jeudi 16 mai 2013

Sagrada Familia (La trahïson)



Ce "post" permet d'entrevoir jusque où la propagande et le prosélytismejuif s'exerce et cela dans tous les domaines, ici le tourisme. Propagande qui ne recule devant aucune approximation et s'insinue imperceptiblement dans le psychisme du citoyen qui la subit.
Propagande, qui permet d'imaginer, aussi, les manipulations exercées sur l'Histoire de la Palestine, aujourd'hui Israël et où le nom même de "Palestine" à disparu des cartes. Cette manipulation est présente dans l'Histoire récente distillée par les médias, les dirigeants aux ordres et l'intelligentsia pro sioniste. Mais au-delà, la population israélienne et particulièrement les écoliers israéliens, ne font pas exception et il leur est    inculqué une histoire israélienne travestie au moyen de la mythologie et des approximations coupables. Histoire qui nous parvient sous la forme d'histoire réelle, que seul, l'influence du pouvoir judéo/sioniste sur nos dirigeants cupides et l'intelligentsia qui lui est favorable permet de concrétiser.        


Visitant Barcelone et la colline de Montjuïc, le guide touristique affirmait que MONTJUIC signifiait : Mont des juifs. Sans qu'aucune explication historique, archéologique ou étymologique ne vienne étayer son affirmation.
Les ouvrages sérieux sur le sujet  comme ceux de l'Encyclopédie Catalane, de Könemann ou Atis-Historia, l'APA... font référence au MONT JOVICIUS ou MONT JOVIS, nom donné par les Romains après la construction sur le mont d'un temple à la gloire de Jupiter -Dieu de la foudre et de l'orage-. Et lorsqu'une publication sérieuse fait ce rapprochement, elle le fait au conditionnel. Une colonie Celtibère, contraction des peuples Celtes et Ibères occupa, probablement, les hauteurs de la colline avants que les Romains en y construisant un temple dédié à Jupiter ne l'appellent le Mont Jovis.

Depuis quelque temps déjà, surtout depuis une vingtaine d'années, l'influence du pouvoir judéo/sioniste mène au prosélytisme juif qui sévit en Europe et la Catalogne n'y fait pas exception, sans doute pour rappeler la présence de la Communauté juive sur ces terres, ce que personne ne conteste, (la preuve, le Ministre de l'intérieur français, Manuel Valls, d'origine catalane est un fervent défenseur du sionisme. Il est également membre du groupe Bilderberg, dont d'éminents membres sont à l'origine de la mondialisation qui opprime les Peuples) il s'en suit que des guides ou fascicules touristiques se livrent à des explications visant à imposer  un point de vue apocryphe. Le fascicule Barcelone (350 photos) de GEOCOLORS, le Guide du Routard, (guide français) par exemple, nomme aussi Mont des juifs la colline de Montjuïc, il ajoute qu'une peuplade juive aurait habité à la fin du XIV siècle au pied de la colline, là aussi, les origines historiques s'arrêtent à l'affirmation. Or au pied de la colline de Montjuïc il y a un quartier que l'on appelle "Poblesec" en référence aux hommes y habitant depuis le moyen âge... A cette époque les Juifs demeuraient dans un quartier de Barcelone intra-muros, nommé "El Call" et dont le nom est resté de nos jours,  à l'intérieur d'un ensemble plus large nommé le Quartier Gothique. 


Aujourd'hui, la version anglaise que présente Wikipédia qui voudrait que Monjuic soit une déclinaison de mot "juif" est une erreur. (voir une énième manipulation) C'est en cliquant sur mot Wikipédia de l'encart à droite de la page, que vous découvrirez la version en français que j'avais modifié, tel que l'histoire me l'avait enseigné.
Que cherchent à faire les Juifs ?
A réclamer ce territoire comme étant le leur !
Sur des mythes ils l'on fait en Palestine, cherchent-ils à mettre en place la mythe qui dans un laps de temps indéfini leur permettre de coloniser en y faisant référence ? 


Bien entendu le guide touristique fait souvent référence à l'expulsion des Juifs d'Espagne, c'est sans doute un sujet "brulant" et mériterait un développement loyal (c'est a dire, exposant des tenants et des aboutissants) qu'une visite touristique ne peut satisfaire, et affirmer que la responsabilité en revient au Pape Benoit III ou aux Rois Catholiques est un raccourci qui nuit à la crédibilité du récit, pour ceux qui, parce que d'origine espagnole ont étudié son histoire, savent que les faits ne peuvent être énoncés aussi simplement. Expulsions,  qui nous imposent de nous questionner sur cet état de fait et qui émaille le parcours des Juifs tout au long de leur histoire, quelque soit, par ailleurs, la contrée dont les Juifs ont été expulsés. Cependant reste à expliquer les difficultés de vie rencontrées par les Juifs, des personnes parmi les plus cultivés de la ville et leur expulsion, comme celle de l'Espagne ou des différentes régions du monde. L'expulsion de la Communauté juive d'Espagne n'est pas, dans l'historiographie universelle, un cas unique. Il faut préciser aussi que les Juifs étaient protèges par des lois spécifiques et par les "Cors" (Gouvernement Catalan). [Ce que je crois. Tant que les dirigeants de la Communauté juive ne se poseront pas les vraies questions, tant que leurs valeurs humaines resteront  le profit et l'argent, tant que faire de l'argent avec l'argent -en dehors de toute utilité- restera une de leur spécialité, [n'oublions pas, par exemple, qu'a l'origine de la crise financière mondiale, débuté en 2007, il y a la crise des "subprime" et la Banque privé Goldmann-Sachs (Banque dite d'affaires !) ; Il y a aussi un certain Madoff (Barnard L. Madoff Investitmen Securities LLC) président et fondateur d'une des principales sociétés d'investissements de Wall Street, qui escroqua tous les imbéciles cupides, qui espérant gagner de l'argent facilement, lui firent confiance y compris des organismes financiers internationaux... ; Il y      a aussi cet escroc français -juif aujourd'hui réfugié en Israël- qui se faisant passer pour un haut responsable de l'entreprise, demandait à un employait, sous différents stratagèmes, de virer des sommes importantes dans des banques de paradis fiscaux. Et dès que la police commençait à le "cerner" il se refugia en Israël, "paradis' tout-court des escrocs juifs ; Réfugié en Israël il y a aussi le cerveau de la cabale du Sentier à Paris, où par un système de traites impayées, les banques perdirent leur "culotte" [...]. IL y a, aussi, le changement de système du financement des Etats, dont le groupe Bilderberg est à l'origine, groupe dont les chantres de la globalisation actuelle sont : Rothschild & Rockefeller. Et ne sont là que quelques exemples], ou encore tant que leur objectif restera le mythe du "Peuple élu" et ses prérogatives qu'ils veulent universelles, ou le népotisme pratiqué au détriment des autres communautés, ces difficultés resteront présentes.], ce je crois : "C'est qu'à plus ou moins long terme, les mêmes causes produiront les mêmes effets..."


[[Un exemple : "Tout juste après l'agression israélienne de Gaza en 2008/09 le CRIF manifestait en faveur de l'armée israélienne. Pour ceux qui l'ignorent Gaza est sous un blocus hermétique de la part d'Israël, les 1.5 million de Palestiniens sont pris au piège, les 6500 victimes ne purent échapper aux bombardements intensifs des F16 ; des Apaches ; du pilonnage de l'artillerie ; des massacres des militaires, parce que la résistance palestinienne avait fait neuf victimes don trois tués. He bien le CRIF n'a pas manifesté pour les neuf victimes, mais en soutient d'une armée qui venait d'assassiner 1500 êtres humains dont 450 enfants".]]

D'après l'Encyclopédie Catalane, le mot juif s'écrit : "jueu" ou "hebreu", et précise la signification du mot au figuré : usurer (usurier) ; escanyapobres (étrangle pauvres). Il est donc, sans doute, précipité (dans une explication aussi sommaire que celle du guide) de faire un rapprochement entre le mot Montjuic, comme le fait l'auteur de l'article dans Wikipédia, avec Mont des juifs ou Mont de Jovicius (Colline de Jupiter). Dans l'affirmation elle-même le doute y est introduit, manifestement moins par honnête intellectuelle que pour lui apporter une référence qui se voudrait historique. Car en effet, ou c'est l'un ou c'est l'autre, éventuellement les deux. Mais cela mérite une explication loyale.   
Barcelone est une grande ville qui doit son histoire au brassage d'une multitude de populations de toutes origines. Et je trouve dommage que soit mise en exergue une théorie plutôt qu'une autre, celle de la communauté juive en l'occurrence, et dont personne ne nie sa présence, en négligeant les autres. Et si la ville a été soumise à l'influence Romaine, ce sont les ibères laietants (Layetanos)  qui y laissèrent les premières traces de présence humaine. Dans ces conditions, pourquoi le sempiternel rappel de la présence juive aujourd'hui en négligeant la présence des autres peuples ?
Il me parait évident que le pouvoir judéo/sioniste cherche le bien-fondé de sa présence actuelle par la légitimité passé. Et utiliser la Catalogne comme "tête de pont" pour mettre en pratique la loi du talion, si chère à l'idéologie sioniste, en Espagne.  

En Catalan le mot "MONT" désigne indifféremment montagne ou colline, le mot "JUI" ou "JUTGE"  désigne un juge, un jugement ou ses dérivés. En conséquence affirmer aussi arbitrairement un tel rapprochement, sans qu'aucun fondement géo-historique ne l'étaye,  qu'il date du paléolithique ou du VIe. Siècle av JC lors de la conquête de la péninsule ibérique par les Carthaginois, reste une affirmation présomptueuse, que pourtant n'a pas manqué de certifier notre guide touristique, (né à Colmar, en France*) et si l'arrivée des Ibères venus d'Afrique du Nord ont imprégné leur nom a la péninsule Ibérique, la fondation de  Rhodes par les grecs, a donné son nom à Rosas (petite ville de pécheurs sur la Costa Brava)  ou si Emporiom  est devenue Ampurias, rien ne laisse présager que Montjuïc veuille dire autre chose que le MONT DU JUGEMENT. Le mont où des hommes y ont été jugés... en tout état de cause, aucune constatation archéologique ou scientifique de l'historiographie de Barcelone, hormis la déclinaison du mot, ne plaide en faveur de la description faite par Wikipedia, de certains guides ou fascicules touristiques du mot MONTJUIC. 
Je voudrais ajouter que j'ai fait changer la description donnée par Wikipedia, en partie prise en compte. Cependant la description anglaise de Montjuic, est reste inchangée... 

* Lors de la visite de Bésalou (petit village de la province de Girona) où existait une communauté juive, notre guide avait affirmé entre autres : "que les juifs sont plus intelligents" donnant comme explication : "que les enfant juifs avaient l'obligation dès leur plus jeune âge d'aller à l'école, ce qui n'était pas le cas des Catholiques", des Catholiques ! Pourquoi les Catholiques ? Lui faisant remarquer que si l'instruction des juifs était supérieure à la moyenne y compris de nos jours, rien ne laisse supposer qu'ils étaient ou soient plus intelligents. L'intelligence se décline en de multiples facettes, et chaque être humain peut posséder une ou plusieurs d'entre-elles.


Mais, le comble de la duplicité, de la perfidie, de la manipulation, du martellement psychique des mentalités, et surtout de l'influence judéo/sioniste est inscrit en toutes lettres sur l'œuvre "La Sagrade Familia" d'Antoni Gaudi.

A la suite de la Visite de Barcelone et de La Sagrada Familia (La Sainte Famille) œuvre que Antoni Gaudi dédia, entre autres, à Jésus-Christ où sur la façade occidentale figurent des scènes de la Passion du Christ ainsi que ses apôtres, dont aucun nom n'y a été gravé. A contrario, sur un "plastron" de béton, ajouté récemment à la façade occidentale du monument (au dessus du détail des scènes de la vie du Christ) sont gravés des noms communs Juifs. La façade occidentale de La Sagrade Familia, érigée en 1882 et achevé en 1906, est ornée de scènes de la vie et de la Passion du Christ. Je ne vais pas là refaire l'histoire de la construction par ailleurs inachevé du monument, mais il me semble que cet ajout (après la mort du maître) trahît l'esprit du dévot Gaudi ayant voué sa vie à la religion et a Jésus Christ.  
Dans l'esprit d'Antoni Gaudi le monument devait être érigé pour rendre  hommage à la Sainte Famille, à la passion de Jésus, cet ajout doit avoir, sans doute, une motivation rationnelle, mais laquelle ? (peut-être un apport au financement de l'œuvre privé ?) Si le pouvoir judéo/sioniste à la capacité de s'immiscer et imposer un concept distinct à l'objectif fixé par son concepteur, c'est qu'un bénéfice, moral, historique, archéologique (pour l'avenir) est à faire valoir.
 
Il ne viendrait à l'idée de personne de rappeler des noms de criminels dans la construction d'un monument rendant hommage à l'histoire d'une famille européenne. Pourtant, c'est ce qu'ont fait les responsables  de l'Œuvre de la Sagrade Familia. (Mais si Manuel Valls -pro sioniste- et dont un de ses grand-oncle fit partie de l'intelligentsia catalane, on peut douter de la sincérité des responsables actuels de l'œuvre de Gaudi.) Ils ont gravé les prénoms d'hommes qui se conduisent depuis plus de soixante années comme des criminels, refusant d'appliquer le droit international, les résolutions de l'ONU, les Droits de l'homme, les droits humains les plus élémentaires et qui spolient, sans vergogne, le peuple originel de  Palestine. Terre qui a vu naitre et mourir Jésus Christ.
Le sionisme est, aujourd'hui, une idéologie aussi odieuse qu'a pu l'être le nazisme et qui par l'influence de tous ceux qui lui sont favorables a la capacité d'influencer ou de corrompre les dirigeants cupides, quelque soit le domaine. Et ne se rendent compte ou feignent ignorer qu'ils hypothèquent l'avenir de leurs descendance.    







    

Les dirigeants de l'œuvre de 
La Sagrade Familia, 
non seulement, ont trahi Antoni Gaudi 
mais aussi inintelligence du genre humain.



Tous ces gens qui favorisent les pouvoir judéo/sioniste sont des collabos, au sens de la Deuxième guerre mondiale, c'est à dire : des vrais racistes qui favorisent la suprématie d'une race sur les autres.  Les nazis n'ont pas fait autre chose...  






dimanche 12 mai 2013

LE NETTOYAGE ETHNIQUE DE LA PALESTINE Jaffa et de Tel-Aviv



Sur une population largement sans défense
Le Nettoyage continue :


Dès la fin mars, les opérations juives avaient détruit une grande partie de l’arrière-pays rural de Jaffa et de Tel-Aviv. Il y avait une division du travail évidente entre les forces de la Haganah et l’Irgoun. Tandis que la Haganah avançait en bon ordre d’un village au suivant conformément au plan, on laissait l’Irgoun mener des actions sporadiques dans les villages qui ne figuraient pas sur la liste initiale. C'est ainsi que l’Irgoun entra le 30 mars dans le village de Cheikh Muwanis (ou Munis, comme on l’appelle aujourd’hui) et en expulsa les habitants par la force. Aujourd’hui, ses ruines se trouvent sous l’élégant campus de l’université de Tel-Aviv,  et l’une des rares maisons restées debout sert de foyer aux enseignants.
Sans l’entente tacite entre la Haganah et l’Irgoun, Cheikh Muwanis aurait peut-être été sauvé. Les chefs du village avaient fait des efforts pour entretenir des rapports cordiaux avec la Haganah afin d’éviter l’expulsion, mais les « arabisants » qui avaient conclu ce traité étaient introuvables le jour ou l’Irgoun s’est présenté et a expulsé toute la population.
En avril les opérations dans les campagnes ont été étroitement liées à l’urbicide.
Ce sont  les villages proches des  entres urbains qui ont été pris et évacués, parfois avec des massacres, dans une campagne de terreur qui visait à préparer le terrain pour d’emparer plus facilement des villes.
Le conseil consultatif se réunit à nouveau le mercredi 7 avril 1948. Il décida de détruire, avec l’expulsion totale des habitants, tous les villages qui se trouvaient dur les routes Tel-Aviv-Haïfa, Djénine-Haïfa et Jérusalem-Jaffa. En définitive à l’exception d’une minuscule poignée de villages, aucun ne fut épargné.
Ainsi, tandis que l’Irgoun effaçait de la carte le village de Cheikh Muwannis, la Haganah occupa en l’espace d’une semaine six villages de la même zone : d’abord Khirbat Azzun, le 2 avril, puis Khirbat Lid, Arab al-Fuqara, Arab al-Nufay’at et Damira, qui avaient tous été nettoyés le 10, et enfin Cherqis, le 15. à la fin du mois, trois autres villages proches de Jaffa-Tel-Aviv   ̶  Khirbat al-Manshiva,
Biyar ‘Adas et le gros village de Miska   ̶  avaient été pris et détruits.
Tout cela eut lieu avant qu’un seul soldat des armées régulières arabes ne soit entrée en Palestine, et le rythme est ensuite devenu difficile à suivre, tant à l’époque que plus tard pour les historiens. Du 30 mars au 15 mai, 200 villages ont été occupés et leurs habitants expulsés. C’est un fait, à dire et à répéter, car il anéantit le mythe israélien selon lequel les « arabes » se seraient enfuis quand l’« invasion arabe » a commencé. Près de la moitié des villages arabes avaient déjà été attaqués quand les gouvernements arabes ont finalement décidé  ̶  à contrecœur, nous le savons  ̶   d’envoyer leurs troupes. Quatre-vingt-dix autres villages seraient rayés de la carte entre le 15 mai et le 11 juin 1948, date à laquelle la première des deux trêves entra enfin en vigueur.

Côté juif, les témoins oculaires se souviennent clairement d’avoir pensé tout au long du mois d’avril que l’armée pouvait faire plus. Dans son récent entretien avec les historiens officiels, Palti Sela, dont on peut trouver le témoignage dans les archives de la Haganah à Tel-Aviv, une d’un langage haut en couleur pour rendre le climat d’excès de zèle. Palti Sela était membre des forces juives qui ont occupé et nettoyé la ville de Baysan et reçu l’ordre de chasser les grandes tribus bédouines qui, depuis des siècles, passaient certaines saisons dans la région. Il dit par exemple :
Quand nous avons terminé de nettoyer la région  des tribus bédouines, le plus [il se sert ici du mot yiddish qui désigne une blessure purulente : farunkel] de Baysan était encore infecté par deux villages, Faruna et Samariya. [Leurs habitants] n’avaient pas l’air d’avoir peur, cultivaient encore leurs champs et continuaient à circuler sur les routes.

L’un des nombreux villages pris pendant ces attaques à l’est fut celui de Sirin. Son histoire résume le malheur qui c’est abattu sur des dizaines de villages dépeuplés par les forces juives dans le Marj Ibn Amir et la vallée de Baysan, où l’on cherche aujourd’hui en vain la moindre trace de la vie palestinienne qui y prospérait autrefois. 

Source :  ILAN PAPPE    Historien Israélien