dimanche 15 avril 2012

Les dirigeants israéliens sont des voyous, les médias français complices

En traduisant des articles de « El Pais », on peut remarquer la volonté de respecter la déontologie du journalisme, en tout état de cause, bien plus que ne le font les grands médias, par exemple, en France. Ce journal Espagnol expose les tenants et les aboutissants, permettant au lecteur de se faire une opinion ou  donne la "parole" à une partie puis il la donne à l’autre, laisse exprimer les arguments des acteurs concernés sans interférer dans l'opinion que lecteur peut s'en faire. Les informations ainsi distillées représentent le point de vue des deux camps. La difficulté consiste dans la véracité du récit exposé et de sa conformité avec la réalité. Cependant c'est, justement là, le travail du journalisme, que de vérifier les sources ou les exposés qu'il est amené diffuser.
   
En France, sans généraliser, mais il faut reconnaitre cependant que la plupart des journalistes, exposent, principalement, les faits ou les arguments qui représentent le mieux, l'idée que lui-même s'en fait. Ces journalistes là n'informent pas les citoyens, mais diffusent ce que le citoyen doit, d'après-eux, savoir. Ce n'est plus de l'information c'est de la manipulation des mentalités. Le conflit du Proche-Orient, par la manière dont les médias français son phagocytés, est l'exemple parfait.
L'ors de débats télévisées par exemple, c’est surtout l'intervenant qui représente le mieux la conception du journaliste, dirigeants les débats qui peut le mieux s’exprimer, quand, par des intervenants "alibis" c'est la conception du journaliste elle-même qui est développée. Il n'y a pas un seul débat concernant le conflit israélo-palestinien qui ne soit pas tronqué et où des arguments apocryphes sont développés. Et a chaque fois favorables à Israël, les intervenants faisant référence à l'histoire réelle, loin des mythes et des manipulation ont énormément de mal à se faire entendre, parfois même ceux favorables au sionisme, juifs ou non, à court d'arguments, ricanent ou empêchent leurs contradicteurs de s'exprimer. C'est une tactique éprouvée qui a pour but de déstabiliser le contradicteur, de lui faire perdre le "fil" de son argumentaire ou la cohérence de ses propos.
Bien sur il n’est pas nécessaire de préciser que ce n’est pas à 100% la règle, mais en majorité OUI.  Qu’il y a encore en France des medias dignes de ce nom, nous sommes d'accord, qu'ils sont rares, nous sommes d'accord aussi. Mais au-delà  de l’arrogance témoigné aussi bien par des invités que de certains présentateurs, dépasse l’incompréhensible, l’inconcevable : coupant la parole, déstabilisent tous ceux qui émettaient des point de vue qui ne correspondaient pas  à la vision qu’ils se font du sujet débattu. Je dois dire que depuis 3 ou 4 ans cela a un peu changé, mais on est loin des vrais débats démocratiques, ils sont devenus plus sournois, c'est tout.


Que vient faire le sionisme, ici ? Je ne donnerais qu'un seul exemple, celui d'Arte. Cette chaîne était plutôt une chaîne culturelle où  à chaque émission on apprenait quelque chose. Eh bien, depuis que M Bernard-Henri Lévy (sionistes notoire) en est le conseiller culturel, les émissions où les juifs sont les victimes, nous est distillé presque tous les jours. Bien entendu les émission où les juifs seraient les malotrus, les voyous, les criminels, comme nous pouvons le constater en France, aux USA ou en Palestine sont de facto écartés de cette chaîne. Rares sont les fictions (films) qui encensent, a ce point, une des autres communautés, parfois avec raison, souvent avec exagération. 

Le journal espagnol "El Pais" fait ce que aucun journal français n'a osé faire : dire la vérité y compris lorsque des soldats israéliens eux-mêmes dénoncent leurs propres actes.
Des soldats israéliens dénoncent les abus commis à Gaza :    Traduction de El Pais le 20/03/09 : « Zéro tolérance, nous venons pour les liquider » écriront les militaires à leur famille dans leur correspondance.
 « En entrant dans une maison, nous abattions la porte et tirions à vue. A cela je l’appelle assassinat. A chaque étage nous tirons sur les personnes qui nous identifions comme telles. Je me suis demandé : comment cela peut être raisonnable ? » Expliquait un militaire. C’est un des témoignages  publiés par le journal Haaretz sur les expériences de quelques soldats israéliens sur la dernière guerre de Gaza que l’armée et le gouvernement d’Ehud Olmert préférèrent appeler "opération", que avocats et juges qui planifient les charges de la Cour Pénale Internationale qualifieront de crimes de guerre.   Danny Zamir, directeur de l’Académie Militaire Isaac Rabin, dont les élèves débattirent la semaine dernière  sur ces expériences dans la guerre, assuraient hier que les soldats parlaient de « feu injustifié contre des civils palestiniens » ? Dès 1400 victimes, presque un millier furent des civils désarmés et 239 policiers furent assassinés à l’intérieur des casernes le premier jour de l’agression. 235 miliciens périrent dans les combats.



Un autre militaire affirmait qu’un commandant ordonnait de tirer sur une vieille femme qui marchait sur la route à 100 mètres de distance. Un troisième déclarait que après avoir assailli un maison : « Le chef du peloton laissait partir la famille et leur dit d’aller vers la droite. Une mère et ses deux fils n’entendirent l’ordre et tournèrent à gauche. Le franc-tireur qui vit approcher des personnes dans une zone où personne ne devait s’y trouver, leur tira dessus ».  Ce sous-officier les vit précisa que ses hommes sentaient : que la vie des Palestiniens en moins importante que les vies de nos soldats. C’est ainsi que l’on peut le justifier.

Les soldats israéliens l’on laissé écrit. « Tolérance zéro, nous venons pour les liquider » « Mort aux arabes ». Ce sont seulement deux des graffitis que les militaires gravèrent sur les murs des édifices qu’ils prenaient comme base de repli. Les témoignages prolifèrent sur les destructions d’ordinateurs, meubles, télévisions, appareils électroménagers… Déféquaient à l’intérieur de machines à laver le linge ou laissaient des excréments  dans le réfrigérateur.

Les règles données aux soldats pour le combat ont été des plus permissives. Tout était valable pour éviter des pertes à l’armée qui enrôle chaque fois plus des jeunes d’extrême droite. Les consignes des rabbins influençaient aussi  et  sollicitaient "de n’avoir aucune piété".  L’armée promet d’enquêter sur ce qui s’est passé.
Malgré cela, la quasi totalité des médias français, ont diffusé les informations que distillait Tél Aviv. Comme si nos organes d'information étaient anesthésiés, comme s'ils étaient incapables d'un raisonnement propre. Les dirigeants politiques, bien entendu, sont phagocytés grâce à leur cupidité, propre. Nous élisons des dirigeants, qui se révèlent à nous comme des simples serviteur  d'une idéologie nauséabonde. Si nous ne partons pas du principe, que toute information concernant Israël, n'est pas tronqué, n'est pas apocryphe, n'est pas mensongère (la vérité étant de dire la vérité, toute la vérité) nous resterons à dix-mille lieues de cette vérité. Les manipulations sont si nombreuses et importantes, que le citoyen lambda y compris les juifs, (mais cela a, peut être, des causes différentes) reste ignorant de la réalité. Réalité en Palestine, mais aussi dans la politique internationale. Le sionisme pour pérenniser Israël (état illégal) doit maîtriser l’information. Si Israël était un Etat, comme n'importe quel autre Etat, n'aurait pas besoin de se maintenir par la violence, n'aurait pas besoin de manipuler les citoyens du monde, n'aurait pas besoin de phagocyter nos gouvernements. C'est parce que Israël, et cela les sionistes le savent, est un Etat illégal que le sionisme doit agir ainsi. Invoquer, les pogromes, les persécutions, le génocide des juifs par les nazis, tel que le font les sionistes voulant justifier des crimes par d'autres crimes, est une injure aux victimes juives, bien entendu, mais aussi à toutes les victimes d'autorités despotiques.          

Madame la vice-présidente, ma grand-mère n’est pas morte pour cautionner les assassinats de grand-mères palestiniennes à, Gaza… Les palestiniens sont traités comme des ordures… La solution n’est pas la conquête, ce n’est pas le véritable objectif des israéliens. Ses gouvernants ne sont pas des criminels de guerre. Sont des idiots.  Déclara à la Chambre des Communes britannique, pendant la guerre de Gaza, le député Gerald Kaufmann, en tant que juif orthodoxe et sioniste dont ses familiers furent massacrés pendant l’Holocauste, et ami de nombreux premiers ministres d’Israël en commençant par Ben Gourion.

Selon l’investigation de l’organisation pour les droits humains Human Right Watch (HRW). Les forces de sécurité du mouvement islamiste Hamas, considéré comme terroriste par Israël, l’Europe et les Etats-Unis, ont assassiné plus de 32 personnes durant l’incursion militaire israélienne de Gaza au mois de janvier dernier. Le Hamas aurait exploité l’offensive militaire de l’armée israélienne pour arrêter, torturer y compris assassiner des rivaux politiques et des indicateurs à la solde d’Israël. Telles sont les conclusions de HRW.

Cette agression militaire à pu engendrer au sein de la résistance palestinienne des règlements de compte, c'est possible. Mais, il n'y a-t-il pas eu des règlements de compte entre résistants français ? Comment  juger  ceux qui donnent des indications à l'ennemi en temps de guerre ?

Le gouvernement israélien voulait justifier l'opération "Plomb durci" par les dix victimes, dont 4 tués, qu'on fait les dix, cent ou dix mille roquettes (peu importe) lancées depuis Gaza sur Sderot, par les différentes factions palestiniennes et pas forcement par le Hamas. Cette agression, qualifié de crime de guerre voire contre l'humanité par le Rapport Goldstone a fait plus de 6 000 victimes dont 1350 tués, la plupart civils, femmes, vieillards et parmi eux 450 enfants sans oublier le bombardement d'écoles, hôpitaux, bâtiments de l'ONU [...]
Cette agression n'avait pas pour but de "venger" les dix victimes israéliennes, mais de punir le Hamas pour son non conformisme avec la politique despotique israélienne. (Il ne faut pas perdre-de-vue que le sionisme est à l'origines, de plus de juifs assassinés que ne peuvent l'être les palestiniens)

Le Hamas est une organisation islamique fondamentaliste ayant fait scission avec les « Frères musulmans égyptiens », ils veulent instaurer la « Charia », la loi islamique. Personnellement je considère que du point de vue sociétal est une régression. D’un autre coté il faut reconnaître que depuis la mort de Yasser Arafat il n’y à pas d’organisation palestinienne qui défende mieux le peuple Palestinien que le Hamas, bien sur Israël et aussi l’Occident voudraient que la résistance soit considéré comme du terrorisme. Cependant quelque soit l’opinion des israéliens ou des occidentaux la résistance à l’occupation est non seulement un droit mais un devoir.  Après la mort de Yasser Arafat, l’autorité palestinienne a été accusée à tord ou à raison de détournement de fonds, mais surtout elle défendait mal les intérêts du peuple Palestinien, remarque que pour être tout à fait honnête, je ne crois pas dans l’état actuel des choses, qu’il y ait une organisation quelle qu’elle soit capable d’apporter à la Palestine tout ce dont elle a ou devrait avoir droit.  Il faudrait pour cela une force militaire équivalente à celle d’Israël, pour espérer les ramener à la raison. Le sionisme ne se sert du mythe de la « Terre promise » que pour fédérer la diaspora juive  travers le monde. En effet on ne peut pas croire en Dieu et faire ce qu’Israël fait en palestine.  Israël serre chaque jour d’avantage le « nœud gordien » qui enferme les palestiniens. La vraie question serait de se demander si le peuple Palestinien avait un autre choix que celui de choisir le Hamas pour les représenter. Voila la seule question que nos démocrates d’opérette aurions du nous poser avant de tenter de les isoler. Pensant que l’agression contre Gaza détournerait les Palestiniens de cette formation, en fait c’est le contraire qui c’est produit et c’est bien, la morale est sauve à défaut des vies. Il faut réellement que nous soyons des criminels en notre fort intérieur pour le permettre.

Suite aux élections législatives, demandées par Israël et l’Occident. Ces pays démocratiques refusent le verdict des urnes, parce que la volonté du peuple ne correspond pas l’idée qu’ils s’en faisaient.  En toute honnêteté il est nécessaire de reconnaître que  cette organisation islamiste aide les familles palestiniennes dans la misère où les plonge : le très démocratique gouvernement israélien bombardant des civils et détruisant leur habitat. Hamas apporte le minimum nécessaire pour que ces familles puissent dormir sous un toit fusse-t-il de toile et se nourrir, si non à leur faim, pour survivre. Je suis en colère, c’est vrai nous sommes des C... pour élire de tels criminels. 
J'ai entendu, lors de l'émission "Des paroles et des actes" M Namias journaliste intervenant, fustiger Mme Natalie Arthaud de Lutte Ouvrière pour avoir qualifié Gaza de : "Camp de concentration" et voulait lui faire avouer, le caractère mal-a-propos de cette déclaration en cherchant à faire l'amalgame avec les camps de concentrations nazis. Pourtant il suffit de consulter un dictionnaire pour s'apercevoir que le mot : camp de concentration, est bien employé pour désigner Gaza.
Ce journaliste est un voyou et soit il cherchait à manipuler l'opinion, soit qu'il méconnait totalement la réalité de Gaza. Ce qui pour un journaliste est une injure faite à la profession. Quand à M Pujadas, un minus qui a pris de l'envergure.
Gaza, où le blocus imposé par Israël le désigne, selon la convention de Genève, comme Etat occupant. Israël contrôle tout ce qui sort et ce qui entre (êtres humains compris). La quantité de marchandises est inferieure au minimum vital de survie, (mais j'ai l'impression, que les palestiniens de Gaza, arrivent tan bien que mal à tirer leur épingle du jeu). Les enfant n'ont pas le nécessaire à leur croissance et les plus faibles d'entre eux auront des séquelles leur vie durant.  
  
J’aimerais, aussi,  que l’on me dise ce que la Résistance française faisait des traîtres et collaborateurs pendant la Deuxième guerre mondiale ? Et là est le drame qui se joue en Palestine et dont naturellement Israël profite sans, si j’ose dire, coup férir.   Pour terminer ce chapitre je te dirais : Hamas à été élu démocratiquement. Nous les démocrates d’opérette avons refusé le verdict des urnes parce qu’il ne nous convenait pas, ni à Israël, ni aux dirigeants cupides que nous avons élus. Enfin qui sommes-nous pour dire au Peuple palestinien dans quelle société ils veulent vivre ?  Nous sérions bien inspirés d’utiliser  notre prétention chez nous, pour remplacer l’absolutisme des profits qui ruine nos vies. 

Bilan des attentats sionistes qui ont eu lieu du 9 mars  au 13 mars 2012,
 25 morts, une centaine de blessés!
Sans doute qu'une ou cent roquettes n'ayant pas fait de victimes sont tombées sur le territoire occupé par Israël ! 


































Deux Palestiniens accusés d'avoir poignardé un soldat israélien


Libération de deux Palestiniens accusés d'avoir poignardé un soldat israélien
[ 14/04/2012 - 21:34 ]

Nazareth – CPI

Les deux palestiniens accusés d'avoir poignardé un soldat des forces armées de l'occupation israélienne ont été libéré, aujourd'hui samedi 14/4, après la déclaration du soldat et avoué s'être poignardé lui-même.

La deuxième chaîne à la télévision hébreu a révélé que les enquêtes menées par la police militaire israélienne ont confirmé qu'un soldat israélien, qui travaille aux unités des milices "Gardes-frontières", s'est poignardé lui-même, le jeudi dernier, pour des raisons qui ne sont pas connues, où il prétendait que des Palestiniens l'avaient attaqué.

La chaîne a ajouté que le soldat a été poignardé, le jeudi dernier, dans un champ d'oliviers près d'une station du transfert gratuit au carrefour de Taifek en Galilée dans le nord de la Palestine occupée en 1948, mais les enquêtes indiquent que le soldat qui a 19 ans a fabriqué cette histoire.


De prime abord, nous pouvons croire qu'invoquer des agressions fictives, par les juifs, est exceptionnel.
Non : - Déjà le samedi 3 janvier 2003, un rabbin s'auto agressait et accusait les musulmans.

Le rabbin Gabriel Farhi (accusé par ailleurs de pédophilie) appartenant au Mouvement juif libéral de France a été poignardé vendredi vers 16H30, dans sa synagogue située au 23 rue Pétion dans le XIème arrondissement de Paris où il officie depuis 7 ans.
Blessé au ventre, il a pu quitter l'hôpital Saint-Antoine où il avait été transporté, vers 21h30. Gabriel Farhi explique qu'il avait reçu le matin même des menaces écrites faisant référence au jihad et à la guerre en Palestine.


Nouvel Observateur :
Le 3 janvier 2003, Gabriel Farhi est blessé par un coup de couteau dans l'abdomen devant sa synagogue rue Pétion à Paris. L'agresseur selon la victime porte un casque et crie « Allahu Akbar ». Quelques jours plus tard, plusieurs responsables politiques participent à une cérémonie pour dénoncer l'« intolérable agression ».


L'enquête prend une nouvelle direction quand la police établit que le couteau utilisé provient de la cuisine de la synagogue. La thèse de l'auto-mutilation fait alors partie des possibilités évoquées. Plusieurs expertises, sur la chemise déchirée et sur la voiture de Gabriel Farhi incendiée quelques jours plus tard, donnent des résultats contradictoires, pouvant confirmer en partie les affirmations du rabbin. La brigade criminelle de Paris est chargée du dossier. Dans son numéro du 3 juin 2004, l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur remarque que « sans jamais avoir été mis en examen pour se défendre, [le rabbin Farhi] est insidieusement passé du statut de la victime à celui du suspect ». Une ordonnance de non-lieu a été rendue le 4 septembre 2008, mettant un terme à la rumeur sur la réalité de l'agression.

Cet exemple avec des légères différences, où y sont impliqués des rabbins ou des juifs lambda, est un atavisme caractéristique des adeptes du sionisme. Dès sa création, le sionisme à toujours instrumentalisé la communauté juive, prétendant l'impossibilité pur les juifs de s'adapter dans la société qui les abrite.
C'est ainsi que :  Les déclarations "pousse-au-crime" du premier Président d'Israël, Chaïm Weismann, dénigraient les juifs. Nullement par racisme antijuif, mais pour "semer" l'insécurité dans la communauté et les forcer, pour ne pas dire : les obliger, à immigrer en Palestine grossir les rangs sionistes. En effet : « Tout Etat ne peut absorber qu’un nombre limité de juifs, s’il ne veut avoir des maux d’estomac. L’Allemagne a déjà trop de juifs. » Cette déclaration au demeurant jamais dénoncé par les juifs, à menée, n'en doutons pas, au génocide des juifs par les nazis. Bien entendu d'autres facteurs y on contribué, cependant personne de sensé ne peut écarter que ce dénigrement systématisé par le sionisme en Europe, mais aussi au Moyen-Orient, ait pu influencer des êtres, racistes dès le départ.

Sacrifier des juifs pour la cause sioniste, les sionistes l'on toujours pratiquée. Au Maghreb, au Proche et Moyen-Orient où les juifs, pro sionistes, habitant ces régions aidés par le Mossad, ont commis des attentats terroristes, contre leurs propres coreligionnaires, pour attiser les peurs des juifs et apporter la preuve, comme le disait Théodore Herzl, assurant que les juifs ne peuvent être assimilables.
Pourtant si je prends l'exemple de l'Iran. Il existe en Iran la plus ancienne communauté juive du monde, et si quelques-uns ont immigrée en "Palestine" la grande majorité reste en Iran et ne veulent en aucun cas immigrer, aujourd'hui, en Israël. En Iran, pays que le sionisme dénigre tant, la communauté juive y vit comme toute autre citoyen, ni plus ni moins.
En tout état de cause les juifs iraniens vivent bien plus libres que ne le sont les palestiniens.   Qu'on se le dise.