Envoyé par mon Médecin :
Un peu long mais cela vaut son pesant d'or. Lisez-le par étapes vous y découvrirez les réels tenants et aboutissant de nos sociétés.
Pas
de théorie du complot, juste les FAITS – accrochez vos ceintures
Cher(e) ami(e) de la Santé,
Bonne nouvelle pour les pays nordiques !
La Suède, la Norvège et le Danemark ont annoncé qu’ils
levaient toutes les restrictions liées à la Covid.
Pour eux, l’épidémie est terminée, et il est grand
temps revenir à la vie normale, la vraie.
Pas de « pass sanitaire », là-bas, et encore
moins d’obligation vaccinale pour qui que ce soit.
Et non, leur population n’est pas plus vaccinée que
celle de la France.
Ces pays ont simplement fait un choix
fondamental : la liberté contre la surveillance techno-totalitaire
(QR code), l’égalité entre les citoyens contre la discrimination envers
les non-vaccinés, la fraternité nationale contre la division entre
« bons » et « mauvais » citoyens.
Bref, ils ont choisi de vivre, ils ont choisi
la vie plutôt que la psychose perpétuelle face aux virus.
Pour l’Occident, à présent, c’est l’heure du bilan.
Les décisions prises en France et ailleurs ont-elles limité
la gravité de la pandémie…
…ou au contraire, amplifié le nombre de cas, de
morts et de dégâts ?
C’est ce que nous allons voir aujourd’hui.
Je ne sais pas s’il s’agit d’incompétence, de
corruption ou encore d’autre chose – ce n’est pas le sujet de cette lettre.
Mais comme vous allez le voir, presque TOUTES les
mesures prises ont aggravé la situation.
Je sais que ça paraît difficile à croire.
Mais si l’on met les faits, bout à bout, c’est
difficile de le nier :
Avant même
l’explosion de l’épidémie, des décisions étranges
Encore une fois, je ne dis pas ici qu’il y a eu volonté
de nuire.
Mais le résultat est là…à commencer par cette fameuse
image :
1) Une semaine avant le confinement généralisé, M. et Mme Macron invitent
les Français à se rassembler dans des espaces intérieurs, comme les
théâtres :
Laissez-moi vous expliquer le gros problème de
cette « incitation » présidentielle, une semaine avant le confinement
généralisé.
Sur le moment, je le reconnais bien volontiers, cet
appel ne m’a pas choqué, car j’ai toujours pensé qu’il ne fallait pas
s’arrêter de vivre à cause de ce virus.
Mais il y a un juste milieu : il est possible de
vivre à peu près normalement, sans confinement, comme l’a fait la Suède,
et prendre tout de même quelques précautions pour éviter la saturation
des hôpitaux !
Ces précautions auraient dû être prises dès le mois
de janvier, par nos gouvernants, pour une raison simple :
Ils savaient
des choses sur ce virus que personne d’autre ne pouvait savoir à l’époque.
En effet, le mari de la ministre de la Santé Agnès
Buzyn, Yves Levy, avait inauguré en grande pompe le laboratoire P4 de recherche
virologique de Wuhan, en 2017.
Il savait donc parfaitement qu’on y faisait des
manipulations risquées sur les coronavirus de chauve-souris.
Il y a quelques jours, des investigateurs ont retrouvé
– et rendu public – le « programme de recherche » de l’Institut de
virologie de Wuhan, datant de 2018.
Dans ce document, on apprend que le laboratoire de
Wuhan avait prévu d’introduire artificiellement, dans un coronavirus de
chauve-souris, un nouveau « site de clivage de la furine » permettant
de mieux infecter les êtres humains[1].
C’est le pistolet fumant qui clôt
définitivement le débat sur l’origine du coronavirus.
Car depuis le début, les microbiologistes s’étonnent
que le nouveau coronavirus possède ce fameux « site de clivage de la
furine », parfaitement adapté pour infecter les êtres humains… alors
qu’on n’avait jamais trouvé un site de cette nature dans les autres
coronavirus de chauve-souris.
Et on apprend maintenant que les laboratoires de recherche
de Wuhan avaient prévu de créer précisément ce genre de virus chimérique, avec site
de clivage adapté à l’homme !
Voilà pourquoi le coronavirus s’est répandu comme une
traînée de poudre dans le monde entier : c’est parce qu’il a été créé pour
cela !
Mais c’était à peine imaginable, au départ - et c'est
pour cela que le Pr Raoult, comme moi, n'étions pas inquiet du coronavirus
chinois en janvier 2020. Parce que les maladies infectieuses sont des maladies
« d’écosystème » qui franchissent très rarement les continents.
Problème : c’était vrai pour les virus « naturels »... mais faux
pour les virus bricolés en laboratoire pour être le plus infectieux
possible !
Agnès Buzyn, elle, savait certainement que ce virus était artificiel.
Dès le 30 janvier 2020, elle avait averti le Premier
Ministre que « les élections ne pourraient sans doute pas se tenir ».
Elle a aussi déclaré ceci au journal Le Monde :
« Quand j’ai quitté le ministère (NDLR : le 16 février), je
pleurais parce que je savais que la vague du tsunami était devant nous. »
Bizarrement, malgré ces alarmes répétées, Emmanuel
Macron invite les Français à sortir au théâtre au début du mois de mars, au
moment même où l’épidémie ravage le nord de l’Italie.
Pire : il refuse obstinément de fermer les
frontières, notamment avec l’Italie !
2) Aucune fermeture des frontières – pourtant le principal moyen d’éviter
une contagion massive
C’est étonnant, car la fermeture des frontières est
une des seules mesures efficaces contre la Covid.
On l’a vu avec les exemples de l’Australie et de la
Nouvelle-Zélande – même si leur stratégie zéro covid est totalement
folle, le fait est que la fermeture quasi-totale des frontières leur a permis
de contenir l’épidémie pendant plus d’un an.
Bien sûr, la France n’est pas une île, et il était
impossible de fermer totalement le pays.
Mais si l’objectif le plus raisonnable était, non pas
d’éviter le virus, mais de lisser les contagions dans le temps, pour
éviter une surcharge brutale et catastrophique des hôpitaux, alors fermer les
frontières était la meilleure option !
Et pourtant, cela a été refusé par Emmanuel Macron,
avec cet argument invraisemblable : « le virus n’a pas de
passeport », a-t-il dit aux Français dans son allocution du 12 mars
2020 ![2]
Argument d’autant plus ridicule que, 5 jours plus
tard, le même Emmanuel Macron annonce le confinement généralisé et… interdit
les déplacements entre régions ou départements (avec le fameux
rayon de 100 kilomètres) !
A la décharge d’Emmanuel Macron l’argument absurde du
« virus qui n’a pas de passeport » était défendu à l’époque par les
experts de l’OMS[3] (ce qui ne fait qu’accroître ma suspicion sur
toute cette affaire).
Le président américain de l’époque avait même été
vertement critiqué dans le monde entier pour avoir fermé la frontière des
États-Unis avec la Chine dès le 30 janvier – ce qui était pourtant parfaitement
pertinent !
3) Pire que de ne pas fermer les frontières ? Rapatrier les Français
de Wuhan sans précaution
Ce qui s’est passé avec les arrivants en France depuis
la région de Wuhan est peut-être encore plus stupéfiant.
Vous souvenez-vous d’un des premiers patients Covid,
un touriste chinois de 80 ans originaire de Hubei, la région qui englobe la
ville de Wuhan ?
Il est arrivé en France le 23 janvier… est allé aux
Urgences le 25 janvier parce qu’il était malade… et a été renvoyé chez lui !
Puis, à nouveau hospitalisé à l’hôpital Bichat, il a
finalement été diagnostiqué Covid, a reçu du remdésivir… puis est décédé,
devenant le 3ème mort du Covid recensé officiellement hors de
Chine ![4]
Et que dire d’un des premiers clusters, en
France, qui a eu lieu dans l’Oise ?
Il s’est produit à côté de la base militaire de Creil,
qui abritait l’équipage et les militaires qui ont ramené par avion les Français
de Wuhan, le 31 janvier.
Et comme par hasard, l'un des infectés de ce cluster
était un logisticien venant de cette base militaire (qui n’était pas allé à
Wuhan[5]).
Les militaires revenus de Wuhan ont-ils été testés
contre le coronavirus ?
Eh bien non !
C’est pourtant ce que la Ministre des Armées avait
déclaré, le 4 mars… mais elle a dû avouer devant une commission parlementaire,
sous serment, qu’elle avait menti[6] !
Ces militaires ont bien subi une quarantaine de 14
jours mais ils n’ont pas été testés systématiquement.
Cette absence de test, étrange, n’est
d’ailleurs pas isolée.
Voici ce qui s’est passé, avec les Français rapatriés
de Wuhan qui ont été placés à l’isolement, près de Marseille – ce récit a été
publié dans le journal Le Monde[7] :
[Le 31 janvier
2020, les Français rapatriés de Wuhan, épicentre chinois de l’épidémie de
Covid-19, sont installés à Carry-le-Rouet, dans les Bouches-du-Rhône, à
quelques kilomètres de l’IHU de Marseille.]
À peine
informé, le Pr Didier Raoult met sur pied un plan d’attaque. D’abord envoyer
ses « troupes » sur le tarmac, à l’aéroport d’Istres. Ne pas laisser descendre
les rapatriés de l’avion avant de leur avoir mis un écouvillon dans la narine.
(…)
« Dépister,
tracer, isoler », c’est depuis toujours son mantra. Avant même que l’Airbus
militaire n’atterrisse, il explique donc aux autorités sanitaires : (…)
« Vous nous laissez monter dans la carlingue. On prélève. On a le résultat
en deux heures. Et on peut dire : vous, les infectés, venez chez nous, à l’IHU.
Les autres, vous partez à Carry-le-Rouet, on vous fout la paix. » Aussitôt dit,
quatre membres de l’institut foncent à l’aéroport d’Istres avec leur matériel.
Sur le tarmac,
ils tombent nez à nez avec Agnès Buzyn. La ministre de la Santé est venue de
Paris souhaiter la bienvenue aux « expat ». Mais la seule présence des « Raoult
Boys » semble lui gâcher sa journée. (…) Des tests dans l’avion, au débotté ?
Pas question. »
Pour se justifier, Agnès Buzyn évoque des formulaires
à remplir, des protocoles à respecter…
Mais cela n’explique pas tout.
Car non seulement le gouvernement n’a pas voulu tester
les rapatriés de Wuhan…
…mais pendant des semaines, les autorités ont refusé
de faire ce que le Pr Raoult faisait massivement, à l’IHU Marseille !
4) Refuser de tester massivement, dès les premiers symptômes, comme l’a
fait le Pr Raoult à Marseille
Pourtant, tester, dépister, c’est le BA-BA, en maladie
infectieuse.
Lors de son entretien avec le Président Macron, le 9
avril, le Pr Raoult ne s’est pas privé de lui signaler :
Pr Raoult :
« Vous êtes fous de ne pas avoir fait faire de tests. On vous a raconté
que la PCR, c’était vachement compliqué (…). En vérité, n’importe qui est
capable d’en fabriquer.
– Je sais,
répond le président de la République. Vous avez été le premier à me l’avoir
expliqué. Personne ne l’avait fait, et vous aviez raison.
– Nous n’avions
pas de tests début mars…, rappelle [Jean-François] Delfraissy [le président du
conseil scientifique].
– Écoute
Jean-François, les vétérinaires étaient prêts à vous en donner des milliers,
coupe Raoult. »
De fait, les vétérinaires avaient des stocks énormes
des fameux « réactifs »[8] qui auraient pu permettre de tester
beaucoup plus largement la population.
Ce blocage bureaucratique rappelle d’ailleurs un autre
scandale, rapidement oublié :
Au printemps 2020, de nombreuses cliniques privées
auraient pu accueillir des patients Covid, notamment en réanimation…
…mais plutôt que de faire appel à elles, notamment
dans l’Est submergé, on a préféré médiatiser des transferts de patients dans
d’autres régions… dans des hôpitaux publics[9] !
Selon le sénateur Alain Fouché : « Dans
le Grand Est, plusieurs patients atteints du Covid-19 ont été évacués vers
Marseille et Bordeaux, puis vers l'Allemagne et vers la Suisse à la fin du mois
de mars, alors que 70 places de réanimation libérées dans des cliniques
n'étaient pas utilisées. »[10]
Simple incompétence bureaucratique ?
Probablement, mais cela a permis d’enfoncer les
Français dans la peur, avec des évacuations par hélicoptère très médiatisées.
Je vois que j’ai déjà été long, et je n’ai fait
qu’aborder les toutes premières décisions prises !
Restez connecté, dans ma prochaine lettre, j’aborderai
les décisions « étranges » du mois de mars 2020 :
- Privilégier le paracétamol contre l’ibuprofène et les
corticostéroïdes ;
- Placer un maximum de patients sous ventilateur (plutôt que donner de
l’oxygène à haut débit) ;
- Ne pas recommander la vitamine D et autres compléments alimentaires
dans les maisons de retraite ;
- Plutôt que d’essayer de soigner, encourager en Ehpad l’utilisation du
rivotril, un médicament qui abrège les souffrances
- Etc.
Vous verrez : quand j’aurai fini la liste, vous
comprendrez que l’épidémie n’aurait jamais dû être plus problématique
qu’une saison de « mauvaise grippe ».
Bonne santé,
Xavier Bazin ?
Sud Radio l'interview :
https://www.youtube.com/watch?v=MdoGJVZczUU