire judiciaire. Et donc rejetent la preuve que les actions institutionnelles menées en Catalogne ressentent un précédent inquiétant, applicable à d'autres idées, d'autres «masses citoyennes» et autres manifestations.

Il convient d'ajouter que nous devrions repenser ce que sont les procès catalans en ce moment; ce que c'est, loin de finir, vient de commencer; et quelle est notre définition de la violence.


Carles Puigdemont


Carles Puigdemont a été arrêté, au retour vers la Belgique,  à la frontière entre l'Allemagne et le Danemark par la police allemande, suite a un mandat d'arrêt européen émis par l'Espagne.

Carles Puigdemont en exil en Belgique où il a élu domicile.
  • Jamais dans l'histoire contemporaine un mandat d'arrêt a été demandé contre un Gouvernement en exil.
  • Rajoy l'a fait et pourquoi ?
  • Pour avoir organisé un référendum, une consultation  populaire.
  • Il n'y a pas là un abus de pouvoir dictatorial?
  • Il risque 30 années de prison pour avoir voulu un meilleur avenir pour son peuple.  
  • Même les Citoyens Allemands condamnent la conduite de leur police.
  • Cette Europe-là ne protège pas ses citoyens, elle les utilise mais ne les protèges pas. Comment peut-elle accepter en son sein une pseudo démocratie avec la Constitution issue d'une dictature?    
La Constitution de 77 avait comme objectif d'amnistier les responsables des crimes commis durant la période franquiste ; d'officialiser les lois répressives existantes ; d'élaborer des lois contre les régions ou élus qui les contesteraient  C'est-a-dire, que comme une organisation mafieuse, cette Constitution-là ne reconnait que ses propres lois, en dépit du droit international ou les droits de l'homme. Elle ne protège pas les citoyens des abus de pouvoir, mais, protège le pouvoir des exigences démocratiques des citoyens. L'Europe qui aurait pu exiger le respect de la démocratie et de la justice, en tout-état-de-cause, condamner les brutalités du pouvoir et ses abus, mais cette Europe-là n'est pas démocratique, le but poursuivi par elle est de préparer la gouvernance mondiale au détriment, c'est une évidence, des PEUPLES.  

Quel pays européen a des prisonniers politiques?
Je crois que cette simple question devrait interloquer tous les démocrates européens. L'Espagne actuelle est Gouverné par les résidus du franquisme, qui fait voter des lois impropres à une démocratie et confient à la justice le droit de les appliquer. Ce n'est pas une démocratie, c'est une dictature déguisée: 

Cette semaine, le Parti populaire, le PSOE et le Parti citoyens ont empêché une modification de la loi d'amnistie de 77 dont la seule intention était de pouvoir juger les crimes de Franco contre l'humanité. C'est-à-dire, les exécutions sommaires, les disparitions forcées, la torture, le rap de personnes et autres. 
Le groupe formé par ces trois partis compte 250 députés sur les 350 que compte le Congrès espagnol. Autrement dit, la grande majorité du Parlement est contre le jugement de tels crimes. Quelles que soient les excuses, c'est ainsi. Ce n'est pas par hasard s'ils sont aussi les principaux partisans de l'application de l'article 155 en Catalogne.

Un mandat d'arrêt est normalement lancé contre un criminel. En l'occurrence le criminel, le violent serait plutôt le gouvernement Rajoy. Qui s'est conduit à l'encontre d'électeurs (bulletin de vote en main) avec une violence et brutalité anormale, l'à, encore une fois, jamais dans l'histoire contemporaine de l'Europe une Démocratie ne s'était comporté comme une dictature.

En Espagne,  aucun espagnol n'a été consulté dans se que fut la passation de pouvoir, entre Francisco Franco et Juan Carlos. Aucun espagnol n'a voté la monarchie. Et ces gens-là voudraient donner des leçons de démocratie !  

Dans ces condition pourquoi que l'Europe accepte de valider le mandat d'arrêt?
Parce que comme l'Espagne, l'Europe n'a de démocratie que le nom:
  • Avez-vous voté pour J.M. Barroso ? (il coule des jours heureux)
  • Avez-vous voté pour J.C. Yunker ?  (père Noël de la finance)
  • Avez-vous voté pour les membres de la Commission?
  • Étiez-vous parfaitement conscient du Député européen que vous élisiez ? 
L'Europe est un élément de domination et l'Espagne l'a bien compris, en adoptant les thèses mondialistes et antidémocratiques de cette Europe où il vaut mieux être un truand plutôt qu'un honnête citoyen qui contrarie leurs "plans". 
Ils ont d'avantage peur, c'est une évidence, de la véritable démocratie que représente l'indépendance catalane, que séparatisme affiché.  

Savez-vous, que c'est la police secrète espagnole qui a averti la police allemande, je parle bien de police secrète, non de défense du territoire. Connaissez-vous une démocratie avec une police secrète ?
  • Une police secrète sert a la surveillance de sa propre population, qui surveille ses citoyens, moins pour l'irrespect de la loi que pour leurs idées.
  • Aux USA il y a le FBI, mais c'est une police Fédérale, non secrète. La CIA s'occuperait plutôt de contrespionnage, bien que la réalité soit contredite.
  • Franco avait une police secrète, puisque ce genre de gouvernance, se maintiennent par la violence contre ses sujets.
  • Il y avait bien l'Iran du Shah, la SAVAC, une des police secrètes des plus féroces au monde, que la CIA à mis en place.
  • Mais une Espagne soi-disant démocratique, pourquoi a-t-elle besoin d'une police secrète? Parce que la dictature franquiste à simplement changé de dénomination, mais le cœur du pouvoir est le même et se doter d'une constitution ne garantit assurément pas la démocratie.    
Pourquoi l'Espagne a une police secrète? Parce lors de la transition Juan Carlos à gardé la mêmes structure qu'avait Franco, c'était une des conditions. Lorsque la "constitution" à été établie les criminels de guerre franquistes furent amnistiés, au nom de je ne sais quelle justice.
La monarchie s'est donc appuyée sur: l'armée, la police et le parti franquiste. Et on pense même, que le Putsch militaire aux Cortes qui voulait donner les pleins pouvoirs au roi,  était un coup monté. Un false flag, contre sa propre bannière visant a donner confiance à la population. Et qui se vérifia au-delà de leurs espérances. 

C'est ensuite que les choses se sont "gâtés" les espagnols perdaient leurs biens, suite aux crédits accordés, a-tort-et-a-travers, et à la crise qui ne manque jamais d'apparaître dans ces cas-là, tandis que le roi faisait des safaris en Afrique et allait aux putes à Ibiza, une des raisons pour lesquelles il a du abdiquer au profit de son fils que personne n'avait élu, ni souhaité.
(À part sans doute, les royalistes et les franquistes)
Les biens ainsi perdus n'allaient pas compenser la perte des banques, mais en majorité entraient directement et sans jugement en possession des nomenclatures royalistes et franquistes.  

Cette Monarchie né d'une dictature qui avait tout à prouver à un peuple qui lui avait confiance s'est conduit  comme un flibustier.

Revenons si vous le voulez bien à Carles Puigdemont.
Le gouvernement franquiste (bien que portant le nom de Parti Populaire) fait porter à la Justice la responsabilité des décisions qui condamnent Puigdemont, cela fait plus sérieux, d'avantage démocratique. Mais dans les faits c'est une mesure de ce gouvernement, de cette dictature, oserais-je dire, c'est la volonté du franquiste Rajoy. C'est à lui que l'on doit la violence déployé en Catalunya, qui aimerait-bien que les populations se révoltent pour les frapper encore plus fort. 
L'Histoire catalane est remplie de ces brutalités.
Rajoy fait accuser les organisateurs de la consultation populaire de Sédition et Rébellion, bien que aucune violence ne puisse être comptabilisé coté indépendantiste.
  • Sédition  = instigation à l'émeute.
  • A ma connaissance il n'y a pas eu d'émeute. Non?
  • Rébellion = violence contre l'autorité. Celui qui a pris le pouvoir par la violente c'est Franco.   
  • A ma connaissance la violence n'était pas du coté de Puigdemont. Non?
  • C'était une votation (comme diraient les Suisses) Non?
Un des principes fondateurs des Droit de l'homme et que toute démocratie se doit de respecter est: Le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes. Ou a faire en sorte de leur faire accepter leur sort, mais certainement pas par la loi, ni par la force. Et encore moins lorsque ces lois sont calquées sur une dictature.

Le franquiste Rajoy suivi du roitelet, au lieu de se poser la question de savoir pourquoi, depuis une bonne dizaine d'années les indépendantistes catalans comptaient de plus en plus de partisans, préfèrent employer la violence.
Au lieu d'écouter les catalans (ce que Rajoy a toujours refusé de faire) de trouver un arrangement,  d'aménager un consensus, peut-être plus favorable, un peu comme celui des basques, le roitelet Philippe VI,  fait comme son prédécesseur [Philippe V, duc d'Anjou -petit fils de Louis XIV- qui avec son armée alla soumettre Catalunya par guerre avec l'aide des français qui bombardèrent Barcelone depuis la mer.

Après les réorganisations des Royaumes de Catille et D'Aragon dont faisait partie la principauté de Catalunya: de la région de Valence en Espagne au Languedoc-Roussillon et  des îles Baléares à Andorre.  [Tout ce petit monde parlant catalan]
Le Palais des Rois de Majorque sis à Perpignan était une des demeures des Princes de Catalunya.
La Sardaigne a été sous domination Catalane durant quatre Siècles. Dans la région et la ville d'Alghero au Nord-est de la Sardaigne, on parle encore de nos jours le catalan.

On voit bien qu'historiquement, et surtout après que Franco ait renversé la République espagnole et catalane par le putsch militaire et la guerre civile, les aspirations catalanes ne sont pas aussi injustifiées que le dictateur Rajoy l'a laissé sous-entendre (en qualifiant des positions somme-toute louables) et qui auraient mérité un autre traitement, que celui de: Produisez et Taisez-vous. [La Catalunya représente 20% du PIB espagnol et il m'est clair que, les despotes ne voulaient se séparer de cette rente.]

Mais, surtout et compte tenu, encore une fois, du traitement que lui inflige le gouvernement Rajoy, des catalans qui s'appauvrissent depuis 20ans, Rajoy qui refuse, purement et simplement, toute discutions ou/et doléance de la part des représentants catalans. Il ne reste que l'indépendance pour continuer à progresser.

Une preuve qui pour moi est irréfutable. S'il y a en Catalunya de catalans dont les parents sont nés dans d'autres régions et qui s'opposent à l'indépendance (par peur ou des raisons injustifiées) (*¹) il y en a qui son indépendantistes et siègent au Parlement à ce titre.

L'Europe démontre une nouvelle fois-là qu'elle est outil d'asservissement des Peuples, contrairement à ce que voulaient ses pères. Un espace de Paix, de Progrès ou le sociétal et le social se confondaient  dans un même élan de prospérité.  
 
(*¹)  Car jamais en Catalunya il n'y a eu des actes violents contre des personnes originaires d'autres régions, ils n'ont jamais eu à déplorer des emplois réservés aux catalans, et il m'a semblé, lors de mon dernier séjour, avants cette affaire, que le contraire aurait pu être vrai. Par l'animosité que le lieu de naissance et mon nom inspirait, alors qu'il n'y a pas si longtemps s'était le contraire.  


1714 : La "Diada" (Le Jour d'indépendance)




Corpus de sang". La Guerra dels Segadors. 
CRÉDIT PHOTO : TABLEAU D’ANTON ESTRUCH I BROS

Historique, le contentieux entre Barcelone et Madrid ne date pas d’aujourd’hui. Au XVIIe et au XVIIIe siècle, la France y a joué son rôle et, en 1934, une très éphémère République catalane a même été proclamée
Un peu plus d’un mois après la déclaration unilatérale d’indépendance de la Catalogne qui avait entraîné la mise sous tutelle de la région, celle-ci est en campagne en vue des élections du 21 décembre prochain. Après la tenue, le 1er octobre 2017, d’un référendum d’autodétermination interdit par Madrid, ce scrutin anticipé vise à remplacer le gouvernement catalan dissous le 27 octobre par le chef du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy.  Réfugié en Belgique, l’ex-président catalan destitué, Carles Puigdemont,  est candidat à sa propre succession et se trouve sous le coup d’un mandat d’arrêt européen lancé contre lui par l’Espagne.

Le rêve d’indépendance de la Catalogne vient de loin. Tout au long de l’histoire de l’Espagne, les Catalans se sont toujours distingués par une langue et une culture politique propres. Juridiques, économiques et fiscaux, les multiples contentieux entre Barcelone et Madrid, nés au XVIIe siècle, se sont cristallisés durant la période noire de la dictature franquiste.

Ecrasés par les impôts imposés par Madrid pour financer la guerre franco-espagnole déclenchée en 1635, des centaines de paysans catalans se révoltent. Rassemblés à Barcelone, ils tuent le vice-roi qui représente le pouvoir central espagnol. La légendaire "guerre des Faucheurs" ("guerra dels Segadors") qui a nourri le nationalisme catalan, constitue encore le thème de l'actuel hymne catalan.

La réconciliation entre Paris et Madrid lors du fameux traité des Pyrénées (1659), prévoit une partition de la Catalogne et la rétrocession de la moitié nord de la région, rebaptisée Roussillon, à la France. Le mariage royal du jeune Louis XIV et de l’Infante Marie-Thérèse, fille du roi d’Espagne, vient sceller la paix entre les deux pays.

A la mort de Charles II qui, sans descendance, a désigné comme héritier le Français Philippe d’Anjou, la guerre de Succession d’Espagne (1701–1714) éclate. En première ligne, les Catalans choisissent le camp des Habsbourg de Vienne, contre celui des Bourbons. Hélas pour eux, les seconds l’emportent et prennent Barcelone, le 11 septembre 1714. Depuis, cette date marque la fête nationale catalane, la "Diada", qui commémore la reddition de Barcelone et symbolise pour les Catalans le début de leur "martyre". Conforté sur son trône, le nouveau roi Philippe V de Bourbon, petit-fils de Louis XIV, décide d’appliquer à son royaume le centralisme à la française et d’y supprimer tous les particularismes régionaux.

Franco fait tomber Barcelone, en 1939
Au début du XXe siècle, la Catalogne, devenue la grande région industrielle d’Espagne, est le berceau de ses luttes ouvrières. Elle subit la répression policière de la monarchie. En 1932, sous la Seconde République, le Parlement espagnol vote un statut d’autonomie pour la Catalogne. Le castillan et le catalan sont placés à égalité comme langues officielles. En 1934, une très éphémère République catalane est même proclamée. Mais la guerre civile qui éclate en 1937, après la victoire du Front populaire en 1936, se solde par la défaite républicaine et la victoire du général nationaliste Franco, en janvier 1939, avec la chute très symbolique… de Barcelone. À partir de février 1939, commence l’exode des réfugiés espagnols de la guerre civile, laRetirada ("retraite" des troupes, en espagnol et catalan). Plus de 450 000 républicains franchiront la frontière franco-espagnole.

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Des réfugiés républicains espagnols en route vers la France. 
CRÉDIT PHOTO : ARCHIVES SUD OUEST GEORGES BERNI