jeudi 10 janvier 2013

Prisonnier empoisonné



Gaza 9/01/2013

Le centre "Sawasya" association pour les droits de l'homme demande à la communauté internationale, qu'une enquête urgente soit diligentée sur les violations des droits de l'homme dans les prisons israéliennes à l'encontre de prisonniers palestiniens malades traités avec des médicaments destinés à soigner les chiens.
Après l'hospitalisation d'un des prisonniers -hors de la prison- le médecin lui à confirmé que le médicament administré à la prison était utilisé pour soigner les chiens.

La victime à porté les faits à la connaissance de l'administration pénitentiaire, qui a admis que ce cas n'est pas unique, des soupçons subsistaient mais les prescriptions ne comportant pas le nom du médicament, il n'y avait des suites.

Le centre "Sawasya" s'inquiète de ces pratiques illégales de l'administration pénitentiaire israélienne et lance un appel au Comité international de la Croix Rouge sur cette situation tragique dans les prisons israéliennes.  



Il reste à espérer que ce ne sont pas les mêmes Juifs qui dénoncent l'antisémitisme ça et là, et qui se livrent au racisme le plus pur.   
 

mardi 8 janvier 2013

Un responsable israélien favorable au choix de Hagel au Pentagone



Un responsable israélien favorable au choix de Hagel au Pentagone
mardi 8 janvier 2013 08h58

JERUSALEM, 8 janvier (Reuters) - Danny Ayalon, vice-ministre des Affaires étrangères israélien et ancien ambassadeur d'Israël aux Etats-Unis, s'est déclaré mardi, dans les colonnes du quotidien Yedioth Ahronoth, favorable au choix de Chuck Hagel comme nouveau secrétaire américain à la Défense.
"Je l'ai rencontré à de nombreuses reprises, et il considère assurément Israël comme un allié véritable et naturel des Etats-Unis", a déclaré le vice-ministre des Affaires étrangères Danny Ayalon.
Barack Obama a confirmé lundi soir sa décision de nommer l'ancien sénateur républicain du Nebraska Chuck Hagel pour remplacer l'actuel secrétaire à la Défense, Leon Panetta, qui souhaite se retirer.
La ratification du choix présidentiel par le Congrès risque cependant d'être difficile, ses détracteurs rappelant qu'il s'est opposé aux sanctions contre l'Iran et qu'il a aussi un jour critiqué l'influence de ce qu'il a appelé le "lobby juif" à Washington.
Un responsable du gouvernement israélien resté anonyme a en revanche estimé dans les colonnes du quotidien pro-Netanyahu Israel Hayom que le choix de Chuck Hagel était une "très mauvaise nouvelle", ajoutant: "Clairement, cela ne sera pas facile avec lui".
Beaucoup d'analystes israéliens estiment que Barack Obama entend continuer à donner le ton des relations entre les deux pays, et que le choix de Hagel au Pentagone, s'il est confirmé par le Congrès, lui permettra de "jouer au 'bon flic'" avec Netanyahu.
Donné favori pour les élections législatives du 22 janvier, le Premier ministre israélien n'a pas encore commenté cette nomination.
Chuck Hagel a quant à lui cherché à faire taire les critiques en expliquant lundi au Lincoln Journal Star que son bilan témoignait de son "soutien sans équivoque, total envers Israël" et qu'il avait "déclaré à de nombreuses reprises que l'Iran est un "Etat qui soutient le terrorisme."
"Faire avancer le processus de paix au Proche-Orient est dans l'intérêt d'Israël", a-t-il ajouté.
Moshe Arens, ancien ministre israélien de la Défense, a relativisé l'impact d'une nomination de Chuck Hagel sur la stratégie d'Obama. "Aux Etats-Unis, la politique est faite par le président, pas par les membres du gouvernement", a-t-il déclaré à Reuters. (Dan Williams, Hélène Duvigneau pour le service français)

C'est une évidence, les Américains sont très mal placés, pour défendre une vision juste et durable de la paix au Proche-Orient.
Si les USA avaient une volonté réelle et véritable d'instaurer la paix, ils n'auraient pas cautionné des entretiens où Israël s'est toujours taillé "la part du lion", sans que les Palestiniens puissent s'y opposer.
Les raisons des traitrises américaines son multiples et diverses, mais il y en a une qui prévaut les autres, c'est l'influence que le lobby juif obtient grâce au financement des candidats à la présidence.
Que les USA le veuillent ou non, ils ne sont pas maitres de leur destin, pas plus que les européens le sont du leur.
Cependant, il faut reconnaitre, que si en Amérique l'influence juive ou pro israélienne est due à ses lobbys, en Europe nous élisons de hommes/femmes qui, juif ou non, sont favorables à Israël et non seulement cautionnent les crimes que ces derniers commettent mais encore ils les absolvent.
Il faut reconnaitre, ou alors il faudrait admettre que nous n'avons pas encore atteint notre maturité intellectuelle, que, aussi bien l'Amérique que l'Europe sont sous influence juive, qui se traduit par l'aliénation des Etats aux actionnaires des banques privés, que nous savons à 80% à capitaux juifs.

La Palestine est l'outil indispensable au sionisme, mais surtout à l'influence juive pour imposer sa volonté. Les uns menaçant d'utiliser l'arme nucléaire, s'ils ne peuvent mettre en pratique leur politique inique, quelque fusse son degré d'illégalité, les autres sachant que quelque soit l'escroquerie ou l'utilisation qu'ils font du mandat que nous leur avons confié, trouveront toujours une terre d'accueil. Politique qu'il faut défendre ou accepter le risque se se voir "disqualifié"  pour une réussite politique, professionnelle, sociale, économique [...].