Les partis d'extrême-droite font
pression pour exclure l'histoire palestinienne du programme scolaire. L'extrême-droite
israélienne conteste les manuels scolaires.
Tout le mode sait ou devrait savoir que les gouvernements
israéliens qui se sont succèdes ont fait preuve de racisme, d'intolérance et
ont toujours privilégié la solution des armes y compris lorsqu'ils ont été à
l'origine de faits qui se son soldés par de prétendues représailles. En effet la
politique sioniste qui a été menée ne pouvait engendrer d'autre résultat que la
résistance, fusse-t-elle violente.
Le 26 novembre 1947 l'ONU en votant la résolution 181 sur le
partage de la Palestine, a renie le premier commandement des Droits de l'Homme
qui est :"Le Droits des Peuples à disposer d'eux-mêmes." et que l'ONU
était sensé protéger. L'ONU en remplaçant la Société des Nations (SDN) à renié,
aussi, le paragraphe 4* de l'article 22 du pacte des Mandats, après la défaite
de l'empire Ottoman. L'ONU aurait du prendre à sa charge l'engament qu'avait
pris la Société des Nations ou alors abroger le pacte issu de la Conférence de
San Remo, qui a fait suite au Traité de Versailles. Et accorder, aux États concernés, le droit de choisir leur destin.
* 4. Certaines communautés qui appartenaient
autrefois à l'Empire ottoman, ont atteint un degré de développement tel que
leur existence comme nations indépendantes peut être reconnue provisoirement, à
la condition que les conseils et l'aide d'un mandataire guident leur
administration jusqu'au moment où elles seront capables de se conduire seules. Les
vœux de ces communautés doivent être pris d'abord en considération pour le
choix du mandataire.
La Palestine qui devait, au départ, rester sous mandat international
fut accordé à l'Angleterre, sans que la volonté du peuple ait été prise en
considération. Ce choix a été une prévarication de la par des responsables devant
nommer les Mandats. En effet, le gouvernement de sa majesté, par son représentant
lord Balfour, avait passé un accord avec l'organisation sioniste mondiale par l'intermédiaire
de son représentant lord Rothschild qui stipulait : "Le gouvernement de Sa Majesté
envisage favorablement l'établissement en Palestine d'un foyer national pour le
peuple juif, et emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet
objectif, étant clairement entendu, que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte ni aux droits civils et
religieux des collectivités non juives existant en Palestine, ni aux droit et au statut
politique dont les juifs jouissent dans tout autre pays." Là, de nouveau les responsables internationaux
on fait preuve de lâcheté et d'irresponsabilité puisque, si les droits des Juifs
ont été respectés dans leur "pays" respectifs, ceux des Palestiniens
ont été bafoués sans vergogne ni remords.
Il faut être conscient que
le sionisme comme le nazisme sont deux idéologies nuisibles qui se sont
présentes sous des auspices humanistes, l'un National Socialisme, l'autre
instrumentalisant le génocide des Juifs par les nazis, mais tous deux aux
relents de racisme, ségrégationnisme, ostracisme. En un mot des criminels qui
ont eu la ruse de se présenter comme des êtres acceptables, alors qu'ils sont
la lie, la sédimentation des plus vils instincts.
Al
Jazeera
09-10-2013
Le gouvernement de droite israélien et ses partisans d'extrême-droite
sont accusés d'attiser un climat d'intimidation croissante et d'intolérance
dans les écoles et au sein des groupes de travail pour une solution pacifique
du conflit israélo-palestinien.
Les derniers efforts de la droite pour faire taire la
dissidence ont inclus la censure des manuels scolaires et la tentent de réduire
au silence les organisations qui posent des questions embarrassantes au sujet
d'Israël et de son passé et les conditions d'appropriation des terres dans ce qui semble être une guerre, de plus en
plus, dans l'esprit des Israéliens.
Des groupes d'extrême-droite alliés au gouvernement ont
tenté d'empêcher la tenue récente d'une conférence internationale à Tel-Aviv
qui a examiné les événements qui ont entouré la création d'Israël en 1948,
connu sous le nom de «Guerre d'Indépendance» pour les Israéliens et la
"Nakba", ou catastrophe, pour les Palestiniens.
Dans le même temps, on a appris que l'un des groupes d'extrême
droite impliqués, Im Tirtzu, avait initié une campagne visant à fermer
l'organisation responsable de la conférence, Zochrot, l'accusant d'avoir violé
la loi israélienne à «rejeter l'existence d'Israël."
Zochrot pose la question sur le plus grand tabou d'Israël,
le droit de millions de Palestiniens de retourner dans les foyers desquels leurs
ancêtres ont été expulsés en 1948. Beaucoup d'Israéliens s'opposent avec
véhémence à une telle action parce qu'ils considèrent que cela signifie la fin
de la judaïté de l'Etat.
Eitan Bronstein, fondateur de Zochrot, a déclaré que la
conférence, qui a duré deux jours, avait été particulièrement menaçante pour la
droite. "Pour la première fois nous considérons qu'un droit théorique de
retour", a-t-il dit.
"Cette fois, l'accent s'est concentré à considérer comment
pouvons-nous mettre en œuvre la déclaration. Les réfugiés nous-ont même offert
des modèles simulés par ordinateur de la manière dont cela pourrait être fait
sur le terrain".
L'opportunité est embarrassante pour Israël parce que les
pourparlers de paix avec les Palestiniens, au point mort depuis le longtemps, on
été relancés récemment sous la pression américaine. Une des questions cruciales
à résoudre est de savoir si l'on pouvait permettre aux réfugiés de retourner, aux
plus de 500 villages détruits par Israël?
De manière générale, des groupes d'extrême droite proches
du gouvernement de Benjamin Netanyahu ont cherché des moyens d'empêcher
définitivement le financement d'organisations considérées comme trop critiques
à l'égard d'Israël ou qui travaillent pour protéger les droits des Palestiniens
sous occupation.
Enseignement politisé
Durant l'été, un des partis de la coalition au pouvoir a
introduit une législation pour bloquer le financement semblable, qu'il qualifie
d'activité "anti-israélienne".
Un groupe d'extrême droite qui a aidé à rédiger la
législation, NGO Monitor, a utilisé la conférence la Zochrot pour souligner l'illégalité
d'un financement étranger.
Yitzhak Santis, un fonctionnaire de NGO Monitor, a déclaré
que les sponsors européens de la conférence avaient conspiré dans un événement
qui équivalait à "un appel à l'élimination d'Israël comme l'Etat-nation du
peuple juif."
Le gouvernement a également été attaqué pour ses efforts incessants
pour supprimer les références à la Nakba du programme scolaire et réduire les
droits des citoyens palestiniens d'Israël, qui représentent un cinquième de la
population.
Les révisions du programme d'éducation civique, que tous
les élèves doivent étudier pour passer son examen du baccalauréat, a été
critiquée dans un rapport qui doutait de l'approche ultranationaliste du
ministère de l'Éducation "soit même compatible avec un régime
démocratique."
Le nouveau livre de texte se fait l'écho de la législation
que rédigent les membres de la coalition gouvernementale pour définir le
caractère d'Israël comme la patrie exclusive du peuple juif et pour souligner
que seuls les Juifs ont le droit à l'autodétermination en Israël.
Halleli Pinson, professeur d'éducation à l'Université Ben
Gourion de Beersheva, qui a réalisé l'étude, a déclaré que dans les écoles d'Israël
est en train d'émerger un «régime de peur».
«Les valeurs démocratiques et libérales et les valeurs des
droits de l'homme sont désormais considérés comme illégitime par les
responsables de l'éducation», a-t-il dit. "On considère qu'ils affaiblissent
le statut d'Israël en tant qu’état juif. Maintenant, la perspective qui est
promue dans l'éducation est entièrement d'extrême droite ».
Lors de la récente conférence sur le droit au retour les
experts locaux et internationaux ont discuté des plans pratiques pour que les
réfugiés palestiniens retournent en Israël.
Les restrictions pour entrer en Israël signifiaient que
peu de réfugiés palestiniens hors d'Israël ont pu y assister. Mais plusieurs
réfugiés de l'intérieur, Palestiniens ayant la citoyenneté israélienne, y ont
participé. Bien que leur citoyenneté les empêche, comme d'autres réfugiés, de
retourner dans leurs villages. La conférence s'est tenue au Musée Eretz Israël,
un musée archéologique prestigieux de Tel Aviv.
"Se souvenir"
Zochrot, qui signifie «se souvenir» en hébreu, est la
première organisation qui cherche à éduquer les Juifs israéliens sur la Nakba.
Depuis sa fondation en 2002, a amené des milliers d'Israéliens pour visiter les
villages détruits, laissant des écriteaux en hébreu et en arabe identifiant
rues, cimetières et bâtiments perdus comme des mosquées, des églises et des
écoles, ce qui provoque souvent l'hostilité des habitants juifs de l'endroit.
Dans le cadre de sa mission, Zochrot a créée des équipes
d'information de la Nakba pour les enseignants, mais les fonctionnaires de
l'éducation les ont exclus de la salle de classe. Le ministère a également
cherché à empêcher les enseignants de participer aux séminaires Zochrot pendant
leur temps libres.
L'année dernière, Zochrot créé une cinémathèque
documentant les témoignages de vétérans israéliens de la guerre de 1948.
Beaucoup parlent à la caméra pour la première fois de leur participation à des
crimes de guerre pour avoir effectué des opérations de nettoyage ethnique.
Le travail de l'organisation remet directement en cause
les efforts du gouvernement pour supprimer la discussion sur les événements
entourant la fondation d'Israël.
En 2008, peu de temps avant d'être Premier ministre
Netanyahu a déclaré qu'il mettrait fin à l'information destiné aux Israéliens
au sujet de la Nakba. Se référant au programme de l'école, a déclara [en
hébreu]: «La première chose que nous flairons est d'éliminer Nakba".
Trois ans plus tard, le gouvernement Netanyahu a promulgué
une loi interdisant les institutions publiques, y compris les écoles et les
bibliothèques, de recevoir des fonds de l'Etat si elles font référence à la
Nakba.
L'importance croissante et la combativité de Zochrot dans
le questionnement de la narrative traditionnelle d'Israël sur l'année 1948 a
provoqué l'antagonisme du gouvernement et de ses partis, à dit Bronstein.
"A mesure qu'il a été plus difficile d'ignorer notre
travail et que nous sommes de plus en plus connus, la droite et
l'extrême-droite ont été plus agressif dans les méthodes utilisées contre
nous."
L'année dernière, la police a encerclé les bureaux de Zochrot
à Tel-Aviv le jour où les Israéliens célèbrent leur «indépendance» et les
Palestiniens commémorent la Nakba, pour empêcher le personnel d'assister à un
événement où allait se faire la lecture en place publique centrale les noms des
villages palestiniens détruits.
La police, qui a arrêta trois membres de Zochrot, qui
tentaient de sortir du cordon, a justifié son action sur la base que le groupe
était en danger et d'être attaqués par la foule sur la place.
Un groupe de jeunes d'extrême droite appelé Im Tirtzu, a
mené l'attaque contre Zochrot. Bronstein dit que le groupe a travaillé en
étroite collaboration avec le gouvernement dans l'élaboration de la loi Nakba.
Les enquêtes des médias israéliens ont montré qu'une
partie du financement Im Tirtzu [extrême-droite] transite
par l'Agence Juive, qui a un statut semi-gouvernemental en Israël. On sait que
le groupe est proche de ministres de premier plan, dont le ministre de
l'Intérieur Gideon Saar, qui était le conférencier d'honneur lors de sa
conférence annuelle de 2010. Décrit son travail comme «béni» et «immensément
vital.»
Il a été rapporté que les groupes d'extrême droite, y
compris Im Tirtzu, [extrême-droite] ont fait préssion sur le Musée Eretz
Zochrot pour annuler la conférence, y compris une campagne pour boycotter le musée
si l'événement avait lieu.
Au dernier moment, les nerveux responsables du musée ont essayé
de changer les conditions de la tenue de la conférence, exigeant que Zochrot
devait financer les gardes de sécurité supplémentaires pour protéger le site
contre les manifestations d'extrême- droite et aussi que des affiches et des
invitations dissimulaient des références a "Sheikh Muwannis" un village
palestinien détruit en 1948, sur les terres duquel le musé a été construit.
Zochrot a refusé et le musée céda seulement après que les
avocats ont menacé de poursuivre en justice pour rupture de contrat. Michael
Sfar, représentant de Zochrot qualifia les exigences du musé d'«illégales» et a
déclaré qu'ils constituaient une «discrimination intellectuelle et
idéologique».
Groupe “fasciste”
Les pressions d'Im Tirzu [extrême-droite] pour empêcher la
tenue de la conférence sont survenues
après les révélations, en début d'année, sur le fait que son directeur, Ronen
Shoval, avait contracté, avec des enquêteurs privés, un contrat pour espionner
les organisations de gauche comme Zochrot.
Les enquêteurs privés avaient forcé l'entrée du bureau de Michael Sfard, un
avocat en droits humains, et on volé des documents en relation avec ces
organisations.
Ces révélations ont eu lieu au cours de l'affaire
judiciaire dans laquelle huit militants d'Im Tirtzu ont été qualifiés de
«fasciste» sur Facebook. A un moment difficile pour le mouvement d'extrême-droite
et le Gouvernement, le juge en charge de l'affaire n'à pas soutenu les
militants d'extrême-droite, après avoir entendu des experts israéliens que la qualification
était justifiée.
Un autre groupe d'extrême droite, NGO Monitor, a travaillé
en étroite collaboration avec le gouvernement pour tenter d'interrompre la principale
source de financement, les gouvernements européens aux organisations de gauche
et des droits humains en Israël.
Bronstein déclara NGO Monitor a convaincu un sponsor
allemand, la Fondation EVZ, de retirer son argent l'année dernière.
Changez votre nature, elle revient au galop...
La tentative par le gouvernement israélien d'élaborer une
loi destiné à bloquer les fonds en provenance de l'étranger a été discrètement
abandonnée en 2011 par la pression américaine et de l'UE.
Une preuve de plus, si nécessaire, de la nocivité de ces
escrocs. Alors que parviennent en Israël, en provenance des USA ou de l'Europe,
des fonds collectés par des associations créées ad-hoc, sous des prétextes
culturels, pour financer les groupes juifs d'extrême-droite ou servant à la
construction ou à l'agrandissement de colonies en territoire palestinien. Cela
nos dirigeants le savent et si le fisc américain a relevé l'infraction, en
Europe ces association non seulement financent ces forfaits, mais encore ils
ouvrent pour la prospérité de ces criminels.
Cependant, l'un des partenaires dans le gouvernement de
coalition de Netanyahu, le parti Jewish Home, a annoncé cet été qu'il allait ressusciter
la législation. Les organisations qui remettent en question les affirmations
démocratiques d'Israël ou qui soutiennent des enquêtes contre des soldats
israéliens pour crimes de guerre courent le risque d'être fermées.
Jafar Farah, directeur de Mossawa, un groupe de défense politique
des droits de la minorité palestinienne en Israël, a déclaré : de nombreux sponsors
"prennent peur", suite à la campagne contre le financement des
organisations des droits humains et des organisations arabes en Israël, qui se
raréfient à fur-et-a-mesure de la réussite de cette campagne avec l'objectif d'intimider
les donateurs.
«Influence libérale»
Pendant ce temps, le Gouvernement a été durement critiqué
récemment pour avoir permis à un autre groupe d'extrême droite, l'Institut des
stratégies sionistes, de revoir les manuels scolaires utilisés dans les écoles qui
préparent les élèves à l'examen de fin d'études, dans le cadre des efforts
visant à que le programme scolaire soit plus ouvertement nationaliste.
Hajo Mayer, un juif allemand emprisonné à Auschwitz par les
nazis et réfugié en Hollande, disait : -lors d'une conférence à Strasbourg- "que
les écoliers israéliens étaient plus endoctrinés que n'a pu l'être lui-même par les nazis,
qu'Israël était une démocratie pour les Juifs et une dictature pour les autres".
Et cela en 2008 et je me dis : qu'est-ce que cela doit être aujourd'hui?
Le ministère de l'Éducation a fait une étude des manuels
scolaires, à la recherche de signes d'«influence libérale», y compris les
livres d'histoire qui se référent à la Nakba. Le principal domaine litigieux,
cependant, a du revoir ses cours l'éducation civique, l'unique partie du
programme qui traite des questions comme la démocratie, les droits humains,
l'égalité et les principes universels de la citoyenneté.
L'an dernier, le superviseur du programme d'éducation
civique du ministère de l'Éducation, Adar Cohen, a été congédié malgré une
pétition de centaines d'enseignants d'éducation civique qui s'opposaient à la
décision.
Adar Cohen avait été critiqué pour avoir publié un manuel
qui comprenait des références au Rapport Goldstone, une mission de recherche de
l'Organisation des Nations Unies qui a critiqué Israël pour avoir commis, ce
qui semblait être un crime de guerre pendant l'attaque sur Gaza appelée
"plomb Durci" l'hiver 2008 - 09.
Asher Cohen, chercheur à l'Institut des stratégies
sionistes, a été nommé à la tête du comité d'éducation civique du ministère.
Fondée par les dirigeants des colons, l'Institut dépend fortement du
financement de
groupes néoconservateurs de Washington.
Appelés communément "néocons" organisation où les
pro-sionistes y font la "pluie et le beau temps"...
Un autre membre de l'Institut, Aviad Bakshi, a obtenu le
contrôle exclusif de la nouvelle rédaction du principal manuel d'éducation
civique, "Etre citoyen en Israël", après que l'extrême-droite s'est plainte
des critiques à l'encontre du pays.
L'étude de Pinson de l'Université Ben Gourion a établi que la nouvelle édition était fortement
biaisée vers une conception nationaliste d'Israël qui promouvait les
caractéristiques juives de l'Etat au détriment des principes démocratiques.
«L'influence de l'Institut des stratégies sionistes est
évident dans le nouveau manuel. La perspective est très inquiétante: que les minorités en Israël ne devraient pas
avoir le droit d'influencer la sphère publique ».
Le ministère de l'Éducation n'était pas disponible pour
commenter.
Yousef Jabareen, directeur de Dirasat, un centre de la
politique sociale à Nazareth qui sollicita le rapport dit qu'il avait reçu de
nombreuses plaintes de la part des enseignants des écoles Arabes en Israël.
"Ils disent qu'il est impossible d'enseigner le
curriculum parce son message s'opposé à l'égalité et l'intégration. Il est
particulièrement problématique parce que ce matériel est obligatoire et les
étudiants ne peuvent pas être enregistrés sans passer le test d'éducation
civique ".
Pinson dit que le livre aussi accuse implicitement les
citoyens palestiniens du pays de la discrimination auxquels ils sont confrontés,
y compris les difficultés de trouver un emploi. Il a déclaré que le message
implicite était «comme si la minorité arabe était responsable de leur faible
participation au marché du travail."
Veuillez me pardonner, mais comment est-il possible qu'un être intelligent,
juifs ou non, puisse encore prétendre qu'Israël est une démocratie! Seuls les
dirigeants cupides qui se sont laissé acheter peuvent le prétendre. Ou alors il
faudrait qu'ils soient totalement sots pour qu'ils abondent dans le sens de ces
criminels, sans que cela ne leur rapporte rien! Autrement dit : "Nos
dirigeants sont: soit des imbéciles, soit des truands".
Jonathan Cook, a remporté le Prix Spécial de Journalisme
Martha Gellhorn. Ses derniers ouvrages sont " Israel and the
Clash of Civilisations: Iraq,
Iran
and the Plan to Remake the Middle East”
(Pluto Press);" Disappearing Palestine: Israel’s
Experiments in Human Despair" (Zed Books) Son site web www.jonathan-cook.net
Source: Al Jazeera