vendredi 19 septembre 2014

Le jeu habile d’Obama en Syrie



The Vineyard of the Saker
17 septembre 2014


Lisez, prenez votre temps, suivez les liens, et en toute tranquillité tentez d'y voir clair dans le "jeu" d'Obama, bien sur, mais aussi dans celui de l'Europe, de l'Israël sioniste tous vassaux du Nouvel Ordre Mondial.





photo : Isis, le surréalisme made in USA

Rappelez-vous, il y a quelques temps, Obama souhaitait lancer des frappes aériennes contre le gouvernement de Syrie, en réaction à une attaque à l’arme chimique extrêmement controversée, bien que plus tôt, en 2013, l’Iraq ait arrêté 150 terroristes takfiri affiliés à l’État Islamique en Irak, qui étaient en train de préparer des armes chimiques à Bagdad, avec des matériaux importés du Koweït, de l’Allemagne et de l’Arabie saoudite. Le plan de frappes aériennes d’Obama n’a été arrêté que parce que le public américain et européen a vu clair dans son jeu. Le public américain a compris qu’Obama, plutôt que d’envoyer quelques missiles à Assad pour le punir d’avoir usé des « armes chimiques » sur des civils, allait utiliser ce prétexte pour envoyer l’US Air Force jouer le rôle de l’aviation au sein de l’Armée syrienne libre, tout comme en Lybie, où Obama a utilisé le prétexte de protéger des « civils » pour envoyer l’aviation US aider les rebelles à vaincre Kadhafi.
Quoi qu’il en soit, afin de sauver la face après que le public américain s’est opposé à son aventurisme, il a annoncé qu’il avait besoin de l’approbation du Congrès pour bombarder la Syrie. Il pensait que McCain et Lyndsay Graham (deux vautours qui prospèrent sur les cadavres en train de se consumer) l’obtiendraient pour lui. Surprise ! Il aurait perdu devant le Congrès, et Poutine lui a gracieusement offert une issue hors de ce piège. Il s’agissait de l’accord pour éliminer l’arsenal d’armes chimiques de Syrie.
Et après, que s’est-il passé ? C’est là qu’est apparu l’État Islamique en Irak et au Levant (EIIL), qui se fait maintenant appeler État islamique, ou Da’ash pour les Arabes. Soudain, Obama a autorisé le transfert de très nombreux millions de dollars en armement lourd à l’« Opposition syrienne » modérée (quelle blague !), sachant bien que ces rebelles soi-disant modérés étaient les compagnons de lit ou des chiens soumis à Da’ash, et surprise ! Surprise ! Toutes les largesses d’Obama en armement ont fini par aller en premier aux unités de Jabhatun-Nusrah et du Front islamique, qui ont récupéré ces armes, et ont rejoint l’EIIL. Dans d’autres cas, l’EIIL s’est simplement présenté et ont menacé les rebelles islamistes et modérés, confisquant leurs jouets américains à peine débarqués, ce qui incluait des missiles anti-tank sophistiqués.
Il a fallu quelque temps, mais l’« armée de brutes » d’Al-Baghdadi a fini par traverser la frontière, pour libérer leur base d’origine en Iraq, trimballant avec eux… je vous le donne en mille… la contribution américaine à la libération de la Syrie, y compris des missiles guidés anti-tank valant des millions de dollars, que monsieur Obama a envoyé fièrement se battre à Damas, à sa place.
Avec un armement américain, et des tactiques, apprises en Syrie, pour se battre contre les combattants extrêmement qualifiés du Hezzbollah et la médiocre armée syrienne, l’Armée des brutes d’Al-Baghdadi a surpassé les forces de sécurité Irakiennes, fortes d’un million d’hommes, capturant de nouvelles armes américaines, alors qu’elle marchait à travers l’Irak, prenant ce qui lui plaisait. Pendant ce temps, monsieur Obama, ou monsieur Yes-We-Can (cela dépend des semaines) était assis dans son Bureau ovale et souriait largement, alors que l’Armée de brutes d’Al-Baghdadi gagnait bataille après bataille, tout en prenant garde de bien crier et dénoncer de façon hystérique, comme une prostituée enragée « Regardez, l’EIIL estdevenu une menace pour la paix dans le monde »…
Ensuite, alors que nous commencions à nous fatiguer de cette scène, monsieur Obama en est arrivé au véritable but de ses livraisons d’armes aux rebelles de Syrie : organiser une coalition de volontaires (ça ne vous dit rien ?) en vue de déclencher un enfer de bombes sur la Syrie et de rétablir son contrôle sur l’Irak. Ou comme j’aime à les appeler, une Coalition volontaire des p**es et des laquais des Américains.
Monsieur Obama a été incroyablement aidé, ou certains diraient qu’il a eu l’incroyable chance d’avoir deux Américains décapités sur Youtube par des bourreaux de l’État Islamique, dont l’un à l’accent anglais, maintenant appelé Jihad Johnny.
Maintenant, les capitales du monde résonnent du fait que l’État Islamique doit être éliminé, avant qu’il n’attaque la mère patrie (les USA). Et, sans surprises, le public américain y croit (les sondages montrent que les deux-tiers des américains sont en faveur de frappes aériennes contre l’État islamique en Syrie et en Irak). Tout ce qu’il fallait, c’était deux décapitations, un Obama s’époumonant « Islamistes terroristes ! » et John Kerry et McCain rappelant la mémoire du 11 septembre, afin que le public américain demande des bombardements en Syrie et en Iraq, et des soldats au sol en Iraq.
Il y a déjà plus d’un millier de soldats US en Iraq (voilà pour ce qui est de sortir d’Iraq). Et, à nouveau, Obama obtient ce qu’il voulait dès le début : un changement de régime sponsorisé par les USA. L’irakien Maliki, qui refusait une présence américaine en Irak qui ne soit pas soumise à l’Irak, s’est retrouvé éjecté du gouvernement. Obama fait déjà des plans pour que le Congrès finance l’Opposition syrienne soi-disant « modérée » avec des milliards de dollars, jusqu’à ce qu’Assad chute, tandis que l’aviation US volera au-dessus de la Syrie en lâchant des bombes, sur l’État Islamique au début, mais imaginez qu’une autre « attaque chimique » ou un « massacre prémédité » par les forces d’Assad ou par les Shabiha [groupes d'hommes armés en tenue du parti Baas de Bachar el-Assad, NdT] ait lieu ? Est-ce que les gendarmes du monde et défenseurs de la liberté (ironique, quand on jette un œil au Patriot Act) et de la démocratie (amusant, si on considère le nombre record de gouvernements démocratiques renversés par Washington dans le monde), se contenteront de rester à l’écart, alors qu’ils ont déjà des chasseurs dans la zone ? Bien sûr que non ! Comme le disent monsieur Obama et ses prédécesseurs, « ils » ont un devoir de protection « donné par Dieu ».
Pour résumer, celui qui a concocté le plan qu’Obama est en train de suivre doit vraiment être un génie du crime… Malheureusement pour Baghdad et Compagnie, ils ne sont que des pions dans un jeu bien plus grand. Mais, à nouveau, même un pion discret peut parfois tuer un roi.
Fulan Nasrallah
Traduit par Etienne pour vineyardsaker.fr
PS : jetez un œil à cet article d’Al-Jazeera pour avoir une image clair de la situation en train de se former : Obama outlines plan to target IS fighters (aljazeera.com, anglais, 11-09-2014)
Source : Obama’s Smart Syria Play (vineyardsaker, anglais, 16-09-2014)

mardi 16 septembre 2014

Xavier Moreau, balance tout sur les USA et l'UE en plein direct ...



Ces vidéos nous permettent de comprendre la léthargie Européenne, mais aussi le carcan dans lequel se trouvent les États membres. Il en résulte la soumission aux USA, que le Général de Gaulle avait descellé et refusé. A chaque fois qu'une mesure est prise, elle se réalise au détriment des populations qui la composent.


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Suite de la Vidéo: Une autre Europe est possible

dimanche 14 septembre 2014

Le lien du nouveau sigle nazi-sioniste



02-09-2014

C'est un "post" parfois insolite et l'analyse de l'auteur parfois déroutante mais en approfondissant, on peut remarquer sa perspicacité et une clairvoyance rarement égalée. Ce "post" est d'une très grande importance.
Il me parait évident que l'influence nazi-sioniste aux USA, en Europe et particulièrement en France et plus largement en Occident, phagocyte nos institutions démocratiques, et corrompt nos dirigeants, pour en faire un outil de domination.
S'il a raison c'en est fini de la paix mondiale.  

Nazi-sionisme: une origine commune
Le nazisme et le sionisme ont toujours été les deux faces d'une même médaille: celle du judaïsme européen d'origine Khazar. En Allemagne, ce sont ces juifs qui ont instrumentalisée Hitler pour générer l'«Holocauste» et être en mesure de justifier la barbarie qui s'est propagées à travers le monde avec leurs usurpations, leurs invasions, leur génocide et le terrorisme d'Etat dans le Moyen-Orient, en Asie, Afrique, en Amérique latine.

Barbarie qui remonte au VIIe siècle avant JC, mais qui, pour le cas palestinien, trouve sa "légalité" dans l'accord secret "Sykes-Picot" entre la France et l'Angleterre. Cet accord ne signifie pas seulement la trahison de ces deux pays arabes, après l'effondrement de l'actuelle Turquie, mais a impulsé l'invasion juive-sioniste de la Palestine de 1916 à aujourd'hui.

La Société des Nations, d'abord, puis l'ONU, créé par les francs-maçons judéo-chrétiens dirigés par Rockefeller et Rothschild, comme des instances de représentation démocratique des états du monde, a été chargé de la ratification, chacune en son temps, le processus d'usurpation sioniste de la Palestine. Ils comptaient à cette fin, avec l'aval des gouvernements sionistes de l'Europe, des USA et leurs colonies respectives et les ex-colonies en Afrique, en Asie et en Amérique latine.

Nettoyage ethnique et les mythes s'y rattachant
Depuis le 8 Juillet de cette année, nous avons été les témoins et complices de massacres horribles que les juifs sionistes installés en Palestine, dans leur volonté de nettoyer le territoire de leurs véritables habitants légitimes. Ils ont choisi, comme toujours, les femmes et les enfants, mais aussi détruit toutes les infrastructures qui permettait de survivre à 1.800.000 palestiniens dans les 300 Km2 de la bande de Gaza. Ce qui reste de la population de plus de 5 millions qu'ils étaient avant les extermination successives, des massacres (comme Sabra et Chatila) et les expulsions qui évoquent les noms de Ben Gourion, Golda Meir, Moshe Dayan, David «Dado» Elazar , Ariel Sharon, pour ne citer que quelques-uns de ceux qui, dans la courte mais sanguinaire histoire de l '«Etat juif», ont été leurs ministres de la défense ou ses premiers ministres. Une place spéciale correspond certainement à Shimon Peres, Moshe Yaalon et "Bibi" Netanyahu, les pilotes actuels du génocide à Gaza et à sa stratégie de dépossession.

Israël ne veut pas seulement le territoire libre des Arabes et de musulmans, mais aussi pour s'assurer le contrôle des ressources énergétiques (pétrole, gaz) et des minières que possède la Palestine. Il ne veut pas, non plus, obtenir un coin de luxe et de plaisir pour les mafias sionistes du pouvoir politique, économique, financier, militaire et narcoterroriste dans le monde. Il s'agit de la manipulation du mythe qui permet au sionisme international de se soustraire à la religiosité et à la foi, et s'ériger cotre toute allusion à la rationalité historique. Il s'agit de l'aliénation de la politique pour en faire un instrument de guerre et d'arrogance. Les nazi-sionistes croient uniquement dans la mort et la destruction. Cela est inhérent à la supposition d'avoir été «choisis par Dieu» (Le peuple élu) et obéissent au mandat de "construire son arrivée", sans tenir compte de l'usurpation, la spoliation, le génocide.

Il n'est pas question uniquement de Palestine. C'est le Moyen-Orient et au-delà. Et effacer les traces et le faciès sémitique, persan, africain et asiatique. Ce qui signifie de compter sur une plus grande puissance militaire et nucléaire. Peu importe où ils sont. Tel qu'en Palestine, comme en Syrie, l'Irak, l'Iran, Libye ou USA. (Ici, s'est produit à Ferguson-Missouri, il était manifeste qu'indépendamment  du nombre de noirs noirs, sont les blancs nazi-sionistes qui continueront à détenir le pouvoir. Le Ku Klux Klan (KKK) n'est pas mort. Avertis sont tous les Afro-descendants et les immigrants de toutes sangs).

Alliance Nazi-sioniste pour le gaz en Méditerranée
Pour l'expansion de la dépossession et le terrorisme, nazis et sionistes de l'industrie de la guerre sont, comme toujours, ensemble. Maintenant unis par le désir destructeur de ce qui reste de civilisation au Moyen-Orient et, encore une fois, l'ambition d'hégémonique sur le monde.

Ceci est corroboré par la livraison des premiers sous-marins Israéliens prêts à être équipés d'armes nucléaires, construit par le conglomérat privé allemand ThyssenKrupp. La société représente la fusion de deux familles historiques liées à l'industrie de l'acier et la production d'armes et de munitions de la fin du XIXe siècle à nos jours.

La puissante famille Krupp, dont l'industrie a dominé l'Europe et produit toutes les armes de toutes les guerres des nazi-sionistes allemands pendant la Seconde Guerre mondiale, et la famille Thyssen dont la branche allemande, produisant des armes et des munitions, l'héritier Fritz Thyssen, était membre bienfaiteur du parti nazi d'Hitler. Il a fini par se réfugier en Argentine où il a été naturalisé.

Le chantier-naval ThyssenKrupp d'où proviennent les sous-marins se trouve actuellement à Kiel, principale base navale de l'Allemagne, a préparé pour Israël trois submersibles de la classe Dauphin II équipés de 10 tubes lance-torpilles capables DM-2A4 guidés par fibre optique. Quatre de ces tubes, disent les experts, sont en mesure de tirer des missiles de croisière équipés de têtes nucléaires et des missiles antinavires Harpoon, non nucléaires et des missiles anti-hélicoptères Triton. Quelque chose d'inhabituel dans les sous-marins Dauphin II.

Convaincus les sionistes israéliens de qui domine la mer, domine la terre, et a qui et tous ceux qui se trouvent en elle, le gouvernement israélien se prépare à exercer un contrôle de l'Est Méditerranéen qui inclue, en plus de la Palestine, la Jordanie, le Liban, la Syrie. Et ainsi, consolider la possession des territoires saisis aux Palestiniens, a la Jordanie (Jérusalem-Est et la Cisjordanie), a la Syrie (le Golan).

Mais il n'est pas seulement question de territoires et de mers, mais de ce qu'ils contiennent. En effet, les eaux territoriales de l'Egypte, la Palestine, le Liban, la Syrie, la Turquie et Chypre dans le sud-est de la Méditerranée, ont les champs de gaz naturel les plus riches localisées à ce jour. Israël, avec les sous-marins de fabrication allemande, disposera de trois bases navales flottantes équipés avec des missiles nucléaires. Cela leur donnera une position hégémonique pour le contrôle  des navires à destination et en charge, vers l'Europe. En outre, le contrôle et la menace sur les pays d'Afrique du Nord.

Ça c'est le cadre, l'appétence d'Israël à «nettoyer» la Palestine répond à une stratégie plus large que l'action du sionisme de ce pays, concernant le pétrole et le gaz, avec le gouvernement français, l'Amérique et le Royaume-Uni. Et quant-au mythe qui alimente leur fondamentalisme, la destruction du Hamas, fait partie du "nettoyage" à plus grande échelle, des Frères musulmans en Egypte.

En ce qui concerne le gaz de Palestine, nous devons nous rappeler qu'Israël n'a jamais accepté l'accord signé entre le gouvernement israélien et l'Autorité palestinienne autorisant la British-Gas (Grande-Bretagne) l'exploitation du gaz dans les eaux territoriales de Gaza. L'«accord» a été négocié en 2007 par Tony Blair, ancien Premier ministre britannique et lobbyiste corrompu de cette société.
Le principal opposant a toujours été le chef des forces armées israéliennes et actuel ministre de la Défense, le général Moshe Yaalon qui considérait  que ce n'était pas une garantie, que les recettes provenant du gaz ne parviennent aux mais du Hamas, par le seul fait  de les déposer dans un compte bancaire contrôlé par Washington et Londres.
Pour Ya'son la seule façon de garantir que les revenus du gaz paletinien ne finance la résistance palestinienne dans la bande de Gaza était «une opération militaire qui arrache les racines du Hamas". Ainsi, trois objectifs stratégiques pourront été atteints simultanément: la fin résistance palestinienne, nettoyer Gaza et le contrôle du gaz. Pour cela, continuer à compter avec l'ineffable Mahmoud Abbas, jusqu'à ce qu'il soit utile.

Quand au gaz de Syrie, dont les réserves seraient plus importantes que celles du Qatar qui est le troisième pays avec les plus grandes réserves après la Russie et l'Iran, aucun des quatre partenaires de l'alliance sioniste mentionnés précédemment, n'est prêt à laisser à la Russie l'exploitation du gaz de la Syrie. À cet égard, le gouvernement du président Bachar al Assad aurait avancé des protocoles d'accord avec le président Poutine.
Maintenant on comprend pourquoi de la déstabilisation de la Syrie, de l'Ukraine et la diabolisation de Poutine.
Dans le cas du Liban, faisant usage de l'arrogance et du mépris habituel, Israël exploite le gaz dans les eaux territoriales de ce pays en dépit de l'existence d'une plainte déposée par le gouvernement libanais à l'ONU, affirmant leur droit aux champs existants.


Trêves, vols d'inspection et mercenaires
Ainsi, «trêves» et «accords» ne sont que des manœuvres dilatoires pour gagner du temps et réajuster l'offensive qui conduise à une stratégie qui vise les ressources énergétiques de la région dans un projet d'un nouveau siècle sioniste nourri d'un mythe.

La «trêve» israélienne n'en est pas une, mais la continuité d'une tactique qui comme toujours, compte aussi avec le "soutien" des militaires corrompus au pouvoir en Egypte, des monarques arabes qui refusent de perdre leur vie plaisir et de luxe et, bien sûr, concerné, avec le soutien intéressé des alliés sionistes d'Israël dans l'Union européenne (UE) et l'offensive belliqueuse de l'OTAN à partir de ses bases militaires stratégiques et sa puissance militaire déplacée dans le Pentalasia.

Les "vols d'inspection" nord-américains et leurs partenaires occidentaux sont une invasion de l'espace et du territoire syrien et d'une violation de sa souveraineté et de l'indépendance jusqu'à aujourd'hui défendue héroïquement, pour restructurer une offensive majeure. Quel autre sens pourrait donner a "inspecter" leurs propres "eaux sales" avec lesquelles les Etats-Unis ont inondé le Moyen-Orient?

Notamment en Syrie, dans un rapport de juin 2014, publié par Richard Barrett, vice-président de Soufan Group, une société  de renseignement américaine basé à New York, il s'est rendu compte que déjà, "combattaient" en Syrie 12.000 terroristes étrangers 81 pays et le nombre grandissait. 2.500 d'entre eux, étaient des pays occidentaux, y compris la plupart des pays membres de l'UE, États-Unis, Canada, Australie et Nouvelle-Zélande. Une grande majorité étaient Arabes et avaient été «recrutés» par l'Alliance sioniste et ses partenaires dans les monarchies arabes.
Aujourd'hui, le nombre a augmenté. La chancelière Angela Merkel a déclaré qu'au moins 400 mercenaires allemands sont dans les rangs de l'«Etat islamique» qui cherche à renverser le gouvernement légitime de Bachar al Assad. L'alliance sioniste anglo-américano-israélienne continue de recruter des «volontaires» au Pakistan, en Indonésie, au Sri Lanka et d'autres pays extrêmement pauvres, les criminels, les toxicomanes, les malades du sida et les personnes infectées par d'autres maux et maladies, dans une alternative à l'accès à l'argent facile et/ou de mettre fin à leur vie, assassinat hommes, femmes et enfants.
Les données du rapport Soufan Groupe et la continuité de recrutement de mercenaires reflètent le niveau de la participation étrangère dans les conflits armés générés par l'alliance sioniste international sous pilote américain avec le consentement de l'ONU. Le soi-disant "Etat islamique" n'est que l'appareil terroriste qui utilise la stratégie de l'alliance germano-sioniste pour la domination du monde.



 Gaz en Méditéranée