vendredi 25 juillet 2014

Dilemme à l'ONU.






Dilemme à l'ONU, la Palestine a obtenu qu'une enquête soit diligenté, on va nous informer que des crimes de guerre, voir contre l'humanité ont été perpétrés à Gaza en juillet 2014. Et après ? Comme en 2008 et sa suite, les USA utiliseront leur VETO et les criminels israéliens continueront à prendre leurs congés en mer Rouge. Et, là est le hic, dans un laps de temps plus ou moins long la criminologie pathogène de ces psychopathes  recommencera. 


Oh! bien entendu, d'abord il faudra chercher l'argument qui permette les représailles, qu'il existe ou non, cela n'a pas grande importance, il y a tellement de dirigeants politiques et de média cupides et malhonnêtes, que le faire accepter sera une formalité. Et les agressions contre Gaza se perpétueront. De nouveau les dirigeants "démocratiques" occidentaux seront aux cotés des criminels, la société civile reprendra son bâton de Pèlerin et ainsi soutenu les Autorités palestiniennes demanderont à nouveau une enquête...      





L'ONU demandera aux belligérants un cessez-le-feu, une trêve, Israël acceptera dans un premier temps, posera des conditions inacceptables que le Hamas devra accepter, et après incident anodin, fortuit ou provoqué, rompra la trêve.
Le Hamas demandera la levée du Blocus (je le rappelle, qui est un acte de guerre) pour enfin disposer de la liberté dont chaque citoyen a besoin.
Levée du Blocus ! Inacceptable pour Israël le Hamas sont des terroristes. (Même si aucun acte violent -à part des actes de résistance ou de rébellion à l'occupant- ne peut leur être reproché) Israël, une nouvelle fois fera référence à La Charte du Hamas pour formuler la menace que cette charte représente pour sa survie (ne rigolez pas, je dis bien survie). Cela s'appelle un procès d'intention, Le Hamas n'a pas les moyens d'attenter à la survie d'Israël, mais c'est inscrit sur leur charte. L'OLP ne reconnaissait pas non plus Israël, Yasser Arafat reconnut Israël et modifia la charte de l'OLP en conséquence. Cela a-t-il changé la politique agressive, criminelle et coloniale d'Israël ? Non, non et non. 
Je rappellerais, pour les maux intentionnés, que les tirs de roquette au départ de la Bande de Gaza ont eu lieu après le début de l'agression israélienne. Cela ne veut pas dire que sporadiquement, après le décès d'un enfant tue par un franc-tireur de l'autre coté de la frontière un père ou un proche une roquette ou plusieurs.
Le crime, n'est pas dans le lancé d'une roquette, mais dans les conditions de vie qu'Israël impose aux palestiniens de Gaza, mais aussi de Cisjordanie. 

- Vous, gens honnêtes, voulez en finir avec le soutien inconditionnel de nos dirigeants à ces criminels ? Ne votez pas pour quelqu'un qui est favorable à Israël, c'est facile, il suffit d'écouter leurs déclaration ou regarder leurs actes pour être fixé. Dans la plupart des cas ils vont faire allégeance au gouvernement israélien, se rendent au Dîner du CRIF, acceptent les caricatures racistes de Charlie-Hebdo [...]
- Oui mais, ils ne vont plus faire de déclaration.
- C'est vrai, mais ils auront aussi plus de mal a se faire reconnaitre.
- Ils ont des accointances avec le milieu.
- Mais qui dit accointances dit antécédents.

Élire un homme favorable au sionisme, pierre angulaire de la mondialisation que prône le nouvel ordre mondial oppresseur des peuples, hypothéquera l'avenir de vos petits enfants.

Que faire ? Manifestons et manifestons encore, faire de la désobéissance civique une arme démocratique.   




mercredi 23 juillet 2014

"Le principal objectif de l'agression israélienne à Gaza sont des civils"



Interview avec le journaliste et documentalistes David Segarra après un séjour de trois mois dans la bande de Gaza.

Au faire et à mesure que je traduisais ce "post" le dégout, la rage, la haine m'envahissait. Il ne s'agit pas d'un récit d'illuminé, d'extrémiste ou que sais-je encore, non c'est le récit d'un journaliste courageux. Courageux comme il y en a eu à Gaza et assassinés par ces criminels. 
23-07-2014

En 2009, le journaliste et documentariste David Segarra visita la Palestine pour la première fois. Un premier contact qu'il renouerait au bout d'un an en s'embarquant dans la «Flottille de la liberté", qui se dirigeait vers Gaza pour briser le blocus perpétré par Israël, la flottille a été attaquée par la marine israélienne et fait: 10 morts. A passé trois jours en prison dans ce pays et après les faits, a témoigné de ce qui s'est passé dans le documentaire "Feu sur le Mavi Marmara."
Au cours de son troisième séjour à Gaza (les trois derniers mois), l'armée israélienne a perpétré son énième offensive. A Gaza le journaliste prépare depuis cinq ans  une œuvre audiovisuelle “Las cabras de Gaza” (Les chèvres de Gaza) sur la vie quotidienne de la population palestinienne dans le conflit. David Segarra réside à Caracas, où il a fondé la société de production "Guarataro Films" et a produit plusieurs documentaires, dont “Un golpe y una carta” (Un coup et une lettre), sur le soldat qui sortit la lettre à Chavez quand il a été emprisonné pendant le coup d'État de 2002, et “Nuevas Caras” (Nouveaux visages) sur les liens entre l'extrême droite et l'opposition anti-Chavez, à savoir le Parti populaire).

Articles: http://davidsegarrasoler.blogspot.com.es/

-A partir de votre expérience directe dans la bande de Gaza, quels faits réels vous mettriez en surbrillance et habituellement invisibles dans les médias?
-Le plus impressionnant de la société palestinienne et, en particulier, la bande de Gaza, c'est qu'il est question de la société la plus paisible, éduquée et hospitalière que je n'ai rencontré dans aucun lieu au monde. En trois mois de séjour, j'ai vu un havre de paix comme nulle part ailleurs. Il n'existe pas de délinquance, ni pratiquement de police. Dans mon cas, j'ai pu me déplacer avec une absolue liberté dans mon travail entant que documentaliste sans que personne ne fasse aucun obstacle, chose qui m'est arrivé en Amérique latine et en Europe. Et il est assez surprenant, car on ne peut imaginer qu'il existeune société dure, intolérante et fanatique. Mais l'inverse est vrai.

-Lors de l'agression militaire actuelle sur la bande de Gaza. Considères-vous que cela avait été prévu par le gouvernement israélien, indépendamment de  la mort de trois jeunes hommes qui ont été utilisées comme un alibi ?
-A propos de l'enlèvement et assassinat des trois jeunes colons, l’État d'Israël n'a pas apporté d'éléments de preuve qui pourrait impliquer un groupe politique palestinien. De fait, il n'y a pas eu d'arrestation des auteurs et, par conséquent, il n'existe aucune preuve de qui est responsable. L'offensive contre la bande de Gaza est un autre épisode de la colonisation israélienne, depuis 66 ans. Au cours des cinq dernières années, nous avons vu trois massacres contre ce territoire: «plomb durci» (2009) et les offensives de 2012 et 2014. Israël, un Etat colonial, n'a pas besoin d'excuses pour s'élargir territorialement et punir la population indigène... Comme ne l'a pas nécessité l'empire espagnol en Amérique ou l'impérialisme britannique en Inde.

- Quel est l'essentiel de ce que les médias qualifient de «conflit» ?
-C'est très simple, il n'a aucune complexité. Il s'agit d'un processus de colonisation ouvert depuis 1948. L'Etat d'Israël est encore dans la phase d'expansion (n'a pas fermé son processus de colonisation), et ils ont besoin tant en Cisjordanie, qu'ailleurs le silence et l'humiliation des gens de la bande de Gaza, qui sont absolument les insurgés.

- Quelle en est la cause, à votre avis, de la dernière offensive ? De multiples facteurs y peuvent y être apportés.
-Dans le contexte actuel, je pense que la raison principale est d'empêcher l'unité politique du peuple palestinien. Le "diviser pour régner" est une loi traditionnelle du colonialisme, en vigueur antérieure à l'Empire romain. Dans son processus de colonisation, Israël a toujours cherché à diviser les Palestiniens entre chrétiens, juifs, musulmans, laïques et religieux, gauchistes, nationalistes, islamistes, etc. Israël a essayé de les fragmenter et faire en sorte qu'ils s'affrontent. Juste avant l'attaque sur Gaza, nous vivions un processus "historique", dans lequel les deux organisations majeures du  peuple palestinien -Hamas et Fatah- étaient arrivés à un accord sans, et c'est le plus important, l'opposition des autres groupes. Qui n'étaient pas dans l'accord, mais qui ne s'y opposaient pas. Cela implique que le peuple palestinien parlait d'une seule voix devant l'occupant. Et cela est quelque chose qui terrifie l’État d'Israël, car il rompt avec le discours colonial qui lutte contre des forces minoritaires, extrémistes et fanatiques.

- Quelle est la responsabilité des États-Unis dans les attaques ? Un récent éditorial dans La Jornada rappelait l'aide militaire de Washington à Israël pour une valeur de 3.600 millions de dollars en 2014.
-Depuis sa création en 1948, et surtout depuis son expansion en 1967, Israël s'est converti en «fer de lance» du colonialisme occidental pour le contrôle et l'asservissement des peuples arabes de la région. Il constitue un allié fondamental, comme ce fut le cas du Chili de Pinochet ou l'Afrique du Sud de l'apartheid. Il est question, en définitive d'alliés essentiels pour le contrôle des ressources naturelles. Dans le contexte actuel de nouveaux facteurs sont donnés. L'un est la déclivité économique -lente mais inexorable déclin- des États-Unis. Cela fait que les pièces du pouvoir, du Pentagone à Wall-Street, tentent de retirer, en partie, les États-Unis de l'échiquier militaire mondial. Ce qui se traduit, à son tour, par un début de lassitude de la part des militaires et des blocs de pouvoir en rapport à Israël. Ce pays (Israël) continue à recevoir la principale aide militaire et économique des États-Unis, mais déjà nous observons comment l'administration Obama (ou tout autre pouvoir aux États-Unis) qui doivent ralentir l'expansionnisme militaire du dernier demi-siècle.
 
-Ces changements que vous pointez, sont-ils perceptibles, d'une façon ou d'une autre, par le public? En quoi se concrétisent-ils ?
-Pour la première fois nous avons commencé à voir des petites critiques d'Israël dans les médias aux États-Unis. Comme le secrétaire d'Etat américain, John Ferry, a déclaré que Israël était en passe de devenir un état d'apartheid (il dût se rétracter, mais il l'à dit). Et ainsi, nous voyons de nombreux signes de la façon dont les États-Unis et en Europe, se sentent peu à peu qu'Israël est un frein pour leurs politiques extérieures. Au cours des 50 dernières années les USA ont servi de «navette» ou de «porte-avions» face au monde arabe, mais la tendance historique est en évolution.

-Vous vous référiez au traitement des médias. El País a récemment intitulé une de leurs couvertures: «La guerre dans la bande de Gaza vit la journée la plus meurtrière pour les deux parties." Que pensez-vous de cette équidistance?
-Nous revenons toujours à l'histoire pour contextualiser ce que sont les médias européens. Rappelons-nous que pendant l'Holocauste aucun média européen (ni aucun gouvernement) n'ont bougé le petit doigt pour sauver les personnes qui étaient exterminés. Et tout le monde savait ce qui se passait. La tradition européenne de l'équidistance et placer au même niveau la victime et le bourreau est en vue. Les journaux espagnols: El País ; El Mundo ; La Vanguardia ou les télévisions appartiennent  a d'énormes groupes d'entreprises ayant des liens directs avec les appareils économiques et militaires étatsuniens et israélien. Font des affaires. Cette équidistance, d'autre part, est celle qui fait que les citoyens s'éloignent et s'informent par des moyens alternatifs et par les réseaux sociaux.


- Quels médias ou méthodologie recommanderiez-vous pour obtenir des informations sur le massacre de Gaza?
-Tout. Il est fondamental de lire partout. Aujourd'hui, avec l'Internet, nous avons le privilège de lire directement les sources informatives. En ce qui me concerne, je ne lis pas la presse espagnole pour l'information internationale. Je lis directement les sources originales: toute la presse israélienne, la presse arabe, la presse palestinienne (dans les trois cas, les versions en anglais), les déclarations de politiciens et journalistes via twitter et je suis des personnes vivant dans la bande de Gaza. Il est très important de journalistes ou hommes politiques (gauche et droit des Israéliens et des Palestiniens) dans les réseaux sociaux. La presse aujourd'hui est lente, est filtré et dépend des intérêts économiques, ils sont. Pour cette raison, entre autres, je suis sur twitter plus de 200 citoyens de la bande de Gaza, C'est très important de suivre des journalistes ou hommes politiques (israéliens de droite et de gauche, et des palestiniens)  des réseaux sociaux. La presse aujourd'hui est lente, est filtrée et dépend d'intérêts économiques quels qu'ils soient. Pour cela, entre autres, je suis sur twiter plus de 200 citoyens de la Bande de Gaza, qui m'informent en temps réel. Voient les bombes de leur fenêtre. Ils sont médecins dans les hôpitaux. Il est question de suivre, non les chroniques des journalistes espagnols et étatsuniens  pour El País ou CNN, mais leur compte twiter: là ils disent la vérité qui est censurée et manipulée dans les journaux. Nous avons vu, par exemple, les cas de la journaliste de CNN ou le journaliste de NBC écartés de leur emploi pour les informations sur la Palestine.

-Cette différence entre l'information qu'un journaliste donne dans son journal et celle qu'il partage sur les réseaux sociaux, les avez-vous remarqué aussi dans le cas d'Israël?
-Non, la presse israélienne constitue un cas d'école. Il est vrai qu'il existe une certaine diversité interne. Journaux plus à droite, d'autres moins mais, quand se produit un affrontement, tous les moyens d'Israël sont soumis à la censure militaire. Il y a une loyauté absolue de tous les médias envers l’État d'Israël. Des critiques peuvent survenir dans des moments de détente, mais lorsqu'un conflit éclate les médias offrent un soutien sans faille à la guerre et a l'armée du pays. Cela nous voyons, par exemple, dans Haaretz (l'équivalent du "Monde " en France). Est censuré toute information sur les victimes militaires d'Israël, les photos de soldats tués ou blessés, etcétéra. En définitive, la presse israélienne nous aide à comprendre la psychologie de cette société, mais pas pour avoir des informations. Cela n'existe pas.

-Plus de 500 Palestiniens tués et plus de 3.000 blessés sont des chiffres de la barbarie, fournis par le ministère palestinien de la Santé et avalisées par les Nations Unies. Préciserais-tu ces statistiques avec d'autres chiffres ?
-Sur les plus de 500 morts, près d'un tiers sont des enfants. Nous parlons de plus d'une centaine d'enfants assassinés. 80% sont des civils (femmes, personnes âgées et innocents). En outre, nous devons reconnaître quelque chose à Israël. Ils ne pratiquent pas ses bombardements à l'aveugle, et là ils disent la vérité. Ils utilisent des armes de précision, des bombes intelligentes et des frappes chirurgicales. Cela fait que la réalité est beaucoup plus grave. Chaque mort en Palestine n'est pas une erreur. Il est absolument clair sur qui est dirigé chaque missile. Que veut-on démonter avec cela ? Que le principal objectif de la guerre ce sont des civils. Il est question d'armes intelligentes qui pointent avec le GPS avec une erreur inférieure d'un mètre. Nous sommes, enfin, parlant de crimes de guerre d'une ampleur et d'une froideur bouleversante. En ce qui concerne les blessés, on pourrait penser à des égratignures. Ce n'est pas cela, ils ne sont même pas comptabilisées. Les plus de 3000 blessés sont des personnes sans bras et sans jambes, avec des éclats d'obus dans la tête, dans le coma. Beaucoup d'entre eux risquent de mourir dans les prochains jours, ou être dans le coma ou paralysé pour le reste de leur vie. En outre, ils sont en train de détruire des quartiers entiers.

-En revanche, certains matériaux peuvent avoir de l'intérêts pour Israël dans la bande de Gaza, on parle de gaz et le pétrole. Peuvent-ils être des éléments qui contribuent à expliquer l'agression actuelle ?
-Gaza a été occupée par des colons israéliennes jusqu'en 2005. Cette année-là, les colons se sont retirés et a commencé le blocus, de manière que la bande de Gaza est devenue une prison à ciel ouvert, avec 1,8 millions de personnes à l'intérieur. Les raisons pour lesquelles l'État d'Israël a décidé de retirer les colons sont de deux ordres. Tout d'abord, parce qu'ils avaient déjà pillé les ressources de la bande de Gaza (les aquifères sont contaminés par 95% et cela malgré que la bande de Gaza est, entendez bien, une oasis avec près de 4000 années d'ancienneté, un lieu privilégié). Le deuxième facteur est que c'est une zone historiquement rebelle, et le coût pour l’État d'Israël de maintenir l'armée et les colons était très élevé. En plus, est également vrai que ces dernières années au large des côtes Libanaises et de la bande de Gaza ont été trouvés de grandes poches de gaz sous-marin. C'est une autre raison pour les quelles maintenant, et à l'avenir, l’État d'Israël entrera en conflit avec le Liban et la Palestine. Parce qu'il leur permettrait d'avoir une relative autosuffisance énergétique.

-Avez-vous personnellement vécu les conséquences de bombardements au cours de votre séjour dans la bande de Gaza ?
-Oui, et le plus impressionnant c'est d'arriver à l'hôpital Shifa et d'entrer dans l'unité de soins intensifs. Là on voit la réalité: les gens sans jambes, brûlés, démolis. Vous voyez des parents ensanglantés, après avoir sorti leurs enfants des ruines. Des petites filles de quatre ou cinq ans dans le coma et avec des éclats d'obus dans la tête. C'est une monstruosité ce que nous voyons. Parce que le massacre est télévisé. Dans les années 40, après la défaite du nazisme, lorsqu'on demandé aux Allemands pourquoi n'ont-il rien fait devant la barbarie de l'Holocauste, ils ont dit qu'ils ne savaient pas, qu'ils n'ont rien vu, ni rien entendu. Il semble impossible, mais nous ne le saurons jamais si c'est vrai. Aujourd'hui, le monde entier, et 100% des Israéliens savent ce qui se passe à Gaza. C'est-a-dire, que notre responsabilité en tant que citoyens est beaucoup plus élevé qu'à d'autres époques.

-Enfin, pensez-vous que la mobilisation citoyenne est différente à d'autres occasions ? Y a-t-il une réponse adéquate face à la brutalité sioniste?
-Dans ce conflit, nous voyons le plus haut degré d'isolement d'Israël dans son histoire. Non seulement il y a des manifestations à travers tout le monde, mais aussi des parlements et nations entières condamnent Israël. Nous avons vu comment des États de l'Union européenne recommandent à leurs citoyens de ne pas faire des affaires avec les colonies israéliennes. Inclus le parlement galicien et le valencien ont soutenu le peuple palestinien. La fissure dans l'unanimité des médias américains ... Le peuple palestinien a atteint un niveau de saturation et d'horreur maintenant, et cela je l'ai vu dans la bande de Gaza, leur objectif n'est pas d'arrêter la guerre, mais d'obtenir la liberté, c'est à dire, mettre fin au blocus, pouvoir pêcher, semer leurs champs et que la frontière reste ouverte. Il s'agit d'une lutte très profonde. Il s'agit d'une décision politique et populaire, de ne pas retourner à l'esclavage du blocus de 8 ans. Pour atteindre la fin.


lundi 21 juillet 2014

Le conflit Israël Palestine analysé par Charles de Gaulle

Le général de Gaulle avait une vision de Chef d’État sur les événements, contrairement aux ersatz actuels. Jamais le Général n'aurait permis que l'on lui dicte la conduite à tenir.
Deux petites réserves cependant au développement du Général:
  • "Installés dans le site de leur ancienne grandeur". Cette remarque parfaitement diplomatique, n'est pas tout à fait juste, en effet les incursions de tribus juives dans ce territoire qui ne s'appelait pas encore Palestine, ont toujours été sporadiques et violentes. Et malgré toutes les recherches archéologiques (financées par la famille Rothschild) rien n'a été trouvé qui prouve l'exclusivité de l'appartenance juive, de cette terre, et aucun site archéologique n'augure d'une quelconque grandeur.
  • "Sur le territoire qui leur avaient reconnu les puissances (l'ONU)". Là aussi, cette remarque tout à fait diplomatique, n'est pas juste. La résolution 181 voté par l'ONU le 26 novembre 1947 a été entachée du chantage des USA sur les pays du tiers monde poussé au crime par le Lobby juifs américain.  
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