Je reprends aujourd'hui, lundi 20 juillet, les
déclaration de François Hollande qui, si j'ai bien compris, demande, suite à la
crise Grecque : " la création d'un parlement de la zone Euro".
Autrement dit la création de postes "doublure"
d'un parlement déjà existant.
A moins d'admettre que la démocratie, la justice,
consiste à créer un parlement spécialisé à chaque problème posé, moins par la Société
Civile que par les escrocs qui nous gouvernement.
Une entreprise pour se relancer ou s'adapter au monde qui l'entoure doit:
investir dans son outil de production visant à l'améliorer, à l'optimiser,
faire connaitre ses produits, maximaliser son service commercial.
Le responsable d'une entreprise qui penserait que
diminuer la masse salariale et les frais de fonctionnement suffiront à relancer
l'entreprise défaillante est un mauvais "patron" car si ces mesures amènent
à une amélioration passagère de la trésorerie, condamne à court ou a moyen
terme l'entreprise.
Nous n'avons que des mauvais dirigeants...
La Banque
Goldman Sachs, (ci dessous l'organigramme de cette
organisation) conjointement au Groupe Bilderberg..., forment, ce que j'appelle
(très souvent dans mes réflexions), la Communauté Supranationale à l'origine de
la quasi totalité des malheurs qui accablent notre monde.
L'exemple
de cette banque composé à majorité de Juifs Ashkenazes démontre l'étendue de
leur influence et s'ils ne sont pas tous Juifs Ashkenazes c'est pour mieux
l'étendre, bien que le sionisme et les sociétés crées ad-hoc [le
CRIF en France, l'AIPAC aux USA (...)] influencent nos dirigeants les plus
cupides, les sionistes (juifs ou non) n'ont pas besoin d'être
influencés, par idéologie, non seulement, cautionnent les crimes et manquements au Droit International d'Israël, mais encore ils se font élire dans "leur
pays" respectifs et s'évertuent a faire voter des lois qui s'avèrent être de véritables pièges
pour les populations ou qui participent à la déconstruction dans nos sociétés des principes qui nous ont fédéré.
Et
lorsque cela ne va pas assez vite, les banques, Goldman Sachs en tête,
fomentent les SUPRIMES, les ventes d'actifs douteux, etc. etc. à l'origine des
crises économiques que nous avons subis et que nous subissons.
Beaucoup d'entre-nous fustigent la Grèce pur sa gestion et son manque de structures étatiques et le manque de participation de l'ensemble des ses citoyens aux besoin de l’État. C'est vrai, mais de mon point de vue le "problème " est moins là, que le fait de l'avoir permis d’adhérer à l'Europe économique avants la réforme indispensable de ses structures et lui accorder un prêt qu'elle ne pouvait rembourser.
C'est, par exemple, la banque Goldman Sahcs qui à fait le premier prêt à la Grèce alors qu'elle n'était en mesure, en l'état, de rembourser. En ce sens cette banque (mafia, combien aussi) a commis une erreur en accordant un prêt à un débiteur qu'elle savait insolvable. L'Europe dans ce dossier (et ceux qui ont suivi) a "joué" un rôle complice et au lieu de demander (et aider) la Grèce a faire les reformes structurelles, avants son entrée dans Europe économique, ferme les yeux et déverse une manne d'argent, qui ne sert ni le pays, ni les populations mais a asservir le pays. En ce sens, bien que mieux structuré, le cas de l'Espagne est aussi significatif. Deversant des fléaux de liquidités dont le pays n'avait pas forcement besoin, il en est résulté que des crédits à la construction, par exemple, on été accordé a des personnes à la limite de l'insolvabilité, que seul la longueur du prêt (30/50 ans) laissait espérer la capacité de remboursement.
Ces procédés, à la limité de la légalité, son connus par ceux qui tirent les ficelles et provoquent les Crise [par exemple la Communauté Supranationale] et lorsque la crise nait, les difficultés pour l'emprunteur commencent.
Ces procédés font partie de la panoplie d'outils servant à appauvrir les population et leur faire accepter ce que normalement elles auraient refusé...
Beaucoup d'entre-nous fustigent la Grèce pur sa gestion et son manque de structures étatiques et le manque de participation de l'ensemble des ses citoyens aux besoin de l’État. C'est vrai, mais de mon point de vue le "problème " est moins là, que le fait de l'avoir permis d’adhérer à l'Europe économique avants la réforme indispensable de ses structures et lui accorder un prêt qu'elle ne pouvait rembourser.
C'est, par exemple, la banque Goldman Sahcs qui à fait le premier prêt à la Grèce alors qu'elle n'était en mesure, en l'état, de rembourser. En ce sens cette banque (mafia, combien aussi) a commis une erreur en accordant un prêt à un débiteur qu'elle savait insolvable. L'Europe dans ce dossier (et ceux qui ont suivi) a "joué" un rôle complice et au lieu de demander (et aider) la Grèce a faire les reformes structurelles, avants son entrée dans Europe économique, ferme les yeux et déverse une manne d'argent, qui ne sert ni le pays, ni les populations mais a asservir le pays. En ce sens, bien que mieux structuré, le cas de l'Espagne est aussi significatif. Deversant des fléaux de liquidités dont le pays n'avait pas forcement besoin, il en est résulté que des crédits à la construction, par exemple, on été accordé a des personnes à la limite de l'insolvabilité, que seul la longueur du prêt (30/50 ans) laissait espérer la capacité de remboursement.
Ces procédés, à la limité de la légalité, son connus par ceux qui tirent les ficelles et provoquent les Crise [par exemple la Communauté Supranationale] et lorsque la crise nait, les difficultés pour l'emprunteur commencent.
Ces procédés font partie de la panoplie d'outils servant à appauvrir les population et leur faire accepter ce que normalement elles auraient refusé...
Faire
appel à la finance privé pour financer les États nous savons tous que c'est une
hérésie, mais nous savons tous, aussi,
que ces prêts ne sont pas accordées pour aider le pays en question ou les
populations, mais pour lui faire perdre sa souveraineté et capter ses droits régaliens.
C'est exactement ce qui se passe en Grèce où les supplétifs de cette
organisation mafieuse exigent de la Grèce qu'elle privatise ses sévices régaliens,
qui tomberont comme par hasard aux mains de cette mafia Supra Nationale.
Ceux qui
pensent que nos élus nous veulent du bien, "coupent la branche dans
laquelle ils sont assis", rares sont les élus avec une vision honnête de
leur fonction, il y a éventuellement Alexis Tsipras et constatez, s'il vous
reste encore un peu de cervelle, comment tous les escrocs supplétifs du Nouvel
Ordre Mondial, lui "tombent dessus" et l'obligent à accepter l'inacceptable.
N'ayez aucune crainte après la Grèce viendra
le temps où nos pays seront face à la même mafia, nous n'y sommes plus très
loin.
Comment peut-on croire, ( les escrocs du nouvel ordre mondial et les dirigeants européens) que diminuer les revenus des retraités et des employés est une politique de progrès ?
Henri Ford, avait compris, lui, que s'il voulait vendre ses autos, il fallait que ses salaries gagnassent d'avantage. Comment les escrocs d'aujourd'hui peuvent ils croire qu'en diminuant les revenus ont peut relancer une nation ?
Quel être est suffisamment stupide pour croire que le dérèglement économique mondial ( nommé Mondialisation pas ces escrocs) est inéluctable ou serait la seule solution d'avenir ? Solution d'avenir pour eux, mais assurément pas pour les populations...
Pourquoi escrocs ? Parce au moment où la société s'appauvrit ces escrocs s'enrichissent...
Comment peut-on croire, ( les escrocs du nouvel ordre mondial et les dirigeants européens) que diminuer les revenus des retraités et des employés est une politique de progrès ?
Henri Ford, avait compris, lui, que s'il voulait vendre ses autos, il fallait que ses salaries gagnassent d'avantage. Comment les escrocs d'aujourd'hui peuvent ils croire qu'en diminuant les revenus ont peut relancer une nation ?
Quel être est suffisamment stupide pour croire que le dérèglement économique mondial ( nommé Mondialisation pas ces escrocs) est inéluctable ou serait la seule solution d'avenir ? Solution d'avenir pour eux, mais assurément pas pour les populations...
Pourquoi escrocs ? Parce au moment où la société s'appauvrit ces escrocs s'enrichissent...
Vidéo:
Responsables de la Banque Goldman
Sachs
Christian
Chavagneux :
- Rédacteur
en Chef adjoint d'Alternatives économiques
Golmann
Sach :
-
Responsables exécutif:
Lloid C.
Blankfein :
- Chef de
l'Exécutif ; Juif Ashkénaze
Gary D.
Cohn :
- Président
en Chef des opérations ; Juif Ashkénaze
John S.
Weinberg :
- Vice
Président ; Juif Ashkénaze
J.
Michael Evans :
- Vice
Président ; Chrétien Blanc Européen
Michael
S. Shervood :
- Vice
Président ; Juif Ashkénaze
David A.
Viniar :
- Vice
Président et Chef du département Financier ; Juif Ashkénaze
Gregory
K. Palm :
- V-P Exécutif, Conseiller Général et Secrétaire de la
Société ;
Chrétien Blanc Européen
Esta E.
Styecher :
- Vice-président Exécutif, Conseiller Général et Secrétaire de la
Société ; Juif
Ashkénaze
Alan M.
Cohen ;
Vice-président Exécutif et Chef de la conformité, au niveau Mondial ; Juif Ashkénaze
Conseil de surveillance
Lloid C.
Blankfein :
- Chef de
l'Exécutif ; Juif Ashkénaze
Gary D.
Cohn :
- Président
en Chef des opérations ; Juif Ashkénaze
John H.
Brvan :
-
Directeur ; Chrétien Blanc Européen
Claes
Dahlbäck :
-
Directeur ; Chrétien Blanc Européen
Stephen
Friedman :
-
Directeur ; Juif Ashkénaze
William
W. George :
-
Directeur ; Chrétien Blanc Européen
Rajat K.
Guptar :
-
Directeur ; Indien
James A.
Johnson :
-
Directeur ; Chrétien, épouse juive (Maxine Isaacs)
Lois D.
Juliber :
-
Directrice ; Juive Ashkénaze
Lakshmi
N. Mittal :
-
Directeur ; Indien
James J.
Schiro :
-
Directeur ; Juif Ashkénaze
H. Lee
Scout, Jr.
-
Directeur ; Chrétien Blanc Européen
Comité de Gestion
Lloid C. Blankfein : N/A
Gary D.
Cohn : N/A
John S. Weinberg : N/A
J. Michael Evans : N/A
Michael S. Shervood :
N/A
Kevin W. Kennedy : N/A
Timothy J. O'Neill : N/A
Gregory K. Palm : N/A
Masanori
Mochida : N/A
(Japonais)
David A. Viniar : N/A
Chistopher
A. Cole : N/A (Juif Ashkénaze)
Esta E. Stecher : N/A
David B. Heller
: N/A
Edward C. Forst : N/A (Juif Ashkénaze)
Richard J. Gnoddle : N/A (Juif Ashkénaze)
Richard M. Ruzika : N/A (Juif Ashkénaze)
Yoël Zaoui
:
N/A (Juif Ashkénaze)
Gordon E.
Dval : N/A (Chrétien Blanc Européen)
David M.
Solomon : N/A
(Juif Ashkénaze)
Edith W.
Cooper : N/A
(Chrétienne Mulâtre)
Isabelle
Ealet : N/A (Chrétienne Blanche Européenne)
Edward K. Eisler : N/A (Juif Ashkénaze)
Gwen R. Libstag : N/A (Juif Ashkénaze)
John F.W. Rogers : N/A épouse juive
(Deborah M. Lehr)
Pablo J.
Salame :
N/A (Chrétien métis)
Jeffrey W. Schroeder :
N/A (Juif Ashkénaze)
Donald R.
Mullen : N/A (Chrétien Blanc Européen)
Harvey M. Schwartz : N/A (Juif Ashkénaze)
Steven H. Strongin : N/A (Juif Ashkénaze)
Alan M. Cohen
: N/A
Yusuf A.
Alireza :
N/A (Perse/Iranien)
David C.
Rvan :
N/A (Chrétien Blanc Européen)
Il est évident qu'une trop grande uniformité rendrait les visées de la Communauté Supranationale trop visible et par conséquent vulnérable. La dispersion des influences rend la lisibilité opaque.
On s'est toujours demandé pourquoi le le racisme anti Juif (le regrettable réside dans le fait que c'est l'ensemble de la communauté qui a du souffrir des affres du rejet, alors que seul une minorité était responsable ), peut-on accepter cependant le népotisme déployé par une communauté qui voudrait universelle une supériorité supposé.