vendredi 23 mars 2012

Association France-Israël



Lors d’une manifestation où nous voulions attirer l’attention du citoyen sur les produits interdit d’entrée dans gaza, parmi lesquels ceux de première nécessité,  un des membres du Collectif, où des juifs, musulmans et citoyens de toutes confessions militaient, un membre juif m'affirmait qu'un de ses coreligionnaires lui avait dit: « les Palestiniens devraient avoir une stratégie à long terme ! Qu’il fallait faire comme les israéliens. Que les colons n’allaient pas partir comme cela ! » Sous-entendu : (il fallait trouver une solution humainement acceptable !). Je répondis : D’accord mais acceptable pour qui ? Le regardant au fond des yeux, je lui ai demandé s’il se rendait compte de la niaiserie de ses propos ?  
1.      En Palestine il s’agit moins de stratégie que du Droit international.
2.      Les Palestiniens n’ayant d’armée n’ont aucun moyen d’imposer leur stratégie en admettant qu’ils en aient une.
3.   Pourquoi les palestiniens devraient se soucier des colons ? Le sionisme c’est-il préoccupé des 750 000 palestiniens déplacées par la violence en 1948 ?  des 6 000 000 de réfugiés Palestiniens ?  
4.    Le sionisme s’est-il préoccupé d’autre chose que de détruire les 531 villages.
5. Israël se soucie-t-il des palestiniens quand il démolit leurs maisons, détruit ses cultures, rend les déplacements extrêmement difficiles et laisses à la discrétion du planton de service, [...] tout cela et d'avantage, encore aujourd’hui ? ... Finalement je sortais de cette discussion, un peu amer, comment être efficace dans ces conditions si au sein même de ceux qui devraient militer pour que le droit international s'applique au Proche-Orient, il y en a qui s'en s'éloignent autant  ?
Le plus grave à mes yeux c’est qu’un militant en faveur des Palestiniens abonde aussi facilement dans le sens d’une stupidité exprimé d’ailleurs par quelqu’un qui ne faisait pas partie du collectif ! Cela apportait la preuve d’un manque évident de conscience politique de notre part, d’un débat d’idées qui nous aurait permis d’envisager de telles éventualités et d’y apporter un contre argument immédiatement.  Mise à part une provocation certaine de la part de l’individu, il nous jetait à la figure que les colons sont là et ils y resteront !  Personnellement, je pense qu’une des possibilités envisageables, serait effet, que les colons deviennent citoyens palestiniens et que les réfugiés souhaitant réintégrer leurs maisons deviennent citoyens israéliens. (ah ! ce n’est pas possible.) (Et pourquoi ?)

Dans réunion mensuelle, exceptionnelle, du 1er décembre j’exprimais, en passant, ma vision de l’intervention française au près du gouvernement israélien, suite à l’agression de Gaza : « que la France s’était compromis pour la première fois depuis Vichy avec un crime de guerre » et immédiatement fusait : « ce n’est pas la première fois ; l’Indochine, l’Algérie… » C’est vrai mais ce n’est pas ce que je voulais dire, en Indochine, en Algérie la France y était, si j’ose dire, partie prenante, et sans entrer dans des considérations, c’est belle-et-bien la seule fois après Vichy, que par l’intermédiaire du gouvernement Sarkozy, le France se compromettait, avalisait,  les crimes commis par d’autres.   Évidemment, il est possible que par le jeu des « alliances » plus ou moins acceptables la France se soit  compromis, comme par exemple en Afrique, mais pas aussi franchement qu’elle ne le fit à Gaza où Sarkozy envoyait une vedette de guerre au lieu d’un navire hôpital et posait avec les dirigeant dirigeants européens/israéliens pour la photographie d’après banquet !  C’est purement et simplement « dégueulasse ». La France. Le peuple français ce n’est cela.
   
Depuis le 26 décembre l'Égypte/Israël construit un « mur d’acier » mi-souterrain. D’un enfouissement de 18 mètres et de 4 en surface d’une longueur de 11 km. à sa frontière avec Gaza. Financé par les USA et la France. La France est endetté, n’a pas d’argent pour ses chômeurs, mais finance à nouveau un Crime contre l’Humanité. Sarkozy à été élu par erreur la France n’est pas ça.

Le 11 novembre 2009. M Attali, dans l’émission « Ce soir ou jamais » de Frédéric Taddei, voulait justifier la politique israélienne par l’absence de leader. Abbas, en effet,  est, on pourrait le croire, en intérim. Je fais l’impasse sur d’autres approximations.  Cependant, quel leader plus charismatique que Yasser Arafat ? Cela, changea-t-il quelque chose ?
Un leader digne de ce nom, pourtant… (Cela ne changea rien.)
Les statuts de L’OLP ne reconnaissaient pas Israël, et c’est pour cela, entre autres, qu’Israël leur faisait soi-disant la guerre ! Yasser Arafat suite aux accord d’Oslo non seulement reconnut Israël mais encore modifia l’article, faisant débat, des Statuts de L’OLP, avez-vous remarque des meilleures conditions de vie du Peuple Palestinien ?  Non seulement, ce ne fut pas le cas mais Arafat fut cloîtré, emprisonné, pris en otage à la Moukata, son quartier général à Ramallah, puis dit-on empoisonné. (Aussi difficile que cela paraisse, c’est possible ; toutes les denrées qui entraient étaient contrôlés par l’armé israélienne) CQFD Avez-vous entendu un gouvernement du très démocratique occident faire en sorte d’agir pour que Israël respecte Droit International ?  Yasser Arafat était considéré comme un chef d’Etat.

Il n’y a que la coercition pour ramener  Israël à la raison, l’expérience nous le prouve tous les jours. Un isolement en « bonne et du forme » suffirait à le faire revenir parmi les États civilisées. 

- Yasser Arafat à commis des actes terroristes, c’est vrai, du moins il était un des responsables des attentats pendant les J.O. de Munich. D’un autre coté il faut aussi reconnaître que tous les principaux dirigeants israéliens sont issus du terrorisme (Haganah, Irgoun, Stern…) au mieux coupables de crimes de sang.   Aucun homme intelligent, avec un état de conscience, ne peut soutenir les dirigeants de ce pays, même s'ils sont de très policés, très biens élèves et ont su tirer profit des erreurs du nazisme. Et si les criminels nazis assumaient leur crimes, le sionisme n’a pas industrialisé son entreprise criminelle, mais diabolise sa future victime et cherche des argument pour justifier son crimes. Néanmoins, il faut reconnaître que le résultat est le même ; faire disparaître un peuple.

 L'épuration ethnique de la Palestine qui avait été programmé, comportait des massacres, les expatriations par la violence : ce que le sionisme a appelé  "transferts" comme l'avait recommande Théodore Herzl, c'est-à-dire l’expulsion manu militari de populations civiles vers les pays limitrophes. Pays où ils resteront des réfugiées Ad Vitam Aeternam. Ces populations sont des réfugiés qui n’ont droit à aucun statut juridique et même  si ces palestiniens acceptaient de devenir Libanais, Syrien, Irakiens, Jordaniens… ils ne seraient plus Palestiniens et par conséquence perdraient tout les "droit au retour"sur leurs terres. Ce que ces populations demandent c’est que : droit International s’applique au Proche-Orient. 
Le sionisme, quelque soit le degré de responsabilité dans nos démocraties, ne peut pas inventer des règles qui lui conviennent, l’intelligence c’est aussi d’accepter les règles que l’on impose aux autres. Il y a un Droit International qu’Israël,  les USA ou l’Europe bafouent outrageusement, pourtant l’honnêteté voudrait qu’ils ne puissent s’en départir.
Le Hamas que l’on diabolise tant, fournit des abris, fussent-ils de toile, en remplacement de la petite maison que le très "démocratique" gouvernement israélien démolit par centaines de milliers. Qui est le terroriste ? 
La plupart des autorités internationales sont, sur ce point des apostats de la justice ils déshonorent  le mandat que leurs électeurs leur ont confié. Prenons un seul exemple : Un député Alsacien, Strasbourg centre, Armand Jung (Vice-président de l’association  France Israël) à la tête d’une manifestation anti-iranienne arrangeait la foule contre l’Iran, pour l’assassinat d’une jeune fille tuée pendant les manifestations et dénonçait des irrégularités pendant  l’élection du Président iranien. Que l’on apporte son soutient à une population qui manifeste contre des tricheries, contre l’assassinat d’un innocent c’est parfaitement légitime, il n’y a là rien de répréhensible, cela serait plutôt humain, mais instrumentaliser la mort d’une jeune fille pour dénigrer un ennemi d’Israël n’est pas acceptable car ce Monsieur si prompt à soulever les foules à manifester contre la mort d’une jeune fille par la police ou l’armée iranienne n’a pas soulevé « le petit doigt » pour dénoncer les 1350 morts que ses amis israéliens avaient commis à Gaza et naturellement on ne l’a pas vu dans les manifestations que nous avions organisées contre ce massacre.
 Cet exemple pourrait être décliné à l’infini en Europe, aux USA dans tous les pays ou des associations faisant partie intégrante de l’Organisation sioniste mondiale assènent les citoyens du pays qui les accueille  de vérités qui n’en sont pas. Tiens à Strasbourg le CRIF ne manifestait pas en faveur des victimes israéliennes mais apporter un soutien à l’armée, qui venait d’assassiner 1350 personnes dont les ¾ de civils et parmi eux 400 enfants ! En outre ils eurent l’outrecuidance, l’arrogance d’êtres sans état de conscience, en qualifiant les manifestations en faveur de Gaza : "de violentes", incitant à la haine raciale parce des slogans clamaient : « Israël assassin » mais le CRIF défila lui dignement et en silence s’il vous plait. Bien évidement les morts étaient coté Palestinien. Nous ne parlons pas là de tricheries mais de massacre, de crimes contre l’humanité.  En effet, bombarder des civils qui ne peuvent fuir est un crime contre l’Humanité. Gaza subit un blocus partiel depuis 2007 et total depuis 2008. Le blocus est un acte de guerre, un blocus total cela veut dire que n’entre et ne sort que ce que le criminel veut, marchandises ou personnes. Nous avons reçu au mois d’octobre une délégation de Syndicalistes agricoles palestiniens, hé bien,  la délégation de Gaza n’a pu sortir, l’autorisation de se rendre en France leur a été refusé, c’est pas banal ! Pourtant toutes les démarches que le très démocratique gouvernement israélien avait demandées ont été faites !  Et je peux vous l’assurer ils n’avaient pas l’air, mais alors pas du tout l’air de terroristes. Des gens qui se demandaient simplement de quoi leur lendemain sera fait, voila tout. Nous ne pouvons continuer à cautionner les crimes israéliens. Ces crimes influent incontestablement sur les relations internationales du globe. 

jeudi 22 mars 2012

L'imposture sioniste




« Si j’étais un leader arabe, je ne signerais jamais un accord avec  Israël. C’est normal ; nous avons pris leur pays. C’est vrai que Dieu nous l’a promis mais en quoi cela les intéresse-t-ils ? Notre Dieu n’est pas le leur. Il y a eu l’antisémitisme, les Nazis, Auschwitz, mais est-ce de leur faute ? Ils ne voient qu’une chose : nous sommes venus et nous avons volé leur pays. Pourquoi l’accepteraient-ils ? »

Déclaration de Ben Gourion (premier, Premier ministre israélien) en 1948  à la « Maison Rouge » siège général de la Haganah. Groupe armé juif, embryon de la future armée israélienne.   



Entre 1920 et 1921.  Les aspirations arabes sont systématiquement bafouées. La conférence de San Rémo de 1920 instaure dans différentes régions  du Proche Orient des « mandats » censées préparer les peuples à l’autodétermination. La « déclaration Balfour » est incluse dans le mandat attribué par la Société des Nations, au mépris de l’article 22 qui fait obligation au Mandat d’obtenir l’accord de la population palestinienne… (Juifs, Musulmans, Chrétiens)

La Société des Nation (SDN) attribue la Palestine à l’Angleterre. L’article 4 du mandat stipule  « qu’une Agence juive appropriée serait reconnue comme organisme officiel et apporterait à l’administration de la Palestine ses conseils et son aide sur toutes les questions économiques, sociales ou autres ayant rapport à l’établissement du Foyer National Juif et aux intérêts de la population … L’organisation sioniste sera reconnue comme étant cette Agence » !
Les dispositions de cet article ont permis à l’Agence juive d’être un Etat dans l’Etat. En effet, elle dirigeait tous les secteurs juifs de l’économie du pays ; elle avait ses hôpitaux, ses services sociaux, ses écoles et son service de renseignements.
De plus d’après A. Koestler "tous les fonctionnaires Juifs du gouvernement servaient d’indicateurs bénévoles, l’Agence Juive dirigeait une organisation militaire indépendante, la Haganah, noyau de la future armée israélienne".  Le premier Haut commissaire du Mandat Herbert Samuel, ancien Ministre de l’intérieur du gouvernement britannique, est Juif. Il est donc aisé d’imaginer que l’agence Juive se nourrissait quotidiennement de la complicité de l’administration mandante.  




Nous sommes en 1973. Israël continue d’occuper et de coloniser le Sinaï et le Golan Syrien. Sure de son impunité, elle ne voit survenir l’attaque syro-égyptienne du « Kippour » (6 octobre 1973), qui sera repoussée avec l’aide d’un pont aérien américain… Les trois pays acceptent une résolution de cessez le feu soviéto-américainne (22 et 24 octobre).
 L’Egypte s’acheminera ensuite vers une paix séparée (1979) et l’alignement sur la diplomatie américaine, au détriment des droits des Palestiniens. La Syrie refusera ce compromis et le paiera par l’annexion du Golan par Israël (1981) et sa mise à l’écart par les puissances occidentales. Mais dans la guerre de 1973 et la suite, les deux pays n’ont eu que des visées nationales, et les ont soldées sans considération pour le Peuple de Palestine.
A la fin des années 70, l’URSS autorise une certaine émigration juive, au total 130 000 juifs émigrent, avec un maximum en 1979. Autorisés, dans les aéroports de transit (Vienne, Rome) à choisir leur pays d’accueil, la grande majorité opte à cette époque pour l’Amérique. A la fin des années 80, l’émigration est à nouveau permise. Israël vote la suppression des stations de transit en Europe, tandis que les USA limitent l’immigration russe. Aussi de 1988 à 2002, 950 000 russes s’établissent en Israël, dont près de la moitié se disent non juifs. Le renouveau du judaïsme russe conduit maintenant à des retours vers la Russie…  

« Dans l’activité exercée par les émissaires sionistes, nous voyons une certaine tension inhérente à l’attitude sioniste envers la "Galout" [Juifs hors de Palestine]. Etant donné que le sionisme idéologique ne croit pas, à long terme, à la survie de la vie juive hors d’Israël, ces shlihim [émissaires] sionistes qui sont envoyés d’Israël pour travailler dans les communautés juives de Diaspora et qui s’investissent dans le travail éducatif et culturel. Cependant ces shlihim s'investissent aussi dans des réunions ou mini conférences où ils tentent faisant référence aux pogroms ou à la Shoah de convaincre leurs auditeurs du bien fondé de la politique sioniste, qu'Israël applique en Palestine.  »
Steve Israël, « Les relations Israël-diaspora », cours du Département d’éducation sioniste juive :  http://www.jafi.org.il/education/100/french/concepts/isdias08.htlm

Début 2009 on me recommanda d’aller voir le film : Milh Hadha Al-Bahr  (Le Sel de la Mer) réalisé par Anemarie  Jacir.  
Synopsi : Soraya, 28 ans, née et élevée à Brooklyn, décide de rentrer s'installer en Palestine, le pays d'où sa famille s'est exilée en 1948. Dès son arrivée à Ramallah. Sa route croise alors celle d'Emad, ce film retrace son épopée à travers la Cisjordanie et Israël pour tenter de récupérer l’héritage de son Grand-père gelé à dans une banque à Jaffa mais elle se heurte au refus de la banque. Ensemble ils tentent de retrouver les villages qui remplissaient les rêves de leur enfance et qui n’existaient plus. Emad ne rêve que d’immigrer aux Etats-Unis alors qu’elle ne rêve que de pouvoir rester.
Bien, à la sortie un débat était organisé par Amnesty International (Alsace) sur, disaient-ils, le film. Dans les faits un « émissaire » se disant médiateur du gouvernement israélien dans les territoires occupés ! Il commença sont exposé  par les « Pogroms » qui s’étaient déroulés en Russie et enchaîna par la « Shoah ». Comme je me levais pour partir, il me pria d’attendre. Je lui répondis que s’il veut parler des pogroms et de la Shoah je n’ai aucun problème la dessus, que s’il veut parler de la Naqba et de l’épuration ethnique de la Palestine je n’ai là non plus aucun problème pour en parler, mais faire l’amalgame des deux relève de la manipulation.
  Les Arabes refusent la décision de l’ONU sur le partage de la Palestine. En effet, les  populations concernées ne furent consultées, comme l’exigeait l’article 22 de la charte et tel que le stipulait la convention sur le le mandat. Mandat que la Société des Nations accorda aux britanniques ?
Dans ces conditions pourquoi prendre  comme prétexte le refus des pays Arabes ? Sans compter le caractère injuste et léonin de la partition.
Théodore Herzl, intellectuel conservateur de l’empire Austro-hongrois publie « L’État des Juifs »  -un essai sur la question juive- faisant référence aux persécutions et violences anti-juives en Europe principalement de l’Est. Il en résultait un afflux de Juifs dans les autres pays et l’Autriche, passage presque obligé pour ces réfugiés, du faire face à ces populations d’où l’idée pour Herzl de palier à cet exode. Séparant les classes auxquelles il était bien attaché, Herzl s’inspire des sociétés de colonisation capitalistes comme Léopold 1er au Congo, Cecil Rhodes en Rhodésie… pour son projet il rêve déjà d’épuration ethnique… 
Ne déclarait-il : « Inciter la population démunie à traverser la frontière en la privant d’emploi… le processus d’expropriation et le retrait des pauvres doivent être menés discrètement et avec circonspection. »                      
Théodore Herzl, parlant des Arabes de Palestine, Notes complètes, 12 juin 1895.
Qui est cet Herzl pour parler des pauvres comme d’une maladie ? Cela prouve au moins que rien n’arrive par hasard ! Il avait, par conséquent, dès 1896 l’idée de ce qu’allait devenir d’après lui la Palestine. Il jetait les bases su sionisme tel que nous le vivons aujourd’hui. Organisations Créées ad hoc, démarches préparatoires visant à justifier d’un point de vue légal ce qui aujourd’hui est illégal. Pour moi c’est très clair. C’est exactement le procédé israélien d’aujourd’hui, avec une légère différence c’est qu’Israël justifie ses crimes y compris illégaux. Comme par exemple les représailles suite à une action violentes palestinienne qui elle-même faisait suite à une provocation israélienne ou à une suite d’harcèlements devenus insupportables.  Néanmoins lorsqu’on est au fait des événements on s’aperçoit que ces représailles ne le sont pas, mais quelles font parti d’un processus logique mûrement réfléchi (Provocation, représailles.) visant à opprimer encore et toujours.

Au premier congrès sioniste de Bâle le 19 août 1897. Herzl définit son objectif pour la création du « Foyer juif en Palestine garanti par le droit public »  il recommande :
1.     L’encouragement systématique de la colonisation de la Palestine par l’établissement d’agriculteurs, d’artisans, et d’ouvriers juifs. Mais ne demandait l’immigration des riches Juifs.
2.     L’organisation et fédération de tout le judaïsme au moyen de sociétés locales et de fédérations générales dans la mesure où le permettent les lois.   
3.     Le raffermissement du sentiment juif et de la conscience nationale du peuple juif.
4.     Des démarches préparatoires  afin d’obtenir des gouvernements le consentement nécessaires pour atteindre  le but du sionisme. Ces quatre recommandations contiennent les composantes de toute l’histoire du sionisme réel : colonisation, création d’une société de remplacement excluant la population arabe, organisation mondiale du sionisme, lobbying permanent des puissances capitalistes.

 « À l’extérieur on a coutume de croire qu’Israël est presque vide ; rien n’est cultivé ici et que quiconque veut acheter de la terre n’a qu’a venir et acheter selon ses désirs. En réalité, la situation n’est pas celle là. Au travers du pays il est difficile de trouver de la terre cultivable qui ne soit pas déjà cultivée. » (…) « Si, un jour, la vie de nos fiers juifs en Palestine se développe au point de refouler les habitants du pays sur une petite ou une grande échelle, alors ces derniers ne céderont pas facilement leurs places… »
Ah’ad Ha-am, philosophe Russe, commentant sa première visite en Palestine en 1891.

Si nous ne respectons le Droit international, si certains gouvernements se croient au dessus de lui, non seulement c’est un laissez-passer aux autres despotes de la Terre, mais encore on n’est pas loin de la horreur, du chaos.
Israël n’a pas respecté une seule des résolutions de l’ONU depuis 1948, en fait depuis sa création, ce sont plus de soixante condamnation qu’Israël a jugé utile de ne pas observer, sans compter toutes celles qui ne sont arrivés jusqu’au vote par le veto américain. Si l’occident avec les USA et L’Europe chantres de la démocratie à l’origine du Droit international et des Droits de l’homme nous soutenons ces gouvernements, il ce n’est fini de notre Histoire.
Si la France à la particularité exemplaire, dans l’échiquier mondial, l’initiateur en 1789 de ce que sont les Droits de l’Homme aujourd’hui. Si la France  qui a vu naître René Cassin, l’homme le plus important dans la rédaction de la Déclaration Universelle des Droit de l’Homme,  refuse l’application de ces Droits la France n’est  plus la France à la rigueur un amalgame d’intérêts divers !  Le rôle de la France n’est pas de soutenir des crimes contre l’humanité, ce n’est pas la vocation universelle qu’elle s’est elle-même donnée.  Aujourd’hui par le gouvernement Sarkozy  la France à renie son histoire. D’un point universel mais aussi national.

600 ans avant Jésus-Christ les religions s’étaient chargées de répondre à toutes les questions que les hommes se posaient. Ces explications se transmettaient de génération en génération sous la forme de mythes.  Un mythe est un récit sur les dieux qui voudrait expliquer les phénomènes naturels et humains.   Les philosophes ont aussi une conception mythique du monde. Des philosophes, des intellectuels échafaudent des conceptions pour expliquer ce que l’homme ne comprend pas toujours, et en ce qui concerne les philosophes juifs ces conceptions se confondent avec l’histoire !
Je poursuis : Les sionistes prétendent, ou du moins  c’est le mythe par lequel bon nombre de juifs se sont laissé séduire, qui est celui de «  La Terre promise par Dieu ! » excusez du peu. Dieu est une être spirituel, comment un être spirituel peut-il accorder un bien  matériel ?   La réalité qui voudrait que les juifs aient droit à la Terre promise  parce que donnée par Dieu est un mythe. Ce mythe ne s’explique pas autrement que par la volonté de donner un cadre religieux/historique devant rallier la communauté toute entière. Les religieux au congrès des Rabbins de France qui eut lieu à Strasbourg en 1936, suite aux événements de « Nuremberg » donnèrent l’impulsion définitive au sionisme. Aujourd’hui encore cette prise de position qui se voulait au départ humaine, c’est transformé en une rapine, épuration ethnique, spoliation sans que ces mêmes autorités interviennent pour réorienter leur discours dans le vrai sens humaniste. Ce qui me fait dire qu’il y a des religieux complices des crimes sionistes. (D’après des juifs, le Pape Pi XII chef spirituel des Catholiques se serait, par son silence pendant la Shoah, rendu coupable de complicité). Pourquoi dans ces conditions devrions-nous faire abstraction de la complicité, que représente aussi le silence des instances rabbiniques sur les crimes sionistes ? 
Dans l’armée israélienne des rabbins endoctrinent des jeunes soldats qui s’avèrent être les plus fanatisées ! Ces mythes élevés au rang de vérité absolue par une partie de la communauté ainsi fanatisée nous permet de comprendre pourquoi la plupart d’entre eux refusent d’admettre que le terrorisme islamiste prend son comburant dans le conflit israélo-palestinien.      (Comburant : corps qui en se combinant avec un autre donne lieu à la combustion de ce dernier.)

mardi 20 mars 2012

L'influence que l'Occident veut universelle...



L'influence que l'Occident veut universelle est-elle à l'origine des conflits ?

En tout état de cause, Il n’y a pas un conflit où l’Occident y est impliqué qu’il n’en soit pas à l’origine.

La deuxième guerre mondiale a laissé des séquelles,
En France les conséquences de la Deuxième guerre mondiale ont laissé des traces qu’il faut avoir vécu, sans doute, pour appréhender ce conflit.  Je sentais bien que cette formulation n’était pas tout a fait juste, dans la politique pratiqué j’y voyais des choses allant à l’encontre de la morale : manipulation, fourberie, mensonge.  Et naturellement dénoncer les exactions israéliennes, c’est aller contre le judaïsme, de la à être qualifié d’antisémite il-y-a un pas que  les sionistes franchissent allégrement, à chaque fois que quelqu’un de non musulman, tente de réveiller les consciences sur les crimes qu’ils commettent. 
- L’antisémitisme c’est du racisme, les peurs que le sionisme tente d’inculquer aux juifs perdent  de leur consistance lorsqu’il s’agit d’Arabes. Le sionisme reconnaît implicitement que les Arabes agissent pour une cause, en réponse à une agression. L’argument d’antisémite perd de ce fait sa consistance.  Le seul moyen pour le sionisme, car il y en a un, c’est de faire l’amalgame entre  le terrorisme islamiste et le monde musulman dont son issus les Palestiniens.  Qualifier la résistance palestinienne de terrorisme n’est pas anodin, n’est pas un concept accidentel ni fortuit.  Israël et aujourd’hui l’occident  tente de changer la signification du mot « terroriste », qualifiant de terroriste toute résistance, tout acte allant à l’encontre de leurs intérêts.  Le mot « terrorisme », à part la politique menée pendant la révolution française,  signifiait  « Recours à la violence visant à déstabiliser un régime, à s’emparer du pouvoir par la violence ». Il n’y à pas si longtemps il voulait également dire : « chercher à imposer son point de vue par la force, par le terreur ». Mais dans le cas qui nous occupe ; les Palestiniens ne cherchent pas  s’emparer du pourvoir en Israël mais à défendre leurs biens, leurs familles, leur terre. Ils ne cherchent pas à imposer leur volonté mais leurs droits, ils veulent que le Droit International s’applique en Palestine.  Nuance, somme toute, importante. Non ?

- Le sionisme depuis sa création a toujours diabolisé sa future victime et encre dans le subconscient collectif l'acceptation du crime a commettre,  tout au moins être suffisamment ambigu pour pouvoir le faire. Cette diabolisation grâce aux médias,  finit par imprégner insidieusement le psychisme des citoyens qui acceptent ce qu’ils auraient normalement refusé.
La plupart des populations sont ignorantes du monde dans lequel ils vivent ?
Ce n’est pas exactement cela,  la plupart des populations après une journée de travail ou devant les problèmes courants aux quels ils doivent faire face, n’ont plus la force, ni sûrement l’envie de s’informer par d’autres biais, que les stupidités que leur assènent la plupart des médias.  Et acceptent comme « parole d’évangile » des concepts chthoniens. Il me semble que la meilleure explication est l’exemple ; Pour pouvoir diaboliser les États qui mènent une politique contraire aux intérêts américains et israéliens,  David Froom, un citoyen américain sioniste, comme la plupart des conseillers des administrations américaines, invente l’ « axe du mal » concept légalisant l’attaque d’un État menant un politique contraire a tes propres intérêts, il suffit de déclarer qu’il fait partie de l’Axe du mal. Comme se fut le cas pour l’Irak et de prétendre à une légitimité, pourtant absente. Ou encore de le déclarer terroriste comme c’est le cas pour le Hamas et Gaza qui Pour justifier l’embargo fut qualifie d’ « Entité hostile » par Israël. Quel être en possession de ses facultés mentales tuerait quelqu'un par le simple fait qu'il lui est hostile ? Israël l'à fait.  L’ « axe du mal »  permet aussi de discréditer, de dénigrer tous les États ou groupe de personnes qui mènent une politique contraire, en l’occurrence, aux  intérêts américains et israéliens, comme l’Iran, la Syrie, la Chine, la Russie, Venezuela…
En Iran comme en Syrie pour ne prendre que ces deux exemples : ses dirigeants sont diabolisées, dénigrés, discrédités au point qu’en occident les médias croient faire œuvre patriotisme en « tirant sur l’ambulance ».     De quel droit nous occidentaux qui concentrons la majeur partie de l’arsenal nucléaire mondial interdirions à un autre pays de se doter de l’arme nucléaire ? Arme que nous qualifions de dissuasive, dans ces conditions pourquoi elle serait dissuasive pour nous et nocive pour les autres ! Si nous étions des démocrates l’obstacle à franchir se présenterait autrement, mais en réalité comment agissons-nous ? Comme des flibustiers maraudant les matières premières de nations moins bien armés que nous. Comment dans ces conditions   reprocher à ces pays de vouloir accéder à l’arme dissuasive par excellence ?  Tout le monde, dit, civilisé, craint le président iranien, cet affreux personnage va dès qu’il aura réussi jeter la plus formidable bombe thermonucléaire équivalente 3850 fois la bombe d’Hiroshima sur chaque capitale occidentale. Vérité, Science-fiction ?  A moitie, en effet, Israël a quand à lui -sans être signataire du traité de non prolifération (TNP)-   un arsenal nucléaire de : au minimum, 50 mégatonnes l’équivalent de 3850 fois la bombe d’Hiroshima et ses ogives sont pointées sur les capitales Arabes. (Source ; Observatoire des armements)
Mais là, personne n’a peur ils ne seraient finalement que des Arabes !  Qui est le terroriste ? Mais là, personne ne s’inquiète ! Bizarre non ?  « C’est vrai qu’Israël n’est pas un pays raciste, respecte le Droit international, n’est pas dirigé par des va-t’en-guerre et respecte le peuple qui la accueilli, sans jamais au grand jamais tenté de le spolier, de le massacrer, de lui grignoter son territoire, ne tente de l’assassiner sous des prétextes aussi hideux : que celui de résister et ne tente pas des l’emmurer, de l’isoler, n’est pas responsable de massacres et enfin Israël ne peut être accusé de crimes de guerre ! ». De qui se moque-t-on ?

lundi 19 mars 2012

Fusillade à l'école juive Ozar-Hatorah


Par lefigaro.fr, Jean-Marc Leclerc  publié le 19/03/2012 à 09:06

L'école juive Ozar-Hatorah, dans le quartier résidentiel Bonnefoy à Toulouse.

Un homme a ouvert le feu ce matin sur un groupe de parents et d'enfants devant le collège juif Ozar Hatora. Un enfant serait grièvement blessé. La police indique que le tireur pourrait être celui qui a abattu trois militaires à Toulouse et à Montauban la semaine dernière.

Fusillade mortelle ce matin devant l'école juive Ozar-Hatorah, dans le quartier résidentiel Bonnefoy à Toulouse. Selon la police, un homme a tiré vers 8h10 sur un groupe de 4 à 5 personnes, en tuant au moins trois personnes: un professeur et ses deux enfants. Au moins un autre enfant est grièvement blessé.
Selon Patrick Rouimi, un des responsables des parents d'élèves, l'individu a ouvert le feu sur des gens qui attendaient à un point de ramassage scolaire informel.
Le tireur présumé a fui à bord d'un scooter noir, selon des témoins. La police indique que l'arme utilisée est un 11.43 , le même calibre utilisé par l'homme qui a tué des militaires la semaine dernière à Toulouse et à Montauban. La police pense qu'il pourrait s'agir du même tueur présumé. Il aurait également utilisé un 9 mm.
Le ministre de l'Intérieur Claude Guéant est attendu sur place en fin de matinée. La place Beauvau a par ailleurs demandé aux «préfectures de toute la France, particulièrement dans le Sud-Ouest, de renforcer la surveillance et la vigilance autour des lieux d'enseignement israélites».



Naturellement toute personne psychologiquement saine ne peut que condamner ces crimes, de tels actes, mais que Monsieur Prasquier (Président du C.R.I.F.) aille à Toulouse faire son prêche antijuif, est en soi, une injure aux victimes juives, mais aussi à tous les victimes quelque fusse le bras armé qui les a assassinées.  Il ne peut y avoir que les nains intellectuels, journalistes ou personnalités, pour croire à l'homélie de ce criminel par procuration. 
Medias qui ont pratiqué l'omerta, quasi totale, sur l'agression de l'armée israélienne à Gaza en particulier ou sur les victimes quotidiennes que fait le gouvernement israélien en Palestine et les colons juifs en Cisjordanie, ce sont des journalistes pour "moutons de  Panurge" incapables d'agir avec loyauté.
Je pense principalement à ce "journaliste" de la matinale de RMC faisant preuve de déférence envers M Prasquier qu'il a interviewé  par téléphone et a qui il voulait faire dire, a-tous-prix que c'étaient des crimes antisémites, a-t-il demande aux policiers qui s'occupent des assassinats  des militaires si s'étaient des crimes anti-musulmans ?

N'en déplaise à M Prasquier, de la même manière qu'il faut condamner les crimes racistes, ou les crimes contre les juifs, dits antisémites,  il faut condamner les crimes que commettent les juifs en Palestine et plus largement au Proche-Orient, a fortiori lorsque ces crimes touchent des enfants. Un enfant palestinien, ne vaut il pas un enfant juif ?
Il n'y a que le bavard extrémiste "zozoteur"  (plaidant à Jérusalem, autrement il crèverait de faim) pour croire, comme il l'a fait dans l'émission de Thierry Ardisson,   ou encore ces êtres mineurs, pour croire que l'assassinat d'un enfant juif est ^plus important que l'assassinat d'un enfant palestinien, ou encore qu'il y a une justice pour les juifs et une justice pour les autres.  De cette arrogance n'ait pourtant un principe simple :  se faire respecter par les autres, c'est aussi savoir les respecter. 
C'est peut-être là, le drame de ces juifs non-assimilables... 

La déférence il faut l'avoir pour les victimes, non pour les hâbleurs racistes.  

M Prasquier et le CRIF manifestaient (au moment où l'armé israélienne bombardait des civils avec des bombes au phosphore-blanc, des bombes à fragmentation radioactive..., toutes deux interdites par la 4e Convention de Genève) non en faveur des 10 victimes israéliennes, mais pour soutenir l'armée israélienne. Et je rappelle que l'agression israélienne à fait plus de 6 000 victimes dont 1350 morts et parmi eux des femmes, des vieillards mais surtout  450 enfant.
Tous ces criminels par procuration, M Prasquier en tête,  feraient mieux d'agir avec intelligence, plutôt que par idéologie, ou par antiracisme feint.  Et démontrer de la déférence à un criminel, fusse-t-il par procuration, signifie que l'on a la même immoralité que lui. 


Autre sujet de discutions, les militaires tués par, éventuellement, le même tueur ont fait le sujet des médias au moment des informations. La tuerie de l'école talmudique fait l'objet dans les  médias d'un sujet toutes les 10 minutes et où le caractère juif des victimes est sans cesse  rappelé et répété encore.   Il en aurait été de même si l'école avait été, par exemple, catholique ou les victimes musulmanes  ?  Non, non et non. Là, est peut être, un des aspects de la non intégration ethnique des juifs.  
Une école catholique où des enfants de toute confession y sont admis est appelle école privé y compris lorsqu'elle  possède une chapelle où ceux qui le veulent peuvent y aller prier. Pourquoi qu'une école dite juive devrait-elle s'appeler école juive ? Là, est peut être aussi, un des aspects de la non intégration ethnique des juifs.


La réalité du journaliste n’est pas de se mettre au service d’une idéologie, quelle qu’elle soit.   Il est nécessaire de reconnaître au moins deux concepts  journalistiques exactement contraires : les journalistes à l’éthique de légende, leur mission est une charge qui jamais ne se départit de la déontologie, à coté de ces « princes de l’info », les journalistes de Bazar, monnayant l’exercice de la profession, du prestige et privilèges que la fonction procure,  la déontologie est pour eux un sentiment abstrait, considérant leur métier en termes  de pouvoir, passe-droit, position sociétale que de la profession procure.  Ces journalistes de « Bazar » cherchent à faire passer leur idée plus que les tenants et aboutissants qui permettrait  au lecteur, au téléspectateur de se faire sa propre idée.

Je précise pour toutes les personnes mal intentionnées que je condamne sans aucune restriction cet attentat, c'est le traitement de l'information et les atavismes de cette intelligentsia nauséeuse, que je désavoue.



Ce matin mercredi 21 mars à 7h., RTL diffuse le reportage sur l'arrestation, probable, du tueur des trois enfants et un adulte de l'école toulousaine. Identifié d'après le é-mail de son frère, la police à pris d'assaut le quartier. L'arrestation devrait intervenir sous-peu.

Cela fait plus de dix ans que je dénonce les exactions des gouvernements israéliens et des colons juifs. Cela fait aussi dix ans qu'il me semble que cette politique légitime, aux yeux des djiadistes, les actes terroristes des membres, supposés ou réels, d'al-Qaida.

Par ailleurs, Catherine Ashton, Responsable de la Diplomatie Étrangère de l'Union Européenne y voit une corrélation.  Mais en France, les médias, les politiques s’égosillent à prétendre le contraire. Ils se perdent a nous apporter un argumentaire complexe et apocryphe qu'ils préfèrent à la réalité, pourtant les raisons du terrorisme dit islamiste prend son comburant dans les crimes que commettent les juifs immigrés en Palestine et notre protection a ces criminels ne se comprend que par des intérêts particuliers.   

Si la politique criminelle israélienne, légitime la résistance palestinienne elle n'autorise pas le terrorisme, comme celui que l'on vient de vivre à Toulouse. Il faut reconnaître, cependant, que l'acceptation de la politique hégémonique d'Israël par l'occident engendre, par solidarité, le terrorisme dit musulman.
Mais il faudrait encore être suffisamment intelligent pour l'admettre. 

Quant est-ce que cet Occident complice des crimes israéliens comprendra que ce conflit sème les graines d'actes dont leurs auteurs y prennent racine. Je parle bien évidemment  d'actes terroristes. A l'exclusion des actes de résistance palestinienne. En effet si l'on n'à pas la "vue" obstrué par le fanatisme sioniste toute résistance à l'occupant est légitime y compris lorsque des civils en sont les victimes. En Palestine il n'y à pas de juifs innocents.

Quand est-ce que l'on comprendra cela. 
Rendons la justice la vraie, pas celle des USA, pas celle de l'Europe, pas celle de la France, la vraie... 

Le droit pour les palestiniens de vivre en paix chez-eux.
Pourront rester en Palestine les juifs assimilables, ceux qui on respecté ou respecteront le Peuple qui les a accueilli. Et pour cela, c'est aux palestiniens de le dire, pas à M Prasquier ni a tous ces adorateurs faux culs à la cupidité débordante.

Cependant, deux interrogations se posent : 

  1. Pourquoi l'origine ethnique de ces français est toujours mise-en-avant. 
  2. Pourquoi le moindre fait-divers (je ne parle bien évidement pas de Toulouse) est considérée comme étant antisémite y compris lorsque l’enquête prouve le contraire ? 

De mon point de vue, deux facteurs se détachent : 

  • Répandre la peur de l'antisémitisme, qui profite au sionisme. 
  • Faire accepter les crimes que commet Israël.       
    

Mercredi 21 mars radio RMC, 10h30 les ... (débats d'intellectuels)  l'un d'entre eux affirme : "Que ces jeunes djiadistes enrôlés dans les groupes extrémistes  prospèrent a cause de la pauvrette, de l'ennui ! " Ils ont même donné la parole à un hurluberlu, qui lui savait que c'était forcement un extrémiste palestinien ou musulman. Mais en aucun cas n'a remis en cause la politique criminelle de ses coreligionnaires en Palestine. Il est vrai que la Palestine leur revient de droit, elle ne leur à pas été donné par Dieu ! Excusez du peu... 

Aucun des ces pseudo-intellectuels, ni les intervenants, n'a émis la possibilité  que le conflit israélo-palestinien crée un terreau favorable a cet enrôlement.
Heureusement que, au moins, l'un d'entre eux  a précisé que tous les extrémismes religieux engendrent ces fanatiques et a donné comme exemple : " les extrémistes religieux juifs  crachent  sur des enfants palestiniens  allant à l'école ou commettent aussi des actes criminels en Palestine ".
Je ne dirais qu'un mot bravo monsieur vous êtes au pied de la vérité...  



Tout ceci étant dit, sommes-nous capables de mener une vraie réflexion ?
Le terrorisme dit musulman trouve son comburant dans le conflit israélo/palestinien, même si un terrorisme mafieux aurait, sans doute,  existé. (enlèvements contre rançon, etc...)   Il faut cependant admettre la responsabilité occidentale dans ce conflit. Et la question qui se pose est : l'Occident peut-il avoir tord ? La réponse est : NON,   n'est-il  pas le mieux armé, ne fait-il valoir sa puissance militaire à chaque fois qu'il en a besoin ?  A tord ou a raison, d'ailleurs.  L'Occident n'utilise-t-il pas les instances internationales, soi-disant pour le bien du commerce, de la politique, de la finance, et il s'en sert surtout pour asservir les PEUPLES.

Pourtant la responsabilité de ce conflit, est sans l'ombre d'un doute, occidentale.
  • Le génocide des juifs par les nazis, qui a donné ses lettres de noblesse au sionisme et permis a ce dernier d'exécuter le plan de reconquête de la Palestine, mûrement réfléchi depuis 1896. Et dont la Shoah, que les sionistes voudraient comme un laisser-faire à ses crimes, est un argument qui tombe bien-a-propos et a culpabilisé les poltrons européens de cette époque, même si le sionisme avait prévu ses crimes dès 1896.
  • L’influence du Lobby juif aux USA qui amena ce pays a faire un chantage sur les pays du tiers monde pour qu'ils votent la résolution 181 du 29 novembre 1947 à l'ONU sur la partition de la Palestine.
  • La complicité de l'Occident avec les pourparlers de paix, entre israéliens et palestiniens, qui ne servent qu'a entériner la politique sioniste (criminelle) des gouvernements israéliens.
  • La poltronnerie des gouvernants européens d'aujourd'hui, qui n'osent s'opposer à Israël comme hier n'osèrent s'opposer à Hitler,  et permettent aux criminels sionistes de détruire les infrastructures palestiniens financées par la Communauté Européenne. Comme si le contribuable européens devait payer les turpitudes de ses dirigeants d'hier et d'aujourd'hui.
  • Les dirigeants européens ont manqué à tous leurs devoirs hier, ils manquent à tous leurs devoirs aujourd'hui.  Ce sont des êtres répugnants pour la plupart.
  • Je m'arrêté là, il me semble que cela suffit, il y aurait encore beaucoup a dire, mais nous savons tous qu'il a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre. Et quand je dis sourd... 



 Le grand Rabbin Schwartz prononça en 1936 à Strasbourg un sermon, à l’occasion de la fête de Roch Hachanah, retraçant les événements importants de l’année écoulée et rappelant les événements qui agitaient le monde et les attaques portées contre l’honneur des juifs expliquant en partie le resserrement des rangs et la nécessité d’une solidarité sans faille suite aux « lois de Nuremberg ».


Le 12 septembre 1940, les nazis ont détruit, puis rasé la somptueuse synagogue consistoriale du quai Kléber à Strasbourg. Ainsi fut jadis détruit par les Romains le temple de Jérusalem. Ainsi fut initiée la destruction du judaïsme européen.
Entre les deux guerres, des événements surprirent Consistoire et Communautés. L’antisémitisme et la misère favorisèrent l’immigration dans les années 20 des juifs de l’Est européen et à partir de 1933 ceux persécutés par Hitler. 

Le nouveau Consistoire tout en perpétuant la tradition, fut un Consistoire d’un style diffèrent. Il n’était question de se borner pour l’essentiel au culte, mais de se soucier avec intensité, de la culture juive, des écoles juives, de la solidarité avec Israël et les autres communautés juives en France et dans le monde, de la lutte pour les droits de l’homme et contre l’antisémitisme. Aussi de l’accueil et de l’intégration à partir de 1962 de nos frères sépharades d’Afrique du Nord.


(« -il est évidement que l’on ne peut que être d’accord avec ce témoignage.
- Cependant où finit la solidarité et où commence la complicité ? - La "solidarité" dont la "Diaspora" juive fait preuve à l’égard d’Israël est-elle de la solidarité ou de la complicité ? Le Consistoire devrait nous dire ou finit la solidarité et ou commence la complicité.
- La Palestine n’est que souffrance depuis que Théodore Herzl, fondateur du sionisme a  crée  l’organisation sioniste mondiale à l’issue du congrès de Bale en 1897. »)


(« Une solidarité sans faille est nécessaire, néanmoins cette solidarité doit-elle se transformer en complicité ou encore en un fonctionnement népotique ? Est-on en droit de se demander si, ce ne serait justement ce fonctionnement qui engendrerait l’animosité envers la communauté juive ? ») 


Bien entendu, les médias s'acharnent sur le caractère "salafiste" qu'ils déclinent à toutes les sauces. Néanmoins la question reste posée.  Y aurait-il eu l’extrémisme, le terrorisme salafiste, si le conflit israélo/palestinien n'avait pas attisé les haines ? 
Il faudrait que tous ces "intélos" pour moutons se posent la question de savoir si le salafisme aurait prône la guerre sainte, sans ce conflit ? 


Toute cette intelligentsia hypocrite échafaude toutes les hypothèses enfantant le terrorisme musulman, toutes sauf une, celle où le terroriste déclarait avoir agi pour venger les enfants palestiniens. La seule hypothèse qui n'a pas été retenue par ces "intelos", est justement celle dont l'assassin, lui même, y a fait référence. Bizarre, non ?
L'hypocrisie des dirigeants occidentaux n'a pas de limite. Ils condamnent le terrorisme dit musulman (islamiste) mais, non seulement soutiennent le terrorisme d'Etat israélien, mais encore l'absolvent. L'impunité dont bénéficie Israël, ne va pas de soi, ce n'est pas quelque chose de naturel. Dan ces conditions comment pouvons-nous admettre que le terroriste d'Etat reste impuni ?

Le fondement de la guerre de religion que veut mener le "salafisme" est bien parce qu'il y a une religion qui malmené des musulmans. Le soutient occidental aux crimes que commet Israël ne s'explique que par le caractère  poltron de nos dirigeants qui par carriérisme et surement pas cupidité, accordent  l'impunité à une bande de révolutionnaires revanchards, aujourd'hui désuets mais surtout criminels.  

La politique occidentale me fait penser à ces médecins qui soignent le cancer avec de l'aspirine.  Dans le conflit israélo/palestinien on préserve le mal et l'on pose des bout de sparadrap ça et là, mais en aucun cas une thérapie adéquate est mise en place.




190 enfants palestiniens souffrent dans les geôles de l’occupant israélien
[ 05/04/2012 - 11:47 ]


Le Bureau de la statistique au ministère des prisonniers allié à l'Autorité palestinienne a affirmé que les autorités d'occupation détiennent encore près de 190 enfants palestiniens, dans des circonstances telles que celles dans lesquelles les prisonniers adultes sont détenus, en termes de lieux d’incarcération, la cruauté et le traitement inhumain, la mauvaise nutrition et la négligence médicale ».
Dans un rapport publié par le bureau, le jeudi 5/4, à l'occasion de la "Journée de l'enfant palestinien", qui marque le 5 Avril de chaque année, a souligné que les autorités d'occupation "n'ont pas exclus un tel jour les enfants des campagnes d'arrestations, individuelles ou collectives, aléatoires ou Organisées, où elles ont détenue plusieurs dizaines de milliers depuis 1967, alors qu’elles ont kidnappé lors de l’Intifada d’el-Aqsa, depuis le 28 Septembre 2000 à aujourd'hui, plus de 9000 enfants qui sont sous dix-huit ans, sur 75 000 opérations d’ arrestations de Palestiniens dans leur ensemble au cours de la même période ».
 « Des centaines de prisonniers qui avaient été arrêtés comme des enfants et ont dépassé l’âge de l'enfance - et sont encore - dans les prisons sionistes », a souligné le ministère dans son rapport.
Il a souligné que « les enfants «sont soumis à la torture et de la pression et de chantage lors de l'enquête avec eux, les mains enchaînés et les yeux bandés, abusé roué de coups, soumis à des chocs électriques, contraints de rester debout nu ou presque nus dans le froid et le chaud, où ils sont privés de leur droit à l'éducation et de poursuivre leur éducation de base et d'achever de leur chemin de l'étude, ce qui affecte négativement leur avenir ».
Le rapport a attiré l’attention que les enfants palestiniens sont soumis à divers types de tortures, physique ou psychologique, et de mesures et mécanismes inhumains pour extorquer des aveux par la force et sous la pression et la contrainte, tout en soulignant que les tribunaux leur imposent des longues peines atteignant certains fois l’emprisonnement à la perpétuité pour une ou plusieurs fois. "

Ceci se passe de commentaires et si cela ne peut excuser la tuerie de Toulouse, cet état de faits permet de comprendre pourquoi. Il n'y a que les nains intellectuels ou le fanatisme des illuminés, comme on a pu le constater dans la quasi totalité des débats concernés, pour prétendre que ce que font les juifs en Palestine, c'est bien, et que la résistance palestinienne ou le terrorisme dit musulman que ce conflit engendre, c'est mal.