jeudi 12 juillet 2012

M Alain Juppé, déclare




M Alain Juppé, déclare à propos du président syrien, le mercredi 11 juillet 2012 sur RMC : "C'est criminel. IL ya de 15.000 à 17.000 morts sur les main. [Ne pas le voir quitter le pouvoir] c'est ma plus grande frustration."
M Juppé exprime là un point de vue occidental. En rendant l'autocrate syrien responsable des morts, fait preuve d'une remarquable amnésie. Mais est-ce réellement de l'amnésie ou une volonté manipulatrice ? Les véritables victimes de ces affrontements sont les syriens qui ne sont ni pour les forces gouvernementales, ni pour les insurgés. Or M Alain Juppé, comme l'Occident, est pour les insurgés.  Je rappellerais simplement que Mme Aliot-Marie, Nicolas Sarkozy et l'Occident en général étaient pour le despote tunisien et égyptien. C'est donc logiquement que la France, l'Occident n'a pas armé les manifestants. Où est la logique ? Si ce n'est, le fait que ces deux autocrates étaient des fantoches occidentaux et a des degrés divers favorables à Israël..."la boucle est bouclée"



Je rappellerais succinctement quelques cas d'histoire :


C'est la maladresse politique de Louis XVI qui déclenche la Révolution.
En effet, lors de la première séance des États-généraux, le 5 mai 1789, il n'annonce pas de réformes, si attendues pourtant.
Il ne décide pas non plus la façon dont le vote se ferait (soit par tête, ce qui favoriserait le Tiers-état qui représente 98% de la population, soit par ordre, ce qui favoriserait les privilégiés, c'est-à-dire la Noblesse et le Clergé.)
Louis XVI, est-il le seul responsable des morts commis pendant la révolution française ? Non, la responsabilité est partagé entre les belligérants.

La guerre civile espagnole est un conflit qui opposa, en Espagne, le camp des « nationalistes » à celui des « républicains » (Front populaire) ces derniers réunissant, parfois avec de vives tensions, communistes, socialistes, républicains et anarchistes. Elle se déroula de juillet 1936 à avril 1939 et s'acheva par la défaite des républicains et l'établissement de la dictature de Francisco Franco, qui conserva le pouvoir absolu jusqu'à sa mort.
Le Front populaire, est-il le seul responsable des morts que fit la Guerre civile espagnole ? Non, la responsabilité est partagé entre les belligérants.

Agression de l'Irak
En mars 2003, 250 000 soldats américains, appuyés par quelques supplétifs britanniques, se sont lancés à l’assaut de Bagdad. C’est dès le lendemain du 11 septembre 2001 que l’administration Bush décida de faire du renversement du régime irakien un axe de sa stratégie. Bien sûr, des responsables (Néoconservateurs (Néocons) sionistes notoires) aussi importants que MM. Richard Cheney, Donald Rumsfeld ou Paul Wolfowitz préconisaient depuis longtemps une telle attaque. Mais les conditions dans laquelle le président George W. Bush avait été élu rendaient difficile la mise en œuvre de cet objectif. Grâce au 11-Septembre, cela devenait possible.
C’est une vision manichéenne du monde qui prévaut désormais à Washington. «  Qui n’est pas avec nous est avec les terroristes  » affirmait le président Bush. Le document de septembre 2002, «  The National Security Strategy of the United States  », qui inclut pour la première fois la notion de guerre préventive, confirme la nouvelle orientation de l’hyperpuissance, qui considère que ses intérêts s’identifient désormais au droit (lire les documents de la deuxième partie, Stratégie des Etats-Unis).
Le despote irakien, est-il le seul responsable des morts que fit l'agression de la coalition ? Non, la responsabilité est partagé entre les belligérants. Et je rappelle que la coalition a à son actif, directement et indirectement, des dizaines de milliers de morts. Mais bien entendu, d'un point de vue Occidental, ce n'est pas vrai...
Ce que l'Occident et les médias occidentaux n'ont pas dit, c'est que les "Neocons" voulaient remodeler le Proche et Moyen-Orient et cela dès la présidence Clinton et l'agression contre l'Irak s'est faite, plus, pour punir Saddam Hussein de l'aide qu'il apportait aux familles de kamikazes palestiniens, que de châtier le despote de son peuple . Cependant, l'argument utilisé pour convaincre le plus stupide des présidents américains fut : les royalties versées pour chaque bombe tombé sur l'Irak et les bénéfices qu'il y avait a mettre le pétrole irakien "sous tutelle"... L'attaque du WTC du 11 septembre 2001, fut l'argument, comme pour Pearl-Arbor, pour convaincre le Sénat US. Le seul bénéficiaire de l'agression de l'Irak est Israël, qui élimine là un des opposants à sa politique raciste, coloniale, hégémonique. Le reste n'est que de la littérature.


Encore plus près de nous :
La guerre de Gaza est une opération militaire israélienne dans la bande de Gaza, qui débuta le samedi 27 décembre 2008 à 11 h 30 du matin UTC+2 (9 h 30 du matin UTC) caractérisée par des raids et bombardements aériens suivis par une offensive terrestre.

La guerre contre GAZA. Contrairement aux affirmation occidentales, l'agression israélienne avait une seule motivation, celle de renverser le Hamas, pourtant démocratiquement élu, sur ce point il ne peut y avoir aucune contestation. L'agression de Gaza (Hamas) l'à été pour son opposition à la politique sioniste et non pour des actes de terrorisme, comme les hirondelles israéliennes nous l'on fait avaler. Mais la question reste posée, comment est-il possible que les gouvernements israéliens aient tant d'influence sur nos États ? Au point de cautionner des crimes de guerre, voir contre l'humanité. Le reste c'est de la littérature.

Le Gouvernement du Hamas, est-il le seul responsable des morts que fit l'agression israélienne ? Non, la responsabilité est partagé entre les belligérants.

Dans ces condition pourquoi Bachar el-Assad serait-il le seul responsable des morts qu'a fait la révolution syrienne ? Et même si les fourbes occidentaux auraient voulu faire passer cette révolution pour des manifestations pacifiques, c'est belle et bien une révolution armé qui s'est dressé face au pouvoir.
Révolutionnaires armés par la CIA, depuis la Turquie, et qui dit CIA dit Tel-Aviv et qui dit Tel-Aviv, dit Israël. La Syrie n'a pas été déstabilisé par la dureté du régime, dont l'occident se fout comme de sa première chemise, mais pour sa désapprobation à la politique sioniste des gouvernements israéliens.
Ignorer cet état de fait c'est ne rien connaître des affaires du monde.

Par ailleurs l’enquête diligenté par la France sur la mort du journaliste français, tué par un obus, a conclu : que l'obus avait été lancé par les rebelles.
Ceci prouve et confirme qu'une nouvelle fois l'Occident, pour des intérêts économiques ou stratégiques est à l'origine de ce drame. Il faut reconnaitre, cependant, que pour avoir une vision juste des événements, il faille aussi être honnête et loyal.     

Il n'y a pas un conflit dans le monde où l'Occident y est mêle, qu'il n'en soit pas à l'Origine. Le jour où cette vérité sera admise, alors, et seulement alors il sera, éventuellement, possible de voir notre planète en paix.   



Aujourd'hui, en réalité depuis quelque temps déjà, nous sommes au pire moment de la guerre froide. Elle ne se fait pas entre les blocs Soviétique et Nord-Américain, accompagnées de leur supplétifs respectifs, mais entre une élite supra-nationale favorable à une globalisation et les populations, moins bien achalandées économiquement.

Cette élite supra nationale est "chapeautée" par le GROUPE BILDERBERG, dont les Rockefeller et Rothschild, font partie des membres les plus éminents et surtout les chantres de la mondialisation tel qu'elle se présente à nous  "un rouleau compresseur qui arase tout sur son passage"  : principes fondateurs de nos sociétés ; valeurs humaines qu'il n'y a pas si longtemps étaient encore les nôtres ; les valeurs que véhiculait le travail ; l'honnête, comme principe fondateur de toute chose ; la famille, comme fondement de la société ; lé caractère responsable de nos dirigeants, aussi bien économiques que politiques ; des administrations au service des populations et non, comme s'est le cas aujourd'hui, au service d'idéologies [...].

Dans ce GROUPE BILDERBERG, les hommes les plus influents de la planète, qui, ont su petit à petit mettre en place toute une panoplie d'outils qui, présentés comme étant indispensables à la démocratie, rendent surtout service à cette minorité, que l'on nomme "marché". Une image désincarnée et dépolitisé du capitalisme mondial, qui comme en Grèce ou en l'Italie ou encore en France..., prennent les rênes des États et justifient leurs bénéfices par les sacrifices de l'ensemble des populations.

Extrait du journal Le Monde Diplomatique :

[Passé de la banque publique à la finance privée, et de François Mitterrand à M. François Bayrou, Jean Peyrelevade expliquait en 2005 : « Le capitaliste n’est plus directement saisissable. (…) Rompre avec le capitalisme, c’est rompre avec qui ? Mettre fin à la dictature du marché, fluide, mondial et anonyme, c’est s’attaquer à quelles institutions ? » Et cet ancien directeur adjoint du cabinet du premier ministre Pierre Mauroy de conclure : « Marx est impuissant faute d’ennemi identifié. »
Qu’un représentant de la haute finance — président de Banca Leonardo France (familles Albert Frère, Agnelli et David-Weill) et administrateur du groupe Bouygues — nie l’existence d’une oligarchie, cela doit-il vraiment étonner ? Plus étrange est le fait que les médias dominants relaient cette image désincarnée et dépolitisée des puissances d’argent. La couverture journalistique de la nomination de M. Mario Monti au poste de président du conseil italien pourrait bien, à cet égard, constituer le parfait exemple d’un discours-écran évoquant « technocrates » et « experts » là où se constitue un gouvernement de banquiers. On put même lire sur le site Web de certains quotidiens que des « personnalités de la société civile » venaient de prendre les commandes.
L’équipe Monti comptant également dans ses rangs des professeurs d’université, la scientificité de sa politique était par avance établie par les commentateurs. Sauf que, à y regarder de plus près, la plupart des ministres siégeaient dans les conseils d’administration des principaux trusts de la Péninsule.]
Geoffrey Geuens
Maître de conférences à l’université de Liège. Auteur de La Finance imaginaire. Anatomie du capitalisme : des « marchés financiers » à l’oligarchie, Aden, Bruxelles, 2011.

Les États sont mis sous tutelle, mais aussi les institutions internationales comme : 
L'ONU, Le Conseil de Sécurité ; La Banque mondiale ; L’Organisation Mondiale du Commerce ; L’Organisation Mondiale de la Santé ; Le Fond Monétaire International [...] Sans parler du Traité de l'Atlantique Nord, qui avec le démantèlement de l'Union Soviétique  aurait du, aussi, être abrogé. Et Si le Conseil de sécurité sert de "gendarme du monde"  l'OTAN sert, surtout de police à L’Occident.        

Qui fait partie de ce GROUPE BILDERBERG ? S'ils sont des charognards il n'en sont pas moins rusées et l'éclectisme qui le compose va des multimillionnaires aux têtes couronnés en passant par des criminels, des dirigeants économiques malhonnêtes, des hommes politiques cupides, tous ceux qui dans le monde favorisent leurs intérêts. Et la, sionisme aux nationalités multiples joue, si j'ose dire, son rôle à plein. Et si Israël accorde la double nationalité, pour raison religieuse ou ethnique, n'est pas anodin, c'est un moyen de pénétrer au cœur même de nos instances démocratiques de nos États, pour faire voter des règlements permettant, comme le disait le Général de Gaulle : de robotiser une population (la manipuler au point de lui enlever toute réflexion) pour la rendre a la condition d'esclave. Ces populations subiront le népotisme de caste supra-nationale et accepteront la pensée unique que par tous moyens cette caste a toujours cherche à répandre. 
Nos États que nous voulons démocratiques, sont devenus des dictatures où seul bénéficient du droit, ceux qui on les moyens de le faire appliquer. Cela n'est pas la démocratie...

Chose extraordinaire l'Occident, dit démocratique, fait la "guerre"  à tout système politique qu'il considère comme non démocratique, mais seulement aux États qui ne favorisent pas sa politique ou ses intérêts. Pourtant la dictature que cette élite économique, avec l'assentiment de nos politiques cupides, fait subir y a ses propres citoyens est tout autant abjecte que celle qu'ils combattent au nom d'une démocratie qu'ils imposent par les armes.

Bien entendu, à part le futur que ces êtres  sans état de conscience nous préparent il y a, quoi que nous pensions, la pérennisation d'un État illégal, j'ai nommé Israël, que seul la puissance des armes et l'exclusion par l’appauvrissement des citoyens de la région maintiendra. Mais il faudra également annihiler les aspiration démocratiques des citoyens du monde par ce même appauvrissement...,
ne le remarquons-nous dorés-et-déjà. Nous perdons nos avantages acquis un à un, au bénéfice d'une gestion, nous dit-on, équilibrée. 
Mais équilibré au profit de qui ?


Ce que fait là M Juppé, mais rassurez-vous il n'est pas le seul, il est même un des moins fourbes. Je ne comprends pas d'ailleurs ce qui lui arrive... (je les dénonce suffisamment souvent, pour que vous vous faisiez une idée)


Pour confirmer ce que j'ai tenté d'expliquer, hier samedi 14 juillet M François Copé, "patron" de l'UMP déclare sur BFMtv, "qu'il s’inquiète vraiment pour la France" (au sujet de l'abrogation de la défiscalisation des heures supplémentaires). Apparemment lorsqu'il introduisait, conjointement avec Christian Jacob, la proposition qui voulait que les Députés "oubliant" de déclarer tout ou partie de leurs avoir au fisc ne soient pas sanctionnés, on croit rêver.   
Ah j'oubliais, ces messieurs sont sionistes notoires...





Alors vous comprendrez, ou vous ne comprendrez pas, que tous ceux qui réclament que la démocratie et la justice s'applique, ça et là, mais dont ils tirent profit de cette soi-disant démocratie, de cette soi-disant justice, pour des raisons d'intérêt personnel, carriérisme, communautarisme, ou que sais-je encore, sont des êtres qui par stupidité ou idéologie abondent dans le sens de cette caste supranationale que l'on appelle anonymement "MARCHE" et désigne des êtres sans état de conscience fusse-t-ils les plus influents de la planète, qui ont su présenter leurs rapines comme un bien commun...  

mercredi 11 juillet 2012

INFO 120712


Jaffa: le cimetière du Cheikh Mounis profané par les creusements d'une entreprise israéliènne.
[ 11/07/2012 - 20:52 ]

Jaffa – CPI


L'entreprise israélienne "Solel Boneh" a profané le cimetière du Cheikh Mounis dans la ville de Jaffa, où elle effectue des creusements avec des processus de dragage et le ratissage, afin de construire des appartements résidentiels pour les étudiants de l'Université de Tel-Aviv et la construction d'un centre commercial.

La fondation d'el-Aqsa, a souligné dans un communiqué de presse, le mercredi 11/7, que ces creusements ont été dévoilés lors d'une tournée sur le terrain effectuée par une délégation de la Fondation au cours de laquelle elle a vu des tombeaux profanés,  des parties de squelettes exhumées.
Elle a fermement condamné cette action, considérant qu'elle représente un crime et une violation de la sainteté des morts dans le reste du cimetière.

La Fondation d'el-Aqsa a déclaré que les autorités de l'occupation israélienne n'arrêtent pas ses crimes contre le village du Cheikh Mounis et son cimetière après avoir détruit le village et expulsé ses résidents et ont également construit l'Université de Tel-Aviv sur ses ruines et puis ont établi un parking privé pour l'Université, et aujourd'hui elle continuent leur crime à creuser les tombes, ce qui est complètement interdit par les religions et les droits internationaux.

Avez-vous entendu un quelconque responsable d'une quelconque association juive, manifester pour la défense du Droit international ou contre le racisme & l'antisémitisme ou encore s'indigner des profanations que leurs coreligionnaires commettent en Palestine ? Non, elles n'ont pas été créées pour cela...
Le sionisme, pour protéger, pour absoudre ses crimes, pour dénigrer sa future victime et imprégner dans le subconscient des imbéciles, la légitimité de leurs forfaits, des organisations crées ad-hoc comme par exemple l'association raciste CRIF en France, les Lobbys juifs aux USA, manipulent les populations par l'intermédiaire des médias, achètent les consciences, ou facilitent la carrière de nos dirigeants les plus cupides. 




L'occupation démolit des puits d'eau à l'ouest d'Hébron
[ 10/07/2012 - 21:08 ]

Hébron – CPI


Les bulldozers de l'occupation israélienne ont démoli, le mardi 10/7, des puits d'eau dans la région de Farsh Hawa dans la ville d'Hébron, au sud de la Cisjordanie occupée.
Des sources locales ont déclaré que le processus de démolition a ciblé quatre puits appartiennent à la famille d'el-Saeed dans la région de Wadi Kar, près de la route colonialiste N° 35 à l'ouest d'Hébron.

Il est à noter que les autorités de l'occupation israélienne ont intensifié les processus de démolition de puits et les bassins d'eau agricoles qui fournissent les territoires palestiniens dans toute la Cisjordanie occupée.

Les Juifs, non seulement, tuent, emprisonnent des innocents, mais encore ils les empêchent de vivre. Cela dépasse l'entendement humain.  
Mais nous entendrons ça et là des êtres remarquables par leur stupidité déclarer : Israël à le droit de se défendre, quand il est le va-t-en-guerre du Proche et Moyen-Orient.

Comment est-il possible que des êtres apparemment raisonnables soutiennent encore aujourd'hui cet État crée par des criminels. Qui peut prétendre que le génocide des Juifs par les nazis est la genèse de cet État, quant ses dirigeants sont à l'origine du génocide ?  Et cela dès 1897... 



Sud d'Hébron : Un colon renverse un enfant avec sa voiture et prend la fuite
[ 10/07/2012 - 14:58 ]

Archives
Hébron-CPI


L’enfant Mohamed Abdallah Maharik (13ans) a été emmené à l’hôpital el-Ahli après avoir été blessé au niveau de la jambe suite à un accident ; où un colon israélien l’a percuté avec sa voiture avant de prendre la fuite.
Selon des sources médicales dans l’hôpital, l’état de santé et les blessures de l’enfant Maharik sont modérés après avoir reçu les premiers soins nécessaires.
L'incident s'est produit à Susia, au sud d’Hébron, où l'enfant a été renversé par la voiture d’un colon qui s’est enfui.

Bien entendu, nous pouvons penser que cet accident ne peut avoir de rapport avec un acte volontaire. Détrompe-vous, ce n'est pas la première fois où un colon fonce sur des palestiniens. Le drame de ce conflit c'est que l'état occupant est dirigé par des criminels, mais il faut se rendre à l'évidence il n'y a pas que les dirigeants qui sont des criminels...   





20 colons juifs prennent d'assaut les esplanades de la mosquée d'el-Aqsa
[ 10/07/2012 - 14:53 ]

Jérusalem occupée – CPI


Plus de 20 colons juifs ont pris d'assaut mardi matin les esplanades de la mosquée d'el-Aqsa sous la protection d'importantes forces de l'armée de l'occupation, qui surveillaient la mosquée avec des caméras et des jumelles.
Le Centre d'information de Jérusalem a déclaré dans un communiqué que les colons juifs se sont dirigés vers le musée islamique près de la porte des Maghrébins, puis ils se sont livrés, dans esplanades de la mosquée d'el-Aqsa, a des rites suspects.

Quel plus bel exemple d'intolérance, que celui de se livrer à la pratique de rites religieux israélite, en un lieu réservé aux musulmans !
Cependant, ces valeureux adeptes, auraient-il risque leur vie, comme l'avaient fait les Chrétiens au Colisée de Rome, s'il n'étaient protégés par une armée surdimensionnée ? 







Demandes judiciaires à l'occupant israélien de cesser d'utiliser les chiens contre les Palestiniens
[ 10/07/2012 - 21:23 ]

Jérusalem occupée – CPI


Le mouvement de la gauche israélienne "B'Tsalem" a appelé l'armée israélienne à cesser de chasser les Palestiniens avec des chiens.
Le mouvement a souligné dans un communiqué publié, le mardi 10/7, qu'il a documenté au cours des deux années de 2010 et 2011, à l'utilisation des chiens lors des manifestations et aussi durant les processus d'arrestation effectués par les forces armées occupantes contre des travailleurs palestiniens qui entrent dans les territoires palestiniens occupés en 1948 pour travailler sans permis, ce qui les a soumis sous l'arrestation et la répression.
Il a confirmé qu'on parle ici d'un moyen terrible et très dangereux et qu'on ne peut pas le contrôler, tandis qu'il peut mettre fin à la vie des citoyens civils désarmés.

Des organisations juridiques ont lancé des critiques graves contre le moyen de l'utilisation des chiens enragés et entraînés par les forces occupantes israéliennes, indiquant que de nombreux cas ont été documentés et dans lesquels l'occupation visait de faire délibérément mal et d'une façon directe aux Palestiniens, alors qu'elle utilise les chiens policiers enragés sur les barrages militaires pour la fouille physique pour les citoyens palestiniens.

De gauche ou de droite il y a des israéliens à qui sans aucune réticence on pourrait leur demander de rester en Palestine et créer un Etat citoyen où la religion resterait son libre choix. Le problème est l'idéologie sioniste qui, comme le font les gourous, endoctrinent au nom d'une bienséance reconnue d'eux seuls, les adeptes qui par manque de discernement, intelligence, adoptent les peurs que le sionisme engendre pour les attirer dans un piège tout aussi criminel, que ceux par qui ces êtres "naïfs"* voudraient justifier les leur.
* Je dis naïfs, car il m'est  impossible d'imaginer que l'on puisse être un être intelligent et se laisser manipuler ainsi. A moins, que comme leurs gourous la fourberie, la déloyauté, soit pour eux une deuxième nature.      
 

lundi 9 juillet 2012

Israël militarise son système éducatif



Jillian Kestler-DAmours - Al-Jazeera
[ 30/06/2012 - 16:05 ]

Les manuels scolaires avec des thèmes nationalistes portent de plus en plus préjudice au système éducatif, disent les analystes.

Le gouvernement sioniste encourage activement une plus grande militarisation de la société israélienne - Photo : AFP

Les filles israéliennes doivent-elles être empêchées de se mettre en couple avec des Palestiniens ?
Ce fut une des questions posées dans un nouveau guide pour la préparation aux examens en éducation civique dans les université israéliennes, et rédigé par une entreprise privée et approuvé par le ministère de l’éducation.
Une des réponses proposées était que les filles israéliennes devraient rester à l’écart des Palestiniens, parce que « les jeunes arabes constituent une menace pour la vie des jeunes filles juives » et que « les relations entre les jeunes hommes arabes et les jeunes femmes juives représentent une menace pour la majorité juive dans le pays ».
Bien que le guide en question ait été condamné pour encourager les stéréotypes racistes et l’incitation à la haine, de nombreux militants soutiennent qu’il n’est pas un phénomène isolé. En effet, ils affirment qu’il révèle un problème beaucoup plus profond et enraciné : l’ultra-nationalisme qui traverse le système éducatif israélien, et son impact négatif sur la jeunesse israélienne.
« Les manuels scolaires israéliens correspondent à toutes les catégories du discours raciste, à la fois verbal et visuel », a déclaré Nurit Peled-Elhanan, un professeur israélien spécialisé dans l’éducation à l’Université hébraïque de Jérusalem, et auteur de La Palestine dans les manuels scolaires israéliens : idéologie et propagande dans l’éducation.
Depuis les représentations stéréotypées et négatives des Palestiniens dans les manuels scolaires - à condition même qu’il y ait la moindre allusion à leur existence - jusqu’aux cartes erronées représentant les frontières d’Israël, en passant par la censure stricte sur ce que les citoyens palestiniens d’Israël sont autorisés à enseigner et apprendre, Peled-Elhanan explique que la quasi-totalité des sujets dans les programmes israéliens d’enseignement sont imprégnés d’un nationalisme exacerbé.
« On va revenir à ce qui caractérisait la recherche et l’éducation des années 1950 : un très bas niveau, un discours nationaliste, non-scientifique de présentation du monde, de nous, et de la situation politique dans la région, » ajoute Peled-Elhanan.
« Le but est d’éduquer les enfants de façon à en faire de bons soldats. Vous ne pouvez pas être un bon soldat si vous n’avez pas cette image d’un ennemi qui est un peu trouble ; il faut en savoir très peu sur ces gens, excepté qu’ils sont des ’problèmes’ et des ’menaces’. »
Militarisation de l’éducation
Les programmes gérés conjointement par le ministère israélien de l’éducation et l’armée israélienne existent en Israël depuis des années. Un nouveau programme, nommé Derekh Erekh [« chemin des valeurs »], a été présenté à la mi-juin et est destiné à inculquer le sens du devoir et de l’allégeance à l’État et à renforcer les liens entre les écoles israéliennes et l’armée.
« Les enseignants sont des appelés tout au long de leur vie », a déclaré le ministre de l’éducation Gideon Saar, membre du Likoud du Premier ministre Benjamin Netanyahu, alors qu’il présentait le programme. Il devrait être mis en œuvre dans des milliers d’écoles à travers le pays et il s’est vu allouer un budget annuel de 300 000 NIS (76 854 dollars US).
« Mes les attentes du système [éducatif] ne sont pas seulement dans le domaine de l’apprentissage
mais aussi dans celui des valeurs », aurait dit Sarre. « Encourager le service dans l’armée israélienne n’est pas une faveur que nous faisons à l’armée, mais une question de morale. »
En 2010, un directeur d’école secondaire dans le district de Tel-Aviv a dit avoir reçu des menaces de mort après avoir décidé de ne pas participer à un programme du même genre qui fait venir des colonels de l’armée israélienne dans les écoles pour encourager les étudiants à rejoindre l’armée et à signer pour un entraînement de combat.
Selon Sahar Vardi, un membre de New Profile, une organisation féministe qui encourage la démilitarisation de la société israélienne, la surabondance de symboles et de cérémonies militaires dans les écoles israélienne et dans la société rend naturelle la participation militaire chez les jeunes.
« [L’armée] doit être considérée comme quelque chose de violent et quelque chose qui, si elle est nécessaire, devrait être le dernier recours, mais la façon dont elle est vue en Israël en fait quelque chose de très naturel, c’est dans la vie de tous les jours », a déclaré Vardi , qui a refusé de faire son service militaire obligatoire en 2008.
« [Le système d’éducation enseigne aux jeunes que] ce que l’armée fait est bien, que la violence comme forme de résolution de problèmes est légitime. Ce n’est pas seulement légitime, mais aussi promu par la société », dit-elle.
En 2010, l’institut pour la recherche de la paix dans le Moyen-Orient (PRIME - Peace Research Institute in the Middle East) a publié un manuel intitulé Apprendre les uns des autres le récit historique. Rédigé par un groupe d’universitaires et d’historiens israéliens et palestiniens, le livre comprend les récits israéliens et palestiniens de divers événements historiques, et a laissé un espace vide ouvert sur ​​chaque page pour que les élèves y écrivent leurs réflexions.
Le livre aborde des sujets tels que la Déclaration Balfour, la fondation d’Israël en 1948, et les deux Intifadas palestiniennes. Il a été utilisé dans un lycée israélien et deux lycées palestiniens avant d’être semble-t-il interdit par les deux ministères de l’éducation, israélien et palestinien [dans les Territoires Occupés].
Visites financées par l’État, de colonies
En plus de renforcer les liens avec l’armée, Sarre a annoncé l’an dernier qu’il voulait développer un programme montrant aux élèves « les racines historiques de l’Etat d’Israël dans la terre d’Israël ».
Ce programme comprend des visites dans des colonies israéliennes, y compris Shiloh, dans le nord de la Cisjordanie, près de Naplouse, le Tombeau des Patriarches au cœur de Hébron, et le parc archéologique la cité de David dans Silwan, un quartier palestinien de Jérusalem-Est.
« Il est bon de venir dans les colonies. Il est bon de les voir florissantes », a déclaré Sarre lors d’une visite à la colonie de Shiloh en 2011. « Nous ne devrions pas faire croire aux Arabes qu’un jour il n’y aura plus de Juifs ici. Juifs seront toujours là, et toute autre illusion apportera des obstacles sur le chemin de la paix. »
Plus de 250 enseignants israéliens ont envoyé une lettre à Sarre en février de cette année, annonçant leur refus de participer aux visites à Hébron proposées par le ministre du Patrimoine et destinées à renforcer les valeurs « juives et sionistes » chez les élèves.
« Nous savons que notre vocation d’éducateurs est de présenter aux élèves la vérité, du mieux que nous le pouvons. Une vérité partielle et partisane n’est pas de vérité du tout. Pour cette raison, nous ne sommes pas d’accord pour être des agents d’une telle politique, et nous ne nous mentirons pas à nous-mêmes, » dit la lettre des enseignants.
« Nous vous demandons de cesser d’utiliser le système d’éducation cyniquement pour des buts
politiques extrémistes, et si nous sommes appelés à accompagner ces visites, nous refuserons. »
Un porte-parole du ministère israélien de l’éducation a refusé à plusieurs reprises de faire des commentaires sur ces visites.
Aujourd’hui, plus de 500 colons juifs israéliens vivent au cœur d’Hébron, placés sous la protection des soldats et de policiers israéliens. En raison de la présence des colons, la population palestinienne d’Hébron - qui est d’environ 200 000 personnes, la plus grande population urbaine en Cisjordanie - est soumise à des restrictions sévères sur la liberté de circulation, a perdu l’accès à ses principaux centres commerciaux et économiques, et est fréquemment victime de violences et d’arrestations.
« Le genre de visite d’Hébron [que les élèves vont] voir [sur les circuits ministériels] est une vue très étroite d’Hébron. Ce n’est pas un Hébron qui représente la ville. Ce n’est pas un Hébron qui représente les gens qui y vivent », a déclaré Yehuda Shaul, de l’organisation israélienne Breaking the Silence, un groupe de militaires vétérans israéliens qui ont servi dans les Territoires Palestiniens Occupés et qui cherchent à éduquer le public israélien sur les réalités de l’occupation.
Shaul dit que lorsque les visites du « patrimoine d’Hébron » ont été annoncées, Breaking the Silence a approché les écoles participantes et a offert d’envoyer les élèves sur leur propre tournée alternative d’Hébron. Lorsque la nature politique des visites du ministère a été révélée, les anciens soldats ont exhorté les écoles à boycotter complètement le programme.
« Hébron est le seul endroit où notre passé vient à la rencontre de notre présent repoussant », a déclaré Shaul. « Je ne peux pas imaginer un meilleur endroit que Hébron pour ouvrir une vraie discussion sur l’identité de notre pays et sur qui nous sommes et ce que nous devrions faire, sur quelles sont les valeurs qui devraient nous unir dans la société, mais ce n’est pas ce que [Sarre, le ministre de l’Éducation] vise à faire. »
« Ce n’est même plus de l’endoctrinement, c’est bien pire que cela : c’est d’utiliser des enfants comme soldats, c’est utiliser des enfants pour renforcer la présence des colons israéliens dans la ville. »
Selon une étude 2011 réalisée par l’institut de recherche allemand Friedrich-Ebert-Stiftung, la jeunesse israélienne affiche des vues de plus en plus nationalistes, et accorde plus d’importance au caractère exclusivement juif de l’État qu’au respect des valeurs démocratiques ou libérales.
Quelques 1600 jeunes, âgés de 15 à 18 et de 21 à 22 ans, ont été interrogés dans cette enquête et ils se déclarent très majoritairement de droite. Environ 70 pour cent des juifs israéliens adolescents entre 15 et 18 ans ont déclaré que, dans les cas où la sécurité nationale et la démocratie étaient en désaccord, la sécurité devait primer avant tout.
Les jeunes juifs religieux en particulier, a révélé l’étude, ont un « manque de confiance dans les institutions qui sont chargées de maintenir les principes démocratiques » et seraient prêts « à user de méthodes telles que la résistance civile (y compris la résistance civile violente), à ​​préférer un leadership fort au-dessus de la primauté du droit, pour soutenir le déni des droits politiques des citoyens arabes d’Israël, et ils sous-estiment l’importance de la démocratie et de la paix comme objectifs nationaux ».
Dans un sondage réalisé en 2010 par l’institut de recherche israélien Mochot Maagar, 50 pour cent des adolescents israéliens juifs entre 15 et 18 ans pensaient que les citoyens palestiniens d’Israël ne devraient pas avoir les mêmes droits que leurs homologues juifs.
Quelque 56 pour cent des personnes interrogées disaient que les Palestiniens devraient être empêchés de candidater pour le parlement israélien, la Knesset, et 50 pour cent de ceux qui se sont présentés en tant que religieux ont déclaré qu’ils approuvaient le slogan « Mort aux Arabes ».
Selon Peled-Elhanan, ces attitudes peuvent être attribuées à un système éducatif qui place le
nationalisme au-dessus des véritables études et d’un réel échange libre d’idées.
« Ils ne se soucient pas du droit international. Ils ne se soucient pas de décisions internationales. Ils ne se soucient pas de la justice internationale ou des droits de l’homme ou de toutes ces choses parce qu’ils apprennent à ne pas les respecter, » explique Peled-Elhanan.
Elle dit aussi que corriger le système éducatif israélien « de l’intérieur » était impossible, puisque la plupart des Israéliens n’ont conscience de rien.
« Ce sera très difficile de le démanteler, » a-t-elle déclaré à Al Jazeera. « Le grand changement ne peut venir que lorsque les États-Unis arrêteront de verser de l’argent et des armes ici et quand il y aura un réel et important boycott. Sinon, les autorités ne comprendront pas le message. »
*Jillian Kestler-D’Amours : journaliste canadienne basée à Jérusalem depuis mai 2010 et réalisatrice du documentaire « Sumoud » sur le combat d’un village bédouin du Negev.
29 juin 2012 - Al-Jazeera - Vous pouvez consulter cet article à :
http://www.aljazeera.com/indepth/fe...
Traduction : Info-Palestine.net - Naguib


 

Sans oublier que l'endoctrinement des enfants, se fait dès leur plus jeune âge, au moyen des mythes de la religion et d'une propagande manipulatrice et mensongère. Qui ne permettra pas, à ces jeunes écolier, d'envisager dans l'immédiat ni dans le futur, une éventuelle paix ou une éventuelle vie  en commun.
Les palestiniens sont présentes aux écolier comme une sous race, d'êtres incultes et barbares...

dimanche 8 juillet 2012

Detroit d'Ormuz


Les Etats-Unis mettent en garde l'Iran et renforce sa présence militaire dans le Golfe Persique, Washington prend position devant la possible fermeture du détroit d'Ormuz. Téhéran menace de bloquer cette voie d'eau, par laquelle  passe le cinquième du pétrole mondial.  Le New York Times, révèle que la Marine US a envoyé jusqu'à huit navires de guerre dans la zone.

Mariano Zafra / El País


L'Iran et les États-Unis re-lancent des avertissements dans le golfe Persique.
Tandis que le premier prépare une législation pour empêcher le passage d'Ormuz aux pays qui le soumettent à l'embargo et réalise des manœuvres militaires avec missiles,  le second a renforcé sa présence militaire dans eaux internationales avec l'objectif d'empêcher la fermeture du détroit par lequel passe le cinquième du pétrole mondial. Pour le moment il est simplement question d'une prise de position, mais les pays voisins ne s'y risquent pas.  Les Emirats Arabes Unis (EAU) et l'Arabie Saoudite se préparent à mettre en fonctionnement deux oléoducs, afin d'éviter un éventuellement blocage.    


Plus d'information :

"La Marine US a doublé le nombre dragueurs-de-mines stationnés dans la zone, jusqu'a huit navires, révèle le The New York Times dans l'édition d'aujourd'hui.  En outre, s'est déplacé dans le Golfe sa première base d'opérations flottante, un transport amphibie reconverti en bateau d'accueil, baptisé Ponce. Sa première mission est de servir comme centre logistique pour l'éventuel déminage, mais Ponce dispose de la chirurgie,  d'héliport et cabines pour les troupes, ce qui lui permet loger des forces spéciales.
Bien que ces navires sont la part la plus visible, le déploiement, initié au printemps dernier inclue aussi une augmentation d'avions de combat F-22 et FF-15C basées dans la zone. (Les intéressés ne disent pas ces avions sont basés en Israël)  
Selon le journal américain, les nouveaux appareils renforcent la capacité de ceux déjà déployés contre les batteries de missiles que l'Iran à installés sur ses cotes  et qui pourraient menacer la navigation sur le détroit d'Ormuz, en plus d'être en mesure d'atteindre des objectifs à l'intérieur du pays.
Les sources citées par le Times décrivent le déploiement comme un message à l'Iran pour que "ne lui vienne à l'idée de fermer le détroit". Ils mentionnent également qu'il s'agit de "tranquilliser Israël", dont les dirigeants ont menacé d'attaquer les installations nucléaires de l'Iran si la communauté internationale  ne parvient pas à stopper son programme d'enrichissement d'uranium.  Cependant,  les auteurs de l'information renoncent reconnaissent que la concentration des forces navales "pose des risques significatifs, incluse la possibilité que les puissants Gardiens de la Paix de la Révolution [plus connus sous le nom de Pasdaran] décident de répondre à l'augmentation de ce déploiement".
En fait, la tentions entre l'Iran et l'Occident à augmenté après l'échec de le dernier sommet  sur le nucléaire et l'entrée en vigueur, dimanche dernier, de l'embargo de l'Union Européenne du pétrole iranien? Cette mesure, ajoutée à l'interdiction d'assurer les cargaisons pétrolières iraniennes et les sanctions étatsuniennes des pays qui tracteraient avec sa Banque Centrale,  il s'agit de "noyer" la principale source de devises de Téhéran.  Selon le calcul des analystes,  la baisse des exportations de pétrole va priver mensuellement l'Iran de 2.500 millions de dollars.
Lorsqu'en janvier, l'UE approuva l'embargo et accorda la possibilité de conclure les contrat en place jusqu'au 1r juillet, les dirigeants iraniens firent savoir qu'ils considéraient que le harcèlement économique auquel était soumis le pays le considéraient comme une déclaration de guerre. 
Certaines voix ont suggéré de répondra par la fermeture du détroit d'Ormuz, bien que cette fermeture ait été officiellement rejetée, cette simple est une forme de pression comparable au déploiement militaire étatsunien.

L'Iran a déclaré ce mardi qu'il a testé avec succès un missile de moyenne portée Sahab 3 dans le cadre de ses manœuvres Grand Prophète 7. L'annonce parait un avertissement a Israël, dont le territoire serait à porté du missile, tels que les médias iranien ont pris soin de souligner. Ce geste s'additionne aux déclaration d'un député iranien, selon lequel le Comité de Sécurité National et Politique Extérieure du Parlement a rédigé un projet de loi pour bloquer le passage par le détroit d'Ormuz de pétroliers qui transportent le brut de pays qui appuient les sanctions.
Le régime iranien utilise le Parlement comme caisse de résonnance à leurs signaux politiques. Même si la Chambre devait adopter le projet de loi, son effectivité serait nulle jusqu'à la ratification de la loi par le chef suprême. Pourtant, le timing de l'annonce est un autre signe d'inquiétude de la pression internationale sur Téhéran.
Mais les pays Arabes voisins de l'Iran ne peuvent prendre le risque. Le détroit d'Ormuz est la principale issue pour le pétrole de l'Arabie Saoudite, EAU, Irak, Koweït et pour le gaz du Qatar.
En 2011, entre 13 et 15  pétroliers avec un total de 17 millions de barils de brut  croisèrent journellement cette étroite voie d'eau de seulement 34 Km. en son point le plus étroit. Il en résulte, néanmoins,  qu'il sera difficile de distinguer lequel d'entre eux est destiné à l'UE.
Les Emirats Arabes Unis (EAU) viennent d'inaugurer un oléoduc entre les puis de Habshan et le port de Fujairah.  Le conduit a une capacité de 1.8 millions de barils jour, ce qui permettrait à Abu-Dhabi d'exporter jusqu'a 70% de sa production par cette voie et redoute significativement sa dépendance d'Ormuz. Les médias locaux  on fait remarquer que en plus que la nouvelle infrastructure, de 360 Km. et a couté 10.000 millions de dirhams (quelque 2.200 millions d'euros), va couter moins cher que le cout du transport classique et les assurance.  
Pour sa part, l'Arabie Saoudite, premier producteur et exportateur du monde, a ré-ouvert un vieux oléoduc construit pour l'Irak durant la guerre qui l'opposa à l'Iran dans les années quatre-vingt du siècle passé. Appelé Oléoduc Iraquien en Arabie Saoudite (plus connu par le sigle anglais, IPSA), qui traverse la péninsule Arabique  d'Est en Ouest, et qui fut confisqué par Riad en 2001 en compensation de la dette contracté par Bagdad. Dès lors il est utilisé pour transporter gaz aux centrales électriques de la cote saoudite à la mer Rouge. Mais à la suite, en janvier dernier, que l'Iran ait agité le spectre de la fermeture du détroit d'Ormuz, les saoudiens l'ont conditionné pour le transport du brut.       
L'IPSA peut transporter 1.65 millions de barils jour vers le dépôt de stockage de Muajjiz, dans la zone industrielle  de Yanbu. Ces 1.65 millions s'additionnerait aux 5 millions de barils que peuvent transporter les oléoducs de la Petroline, qui n'ont jamais été utilisés à leur pleine capacité et dont l'un est dédié au gaz.


Cela me rappelle :
Le 26 juillet 1956, Gamal Abdel Nasser, décide de nationaliser le canal de Suez et gèle les avoirs de la Compagnie Internationale, la décision provoque une crise au plan mondial (la France et l'Angleterre percevaient des royalties de l'exploitation du canal reliant la Méditerranée à la Mer Rouge).
Le 29 octobre Israël, aidé des Britanniques et des Français, attaque l'Egypte et envahit le Sinaï. Les Britanniques et les Français  occupent la zone du canal de Suez. Nasser par l'intermédiaire de l'ONU, obtient le retrait des troupes militaires européennes début novembre sous la pression des USA et de la Russie.
Plus tard, la paix conclue entre l'Egypte et Israël sous l’égide des USA, aura comme conséquence, la restitution du Sinaï par Israël  et l'aliénation de l'Etat égyptien à l'Amérique, donc aux Gouvernements israélien, moyennant  une allocation de 500 millions de dollars, que le contribuable américain assurait à l'Egypte. Une fois de plus, les Lobbys juifs aux USA, ont pris le peuple Américain pour un demeuré.  
De 1958 à 1961, l'Egypte forme avec la Syrie et le Yémen la République arabe unie, tournée vers l'URSS.
Ces pays que l'Occident à colonisé, absorbé leur économie (c'est à cela que sert la colonisation, n'en déplaise à ces démocrates d'opérette, prompts à s'allouer des fastueux subsides sur le "dos" des colonisées.), mais le jour où ces pays réclament leur dû, "rien ne va plus", comme se fut le cas, aussi, de Mohammad Mossadegh, Premier ministre de l'Iran de 1951 à 1953, lorsqu'il nationalisa l’industrie pétrolière iranienne en 1951, fut immédiatement diabolisé par les USA (sangsue du peuple iranien) pour les avoir écarté des royalties pétrolières.
 Je reconnais néanmoins que le cas de l'Iran aujourd'hui est un peu différent.  En effet, l'Iran est moins diabolisé pour sa volonté d'accéder au club des puissances nucléaires, que pour son opposition a la  politique sioniste de l'Etat israélien.  Et de la même manière qu'Israël avait attaqué l'Egypte, moins par la nationalisation du canal que pour éliminer un opposant à sa politique raciste et  "anti-palestinienne", Israël menace aujourd'hui d'attaquer les installations nucléaires iraniennes, moins pour le danger que soi-disant il ferait peser sur l'occident, que pour son opposition à la politique  hégémonique et raciste, digne du plus infâme va-t-en-guerre, que pour l'accession à l'arme dissuasive par excellence qu'est larme nucléaire.  
L'Iran en possession de l'arme nucléaire, aurait comme conséquence de faire réfléchir, le courageux gouvernement israélien,  avants de se jeter dans des aventures douteuses. C'est parce que il n'y avait pas de puissance équivalente au Proche et Moyen-Orient  qu'Israël a pu se permettre de continuer sa politique raciste, d'une autre temps, et bombarder les installations Syriennes et Irakiennes.

Sans oublier que les USA se lancent dans cette aventure, au risque de déclencher un conflit généralisé,  pour au moins deux raisons :

·        Empêcher Israël de faire usage de son armement nucléaire.*
·        De contenir les Lobbys juifs américains.

Car en effet,  qu'ont a craindre les USA d'un Iran en possession de l'arme nucléaire ? L’Iran, dans l’ère moderne, n'a pas été une seule fois à l'origine d'aucune guerre. Et condamner l'hégémonie Américaine, n'est pas une raison suffisante pour lui déclarer la guerre. Barak Obama, sait que l'Iran à signé les accords de l'AIEA, il sait aussi qu'Israël ne les a pas signé, qu'il est entré dans le club des puissances nucléaires illégalement. Mais nous savons tous que M Barak Obama est un Président pour le prestige, comme d'ailleurs l'a été G.W. Bush, Clinton, [...] la politique étrangère des USA, principalement celle qui a attrait aux intérêts israéliens, se fait à Tel-Aviv.  Malheureusement il n'y a pas que les USA, victime d'influence que lobbys juifs ont su acquérir.
L'incompréhensible réside dans la propension de ces êtres que l'on croyait intelligents et qui se plaisent à jouer les marionnettes. 


* Israël, c'est un secret de polichinelle, fait le chantage de l'utilisation de la bombe nucléaire, pour faire céder les USA, et exiger des gouvernements américains, l'acceptation de leur politique. Politique  qui n'a d'autre but que celui de faire plier tout État qui s'opposera à ses intérêts. ON comprends mieux pourquoi l'Iran ou la Syrie sont dans le "collimateur" occidental. Les USA, l'Europe à voulu, dans un premier temps, faire passer pour manifestations pacifiques ce qui était en réalité une révolution armé, comme se fut le cas en Libye, contrairement à la Tunisie ou à l’Égypte. 


Israël est toujours en guerre avec la Syrie, (plateau du Golan, annexé de fait par Israël, contrairement à la 4me convention de Genève) Le renversement de l'autocrate syrien arrangerait Israël, faut-il encore qu'un fantoche soit mis en place. Il y a cependant un point dont aucun média n'y fait allusion, est qu'un pays en guerre avec une opposition qui pourrait être favorable à l'ennemi entraine indubitablement une autorité sans partage où l'opposition n'y a pas sa place, cependant ayons l'intelligence d'admettre qu'en Israël il n'y a pas de véritable opposition, non plus. Et l'opposition existante est de pure forme et les gouvernements, quels qu'ils soient, doivent exécuter les consignes sionistes au risque de se voir assassinés.


Aujourd'hui, l'Occident, les USA, l'Europe prendraient le risque d'un conflit généralisé pour permettre à un Etat illégal, un Etat voyou de poursuivre sa politique criminelle. S'est dire si les gouvernements et institutions occidentales sont phagocytés par des êtres qui, juifs ou non, favorisent et absolvent une politique qui ne devrait plus avoir lieu de nos jours. Ou alors il faudrait admettre que les  vingt siècles de l'ère moderne n'ont servi à rien.

 
Oscar Wilde : " je pense à la platitude intellectuelle et au convivialisme vulgaire qui règnent dons notre médiocratie, le mépris et l’indifférence semblent être de plus en plus la seule attitude de base possible."

Oscar Wilde, emploi le mot « médiocratie » pour désigner une caricature de la démocratie où le médiocre est la valeur de référence.
Ces réflexions il ne les adresse à des partisans mais a des individus qui, partagés entre dégoût et désir, recherchent une aire d’existence plus dense et plus ouverte.