L'Honteuse réalité du nommé «Droit au
retour» des juif en Palestine
Ce
"post" (un peu long cependant,
mais qui en vaut la peine) éclaire le conflit israélo/palestinien sous un
aspect nouveau. Et infirme toutes les allégations
avancées jusqu'ici par le sionisme, mais aussi par les autorités religieuses qui
: lors de l'Assemblée
des rabbins de France en 1936 prit
la résolution de favoriser l'immigration des Juifs en Palestine. Le Consistoire
ne pouvait pas ignorer les mensonges et manipulations dont le sionisme devait
se prévaloir pour tromper les instances et populations internationales. Les
autorités religieuses et les organisations pro sionistes avec les autorités
israéliennes sont responsables des crimes commis en Palestine. Il faudra un
jour se souvenir de cela.
Il
nous éclaire, aussi, sur le caractère intrigant, cupide, manipulateur,
belliqueux, de ce contingent qu'abrite la religion israélite à l'origine, n'en
doutons pas, de leur historiographie mouvementée.
Il
démontre aussi, la connivence internationale avec le sionisme et la
responsabilité de l'Occident dans le colonialisme Juifs de la Palestine. Installation
en Palestine, qui aurait pu être acceptable, si le projet sioniste avait inclus
le peuple originel de Palestine au lieu qu'il se réalise en le spoliant de sa
terre, de ses biens, avec, comble de la duplicité, des arguments mythologiques
(et avouons-le: sonnants et trébuchants) pour convaincre nos dirigeants
politiques et économiques remarquables par leur cupidité, pire encore par leur
illumination communautariste.
Et pour se rendre compte de la nocivité du sionisme lisez :
Et pour se rendre compte de la nocivité du sionisme lisez :
02-04-2014
Une des erreurs les plus scandaleuses de l’idéologie et de la
propagande sioniste est celle qui affirme l'existence d'un «peuple juif» qui aurait le droit de l'Alia, ou "retour"
en Palestine (Israël pour le sionisme) d'où ce prétendu
peuple, aussi selon le sionisme,
a été expulsé depuis plus de 20 siècles.
Rien dans l'histoire documentée et universitaire atteste de l'existence d'un tel peuple ni de son droit au
retour nulle part, et moins encore en Palestine, terre dont ce peuple imaginaire, selon ses propres mythologies et ses propres
textes sacrés, avait posé le pied sur la terre de Palestine en
tant qu'envahisseur, occupant étranger et
usurpateur, et qui
a toujours été en guerre avec la population autochtone palestinienne qui existait ici qui
possédait une grande civilisation et
villes fortifiées depuis 7000 ans
avant l'arrivée des Juifs en 1240 avants J.C.
En ce moment il y a lieu la stagnante et à point d'exploser
en mille morceaux l'actuelle et démentielle ronde de négociations entre
l'Autorité palestinienne et Israël, qui devrait prendre fin d'ici un mois. Ni
l'insistante intervention personnelle de Brarak Obama ni les marathoniens et incessants
voyages au Moyen-Orient de son secrétaire d'État, John Kerry, n'ont servi à sauver
ces négociations. La cause de cet irrémédiable échec -comme l'échec de ces
négociations tout au long de ces 20 ans de sessions et rencontres surréalistes
depuis les accords d'Oslo- est, entre autres choses, l'insistance d'Israël sur
la nécessité pour les Palestiniens de reconnaître Israël comme « Etat
exclusivement juif » et en même temps, que les refugiés palestiniens abandonnent
le droit au retour sur leurs terres et maisons en Palestine, d'où ils ont été
expulsés en 1948 par la violence, au bout des fusils mitrailleurs et au travers
de nombreux massacres commis alors par le nouvellement implanté Etat d'Israël. Ces
deux exigences israéliennes et d'autres non moins insultantes (comme la perte du contrôle de l'espace
aérien, du sous-sol et des frontières extérieures du futur Etat palestinien
sous domination israélienne) rendent impossible tout accord entre les palestiniens
occupés et les occupants israéliens.
Cela
parait, pour un être normalement constitué (non
fanatisé) une évidence. Ce sont les principaux écueils, que pourtant
l'Occident, les USA et l'Europe cautionnent et ont cautionné. Ces démocrates
d'opérette ont, non seulement cautionné, mais ont aussi avalisé les crimes que
ces exigences engendrent. Je n'oublie pas la France, pays où réside la plus
grande communauté israélite d'Europe et qui pour parvenir à "masquer"
ces crimes, doit répandre la pensée unique* (il
n'y a pas un débat, où la présence de sionistes fait défaut) ; museler les medias (lorsqu'ils ne sont pas à sa solde) ; corrompre nos dirigeants politiques ou
rappeler leur "devoir communautariste" ; manipuler les populations.
*L'intelligentsia
sioniste intrigante à souhaits (dont il est
inutile de citer ici, certains ouvertement, d'autres plus pernicieusement) répand sans vergogne des mensonges et vérités
tronquées, basées sur une sémantique perfide et hypocrite.
Le président du gouvernement
israélien, Benjamin Netanyahu, a
insisté récemment sur la
nécessité pour la communauté
internationale de reconnaître l'exclusivité de l'identité de l'Etat juif d'Israël. Le président des Etats-Unis, Barack Obama, dans un
discours à Jérusalem-Ouest, le 21 Mars 2013, devant
la jeunesse israélienne, a exigeait des Palestiniens
qu'ils reconnaissent Israël comme un
Etat juif. Honteux de la part d'Obama
et Washington, mais
normal et routinier
si l'on considère que le sionisme
est le maître de la Maison Blanche
et de ceux qui l'habitent. La chose ahurissante
dans tout cela, c'est que ni l'Administration
américaine ni aucune autre puissance
ou pays occidental n'ont jamais officiellement reconnu Israël en tant qu'Etat juif exclusif.
Cette illusoire et diamétralement irrationnelle posture d'Israël
signifierait que le sionisme, qui est la seule force qui domine en réalité en
Israël, veut s'arroger le droit incontestable d'importer en Palestine des envahisseurs en provenance de partout
dans le monde sous le prétexte stupide qu'ils sont Juifs. Américains, Russes, Polonais,
Allemands, Argentins, Marocain, Chinois, Ethiopiens, etc. Sont venus et continuent
d'arriver en Palestine occupée et sont dotés de tous les droits de la
citoyenneté israélienne immédiatement, sous le faux et simple prétexte qu'ils
sont les descendants de juifs qui vivaient en Palestine il-y-a plus de deux
mille ans. Dans le même temps, la mentalité sioniste, criminelle (quelque soit l'axe historique de la vision)
consiste déposséder et spolier les Palestiniens, expulsés par le propre Etat
d'Israël qui n'a que 65 ans d'existence, et qui refuse le droit au retour, sur
leurs terres et maisons, d'où ils et leurs ancêtres ont vécu plus de 10.000
ans. Comment pouvez-vous négocier avec ceux qui ont une mentalité et
l'idéologie si malpropre, inhumaine et raciste comme est le sionisme ? (La résolution
3379 de l'Assemblée générale des Nations Unies a adoptée le 10 Novembre 1975,
assimilé le sionisme au racisme en général et avec l'apartheid sud-africain en
particulier, et a appelé à son élimination, appréhendée comme une forme de
discrimination raciale). La communauté internationale ne reconnaît pas Israël comme
Etat juif, parce que cela conduirait inévitablement à l'expulsion du pays d'un
million et demi de Palestiniens qui sont musulmans et chrétiens. C'est à dire un
nouveau nettoyage ethnique comme en 1948. Outre conduirait à l'expulsion des
Palestiniens de Jérusalem-Est, occupé par Israël a annexé unilatéralement à l'état
raciste depuis 1984, sans que l'annexion ait été reconnue par aucun pays.
Retour du «Peuple juif» en Palestine?
Mais concentrons-nous ici sur le caractère fallacieux du sionisme dont nous avons parlé au début: Un prétendu
«peuple juif» qui retournerait à «leur patrie» que
Dieu lui-même leur en a attribué la propriété. (Excusez du peu) Existe-t-il,
un tel peuple juif ? Voyons.
Dans mon dernier article, sous le titre de "Jérusalem, la ville sainte de l'Islam et le Christianisme -La
mystification de l'Histoire Juive de la Ville", je pense l'avoir démontré au travers de nombreuses sources
juives que, rien dans Jérusalem
ni dans tout le territoire palestinien
présente un seul indice fiable et documenté de
la présence de vestiges archéologiques
Juifs en Palestine. Je ne nie pas que les Juifs aient été en Palestine vers 1240 avants J.C.,
mais toujours sous leur condition d'envahisseurs et occupants étrangers qui, selon leurs propres textes
sacrés, sont venus à cette époque
à une terre, Canaan (Palestine) qui avait alors une civilisation depuis longtemps et profondément enracinée depuis plus 7000 ans. Tout
au long de leur séjour en
Palestine, les Juifs étaient en
guerre avec les peuples autochtones palestiniens luttant pour expulser les hébreux étrangers.
L'hebdomadaire français, Le Monde Diplomatique,
dans son numéro du 16 Août 2008 faisait une très
intéressante exposition du livre
de Shlomo Sand, professeur
d'histoire à l'Université israélienne de Tel Aviv, intitulée "L'invention
du peuple juif".
"D'où vient cette interprétation de l'histoire juive
? ", se demande l'auteur de l'exposition précité sur cette histoire juive
imaginaire, fantaisiste et méticuleusement enchaînée du peuple juif initiée
avec Abraham et se termine avec le « retour des Juifs " en Palestine.
«C'est l'œuvre, poursuit l'auteur, depuis la seconde moitié du XIXe siècle, de talentueux
reconstructeurs du passé, dont l'imagination fertile inventa, sur la base de
fragments de mémoire religieuse, juive et chrétienne, un enchainement généalogique
continu pour le peuple juif. En synthèse, en soixante ans (d'existence
d'Israël) l'histoire nationale a mûri très peu, et certainement évoluera très
peu à court terme. Pourtant, les faits mis à jour par les développements de la
recherche posent a priori, à tout historien honnête, des questions étonnantes
qui sont néanmoins fondamentales. Pouvons-nous considérer la Bible comme un
livre d'histoire ? Les premiers historiens juifs modernes, comme Isaak Marcus
Jost et Leopold Zunz, dans la première moitié du XIXe siècle, ne la considèrent
ainsi : à leurs yeux, l'Ancien Testament se présente comme un livre de
théologie constitutif des communautés religieuses juives après la destruction
du Premier Temple".
Ils nient aussi que la Torah et l'Ancien
Testament soient des sources historiques
un minimum fiables pour les historiens
juifs de nos jours de la
dimension d'Isaac Asimov ("terre de
Canaan», Alianza Editorial), Raphael
Patai (auteur avec Robert
Graves de "Les Mythes hébreux" Alianza Editorial), archéologues américains comme Neal Asher Silberman et israéliens
comme Israël Finkelstein
(Finkelstein et Silberman sont co-auteurs
de "la Bible dévoilée:
Nouvelle vision archéologique
de l'Israël antique et l'origine de ses textes sacrés" Siglo XXI Editions), Shlomo
Sand (L'Invention du peuple
juif - Éditorial Akal), etc. En plus d'une multitude
d'historiens et de chercheurs
occidentaux non-juifs qui nient
également toute valeur historique
ou universitaire de la Torah et de l'Ancien
Testament.
"Dans les années 80 la terre tremble, secoué par ces
mythes fondateurs. Les découvertes de la nouvelle archéologie contredisent la
possibilité d'un grand exode au XIIIe siècle avant notre ère. De même, Moïse
n'a pas pu libérer les Hébreux d'Egypte et les conduire à la «terre promise»
pour la simple raison qu'à ce moment-là "la terre promise" était sous domination Egyptienne. En plus, aucune
trace d'une révolte d'esclaves est considéré sous le règne des pharaons, ni d'aucune
conquête rapide du pays de Canaan par des éléments étrangers. Il n'existe pas
non plus aucun signe ou souvenir du somptueux royaume de David et de Salomon. Les
découvertes de la décade écoulée montrent l'existence, à cette époque, de deux
petits royaumes: Israël, le plus puissant, et de Judée. Les habitants de cette
dernière non pas souffert, non plus, l'exil
au VIe siècle avants notre ère. Seules ses élites politiques et intellectuelles
durent s'installer à Babylone. De cette rencontre décisive avec les cultes
perses naquit le monothéisme juif. Quant à l'exil des années 70 de notre ère, c'est-il
réellement produit ? Paradoxalement, cet «événement fondateur» dans l'histoire
des Juifs, qui est à l'origine de la "diaspora", n'a pas conduit à
moindre travail de recherche. Et pour une raison très prosaïque : les Romains
n'ont jamais expulsés aucun peuple de la région de Méditerranée orientale » (Source
: L'Invention du peuple juif, Shlomo Sand)..
Selon Moshe Machover, mathématicien, philosophe et écrivain israélien nationalisé
britannique, l'idée d'un peuple juif est "une
fausse idée promue par l'idéologie sioniste: le mythe que les Juifs à travers le monde sont une nation ancienne, exilé par la force de leur ancienne
patrie, la terre d'Israël".
Ce que je crois, contrairement à ce
qu'affirment certains juifs, plus ou moins fanatisées ou tout simplement
illuminés, qui avancent que l'installation des Juifs en Palestine est un droit
que la de la Shoah leur accorde.
La création du sionisme par Theodore
Herzl date de 1897. La Shoah, je le rappelle eut lieu entre 1939 et 1945.
Il ne s'agit donc pas de faire
l'apologie du nazisme, mais d'admettre la possibilité que le Génocide des Juifs
par les nazis, ait pu être généré par la création d'une idéologie concurrente
avec le même idéal sectaire.
Trop de juifs ignorent leur propre
histoire réelle, pour s'approprier fanatiquement d'une la réalité biblique
romancée...C'est le caractère intrigant et cupide de la secte sioniste que la
communauté abrite qui, s'y adossant réclame les privilégies qui, d'après eux,
leurs sont dus. La religion n'est pas l'histoire, les mythes doivent rester des
mythes... Qui aurait l'idée de confondre les mythes grecs ou romains avec
l'histoire ? Le Consistoire israélite l'à pourtant fait ! Y compris si la
sémantique employée est plus absconse.
Dans un article intitulé «Mythes
sionistes: hébreux ou juifs ?», publié par
sinpermiso.info,
le 7 Juin 2013,
Machover souligne que «la totalité des Juifs ne constituent pas
une nation au sens moderne du terme,
ni ont été une nation au sens contemporain depuis plus de 2000 ans". Machover est
l'auteur conjointement au socialiste israélien émigré au
Royaume-Uni, Akiva Orr, Paz, Paz cuando no hay Paz (Paix, Paix quant il n'y a pas de paix) qui est une œuvre
contraire du projet sioniste d'un Etat
juif. (Publié en Israël
en hébreu en 1961, réimprimé en 1999 par
les éditions Israël Bokhan
et publié en
anglais au Canada, en 2009).
Celle-ci et d'autres autorités académiques, israéliennes, juives non sionistes, traitent
en réalité de démontrer le faux concept inventé et promu par
l'idéologie sioniste, qui est le plus
raciste qui n'aie jamais d'existé dans notre monde, essentiellement basée sur le mythe que les Juifs qui
existent aujourd'hui dans le monde sont une nation ancienne unique, qui depuis 2000
années a été exilé par la force
de son ancienne «patrie», la terre d'"Israël", à
laquelle "ils sont revenus", merci au projet sioniste.
Qui est Juif ?
Le Monde Diplomatique résume le quatrième chapitre de "L'invention
des Juifs" de Shlomo Sand, résumée duquel nous extrayons les deux textes suivants, entre-guillemets pour une valeur maximale au moment d'éclaircir que l'immense majorité du
peuple juif actuel et les peuples juifs postérieurs à l'an 70 (destruction
de Jérusalem et du second Temple juif
par le romain Titus), n'ont rien à voir avec les
origines sémites ou abrahamiques,
ni hébraïques, comprenant dans ce dernier terme le groupe d'envahisseurs
de Canaan qui traversèrent le Jourdain
sous le commandement de Josué (ou Joshua),
après la mort de Moïse, comme rapporté par la
Torah (Torah ou Pentateuque) et l'Ancien
Testament, mais en soulignant que
de nombreux historiens et archéologues
juifs et non-juifs du XXe siècle et jusqu'à présent, comme
nous l'avons vu ici, rejettent la fait que Tito ait expulsé de
Palestine aucun groupe de ses habitants:
"A défaut d'exil de la Palestine romanisée, d'où
viennent les nombreux Juifs qui peuplent la Méditerranée depuis l'Antiquité ?
Derrière le rideau d'une historiographie nationale se cache une surprenante
réalité historique. De la révolte des Maccabées, au IIe siècle avants notre
ère, à la révolte de Bar Kochba au IIe
siècle après J.C., le judaïsme fut la première religion qui pratiqua le
prosélytisme. Les Hasmonéens avaient converti
de force les Iduméens du sud de la
Judée et les Ituraeans de Galilée, annexées
au "peuple d'Israël". Partant de ce royaume judeohelenista, le
judaïsme se propagea à travers le Moyen-Orient et la Méditerranée. Pendant le
premier siècle de notre ère surgit, dans le Kurdistan actuel du royaume juif d'Adiabeno qui, en dehors de la Judée, n'à
pas été la dernier royaume à se "judaïser": d'autres l'on fait plus
tard. Les écrits de Flavio Josèphe ne sont pas le seul témoignage de
l'ardeur du prosélytisme juif. La Mishna et le Talmud autorisent cette pratique
de la conversion. La victoire de la religion de Jésus, au début du IVe siècle, n'a
pas mis fin à l'expansion du judaïsme, mais l'à poussé a la marge du monde
culturel chrétien. Au Ve siècle est apparue, dans le territoire actuel du
Yémen, un royaume juif vigoureux sous le nom de Himyar, dont les descendants ont conservé leur foi après la
victoire de l'islam et jusqu'aux temps modernes. De même, les chroniqueurs
arabes rendent compte de cette existence, au VIIe siècle, des tribus berbères
judaïsés : face à l'avancée arabe, qui atteignit l'Afrique du Nord à la fin du même
siècle, apparait la figure légendaire de la reine juive Dihyael Kahina, qui intenta de les arrêter". (Sand)
"La conversion de
masse la plus significative a eu lieu
entre la mer Noire et la mer
Caspienne: que comprend l'immense
royaume khazar au huitième siècle. L'expansion
du judaïsme du Caucase à l'Ukraine actuelle a
engendra de multiples communautés, que les invasions mongoles du
XIIIe siècle ont rejeté en grande
partie vers l'Europe orientale. Là,
avec les Juifs des régions slaves du sud et les territoires actuels
allemands, a jeté les bases de la grande culture yiddish.
Ces récits des origines
multiples des Juifs figurant, de
manière plus ou moins précise, dans l'historiographie sioniste jusqu'aux années 60: progressivement l'Iran mis à l'écart avant de disparaître complètement de la mémoire publique en Israël".
(Sand)
Cela signifie simplement, que depuis
l'apparition du judaïsme,
n'importe qui, de n'importe quelle race, pourrait, et peut
aujourd'hui, être converti à cette religion.
De plus, si nous prenons ces juifs qui croient dans les prophéties et les mythes abondants qui peuplent les pages de la Torah et de l'Ancien Testament, beaucoup d'entre eux nient fermement que Dieu (Jéhovah, Yahvé ou Yahweh) ait promis aux Juifs le retour en Palestine dans notre temps, mais c'est toujours référé, comme dans Jérémie 29:10-13, 31:5-25 et 30:1-3 au retour des Juifs à Jérusalem depuis Babylone où ils ont été amenés en 587 avant JC par Nabuchodonosor II. Comme le disent également ces Juifs négationnistes de l'Etat d'Israël que Yahvé n'a jamais dit un mot au sujet de la reconstruction au Jérusalem d'aujourd'hui d'aucun temple juif, mais qu'il se referait à la reconstruction du Second Temple après le retour des Juif en Babylone, et ainsi de cela a été. (Jérémie 30:18)
De plus, si nous prenons ces juifs qui croient dans les prophéties et les mythes abondants qui peuplent les pages de la Torah et de l'Ancien Testament, beaucoup d'entre eux nient fermement que Dieu (Jéhovah, Yahvé ou Yahweh) ait promis aux Juifs le retour en Palestine dans notre temps, mais c'est toujours référé, comme dans Jérémie 29:10-13, 31:5-25 et 30:1-3 au retour des Juifs à Jérusalem depuis Babylone où ils ont été amenés en 587 avant JC par Nabuchodonosor II. Comme le disent également ces Juifs négationnistes de l'Etat d'Israël que Yahvé n'a jamais dit un mot au sujet de la reconstruction au Jérusalem d'aujourd'hui d'aucun temple juif, mais qu'il se referait à la reconstruction du Second Temple après le retour des Juif en Babylone, et ainsi de cela a été. (Jérémie 30:18)
Dans cette même ligne de nombreux théologiens chrétiens
expliquent les textes de la Bible marqués, comme c'est le cas de l'Institut de Théologie
de la Lagune, au Mexique, que le 24 Novembre 2009, a publié sur son site Web un
texte long et détaillé, en ce sens, en disant Par exemple: « Dieu a restauré les
Juifs de Babylone, comme Ezéchiel et d'autres l'ont prophétisé, et ainsi, ces
promesses ont été accomplies comme Dieu l'avait dit. Nous ne devons donc pas,
chercher un temps encore futur où Dieu va restaurer les Juifs à leur patrie. Il
a accompli toutes ces promesses à l'époque de l'Ancien Testament et il ne lui
reste aucune obligation de donner aux Juifs une patrie. Cette idée requiert que
l'on sorte de ces passages ce qui n'a jamais été présent. Le fait qu'une partie
des ces terres appartenaient anciennement a des Juifs, et qu'aujourd'hui leur
soient données n'est pas, en aucune façon, un accomplissement de la prophétie.
Dieu n'a rien dit sur le fait d'aller ou ne pas aller à leur ancienne terre".
Notez que dans ces textes les éditeurs se réfèrent à la Palestine dans
l'antiquité comme "leur ancienne patrie" et autres expressions
similaires, alors qu'en réalité, cela n'a jamais été, et, en plus, quand ils
étaient là jamais ils n'ont été les seul, mais conjointement avec les peuples
autochtones de Canaan, qui luttaient sans cesse contre les envahisseurs Hébreux. Qui tourne les pages de l'Ancien Testament (en particulier pour Les
quatre derniers livres du Pentateuque) se rend compte rapidement du nombre de massacres
et destructions menées par les Hébreux dans le pays de Canaan et dans les rangs
du peuple qui, encore une fois, avait atteint un haut niveau de civilisation au
long de ses 7000 années antérieurs à 1240 JC date du début de l'invasion hébreux
de la Palestine.
Quoi qu'il en soit, les Juifs d'aujourd'hui
n'ont aucun droit sur la Palestine.
Comme on le voit, il est plus que prouvé, documenté
et académiquement soutenu le fait que les Juifs d'aujourd'hui n'ont pas le droit de posséder le territoire palestinien et encore moins a s'y implanter sans
par des moyens militaires, l'Etat
d'Israël. C'est à dire, sans
donner la moindre importance à
la véracité du contenu de la Torah et de l'Ancien
Testament, aucun Juifs non palestinien
a le droit de s'installer
en Palestine, s'appropriant des prétextes
et allégations sionistes concernant de simples hallucinations qui n'ont aucune valeur ni
pour les Palestiniens, ni pour aucun autre peuple Arabes ou Islamique, et encore moins pour la Communauté Internationale dont la posture a été exposée de manière transparente au regard de la loi
internationale, comme nous le verrons plus en avant.
Le sionisme et Israël ont une logique
et une politique abusive
sans illimites pratiquée régulièrement devant la communauté
internationale, violant largement la légalité
internationale. Cela n'est rendu possible que grâce au soutien illimité de Washington, sans laquelle Israël ne compterait dans
ce monde ni pour une pelure d'oignon, et aurait dure le temps
d'un bonbon dans un
jardin d'enfants. Cette logique et
cette politique sioniste a conduit à une législation israélienne raciste, qui permet à tout Juif partout dans le monde de "retourner" et immédiatement obtenir la citoyenneté israélienne. Toute personne ayant au moins un grand-parent juif et
qui n'ait pas changé de religion obtient
la citoyenneté israélienne par la loi et
avec peu de paperasse.
C'est-a-dire, tout résident
de Buenos Aires peut
se convertir au judaïsme un mardi
et "retourner" le jeudi suivant à Israël
pour revendiquer des droits en Palestine
par des hypothétiques et éloignées «ancêtres» de Canaan
et commencer, une fois installé sur
une colonie juive aux alentours de la ville occupée de Naplouse, par exemple, pour tuer des
Palestiniens en toute impunité. C'est
exactement ainsi d'absurde, surréaliste et criminel, sans aucune exagération, même si c'est difficile à croire. Sinon, demandez a ces auteurs
israéliens, nommés Grossman, Wiesel, etc.
tant pleurnicheurs en rejetant le droit
au retour des Palestiniens et de
défendre celui des Juifs, si un
seul de ses ancêtres d'avants le XXe siècle a posé le pied une seule
fois sur la terre de Palestine.
Toutefois, bien sûr qu'il y a des juifs véritablement
palestiniens, comme il y en a dans tout le monde arabe. Les juifs de Palestine
ont toujours été, et sont encore, en Palestine ou dans les pays environnants. Des
juifs palestiniens il y en a toujours eu et sont comme le reste des palestiniens
musulmans et chrétiens. Enfant, j'ai connu de près les Juifs Samaritains (palestiniens)
du mont Garizim à Naplouse (Cisjordanie), avant que la zone ait été occupée par
Israël en 1967. Depuis toujours ont été là, palestiniens comme les autres,
personne ne les a maltraité le long des nombreux siècles. Le 19 Octobre 2013,
l'agence d'information britannique, Reuters, a publié une dépêche datée
précisément du jour de la célébration sur le mont Garizim, de la minorité
juive des Samaritains des fêtes Sukkot
(Tabernacles) commémoration de la traversée du désert par les juifs guidés par
Moïse après la sortie d'Egypte. Dans cette dépêche, le Grand Rabbin de Samaritains,
Wasef Abdallah a déclaré à Reuters que ces fêtes "sont la commémoration de la sortie de Moïse d'Egypte, avec 70 personnes".
Soulignant 70 personnes seulement. Le rabbin Wasef a poursuivi disant: «Nous, de la communauté samaritaine nous ne nous
voyons pas comme une minorité dans la société palestinienne, parce que nous
faisons partie du peuple palestinien. C'est vrai que nous sommes une petite
communauté, mais nous faisons partie de ce peuple».
D'autres juifs se sentent
également palestiniens et arborent le drapeau de la
Palestine, fait jalousement occultée par les propagandistes d'Israël.
Dans ce contexte, il convient de noter le
cas de la secte juive, Neturei Karta
fondée en Palestine en 1938.
"Le nom de Neturei
Karta a été donné
à un groupe de Juifs orthodoxes
à Jérusalem qui a refusé, et refusent toujours de
reconnaître l'existence ou de
l'autorité de l'«Etat d'Israël» et a fait, et
le fait encore, un principe de démontrer publiquement
leur position, la position de la
Torah et du judaïsme authentique
et sans altération». (Source: le
portail Neturei Karta
internationale http://www.nkusa.org).
Les membres fondateurs de cette
communauté étaient les descendants de juifs hongrois installés à Jérusalem au début du XIXe siècle. Il n'existe pas
de chiffres fiables sur le nombre de membres à l'heure
actuelle, mais plusieurs sources
israéliennes affirment qu'ils sont plusieurs milliers de Juifs. Dans une manifestation d'orthodoxes religieux juifs, récemment organisé par
Neturei Karta contre
le consulat israélien à Montréal (Canada), le porte-parole des
manifestants qualifie l'état d'Israël comme «une terrible
tragédie pour l'humanité et un crime
contre la sainte Torah du Judaïsme
Pourquoi émigrent
les Juifs en Palestine ?
Concernant les Juifs occidentaux,
qui les a empêchés de «retourner» en Palestine au cours des vingt derniers siècles ? Que répondent à cette question ? Qui les a empêché de
«retourner» en Palestine depuis quelle
est passé arabe au temps du calife Omar Ben
Al-Khattab, il ya 14 siècles ?
Il est bien connu que les gouvernements musulmans successifs,
tant au Moyen-Orient qu'ailleurs dans le
monde, y compris l'Espagne de Al
Andalus -qui est le
meilleur témoin- les Juifs ont toujours
bénéficié d'un excellent traitement leur permettant
d'atteindre de positions officielles
élevés. Et quand les
Juifs d'Europe ont souffert la
persécution, par exemple en Espagne, ont fui vers
les pays musulmans comme le Maroc,
la Turquie, la Tunisie, l'Egypte,
etc. où ils sont devenus
des citoyens bénéficiant de la protection des califes ou des dirigeants du moment. Il est donc clair que les Juifs européens et
américains ne se s'ont jamais senti descendants de ces Juifs sémites et que Jérusalem
était pour eux, et l'est encore pour des millions de Juifs qui continuent à
refuser de s'installer en Israël, un lieu de pèlerinage et de spiritualité,
rien de plus. Mais avec l'émergence du mouvement sioniste à la fin du XIXe
siècle, leur a pris a certains Juifs occidentaux la "fièvre du retour" identique à ce que fut la "ruée vers l'or" qui un jour a
secoué les colons du Far West. La plupart des Juifs adoptant l'idéologie
sioniste et immigrant en Israël étaient des Juifs subissant une persécution
politique ou sociale à travers des
situations extrêmes de pauvreté ou la persécution politique sociale, ou pour
des situations d''extrême pauvreté dans leurs pays respectifs. Le sionisme leur
promettait, dans la fallacieuse de la "terre promise" de l'argent,
des maisons, des terres et des conditions de vie raisonnablement confortables,
toujours grâce à l'afflux de l'argent européen et américain qui inondait les
adeptes du mouvement sioniste depuis le début et a continué inondant Israël
jusqu'à ce jour. L'argent avait, et a encore, trois sources inépuisables : les
fonds publics des États-Unis, les fonds publics européens, en particulier de
l'Allemagne et les dons des grands gangsters juifs américains comme Meyer
Lansky, et les grandes familles juives multimillionnaires juives d'Occident,
comme Rothschild, Warburg, Lehman, Goldman, Moïse Israël Seif, Koch, George
Soros, Bloomberg, la Fridman, Bronfman, la Safra, Dassault, la Rosenbaum, etc.
Ces familles ont aidé et continuent d'aider la cause sioniste, volontairement
ou sous la contrainte et les menaces en provenance du sionisme et d'Israël.
Quant aux biens qui attendaient
et en attente d'immigrants juifs en Israël, tels que la terre et les maisons, la bas étaient les biens des populations de Palestine expulsés de leur pays en 1948 qui ont été "donnés"
aux immigrants juifs en provenance de l'Europe nazie et post-nazie, en
haillons et sans un sou, pour se saisir, armes à la main, des villes entières, des villages, des terres, des
entreprises, des infrastructures, les maisons, les transports, cultures et toutes sortes de biens (argent, bijoux, meubles, etc.) dans le vol a main armée le plus spectaculaire et sanglant de l'histoire
moderne. Israël n'a jamais cessé
sa politique criminelle de confiscation des terres et des biens palestiniens, qui continué à pratiquer
quotidiennement, jusqu'à présent.
Si nous nous fixons sur les émigrations jusqu'aujourd'hui
des Juifs en Palestine, nous voyons que récemment implanté par la force ce
corps étrange appelé Israël, l'Empire britannique, qui avalisa le projet sioniste
qu'a produit la Déclaration
Balfour du 2 Novembre 1917, le sionisme s'est chargé de placer en Israël
des dizaines de milliers de Juifs irakiens et yéménites qui vivaient dans la
pauvreté et des conditions similaires au reste de la population du Yémen et de
l'Irak, qui à l'époque étaient sous domination britannique. Pendant ce temps,
la France a été chargé de placer dans l'État nouvellement implantées de
milliers de Juifs marocains et tunisiens, profitant aussi des conditions de
pauvreté dans ces pays, alors sous sa domination. Le désespoir, la pauvreté et
la misère ont toujours été des éléments qui ont poussé les Juifs à émigrer vers
le nouveau Far West de l'Est, appelé Israël, où ces Juifs les attendait la manne
des Rothschild et l'aide économique énorme arrivant en Israël des États-Unis et
d'Europe, avec la déjà mentionné ruée vers l'or était plus que justifiée.
Ces facteurs: le désespoir,
la pauvreté et la misère sont toujours
les principaux facteurs qui
poussent ou persuade les Juifs à émigrer en Israël, et non les arguments du
Pentateuque et les mythologies du reste de l'Ancien Testament. Toutefois, le sionisme assourdit le monde avec le «retour» des Juifs en Israël dans l'accomplissement des promesses du Yahvé, et ces
immigrants qui arrivent en Israël,
font semblant de croire aux promesses fallacieuses, quand
tout le monde constate depuis de
nombreuses années que ceux qui émigrent en Israël, dans l'immense
majorité des cas, sont juifs nécessiteux sans moyens de subsistance dans leur pays d'origine,
et c'est précisément ce pourquoi ils
migrent.
En ce sens, le magazine Jeune
Afrique dans son édition 1966
(du 15 au 21 Septembre
1998), déclarait que la crise politique
et économique qui a sévi en Russie alors a incité
les Juifs de ce pays à migrer en masse vers
Israël, "100.000
l'ont fait ce en 1998, comparativement à
la moitié en 1997".
Selon le journal, le chiffre record
de l'immigration juive en provenance des
anciennes républiques soviétiques avait été atteint avec l'effondrement
politique et économique de l'URSS
en 1990-1991 (de 150 000 à 200 000
chaque année) au moment où Gorbatchev s'accordait avec Washington induire des flux migratoires vers Israël qui était
la destination préférée des
Juifs eux-mêmes, des Etats-Unis,
le Canada et l'Europe occidentale. Jeune
Afrique a mis là le doigt sur
la blessure la plus douloureuse dont souffre le sionisme :
La désespérance des juifs, pauvres et nécessiteux qui ne veulent pas vraiment à émigrer en Israël, mais dans n'importe quel pays du prospère Occident. Rien de "Terre Promise" et absurdités sionistes.
Cela n'entre pas dans leurs têtes, ni l'immense
majorité des juifs le croit.
Israël et les États-Unis ont forcé les Soviétiques à émigrer en Israël et dans aucun autre pays,
comme l'ont fait les États-Unis, la Grande-Bretagne et l'Agence juive avec l'exode des Juifs de l'Allemagne nazie, de Pologne et ailleurs en
Europe pendant et immédiatement après la Seconde Guerre mondiale.
Ensuite, aux États-Unis et au
Canada (ce dernier encore alors, comme aujourd'hui, faisait partie de la
couronne britannique et toujours fortement
sous la pression de Washington) ont fermé leurs portes à l'immigration juive,
il ne restait pas alors une autre destination que d'aller en Palestine. Avec l'effondrement
de l'Union soviétique, Mikhaïl
Gorbatchev, Etats-Unis, le Canada
et Israël ont répété le mouvement
de la même manière, forcer les Juifs
à émigrer en Israël, et seulement Israël.
Ainsi, une chronique intitulée (Israël accordera uniquement des visas aux Juifs soviétiques qui
émigrent via la Roumanie ) signé par Herman Tertsch depuis Bonn et publié
dans le quotidien espagnol El Mundo
le 29 Juin 1988, en pleine opération de démantèlement de l'URSS par Gorbatchev,
commençait ainsi: «La décision du gouvernement israélien de canaliser
l'émigration juive d'Union soviétique exclusivement en provenance de Roumanie a
soulevé de vives protestations de groupes de défense des droits de l'homme.
Israël ne concédera aux Juifs qui souhaitant émigrer d'Union Soviétique des visas
qui imposent le passage par Bucarest, et non par Vienne comme jusqu'à présent. Cette
mesure vise à empêcher que de nombreux migrants décident à Vienne de ne pas
poursuivre le voyage vers Israël, comme d'habitude. Les Juifs soviétiques porteurs
de visa vers Israël exploitent de l'escale de la capitale autrichienne pour
s'établir dans le pays ou pour opter vers d'autres destinations, États- Unis,
Canada ou d'autres pays». Selon Tertsch (en 1988): «L'immigration
des Juifs en Israël est en baisse depuis des années. En passant
par Bucarest, changer de destination est pratiquement
impossible à un immigrant de
l'URSS. Qu'ils restent en
Roumanie n'est pas une option que craignent les autorités israéliennes, en raison de la situation politique et économique
dans ce pays ".
Cependant, à cette époque,
il s'agissait seulement
de 200 a 300
immigrants juifs russes vers Israël, ce nombre est passé en 1989 à un peu plus
d'un millier, selon un rapport de la Tribune Israélite, recueillies
par Jinuj.net, organe
de "instructeurs
mouvements de jeunesse juifs" le 17 Août 2001.
Selon la source israélienne, le démantèlement de l'Union soviétique en 1990 a tragiquement détruit l'économie russe, le nombre d'immigrants juifs russes est passé à 184,493. En 1991 et 1992, ce
chiffre a été dépassé. Comme nous l'avons vu, les
juifs russes sont contraints d'émigrer
en Israël s'ils voulaient sortir
de l'Union soviétique. Démontrant à plusieurs reprises, la
spécificité fallacieuse et apocryphe des illusions sionistes sur
le «retour souhaité» des Juifs en Israël,
nous avons rencontré Eli Aflalo, ministre israélien de l'Immigration et de l'Absorption, (Absorption ! Drôle de qualificatif pour une
immigration) effectuant le tour du monde avec des offres
attractives pour que les Juifs déménagent vers la «terre promise» offrant aux Juifs 30.000 dollars, des emplois et cours d'hébreu.
(Source: mediterraneosur.es. Février 2009.)
Pourtant, ce qu'Israël
fait depuis 1948, et ce que le sionisme fait généralement
depuis de l'aube du siècle dernier,
est corrompre les juifs pauvres pour qu'ils aillent en Israël. Toutefois, selon la même source, «en Israël vivent plus d'un million d'immigrants soviétiques. Grande partie de cette communauté n'a pas réussi à s'intégrer dans la société israélienne,
formant une sous-culture juive éloignée de
signes distinctifs juifs». Qui pousse les Juifs
soviétiques, contraints à émigrer
en Israël en 1990-1991, à revenir des années plus tard vers leur pays d'origine,
la Russie. "Pendant des décennies, l'Union
soviétique et les pays résultant de sa
dissolution a été la principale source
de l'immigration en Israël. Cependant,
les problèmes politiques de ce
pays et la reprise économique
ont inversé la tendance. Près de 200.000 Juifs sont
retournés vers les terres de l'ex bloc soviétique.
(Source: le Tiempo.com
18 Avril, 2009)
Suivant la même ligne nous allons en Argentine, où en
Décembre 2001, coïncidant avec la crise économique enregistré dans ce pays, le Gouvernement
du président Fernando de la Rua, a imposé la restriction de la libre
disposition de l'argent des banques et des caisses d'épargne, qui a duré plus
d'un an. C'est-à-dire qu'en 2002 a été l'année du «corralito» ainsi appelé populairement en Argentine ces mesures
restrictives. C'est précisément en 2002, que l'émigration des Juifs argentins vers
Israël a explosé considérablement, jusqu'à 6300 personnes, cette année, "une
année ors série" comme l'émigration juive en Argentine se réfère, selon
les déclarations Arie Azoulay, président de la commission sur l'immigration
absorption de l'Agence Juive, au quotidien argentin Clarin, publié le 26
Janvier 2004. "Nous devons comprendre que la moyenne d'immigrés argentins
dans les années 90 était 800 ou 900 par année », a ajouté Azoulay. L'argent,
l'argent et l'argent... il n'ya d'autre motif pour qu'un juif émigre en Israël,
dans la grande majorité des cas.
Cela
m'inspire une réflexion qui me "trottait" en tête depuis longtemps et
qui me faisait penser : "Est-ce que
les Juifs, dans leur majorité, sont des citoyens attachées a leur pays et
agissent en conséquence ou l'exploitent pour un bénéfice personnel voir
communautaire ?" Et nous le constatons depuis longtemps, que les
dirigeants politiques et économiques attachés à pérenniser Israël (faisant
allégeance au sionisme), comme Laurent Fabius, François Hollande [...], ne
mettent pas leurs compétences au service de la Nation, mais, c'est une
évidence, se servent delle..., fomentent des guerres, déstabilisent des pays où
en arrière plan il y a la sauve garde d'Israël. Comment pourrait-il en être
autrement, lorsque nous savons que c'est un Etat illégal, au regard de la
Résolution 181 du 26 novembre 1947 voté par l'ONU, obtenu
par chantage.
Les juifs espagnols, environ 40.000, n'échappent pas également
à cette hypocrite réalité. La crise économique qui secoue l'Espagne depuis 2008
est à l'origine de l'augmentation du nombre de Juifs émigrant en Israël. Tel
que publié dans le journal espagnol El Mundo (elmundo.es) le 25 Juin 2013, l'migration
annuelle des Juifs espagnols en Israël au cours des cinq années précédant 2008 a
été d'environ d'une trentaine, passant à 47 en 2009, 45 en 2010 et 67 en 2011. L'un
de ces migrants est Lune Chacón, madrilène de 19 ans qui en 2011 s'installe à
Tel-Aviv "pour surmonter la précarité du travail". Chacón a déclaré
ce qui suit à El Mundo : "La
chose qui a influencé ma décision était la crise. Le sentiment que maintenant
en Espagne lorsque vous avez terminé les études tout ce que vous pouvez
espérer, c'est une place dans le Mercadona". (Mercadona, est une chaîne de
supermarchés). Selon El Mundo, Chacón reconnaît que "jamais elle n'avait
planifié sérieusement de faire d'Israël sa nouvelle maison "jusqu'à la
crise à peint en noir le mot avenir" dans son pays d'origine, Espagne, où
le chômage général frôle les 25% et celui des jeunes est de 53%.
Avec les exemples de l'Allemagne et de la Pologne
dans les années 40, le Yémen, l'Irak,
le Maroc et la Tunisie, l'Etat nouvellement implanté d'Israël,
la Russie, l'Argentine et l'Espagne dans le dernier quart de siècle, je crois que brandir
l'Eternel, Abraham, Moïse, Jérémie et
autres mythologies du judaïsme, pour justifier le flux migratoire vers
Israël, prend l'eau de toutes parts et n'entre
pas, ni avec tous les exploits
propagandistes que si brillamment
caractérise le sionisme et Israël,
qui sans sa formidable propagande aurait la plus miséreuse et ridicule des images, ce qui est sa réelle image.
Le droit au retour des réfugiés palestiniens
Nous, les Palestiniens, nous avons dans nos rangs des gens
qui ont été expulsés par la violence de Palestine, ainsi que leurs
descendants directs (enfants et
petits-enfants) qui depuis des décennies luttent pour retourner dans leur patrie.
Les israéliens occultent
jalousement devant l'opinion publique occidentale,
en particulier aux États-Unis, (qui
les nourrit et les protège) les massacres horribles
commis contre les Palestiniens depuis 1937 jusqu'en 1948, puis de 1953 à 1956 et
ont continué jusqu'à aujourd'hui,
à grande échelle, en particulier au
Liban (Sabra et Chatila) et
dans la bande de Gaza, qui continue de souffrir massacre après massacre. Sans
oublier un instant les nombreux
massacres israéliens contre d'autres
peuples Arabes comme l'égyptien,
libanais, jordanien et syrien.
Israël
à fait de ses voisins ses ennemis, mais lorsqu'on connait la duplicité
sioniste, comment pourrait-il en être autrement.
Si, les Palestiniens qui veulent retourner en Palestine (ils, leurs enfants et
petits-enfants) ont été expulsés à
la pointe du fusil par des organisations
terroristes juives comme Stern (ou Lehi) d'Isaac
Shamir; Irgoun, de Menahem Begin
et l'Haganah, de Ben
Gourion, qui ont perpétré des massacres et meurtres terrifiants pour terroriser la population palestinienne
avant de la forcer à abandonner le pays. Massacres comme Deir Yassin commis sous
le commandement de Menahim
Begin 9 Avril
1948, dans laquelle
les criminels de l'Irgoun sont arrivés a ouvrir, à la
chaine, le ventre des femmes
enceintes. De ces et d'autres
massacres perpétrés par les Juifs en
Palestine (d'Ain Azzaitun
en Avril 1948 ; de
Salahiddin, dans le même mois ; Igret en Décembre 1951 ; Attireh en Juillet
1953 ; d'Abu Gosh en Septembre 1953 ; de Kafr
Qasem en Octobre 1956
etc.) il existe d'innombrables documents les relatant.
À cet égard, l'historien israélien émigré au Royaume-Uni, Ilan
Pappe, professeur à l'Université d'Exeter, a déclaré dans son article
publié dans Between The Lines, en Octobre 2002: «en 1948, le moment le plus
glorieux et le plus pervers ont rejoint l' l'histoire juive. Le plus glorieux a
était le miracle d'avoir un État ou réaliser le rêve de retourner à la terre
après ce qui ressemblaient à 2000 ans d'exil. Le plus pervers était la
colonisation, les massacres, les viols, l'incendie des villages palestiniens, parce que les Juifs
ont fait en Palestine ce qu'ils n'avaient pas fait nulle part pendant 2000
années. La mémoire collective israélienne a effacé le temps le plus pervers, dans
la distorsion de l'histoire des événements de 48: le terme de (nettoyage
ethnique) ou (expulsion violente ) des Palestiniens n'existe pas et ont été
remplacés, dans les manuels scolaires, dans le contenus académiques et le
discours politique, par une histoire de la libération nationale et glorieuses
campagnes, regorgeant d'actes d'héroïsme, de courage et de supériorité. Et cette
mémoire collective lutte contre toute personne qui tente de rappeler la
réalité, à l'intérieur et à l'extérieur d'Israël".
En outre, contrairement au prétendu "retour des Juifs" basé
sur les mythologies dépourvues de tout soutien légal ou académique, le droit
au retour des Palestiniens a le soutien
total de la communauté
internationale depuis l'Assemblée générale de l'ONU (*) a adopté la résolution
194, le 11
décembre 1948, qui exige le
retour à la terre des centaines de milliers de Palestiniens ont été expulsés de leurs patrie, quelques mois auparavant, par Israël, en plus de les indemniser. Cette résolution de l'ONU a été confirmée à 135
reprises depuis lors par l'organisme international, sans avoir à faire face à une opposition, à l'exception de l'État d'Israël. Après les accords d'Oslo de 1993 et 1995 les
États-Unis a commencé à s'opposer
à cette résolution.
Ce
qui me fait dire, et que j'ai toujours dit : "la politique étrangère des USA au Proche-Orient est faite à Tel-Aviv en
non à Washington".
Dans la résolution 194 de l'organisation internationale des Nations
Unies se réfère à la question du
retour des réfugiés palestiniens comme
une question purement humanitaire. Cependant, ce concept a
évolué en 1970, lorsque la
résolution de l'ONU 2649 (30 Novembre 1970)
se referait au droit au retour des palestiniens non seulement comme une
question humanitaire sinon, et pour la première fois, comme appartenant a un
Peuple ayant des droits légaux inaliénables à l'autodétermination.
D'autre part, le droit de retour des Palestiniens à leurs terres et
maisons est entièrement
soutenu par les lois internationales sur la propriété privée, ce qui est inviolable et d'aucune manière supprimé,
quelque soit le concept et encore moins pour
l'occupation militaire du territoire
où se trouvent les biens. C'est un droit
qui ne disparaît pas avec le temps, pour longue que soit l'attente,
jusqu'à au retour des propriétaires des
biens privées ou de leur descendants.
En outre,
le droit des Palestiniens à retourner sur leurs terres est entièrement
garanti par la Déclaration
universelle des droits de l'homme adoptée par l'ONU a approuvé un jour avant la résolution 194, c'est-à-dire, le 10 Décembre
1948. L'article 13
la Déclaration universelle des droits de
l'homme garantit le droit de
toute personne à retourner dans leur pays. Le droit international garantit que ce droit
ne peut faire l'objet de négociations, accord ou traité politique, de sorte qu'il serait
inutile pour Israël de contraindre l'Autorité
nationale palestinienne à signer l'abandon
de ce droit dans les négociations en cours entre les deux parties,
comme Israël le prétend.
De plus, le droit de retour des Palestiniens est un droit collectif, fondé sur le principe
de l'autodétermination des peuples qui a été confirmé par l'ONU en 1946 pour
tous les peuples du monde. En
1969, l'ONU a réaffirmé ce droit inaliénable (celui de l'autodétermination) pour le peuple
palestinien. Dans la résolution 3236
de l'Assemblée générale 1974, l'Organisme
universel a réitéré encore une fois que le droit au retour du peuple palestinien est un droit, non adaptable à aucune négociation que ce soit. A cela s'ajoute que l'article 2
du quatrième traité de Genève de 1949 stipule que toute entente entre la puissance occupante
et le peuple occupé ou leurs représentants souffre
de carence légale, dans le cas qui
affecte défavorablement les droits des personnes occupées.
(*) Le
droit au Retour des palestiniens adossé aux résolutions de l'ONU, mérite
quelques explications. En effet, l'ONU vota, aussi, la partition de la Palestine,
c'est la résolution 181 votée le 26 novembre 1947, qui décida de la dite partition.
Suite aux massacres et expulsions par la violence des plus de 700.000 palestiniens
par les hordes juives, l'ONU a voté la résolution 194 (une énième résolution restée sans effet) exigeant le retour des
populations déplacées, comme le précise d'ailleurs la quatrième convention de Genève,
régissant les conflits armées. Dans ces conditions pourquoi accepter la
résolution 194 et refuser la résolution 1891 ? La raison en est très simple si la résolution 194
cherche à réparer un fait illégal, ma résolution 181 a été obtenue grâce au
chantage des USA sur les pays du tiers-monde, poussées au crime par le lobby
juif américain pro sioniste, donc illégal. Le droit est clair là dessus : tout avantage
obtenu par le chantage est de facto caduc. En résume: Israël est un État
illégal, puisqu'il a obtenu son statut, d'un
chantage. La
quatrième convention de Genève précise, également, qu'un pays occupant n'a pas
le droit de tirer un bénéfice de cette occupation, qu'il est responsable des
populations occupées. Et si Israël tire un bénéfice de l'occupation, il décline la
responsabilité des populations occupées. L'exemple de Gaza, nous saute à la
figure, où Israël se comporte en parfait nazi.
Mais
que le sionisme était l'autre face de la même médaille, si nous l'ignorions
nous ne pouvons plus la méconnaitre. Ou alors il faudrait admettre que nous
sommes les mêmes assassins. Bush, Obama, Merckel, Sarkozy, Hollande, Fabius, Blair,
Cameron [...]