samedi 23 octobre 2021

La Liberté guidant le Peuple !!!

 

La Liberté guidant le peuple 

A constater le grand écart de ce Gouvernement, 

on imagine aisément leur cœur corrompu.  


Eric Verhaeghe au Défi de la vérité, est étonné des annonces péremptoires du Gouvernement.

https://rubinenc67.blogspot.com/2021/10/olivier-rite-et-les-chiffres-de-lansm.html

Eh bien moi j’affirme que les membres de ce Gouvernement sont des gens médiocres que ni leur intelligence, ni leur moralité permettrait de faire partie d’un Gouvernement Démocratique et savent que s’il y a désaccord avec le « bon roi » ils doivent obéir ou démissionner.

Par ailleurs je considère que le « bon roi » est soumis à la même vérité s’il veut être soutenu par ses parrains, du moins pendant sa législature, car en effet il devra ensuite éviter le scandale de sa gouvernance.  

Et j’espère qu’en toute honnête il sera jugé par un tribunal indépendant, cette fois.

=-=-=-=-=-=-=-=

Hier samedi 23 octobre l’opération « escargot » organisée en Alsace a été interdite dans le Bas-Rhin par la Préfecture. Le cortège a été interrompu à l’entrée de Sélestat et des personnes arrêtées. Mais dans quelle République ce pouvoir manipulateur nous fait vivre ? Alors que 50.000 personnes manifestent en France tous les samedis, ces despotes membres ou assujettis d’un gouvernement sans morale. Les pouvoir publics au lieu réagir aux demandes légitimes des manifestants ces derniers sont arrêtés, voir tabassées, comme ce fut le cas dans ls manifestations Gilet-Jaunes, ou empêchés de s’exprimer.

IL est clair que nous ne sommes pas dans une démocratique, mais dans une République en mutation vers la dictature. 

Il faudra se rappeler : « que si l’on accepte le despotisme du tyran, notre avenir sera compromis et nos petit enfants les victimes d’un modèle de société où le citoyen honnête sera face à des salauds, des truands, des hypocrites et des menteurs sans morale ».       


Espérons que les Français se souviendront qu'ils ont été bernés lors de son élection.

 


-       Un ami me dit : « je viens de lire ton post sur Samuel Patti, assassiné par un terroriste parce qu’il a usé de sa Liberté d’expression ».

-       D’accord, lorsque tu dis qu’il a été assassiné par un terroriste. Quant à la « Liberté d’expression », de mon point de vue tu fais erreur. 

En effet, La liberté d’expression devait servir à entamer un dialogue où chacun exprimerait son opinion. La liberté d’expression n’est pas, ne sera jamais le droit de calomnier. Aucune idéologie politique ou religieuse, parfois les deux, ne devrait pas avoir le droit de l’utiliser pour diffamer une personne ou une communauté, pour tromper celui qui écoute. Ces gens-là, ceux qui diffament, ne valent pas mieux que les terroristes.



Comme le disait Marie Trintignant en parlant de Jean-Marie Le Pen : « Il n’influence que les gens perdus, ceux qui se cherchent ».

Et là, je lui fais dire : « Utiliser la liberté d’expression pour influencer des enfants qui se cherchent n’est pas digne d’un professeur ».  

Je te donne le lien qui te permettra, du moins je l’espère, de voir le "post » sous une autre lumière que l’Eclipse de soleil dans le lequel les manipulateurs nous plongent. Ces manipulateurs qui prétendent ce que l’on doit penser et qui ont si souvent « porte ouverte dans les arcanes d’un pouvoir qui les nourrit" :  

https://rubinenc67.blogspot.com/2021/10/samuel-patti.html  


"Pas de décès avéré imputable à la vaccination" dixit Véran. Vraiment ?

Publié le 20/10/2021 à 19:56
Eric Verhaeghe au Défi de la vérité
FS
Auteur(s): FranceSoir

Cet espace d’opinion permet la libre expression des idées et d’engendrer le débat. Les articles et vidéos publiés dans cette rubrique peuvent parfois ne pas faire consensus, en savoir plus

Fondateur du "Courrier des stratèges", Eric Verhaeghe a récemment abordé dans l'article Véran parjure ? Ces plus de 900 morts du vaccin dénombrés par l’ANSM la question de ces décès consécutifs aux vaccins que le gouvernement ne veut pas voir.

Reçu pour un court "Défi de la vérité" à cette occasion, M. Verhaeghe a relevé qu'il existait dans les bases publiques de l'ANSM des "tableaux détaillés sur la nature des effets graves produits vaccin par vaccin, et que sur le vaccin Pfizer il y avait plus de 900 décès déclarés."

Voir : COVID-19 - Vaccins - Suivi des effets indésirables - Pfizer BioNTech Comirnaty 24 septembre

"Ces chiffres datent de fin septembre et le ministre [Véran] a déclaré le 15 octobre qu'à sa connaissance il n'y avait pas de décès enregistré du fait du vaccin. Il y a aujourd'hui une distorsion flagrante entre les chiffres que nous pouvons consulter sur les sites publics [...] et les affirmations extrêmement légères du ministre de la Santé."

 

Tout en reconnaissant qu'il s'agit d'effets secondaires "soupçonnés", l'ancien haut fonctionnaire note que "si l'ANSM juge utile de les relever, c'est parce que cette suspicion est sérieuse et mérite d'être prise en considération" et que "s'il s'avérait qu'Olivier Véran avait menti devant la représentation nationale, cela remettrait en cause sa légitimité même à exercer son mandat de ministre"

Enfin, dénonçant un "sacré problème démocratique", Eric Verhaeghe appelle de ses vœux la création d'une "commission d'enquête parlementaire sur les possibles morts du fait du vaccin. Il faut que le ministre de la Santé soit appelé à témoigner sous serment."

Auteur(s): FranceSoir

vendredi 22 octobre 2021

L'envers du décor, épisode 6

 

L'envers du décor, épisode 6 : Beau-papa, les actionnaires te remercient

 Publié le 06/08/2021 à 16:35
Régénérons Macron
FS
Auteur(s): Le Collectif citoyen, pour FranceSoir


TRIBUNE - Le 26 octobre 2020, nous vous révélions un étrange mélange des genres, entre religion, gouvernement et crise sanitaire dans notre article

A cette occasion, vous avez pu découvrir les liens entre la belle-fille d’Emmanuel Macron, Christèle Auzière et Jérôme Msihid, manager de recherche chez Sanofi, qui collabore avec Régénérons sur les biotechnologies.

Article "in extenso" :

Que s’est-il passé depuis  ? Le 17 juillet 2021, une mise à jour du site mesvaccins.net nous apprend que de plus en plus d’effets indésirables des thérapies à ARNm contre la COVID-19 font apparaître des polyarthrites rhumatoïdes chez des personnes saines ou exacerbent des symptômes chez les patients déjà atteints de cette maladie auto-immune.
 

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Pour rappel, cette pathologie ouvre la voie à des traitements par biothérapies, qui sont les bestsellers mondiaux de l’industrie pharmaceutique depuis des années. A titre d’exemple, Humira, de la société Roche, a généré à lui seul 19,9 milliards de dollars de chiffre d’affaire en 2018.
 
 
Au passage, nous découvrons que l’ANSM a choisi de mettre à jour les données relatives aux effets indésirables de manière bi-mensuelle, alors que c'était hebdomadaire jusqu’alors. Il est légitime de leur demander les raisons de ce choix , à l’heure où la campagne d’injections de gré ou de force s’emballe comme un cheval fou.
 
Mais revenons sur le calendrier. Le 17 juillet 2021, alors que des milliards d’humains sont désormais injectés avec cette thérapie génique, on découvre qu’elle peut causer ou réactiver la polyarthrite rhumatoïde, et par extension, nous pouvons craindre légitimement qu’elle engendrera fatalement une cohorte de maladies auto-immunes.   
Mais quel rapport avec Jérôme Msihid et donc avec Emmanuel Macron me direz-vous  ?  
 
Eh bien, une rapide consultation du portail international des brevets, nous apprend que le groupement Sanofi biotechnology et Regeneron a obtenu un brevet pour le traitement de la polyarthrite rhumatoïde, le 7 juillet 2021 . Ils ont d’ailleurs obtenu pas moins de dix brevets à l’échelle mondiale, concernant la polyarthrite rhumatoïde, depuis le début de la crise sanitaire COVID19.

La commission Bronner

 



Les risques de la commission Bronner

Le 29 septembre dernier, l’Elysée a annoncé le lancement d’une commission intitulée « Les Lumières à l’ère numérique ». Eclairage sur ses zones d’ombre.

Désinformation

Cette commission a notamment pour objet de faire des propositions dans le domaine de « la régulation de la lutte contre les diffuseurs de haine et de la désinformation ».

Il peut être utile de faire une commission sur la lutte contre la désinformation. Mais avant, il va falloir s’entendre sur ce que signifie cette notion.

Est-ce que constitue une désinformation toute information contraire à celle propagée par le pouvoir en place ?

Ou cette notion renvoie t’elle aux qualifications que notre droit prévoit :

– de fausses nouvelles, faites de mauvaise foi, qui troublent la paix publique (Article 27 de la loi de 1881), ou encore

– d’allégations ou imputations inexactes ou trompeuses, susceptibles de troubler l’ordre public ou d’altérer la sincérité des scrutins, dont on sait la fausseté de manière objective, diffusées de manière délibérée, artificielle ou automatisée et massive (Loi n° 2018-1202 du 22 décembre 2018)

Il existe de « véritables » fausses informations comme :

– Les antennes-relais 5G seraient propagatrices de l’épidémie de Covid-19,

– Les vaccins seraient porteurs d’une puce permettant à Bill Gates de contrôler nos cerveaux

– L’eau de javel permet de soigner le COVID

Mais il ne faut pas confondre cette fausse information avec l’information qui peut être critique, et parfois porteuse d’un courant d’opinion minoritaire.

Surtout dans le domaine de la santé, sujet d’intérêt général, qui nécessite un large débat (CEDH, 25 août 1998, Hertel/Suisse)

L’information scientifique

Est-ce que l’information, c’est uniquement dire du bien des vaccins ? ou c’est aussi informer les personnes sur le fait qu’ils peuvent comporter des risques ?

La balance bénéfice/risque penche en faveur du vaccin. Mais le vaccin comporte aussi des risques.

La lumière doit être faite sur ces risques pour que les gens puissent, en toute connaissance de cause, accepter ou non de se faire vacciner, et pour essayer, grâce à la recherche, de les diminuer.

Est-ce que l’information, c’est ne parler que du vaccin ou aussi des traitements alternatifs ?

Il existe sans doute d’autres solutions que le vaccin : des traitements dits précoces qui ont été discrédités, dévalorisés.

Il y a eu, d’un côté, une véritable propagande sur les vaccins, et, d’un autre côté, une désinformation certaine concernant ces traitements alternatifs.

On peut citer, à titre d’exemple, la bithérapie proposée par le Professeur Raoult (hydroxychloroquine et azithromycine) et l’affaire du « Lancet gate ».

De mêmes procédés de désinformation ont été utilisés à l’encontre de l’Ivermectine.

Il existe une puissante industrie pharmaceutique qui est sans doute porteuse de progrès pour la santé mais qui comporte aussi des risques sur la possibilité de biaiser les décisions politiques et des autorités locales. On peut citer à ce sujet Gilead et le Remdesivir.

L’information ne consiste donc pas à ne parler que des bénéfices d’un traitement, mais aussi de leurs risques, et des potentiels bénéfices des traitements alternatifs. 

 Composition de la commission

La commission est composée de sociologues, de politologues, de journalistes, d’historiens, de médecins.

Mais la commission Bronner ne contient pas :

  • De spécialistes du droit de la communication, ni de professeurs de droit, ni d’avocats ni de magistrats spécialisés dans ce domaine, alors qu’elle se fixe comme objectif de modifier notre droit des médias.
  • Cette commission, censée lutter contre la désinformation, ne comprend pas non plus les représentants des GAFA qui censurent tous ceux qui diffusent des informations contraires « au consensus de l’OMS et des autorités locales ».

Les GAFA constituent un progrès en terme d’accès à la connaissance mais ils comportent aussi leurs zones d’ombre avec :

– leurs algorithmes particulièrement obscurs, comme l’a relevé le dernier rapport du CSA relatif aux fausses informations

– leur double jeu d’hébergeur/éditeur leur octroyant la possibilité de supprimer des millions de contenus au motif qu’ils seraient contraires au consensus sanitaire de l’OMS et des autorités locales.

Rappelons à ce sujet que France Soir a été non seulement désindexé de Google actualités mais aussi de YouTube, et que, en août dernier, Google a décidé de supprimer ses services publicitaires, le tout au motif que son contenu ne serait pas conforme au consensus sanitaire.

Ce qui est à proprement parler scandaleux pour la liberté d’expression.

Surtout quand on sait qu’il y a des accords entre ces GAFA et l’industrie pharmaceutique, l’OMS, les Etats et des médias « main stream » « fact checkers ».

  • Ne sont pas également présents, au sein de cette commission, les représentants des médias alternatifs, lesquels ont été censurés, et qui sont régulièrement traités comme de dangereux « complotistes » porteurs de désinformation.

 

Objet de la commission

Avec cette commission, le Président Macron dit vouloir souhaiter un large débat sur l’impact de l’internet sur l’information.

Mais est-ce qu’il ne faudrait pas aussi parler du problème de l’indépendance des médias et de la propagande dont ils peuvent être vecteurs ?

Parler du complotisme c’est bien mais il serait utile aussi de parler de la propagande de l’Etat, des risques des médias dits « mainstream », et de leur régulation.

Mais comment débattre de ce sujet sans les acteurs mêmes de ce débat ?

Le Président de la commission, le professeur Bronner, dit vouloir lutter contre la polarisation de l’information.

Mais on peut se demander si cette commission n’est pas elle-même polarisée, biaisée.

Comment la lumière pourrait-elle jaillir de cette commission avec des gens qui pensent la même chose, sans qu’il y ait un véritable débat, avec des spécialistes de la matière ?

Après il ne faudrait pas croire que le tableau est uniquement noir.

Il y a aussi quelques touches de lumière.

La Commission Paritaire des Publications et des Agences de Presse (CPPAP) a en effet renouvelé, le 15 mars dernier, la qualité de service de presse en ligne et le certificat IPG de France soir.

Et il faut sincèrement remercier, au passage, Roselyne Bachelot, ministre de la Culture, et plus exactement la commission d’avoir renouvelé ce certificat.

Mais à quoi ce certificat sert-il, en même temps, si une association a la possibilité de supprimer les dons défiscalisés qu’il permet ?

L’association J’AIME L’INFO a en effet, le 30 septembre dernier, coupé la possibilité pour le site FRANCE SOIR de percevoir des dons défiscalisés, et l’a dénigré sur Twitter en affirmant qu’il propage de fausses informations.

Au sein de la commission, ne faudrait-il pas discuter de ces sujets, réfléchir à mieux réguler ce type d’association ?

Ne faudrait il pas aussi parler de la haine contre toute information dite « alternative », et immédiatement qualifiée de « fausse information », de « complotiste », de « radicalisée », voir d' »extrémiste »? 

Dénigrer, diffamer, insulter, harceler, menacer : est ce informer ou désinformer ?  

Enfin la commission BRONNER se fixe comme objectif de définir « un consensus scientifique » relatif à l’impact de l’Internet sur l’information.

Mais pour arriver à un consensus, encore faut-il qu’existe la possibilité d’un débat préalable tant dans le choix des personnes qui y participent, que dans son objet.

Espérons que cet article puisse, à son modeste niveau, contribuer au débat.

 

Arnaud DIMEGLIO

Avocat à la Cour, Docteur en droit, Titulaire des mentions de spécialisation en droit de la propriété intellectuelle, droit des nouvelles technologies, droit de l’informatique et de la communication.
Bureau principal : 8 place St. Côme, 34000 Montpellier,

Bureau secondaire : 10 avenue de l’Opéra, 75001 Paris,
Tel : 04.99.61.04.69, Fax : 04.99.61.08.26

http://www.dimeglio-avocat.com

jeudi 21 octobre 2021

la corruption, la corruption et la corruption

 "trois catégories de problèmes : 

la corruption, la corruption et la corruption"



Idriss Aberkane
IA/FS
Publié le 09/12/2020 à 17:56
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Nous recevons Idriss Aberkane, essayiste, conférencier et consultant, à la parole libre et tranchante, qui nous parle de la pandémie, de la gestion de la crise, de "l'état actuel de la science" qui fut tant abîmée dans cette crise, de corruption et de ses engagements personnels.

Retrouvez son debriefing : Vidéo

Auteur(s): FranceSoir

Observatoire contre le Complotisme., une manipulation de plus.

"L’État français est un des plus gros producteurs de fake news"

Un complot c'est quoi ? 
Il y a complot dès que deux personnes ou deux entités se liguent pour nuire à une troisième. 

Dans l'affaire qui nous concerne, et c'est justement là, la manipulation c'est que sont qualifiés de complotistes des personnes qui ne sont simplement pas d'accord avec la traitement de l'information ou les  pratiques de ce Gouvernement. Et il ne s'agit nullement de porter tord mais de dénoncer cet état de fait et l'utilisation erronée de la sémantique. 
Et ce qui m'est incompréhensible c'est le nombre de médecins qui paraissent d'accord, alors que des scientifiques reconnus, n'ont pas suffisamment la parole dans les médias et leur savoir si stupidement ignoré. 
Comme disait Virenque dans les Guignol "on nous fait faire des choses à l'insu de notre plein-gré ?" 

Publié le 04/10/2021 à 17:00

Idriss Aberkane a relevé le défi ! Conférencier, essayiste, titulaire de plusieurs doctorats dans des disciplines aussi différentes que les sciences cognitives, la géopolitique ou encore la littérature comparée, Idriss Aberkane est consultant international, auprès de gouvernements et d'entreprises, avec pour sujet de prédilection le développement durable.

S'intéressant toujours à ses premières amours, la biologie ou les mathématiques, il dénonce le niveau de corruption inédit de l'industrie pharmaceutique comme il l'avait évoqué dans un debriefing en décembre 2020. Un exemple : la déclaration d’un éditorialiste de CNN qui affirmait que l’ivermectine était un vermifuge pour chevaux.
 
Or, si l’ivermectine est effectivement à usage vétérinaire, cette molécule multi-thérapeutique qui a été découverte par un prix Nobel de physiologie en médecine, était indiquée chez l’homme avant d’être prescrite en médecine vétérinaire. La vérité étant dans la totalité d’une information, celle-ci, si elle est incomplète, la transforme en mensonge aggravé.

Il fustige le « deux poids, deux mesures » en matière de preuves demandées pour les différentes molécules thérapeutiques, des exigences nulles pour certains traitements coûteux et innovants, tandis qu’il est demandé à des molécules repositionnées un niveau de preuve toujours plus élevé.

 


Rappelant le parcours exceptionnel du professeur Raoult, il regrette une époque où l’on peut dénigrer les plus grands savants du jour au lendemain. A ce propos, il cite Malcolm X qui avait dit dans les années 60 : « Méfiez-vous des médias : ils peuvent vous faire adorer votre oppresseur et vous faire détester les opprimés ».

Sur la décision du président Macron de créer un observatoire contre le complotisme destiné à contrôler les fausses informations, il déplore une idée catastrophique alors que l'État en est un plus gros producteur de fake news. Le pouvoir médiatique étant l’un des plus puissants, l’enquête ne peut revenir in fine qu’au peuple, seule entité rigoureuse et légitime pour vérifier, recouper, échanger, discuter et contredire l’information. Pour cela, il réclame un journalisme citoyen, le combat du terrorisme intellectuel, l’arrêt immédiat d’un système qui promeut de fausses élites et le retour à la méritocratie.

Idriss Aberkane, au Défi de la vérité.

F. Froger / D6


Auteur(s): FranceSoir


Ego surdimensionné ou ânerie mesurée.

 


Alors que nombreux pays reviennent sur les mesures coercitives mises en place, en France des dirigeants à l'égo surdimensionné persistent et signent.  Le quotidien du français moyen devient de plus en plus difficile, mais là ils abdiquent.  

La stupidité gouvernementale a atteint là son paroxysme. Lorsqu'une Démocratie, fusse-t-elle corrompue tient si peu compte des difficultés de ses administrés, est-elle encore une Démocratie ? 

Olivier Veran  (neurologue et ministre de la santé !) alors qu’est de notoriété publique que le vaccin ne protège pas la personne à qui on l’a inoculé et pas d’avantage son contact. Ces hommes, Macron y compris, entêtés jusqu’à l’inimaginable prolongent le pass-sanitaire et obligent les instituteurs à demander le dossier médical des élèves que ces ... appellent "vigilance sanitaire". C'est illégal. 
Vigilance sanitaire Un vocable choisi pour induire en erreur.  C'est de la sémantique qui ne sert pas à la population, mais exclusivement à la contrôler. 

Pas-a-pas, Macron et son gouvernement  poursuit une politique digne de la plus parfaite Dictature sous une argumentation apocryphe !

Tous les jours nous devons faire face à un « tour de vis » qui s’explique davantage pour satisfaire l’égo surdimensionné d’un homme sans état de conscience qui s’est pris pour un Président démocratique alors qu’il est un despote.  

Or ce tyran, assure d’avantage le contrôle des populations que les mesures qui lui permettrait de résister au Covid.

Mais nous savons aujourd’hui que ce n’est pas sa priorité. 

Macron porte l’arrogance sur sa figure mais Veran à l’air un peu idiot. Non ?  Car c'est là aussi une évidence, pour rester dans ce Gouvernement il est nécessaire d'être poltron ou médiocre, sans doute les deux.  


mercredi 20 octobre 2021

DECODER L'ECO

 


Vidéo, déjà postée sur les réseaux sociaux, mais trop importante pour ne pas la repasser.

Elle démontre les mensonges et manipulations de Macron et son Gouvernement, les complicités de tous ceux qui ont le même intérêt que lui. 

https://www.youtube.com/watch?v=MLMGnfeu_zk

Le serpent à sept têtes.

 



Vous connaissez tous le serpent à sept têtes, non, non ce n’est pas Macron. Macron est la couleuvre à qui ont tient la queue, qui a la tête hors de l’eau et qu’une de sept têtes avalera dès qu’il n’obéira pas. 

En attendant les têtes lui dictent tout ce qu’il doit faire, dire ou penser.

Il ne faut donc pas s’étonner que tout ce qu’il ordonne soit dirigé contre la France et les français. Il n’en parle pas, mais il a fourni toute son énergie pour que la courbe de la dette française soit exponentielle. Il n’en à rien à faire, puisque dès sa déroute à  l’élection présidentielle s’en ira compter ses millions dans un purgatoire seul connu de lui et ses complices.   


Le Général de Gaulle, avait une Moralité irréprochable.

 


    Tout est dit.

 Lorsqu’un dirigeant politique constate autant de personnes qui en chantant ou en manifestant décrient sa gestion, lorsqu’il a un peu de probité, il démissionne.

C’est vrai qu’entre le microbe qui s’est pris pour le roi et le Général de Gaulle il y a une différence de Taille, mais aussi d’Intelligence, mais surtout de Moralité.

L’un était honnête et œuvrait pour le bien de la France e les français, l’autre est un aigrefin qui sans scrupules vent la France, et les droits du Peuple au plus offrant.      



Le nouveau LOTTO

mardi 19 octobre 2021

Permis de Résidence !!!

Alors qu'il est Palestinien de Mère française. Israël s'autorise à le priver de sa résidence. Et dire que Macron cautionne ces crimes et finalement agit comme eux face aux français. Ce sont des "hommes" sans état de conscience, des animaux en quelque sorte. Dis-moi qui tu imites je te dirai quel criminel tu es. Et Macron ne fait pas qu'imiter la politique sécuritaire d'Israël, il l'à cautionne. Hitler aurait été satisfait de trouver un "colabo" tel que Macron. 




19/10/21 Communiqué Salah Hamouri 

Révocation de son permis de résidence permanente 

La ministre de l'Intérieur israélienne va révoquer officiellement le permis de résidence permanente de l'avocat Salah Hamouri Tôt ce matin, Salah Hamouri, Franco-palestinien de 36 ans, défenseur des droits humains et avocat à l'association Addameer pour le soutien aux prisonniers et la défense des droits humains, lui-même ancien prisonnier, a été notifié officiellement de la décision de la ministre israélienne de l'Intérieur de révoquer son permis de résidence permanente, décision fondée sur la “violation d'allégeance”. 

Cette décision découle de l'approbation du procureur général israélien Avichai Mendelblit et du ministre de la Justice Gideon Sa'ar. Dans sa décision, la ministre de l'Intérieur met en exergue qu'une telle décision est en accord avec les recommandations du Comité, fondés sur les précédentes arrestations de Salah et d'autres “informations secrètes” que l'on ne peut dévoiler. 

Elle ajoute qu'une telle décision est nécessaire pour “dissuader d'autres personnes de violer l'allégeance à l'Etat d'Israël.” En tant que défenseur des droits humains qui conteste les violations massives et systématiques des droits humains par Israël et qui lance des appels légitimes à la justice et la responsabilité, Salah et sa famille subissent des tentatives d'intimidation constantes de la part d'Israël, parmi lesquelles des arrestations arbitraires, l'interdiction de pénétrer en Cisjordanie pendant presque 16 mois et l'expulsion de son épouse, Elsa Lefort, ressortissante française, le séparant ainsi de sa femme et de son enfant en 2016. 

Précédemment, le 3 septembre 2020, les autorités d'occupation israéliennes avaient notifié à Salah Hamouri l'intention de la ministre de révoquer son statut de résident permanent au prétexte de la supposée “violation d'allégeance” à l'Etat d'Israël. Salah et son avocate, Léa Tsemel du Centre Hamoked pour la défense des personnes, ont soumis des demandes écrites et verbales, contestant cette décision. 

Inquiétude devant la menace imminente de voir révoquer son statut de résident, ce qui dénie à Salah les droits humains élémentaires: avoir une vie de famille, la liberté de mouvement et de résidence, y compris le droit de quitter son pays et d'y revenir, la liberté d'expression tels qu'inscrits dans l'Article 19 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques de même que le droit de réunion pacifique et d'association, en application des Articles 21 et 22 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques. 

La politique de résidence, inscrite dans le régime de domination raciale et d'oppression d'Israël a pour but de maintenir la précarité de leur statut légal pour les Palestiniens de Jérusalem-Est et d'instaurer une majorité démographique de juifs israéliens dans la ville. 

Ainsi, le 7 mars 2018, le parlement israélien a adopté l'amendement à la Loi de 1952 d'Entrée en Israël, octroyant ainsi officiellement au ministre de l'Intérieur la prérogative de révoquer le statut de résidence permanente sur la base de la “violation d'allégeance”. 

La politique israélienne de révocation des droits de résidence pour les Palestiniens de Jérusalem viole l'Article 43 du Règlement de La Haye et l'Article 64 de la Quatrième Convention de Genève, qui stipule que la puissance occupante ne peut pas agir comme un législateur souverain ou étendre sa propre législation au territoire occupé. 

De plus, le critère d'allégeance à Israël est illégal. En fait, le droit humanitaire international interdit explicitement à la puissance occupante d'exiger de la population occupée l'allégeance, tel que spécifié dans l' Article 45 du Règlement de La Haye et l'Article 68 (3) de la Quatrième Convention de Genève. 

En outre, le transfert des Palestiniens de Jérusalem-Est occupée est considéré comme un crime de guerre selon l'Article 8 du Statut de Rome de la Cour Pénale Internationale, et une grave violation des Articles 49 et 147 de la Quatrième Convention de Genève. 

Comme la politique de révocation de résidence s'inscrit dans une politique de transfert massive et systématique qui vise directement une population civile, cela peut équivaloir à un crime contre l'humanité selon l' Article 7 du Statut de Rome. 

Traduction Claude Leostic Note  depuis 1980, 14 000 palestiniens de Jérusalem Est se sont vus retirer leur permis de résidence  Près de 100 000 palestiniens d’AL Ram, Abou Dis quartiers de Jérusalem Est, séparés de la ville par le mur subissent les plus grandes restrictions pour aller à Jérusalem Est Cette politique d’épuration ethnique est un crime contre l’humanité.

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1. Hague Convention (IV) Respecting the Laws and Customs of War on Land and Its Annex: Regulations Concerning the Laws and Customs of War on Land (adopted 18 October 1907, entry into force 26 January 1910) (henceforth the “Hague Regulations”) 2. Article 43, Hague Regulations, and Article 64, Fourth Geneva Convention. 3. Article 45, Hague Regulations, and Article 68(3), Fourth Geneva Convention. 4. Rome Statute of the International Criminal Court (adopted 17 July 1998, entry into force 1 July 2002) 2187 UNTS 3. (henceforth “Rome Statute”) 5. Geneva Convention Relative to the Protection of Civilian Persons in Time of War (adopted 12 August 1949, entry into force 21 October 1950) 75 UNTS 287 (henceforth “Fourth Geneva Convention”) 6. Article 7, Rome Statute