jeudi 31 mai 2018

Renault ; PSA, les bons élevés de la Silicon Valley



RMC avec Médiapart dénoncent les entreprises qui utilisaient un logiciel qui augmentait certains le prix des pièces détachées.

Pour leurs truanderies, eux les pseudos super pdg. Un truand sait aussi le faire cela, mais lui va en prison.

Comment sanctionner les PDG de PSA et Renault ?
En leur faisant rendre personnellement les recettes encaissées en trop, plus une amende. Puisque leur bonus et salaires était basés sur les résultats de l'entreprise, il est donc logique qu'ils payent avec interdiction de gérer à vie une entreprise.

Il faut en terminer avec tous ceux qui, parce qu'ils détiennent la faculté de mettre la "main à la caisse" devraient être sanctionnés exemplairement, puisqu'ils doivent de par leur exercice, donner l'exemple qu'ils soient dirigeants économiques ou politiques.

C'est à ces conditions que nous assainirons de la société y compris pour les dirigeants, économiques ou/et politiques.

C'est une plaisanterie de condamner un dirigeant, économique ou politique donc l'action est basée sur la confiance, a quelque années de non élection ou une amende  qui ne serait pas en rapport avec le préjudice  financier et moral.
Si c'est ça le libéralisme, ont est dans la mouise jusqu'au cou…

mercredi 30 mai 2018

Le néolibéralisme et le changement radical du pouvoir de l'État




A partir des années quatre-vingt, l'idéologie néolibérale a imposé la "nécessité" de démanteler les différents appareils d'Etat, tel les lois restrictives du marché, en fonction des intérêts corporatifs des grands capitaux transnationaux.

Cela a été entrepris dans une grande partie du globe, en procédant à la privatisation des services et entreprises d'utilité publique dont le contrôle était entre les mains de l'État.
Moins, que contrer l'Etat providence [la protection de ses sujets est le devoir de tout Gouvernement] Ce que recherchent les "vendeurs" de l'apologie LIBERALE c'est à exploiter, sous l'argument de la libre concurrence, la tirelire que représentent les services d'utilité publique. Le respect du citoyen quelque soit ses capacités intellectuelles, physiques, économiques leur passe, selon l'expression: "par-dessus la tête". Ce n'est pas leur problème, leur seule préoccupation est le profit, et qu'il se réalise selon l'expression: "sur le dos des plus fragiles" ne blesse ni leur intelligence, ni leur moralité.
L'animal, aussi, n'agit qu'en fonction de son intérêt. La sémantique utilisé ne devrait tromper personne, pourtant sous l'idéologie libérale le fascisme n'est pas loin.

Ce processus fait que la situation sociale et économique d'une majorité de citoyens s'aggrave au lieu qu'elle ne se concrétise et incrémente le niveau-de-vie que promettent les apologistes de ce courant capitaliste, dans une proportion similaire ou proche de celle des pays hautement industrialisés. De cette façon, l'État est devenu contrôlé par les intérêts du marché. L'État providence qui s'est propagé après la fin de la Seconde Guerre mondiale a été relégué à l'arrière-plan.

Mais au-fur-et-a-mesure que l'avance et la consolidation du néolibéralisme mondialisé semblaient impossible à arrêter, s'est faufilé en même temps, un courant ascendant de résistance populaire. Au début, comme foyers isolés, concentrés chacun sur ses revendications particulières, mais ensuite s'articulant entre-elles, localement et internationalement, au-delà de ses frontières naturelles, une gamme de mouvements et de propositions qui convergeaient dans les mêmes causes. Un vaste mouvement hétérogène contre le capitalisme néolibéral appelé aussi MARCHE,  qui tente vampiriser la vitalité des populations, a acquis une nuance ouvertement politique et anti-impérialiste d'une période pas si lointaine.

Le Marché, qui s'est désigné seul fournisseur de la dette des Etats,  propulsant les Banques centrales aux oubliettes d'où elles émergent pour son profit, voudrait, pour désendetter ses obligés, (Etats endettés) qu'ils relâchent l'étreinte  de l'économie pour le plus grand bonheur, non des populations mais des banquiers et leurs hommes de main.   

La volonté politique, exprimée dans les discours, les mesures gouvernementales et certaines lois, ne suffisait pas à transcender audacieusement le cadre traditionnel des fonctions étatiques. Maintenant, devant la reprise progressive du pouvoir dans certains pays par les secteurs politiques conservateurs en relation avec les intérêts hégémoniques américains, il est nécessaire d'aborder le problème de manière moins simpliste et distinguer dans les propositions néolibérales du MARCHE ou de ses sbires comme l'avancée d'un néofascisme que masque le libéralisme …  

Quel plus bel exemple que celui de l'Espagne qui a vécu sous le régime fasciste du dictateur Franco et qui se poursuit sous la Monarchie et où ses serviteurs avaient et ont les faveurs au détriment du peuple. 

La politique Américaine ne peut être plus claire à ce sujet.

mardi 29 mai 2018

La route du fascisme

Sommes-nous surs que le LIBÉRALISME n'est pas un fascisme déguisé ? A constater la brutalité des provocations du pouvoir, de la pugnacité mise en œuvre pour défendre cette idéologie, il ne peut y avoir de doute.
La volonté des peuples est trop souvent ignorée ou mise de coté y compris après un vote ou un référendum.


Un mouvement réveillé de sa léthargie et capable de détruire tout sentiment humanitaire


29-05-2018


L'Europe, les États-Unis et maintenant l'Amérique latine vivent à l'ombre d'un des mouvements les plus destructeurs de l'histoire de l'humanité. Le fascisme ressuscité fait des ravages dans toute tentative d'humanisation des politiques et ronge l'âme même des sociétés, ce qui crée une vague de rejet pour tout ce qui est considéré comme « différent » qui mène à la ségrégation des groupes les plus pauvres comme s'ils étaient les coupables de tous les maux de la planète.
Mais alors, Emmanuel Macron n'aurait rien inventé! Il poursuit simplement l'œuvre fasciste que les USA ont réveillé, une sorte de Maccarthysme, mais non contre les communistes, quoique, mais contre tous ceux qui a leurs yeux ne méritent d'avoir une existence décente ou tout simplement exclus des "clubs": truands and-Co ; cupidon à l'envers ; manipulateurs SA ; Herzl  S.A.R.L.(qui se fait livrer, mais ne paye pas) ; Gourous réunis ; escrocs patentés […]   
Dans cette atmosphère de mépris et de répression contre les personnes pour des motifs ethnique, de religion, de statut socio-économique ou simplement de parler une autre langue, sont les souffre douleurs des uniformes ou mercenaires qui réalisent la tâche de faire savoir quelles sont les règles du jeu. 

Par ces règles de discrimination et de racisme est comme les filles, les garçons, les hommes et les femmes du triangle nord de l'Amérique centrale souffrent de persécution, viol, torture et mort, par la seule audace d'avoir osé franchir les frontières qui supposément conduire à trouver de meilleurs conditions de vie. C'est ainsi qu'une jeune fille de seulement 20 ans - Claudia Patricia Gómez González - a perdu la vie avec une balle dans la tête tirée par un garde-frontière lors de son entrée aux États-Unis.

Claudia Patricia a rencontrée la mort par la commande depuis le tête même de l'empire, à partir du moment où le président du pays le plus puissant sur terre a entrepris la mission de « nettoyer » ses terres des Latinos et toutes sortes de « indésirables » étrangers pour ses plans d'imposer un style de gouvernement fasciste. Apparemment, ignorants de leur propre histoire, ce président a insisté, avec une persistance digne de meilleures causes, la tâche de transformer la société américaine en une sorte de modèle dans son concept de communauté qui ne peut pas accueillir la diversité.

Claudia Patricia ne correspond pas au profil acceptable pour les lois d'immigration des États-Unis. Il ne s'intégrait pas non plus dans les groupes cibles des plans de développement de son pays, le Guatemala, [qui a à transféré sont Ambassade à Jérusalem, il y a tut juste quelques heures] où il n'avait pas la possibilité d'avoir accès à une éducation de qualité qui lui permettrait de progresser dans la vie. S'il l'avait eu, aujourd'hui il vivrait probablement. Dans sa ville, San Juan Ostuncalco, comme c'est souvent le cas dans les zones rurales guatémaltèques, les services de l’État sont déficients; la population manque d'eau potable, de latrines et d'une couverture éducative suffisante pour une population croissante, avec des niveaux de pauvreté et d'abandon inacceptables.

Tout comme elle ne cadrait pas avec les plans de son gouvernement, ni les milliers d'enfants et d'adolescents migrants de ces terres, qui, piégés dans une chaîne d'horreurs depuis leur naissance et désireux de trouver une route vers l'avenir, ils se lancent dans une aventure folle. De ce défilé sans fin à la terre de l'abondance, peu de gens accomplissent leur mission. Beaucoup restent sur la route soumis aux abus les plus atroces commis par des organisations criminelles, dédiés - avec la complicité des autorités de tous les pays impliqués - à l'activité très productive de la traite des êtres humains. D'autres, tout simplement, sont victimes de leur propre fragilité et sont laissés dans le désert, noyés dans les rivières au cours d'un voyage pour lequel ils ne seraient jamais préparés ou tués par une balle,

De ce côté du continent, sa famille la pleure et les réseaux bouillent d'indignation pour ce fait de sang absurde. Les autorités, en revanche, sont très occupées à lutter contre la CICIG pour prêter attention à cet «incident isolé».

Il est évident que sans le soutient mutuel que se portent les fascistes, les manipulations, les crimes, les viols de souveraineté, les vols tout court, les massacres qu'exercent ces-gens-là ne pourraient avoir lieu.

Ce qui me désole, c'est la léthargie où se trouvent tous ceux qui aujourd’hui tirent malgré tout leur "épingle du jeu", mais jusqu'à quand?  

Blog de l'auteur: www.carolinavasquezaraya.com

lundi 28 mai 2018

BFM Tv. Apolline de Malherbe




Hier sur BFM TV, Apolline de Malherbe  paraissait indignée par la représentation de Macron en tenue de dignitaire nazi, paru lors de la dernière manifestation et cherchait à connaître le sentiment d'Olivier Besancenot à ce sujet, plus exactement s'il approuvé l'affiche, pour l'y assimiler, sans doute. 

C'est-elle préoccupé du caractère terroriste que les dessinateurs des caricatures de Charlie Hebdo, voulaient imprimer dans le subconscient de tous ceux qui au lieu de réfléchir avalent ces couleuvres ? Oh! Ce genre de journalistes pullulent dans les rédactions, distribuant une vision partielle ou/et incomplète de l'information. Israël a d'assassiné depuis 2004 des centaines de personnes, en a blessé des milliers, sans que ces médias soulèvent le paillasson... Rassures-vous Mme Malherbes n'est pas la seule et de loin.

Sous ses airs pugnaces se cache, manifestement, la soumission a l'idée qu'impose le despotisme libéral de tous ceux qui croient que leur arrogance fait force de loi.
Quel meilleur exemple qu'Israël et que ce genre de journalisme, balaie sous le paillasson... Exit, la solidarité, l'humanisme, la morale, le droit  [...]

Quel meilleur exemple que celui du foulard que Mme Malherbe cherche à discréditer faisant l'amalgame avec la lutte des femmes pour leur émancipation.
Et compare l'émancipation des femmes en Iran refusant le foulard avec la soumission de femmes musulmanes portant le foulard en France. Or, le "combat" est le même. En Iran les femmes on le courage d'enlever le foulard en opposition à la politique religieuse et en France les musulmanes portent le foulard en opposition  au racisme de la société et a la politique anti-musulmane du gouvernement. C'est en quelque sorte l'affichage volontaire d'appartenance à leur communauté, un repli forcé y compris si des femmes portent le foulard par soumission à la religion, à leur mari, il y en a qui le portent volontairement.


Mais il faudrait encore avoir des médias guidés par l’intelligence, pour aborder le sujet sur cet aspect.  

Où est la logique? La logique se trouve dans ce travail qui forge les mentalités visant à faire accepter ce que normalement nous aurions refusé. Là, est le véritable rôle, aujourd'hui, des médias qui avec les "pilules du bonheur" que distribuent les pseudo démocraties abrutissant le peu de raisonnement qui reste a une population de plus en plus présurée. 

C'est-a-dire: qu'un travail de manipulations des mentalités est fait en amont et longtemps à l'avance visant a faire accepter une décision qui va ou pourrait porter tord à ceux-là même qui doivent l'accepter.  

Le dénigrement actuel de l'Iran, de Poutine ... suit exactement ce raisonnement. 
Mais Schuuuuuuuuut, on ne touche pas au nazisioniste Netanyahou ... 


dimanche 27 mai 2018

La Crimée. Le cadeau de NIkita Khroutchtchev


Vous pensez que les sanctions contre la Russie et le dénigrement systématique de Poutine est juste ! Le terrorisme occidental est la matrice de tous les terrorismes, c'est une certitude. Pour les honnêtes gens, bien entendu.

L'article ci-dessus apporte de l'eau au moulin de ceux qui pensent, que l'Occident est le réel moteur, sous des prétextes apocryphes, des conflits à travers le monde. Le renversement du Gouvernement Ukrainien n'a de valeur que d'établir l'influence des USA et ses bases. Le reste sont des récits pour moutons de Panurge. Intégrez cela et vous comprendrez la quasi-totalité des guerres et les agressions de pays souverains, Trump, May, Macron ne sont que les appendices actuelles de cette vérité, coupléz-les
 au establishment libéral et lobbys pro israéliens, et vous aurez tout compris... 


Alors que la Crimée avait été russe depuis la fin du XVIIIe siècle, les raisons de la cession de la péninsule à l'Ukraine par Nikita Khrouchtchev font toujours débat.



C'était un cadeau surprise : en 1954, Nikita Khrouchtchev « donnait » la Crimée à l'Ukraine d'un simple décret. Quinze minutes de débat à peine avaient suffi pour que la décision soit entérinée au sein du comité central du Parti communiste, selon le quotidien Pravda. Cette cession avait surpris, mais le don était symbolique car l'Ukraine faisait partie intégrante de l'URSS. Ce n'est qu'en 1991, quand l'Union soviétique se disloque, que les conséquences de cette décision se font sentir : la Crimée se trouve alors soumise à l'autorité d'un pays avec lequel elle a peu d'histoire commune.
En savoir plus sur https://www.lemonde.fr/europe/article/2014/03/15/d-un-simple-decret-khrouchtchev-fit-don-de-la-crimee-a-l-ukraine_4383398_3214.html#RIPy86BwfHWRSds3.99

ou :


Ce que l'on peut dire, d'un point de vue historique: La Russie en remerciement de la fidélité des Cosaques d'Ukraine, de leur engagement a défendre la Russie, la Crimée leur fut accordé, au temps de l'URSS. L'Occident a fait preuve d'une ignorance historique lamentable, renverser fusse-t-il un despote, Président de l'Ukraine démocratiquement élu, pour y installer un fantoche lui-étant favorable a été la seule vision historique des va-t-en-guerre occidentaux et certains pseudo philosophes, comme Bernard Henri Levy, Gluckman (fils, qui pour justifier un engagement manipulateur a déclare que sa femme était ukrainienne) ... qui favorables à Israël ont soutenu l'implantations de bases US en Ukraine.
Si la Crimée a été accordée à l'Ukraine  pour la fidélité d'une partie de ses sujets à la Russie, une fois l'infidélité constaté, pourquoi voudrait-on que soit-elle fidèle à son engagement ? Surtout, que les criméens sont russophones, ne parlent pas l'ukrainien, et veulent rester Russes...