samedi 12 juillet 2014

Les soldats israéliens ont volé des biens palestiniens pour une valeur de 3 millions de dollars



 Qui pouvait faire cela ? Les descendants des Hébreux. Ces Hordes qui de tous temps arrivaient dans ce qui ne s'appelait pas encore Palestine pour voler des terres qui ne leur appartenaient pas. Aujourd'hui nous assistons à la suite logique de ces va-nous-pieds.
Comment des officiels peuvent non seulement soutenir ces criminels mais encore présenter leur soumission ?

Euro-Mid
12-07-2014

Durant la campagne répressive de trois semaines, que les forces d'occupation israéliennes ont lancé en Cisjordanie, en théorie pour retrouver les Israéliens enlevés, l'armée et la police israéliennes ont effectué une moyenne de 18 missions par jour dans les maisons palestinienne, les ONG et les entreprises. Ces forces ont volé de l'argent et des biens dont la valeur a été estimée à 3 millions de dollars, selon l'information de :

"Si l'objectif des forces israéliennes était de trouver des jeunes et leurs ravisseurs, pourquoi ont-ils confisqués tant d'effets personnels, sans  aucun reçu ou document écrit qui les rend responsables de effets confisqués, demande Ihsan Adel, membre de l'équipe juridique de l'Euro-Mid. "Dans une région appauvrie comme la Cisjordanie, et que ce sommes d'argent et objets volés sont essentiels pour les entreprises et les familles".

L'investigation d'euro-Mid a documenté le vol de $ 370,000 en espèces au cours des 387 dossiers examinés, ainsi que les objets et évalués à 2,5 millions $, dont des voitures, des ordinateurs, des téléphones portables et des bijoux. Argent et des objets ont été volés dans les maisons, les universités, les cliniques, les organismes des médias et de change. Toutefois, Euro-Mid pense que ses estimations sont sous évaluées, puisqu'il ya des familles et des organisations qui ont été incapables de relier tous les éléments manquants et de nombreux vols n'ont pas encore été signalés.

Le vol de l'argent et des biens appartenant à des civils palestiniens et des organisations civiques est une violation des articles 27 et 33 de la Quatrième Convention de Genève, qui interdit le pillage et les représailles contre les civils et leurs biens.
«Les gouvernements et les organisations des droits de l'homme dans le monde devraient immédiatement ordonner une enquête indépendante sur le pillage», dit Ihsan Adel.
«La communauté internationale doit également exiger que le gouvernement israélien fournisse aux palestiniens les moyens officiels pour qu'ils puissent déposer leurs réclamations, afin qu'ils retrouvent leurs biens ou une compensation adéquate sans délai." L'Euro-Mid Observer for Human Rights est une ONG à but non lucratif qui défend les droits de l'homme, dénonçant les violations. L'organisation a son siège à Genève, en Suisse, et possède des bureaux régionaux au Moyen-Orient.

mercredi 9 juillet 2014

États-Unis et l'OTAN: un marché de dupes



Ce "post" décortique, avec une précision chirurgicale, la politique nauséabonde que l'Occident déploie en général et en particulier en Ukraine. Comme en Égypte un président élu est renversé avec l'aide financière et "logistique" de la C.I.A. avalisé par cet Occident, que seul les êtres stupides peuvent encore croire démocratique.
Pour faire quoi ? Y installer un fantoche, qui sauvegardera les intérêts de l'Occident qui finance, cautionne et justifie les crimes israéliens depuis plus de 60 années. 

Sous cet angle, on comprend mieux pourquoi, par exemple, Laurent Fabius, juif (ce qui ne regarde que lui, pro israélien ce qui nous concerne, par la caution qu'il donne, entant que ministre des Affaires étrangères "Français") et a menée une politique outrageusement a charge contre le dirigeant Syrien, Bachar el-Assad, et s'est investi avec un acharnement démesuré (avec l'autre perroquet BHL) contre le Président de l'Ukraine, qui avec Obama (président aux ordres), ont agi au nom de l'Occident, moins pour déstabiliser le pays que pour nuire a Poutine, qui s'oppose clairement à la politique criminelle d'Israël.

Dans la déstabilisation d'un pays, d'une guerre y compris si elle est nommée: ethnique, économique (ce qui est souvent vrai) ou religieuse, il y a derrière cette sémantique la sauvegarde des intérêts occidentaux et de l’état illégal qu'est Israël. Tout ce petit monde, (ceux cités mais aussi la quasi totalité des dirigeants occidentaux) obéissent aux chantres globalisants du groupe "Bilderberg", dont un des principaux éléments est : (pour ne citer quelle : la famille Rothschild qui investit son influence et ses capitaux dans la pérennisation de l'Etat illégal). Et à coté de ces escrocs, qui dessinent la cadre de la politique mondiale à mener, principalement pour les dirigeants occidentaux, il y a les, soi-disant, "malins" à l'origine de la crise des Supprimes, crise financière internationale avec, entre autres, la banque Golman-Sach, l'escroc Maddof [...], (la Cabale du Sentier à Paris, dont le principal protagoniste est aujourd'hui réfugie en Israël ou l’escroc aux grandes entreprises réfugie, lui aussi en Israël), qui avec leurs mentors n'ont pas d'autre lait-motif que de confisquer le fruit du travail des autres, usant, sans vergogne, du mensonge, l'hypocrisie et la manipulation.
L'espérance que l'on avait placée dans Obama a été anéantie par son manque de courage, son carriérisme, et surement sa cupidité.
Quand aux dirigeants Anglais, Français, Allemands..., on savait dès le départ que nous n'avions rien à étendre de loyal. Ils sont des êtres normaux : cupides, jouisseurs, amoraux.

Ne croyez pas que le sionisme ou les Juifs soient l'origine de tous les maux. Non, ils sont, par leur dispersion et leur népotisme un rouge important de l'organisation qui pour parvenir à ses fins a besoin de phagocyter les instituions nationales et internationales. Il faut cependant reconnaitre que pour pérenniser Israël, il faille ruser et  tenter de neutraliser tout concept qui pourrait le mettre en cause. [L’État illégal s'est réalisé sur le non respect des Droits du Peuple de Palestine, par les massacres, le vol et la spoliation ] Le but de ces globalisants est de : "nous faire aimer (admettre) le destin auquel nous ne pouvons échapper..."      


     
Le vieux reflexe.
02-07-2014

Le coup d'Etat consumé en Ukraine le 22 Février, 2014 (avec le soutien financier, logistique, le conseil et la protection diplomatique de l'Union européenne et les États-Unis) a ouvert une dangereuse crise qui a déclenché le désordre dans le pays et menace de sombrer dans le chaos et la guerre civile. Le conflit diplomatique entre l'Union européenne, les États-Unis et la Russie au cours de la crise, et le croisement  d'accusations mutuelles, ainsi que la désinformation de la presse internationale, ont créé un miroir déformé Washington veut y voir reflétée la supposée responsabilité de Moscou.

L'hystérie anti-russe attisée depuis la Maison Blanche occulte la réalité, et les mensonges et les manipulations les plus éhontées occupent les pages des journaux occidentaux, les nouvelles télévisées et des conférences de presse d'Obama et de responsables de l'OTAN. L'une des plus grossières a été perpétrée par le président des États-Unis, la défendant, dans sa conférence de presse avec Mme Merkel, le 2 mai, le cabinet à l'origine du coup d'Etat comme le gouvernement ukrainien "dûment élu".

Il convient de rappeler que toutes les décisions du gouvernement ukrainien, à l'origine du coup d'Etat, découlent de l'illégalité, et que les protestations postérieures au coup d'Etat naissent, précisément, en grande partie du rejet de la population, en particulier dans le sud et l'est, à un gouvernement imposé. Pour commencer, les accords signés entre l'opposition et le gouvernement de M. Yanoukovitch, le 21 Février, sous la supervision des ministres européens des Affaires étrangères, ont été transgressées dès le lendemain. Le retrait de la police des rues de Kiev (contrairement aux accords) n'a pas conduit à la création d'un gouvernement commun de transition, comme convenu, mais à l'occupation de tous les organismes gouvernementaux par les forces d'extrême droite qui s'étaient auto-programmés la voix de manifestants de Maidan. Ensuite, toutes les dispositions constitutionnelles ont été violées. Le parlement, sous l'œil attentif (même dans les sièges et des couloirs) de voyous fascistes de Svoboda et Pravy Sektor, vota la destitution de M. Yanoukovitch avec 328 voix pour et aucune contre. Les putschistes sont parvenus   à acheter des députés du Parti des régions, menacés par la brutalité fasciste. La Constitution de 2004 a été restaurée de manière irrégulière. Mais peu importe l'illégalité. Washington avait donné son feu vert, et avait déjà décidé d'un gouvernement présidé par Yakseniuk, qui a pensait  pouvoir offrir un aspect plus "civilisée" des voyou de Maidan.

La Constitution établissait que pour destituer un président, le parlement devrait créer une commission d'enquête qui représente un rapport motivé et, si le parlement l'acceptait par une majorité des deux tiers, pouvait suffire, alors, devant la Cour suprême à la destitution du président, et, si le Tribunal ainsi l'appuyait, le Parlement devrait réexaminer la question et, maintenant avec une majorité des trois quarts, pourrait destituer formellement le président. Il s'agissait d'un processus garant de la légalité, comme il en existe dans d'autres constitutions dans le monde. Aucune de ces étapes ne s'est accomplie, et n'a même pas réussi à réunir le Parlement, gardé par des voyous fascistes, la majorité requise de 338 députés sur un total de 450. Il était évident que  M. Yanoukovitch ne pouvait pas être destitué, mais Washington avait déjà décidé d'entre trminer avec le gouvernement élu, à n'importe quel prix. Ainsi était consumé le coup d'Etat, avalisé par les États-Unis et l'Union européenne, et bien que doté d'une maladroite façade démocratique, la machine de propagande occidentale s'est mise en marche, tandis que Washington imposait qui devait présider le gouvernement. Dès lors, aucun média relevant de la presse internationale a parlé d'un gouvernement putschiste, et les chancelleries occidentales ont reçu les protagonistes, les ont soutenus et ont donné un traitement de chef d'Etat a aux protagonistes d'un coup d’État. Et est toujours en place le "gouvernement intérimaire" ou, sans plus, le gouvernement de Kiev.

Après le coup d’État, débuta la persécution des opposants, à commencer par les communistes, avec l'incendie de ses bureaux, l'emprisonnement et même l'assassinat de ceux qui résistaient au coup d'Etat. Un des leaders ultranationalistes, Oleg Liachko, arrêta, avec d'autres voyous, et battu, le député du Parti des Régions, Arsen Klinchaev, et d'autres ruffians et députés du parti fasciste Svoboda ont maltraité et battu le directeur de la télévision publique ukrainienne, Oleksander Panteleimonov, le forçant à démissionner. Oleg Tsarev, un chef de file du Parti des Régions et candidat à la présidence, a été sauvagement agressé par les fascistes à Kiev et Odessa, et s'est retiré de la campagne électorale en raison de l'impossibilité pratique de parler dans la plupart des régions du pays. Ce ne sont que quelques exemples, parce que le climat de persécution et de peur s'est répandu dans toute l'Ukraine.
Le 27 Avril, l'extrême droite a organisé une marche à Lvov (centre du nationalisme ukrainien) pour commémorer le 71e anniversaire de la création de la division nazie de la Waffen-SS Galicien. Dans l'est et au sud du pays, la crise ouverte par le coup d'Etat a suscité les protestations qui ont conduit à un référendum en Crimée, où la population a décidée de rejoindre la Russie, tandis que croissaient les  rébellions dans l'est et le sud, à Donetsk, Kharkiv, Lougansk, Odessa, et d'autres villes.

La répression ne s'est pas fait attendre, accompagné du silence de l'information de la presse occidentale sur les excès du nouveau gouvernement à l'origine du putsch, comme les années Mussolini en Italie, les ultranationalistes et fascistes ont empêché le leader communiste Simonenko de parler au Parlement et l'ont agressé physiquement. Ils n'ont pas réussi, cependant, à le bâillonner. Les paroles du leader communiste ont été sévères: il a dénoncé que pour la première fois dans la courte histoire de deux décennies de l'Ukraine indépendante, un gouvernement a utilisé l'armée contre les citoyens du sud et sud-est, qui exigeait la reconnaissance du russe comme langue co-officielle (une des premières décisions des putschistes a été de l'annuler), un système fédéral, que rejetait un gouvernement que personne n'avait élu.
Les sympathies de ce Parlement ukrainien dans les mains de l'extrême droite sont claires: a décidé, par exemple, d'impulser un projet de loi pour annuler la fête le 9 mai, une journée qui rappelle la défaite du nazisme et la victoire de l'Union soviétique dans la Seconde Guerre mondiale.



La machine, bien huilée, de la propagande occidentale à exacerbée immédiatement l'hystérie anti-russe, jouant avec des malentendus, des mensonges et des platitudes sur une nouvelle guerre froide... que Moscou n'a pas l'intention d'initier. Entre autres raisons, parce que la forteresse russe actuelle loin d'être la même que celle de l'Union soviétique, et, en plus, parce les affrontements d'après-guerre n'ont pas été déclenchée par Moscou. Les supposées troupes russes dépliées en Ukraine, selon Washington, n'ont pas été vues en aucun lieu, et celles qui se trouvaient en Crimée (n'ont pas augmenté) elles étaient ce qu'elles ont toujours été en vertu d'accords entre Moscou et Kiev, en relation avec la base navale de la flotte russe méditerranéenne à Sébastopol.

En outre, deux questions très importantes ont été ignorées par les chancelleries occidentales et par les médias connexes:
  • D'abord, la responsabilité du coup de Maidan dans l'action des mystérieux snipers, le 20 Février, qui ont assassiné plus de vingt personnes dans les rues de Kiev, action qui a été immédiatement attribué au gouvernement de M. Yanukovich et que pourtant tout désigne le contraire, et ont agi pour le compte de l' "opposition pro-européenne", les révélations d'Alexander Yakimenko, chef de la sécurité,  sont contondantes, et l'implication du «commandant» du Maidan, Andrei Parubíi, et l'ambassade américaine, ne fait aucun doute. La provocation et la tuerie a été non seulement reconnu, en privé, par des ministres et responsables de l'Union européenne, mais aujourd'hui, à la fois le gouvernement putschiste de Kiev, comme l'Union européenne et les Etats-Unis, refusent de créer une commission d'enquête sur les faits. Ils se bornent à les étouffer.

  • La deuxième question est l'implication de mercenaires occidentaux dans les premières manifestations. A côté de la grossière ingérence des ministres européens, (ainsi que notre imbécile de service: BHL) des fonctionnaires et des sénateurs américains appelant au renversement du gouvernement de Yanukovitch  et au soutien politique et diplomatique de l'opposition, des groupes de mercenaires ont alors agi en ravivant les affrontements et  aidant à créer le chaos nécessaire pour justifier le coup d'Etat. Ensuite, les mercenaires ont collaboré à la répression des manifestations, et agissent pour le compte du gouvernement putschiste dans les différentes régions du pays. Sergueï Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères, a dénoncé la présence et la participation d'au moins cent cinquante mercenaires de la compagnie Greystone, une organisation qui a été liée à Blackwater, la compagnie de mercenaires qui a effectué des massacres en Irak.

Greystone a été fondée par un membre de la compagnie d'opérations spéciales de la Marine nord américaine. En Avril 2012, Greystone a annoncé sur son site internet qu'il avait remporté un contrat majeur dans le "Caucase", sans plus de détails. Avec le langage cynique des marchands de guerre, ces entreprises de mercenaires déclarent qu'ils se dédient a offrir des "services et des solutions de sécurité" pour les gouvernements du monde entier. En réalité, se sont des entreprises de véritables assassins professionnels, prêts à tout, et travaillent souvent pour le compte du gouvernement américain. L'Ukraine est maintenant pour eux un terrain d'essais.

L'hystérie anti-russe a continué avec Anders F Rasmussen, Secrétaire général de l'OTAN, qui a alarmé le monde avec le mensonge que «des dizaines de milliers de soldats russes prêts pour la bataille, attendaient à la frontière avec l'Ukraine», accusant Moscou de "subvertir le pouvoir des autorités ukrainiennes", comme si le gouvernement putschiste était un cabinet élu par le peuple et non le résultat d'un coup d'Etat. Rasmussen, en dépit de l'évidence, a nié que l'OTAN se soit élargi en violation des accords et des garanties données à Moscou au début des années quatre-vingt-dix, et enthousiaste du langage guerrier, accuse Moscou de saper les fondements de la collaboration mutuelle. Derrière des déclarations de  Rasmussen, fut le tour du chef du Pentagone, Chuck Hagel, accompagné par le ministre polonais de la Défense, présentant une réalité déformée et alarmiste des intentions présumées de Moscou pour maintenir l'hystérie antirusse et justifier l'expansion de l'OTAN et son mouvement des troupes. Pour sa part, l'américain Alexander Vershbow, secrétaire général adjoint de l'OTAN, a présenté Moscou non comme un «partenaire», mais comme un ennemi, et affirma que pour "prévenir de nouvelles agressions russes" de l'OTAN allait moderniser les armées d'Ukraine, Moldavie, Arménie, Géorgie et Azerbeijan: sans se rendre compte, Vershbow a fait la démonstration du programme complet d'expansion de l'OTAN. Tandis que ces scènes se produisaient, avions de chasse français, américains et même canadiens, ont été transférés en Roumanie et en Pologne, accompagné du déploiement de plusieurs centaines de soldats américains en Pologne, Estonie, Lettonie et Lituanie. Sans craindre le mensonge, les dirigeants mensongers de l'OTAN et du Pentagone répétaient qu'il faut freiner l'expansion de la Russie, configurant ainsi le nouveau discours de l'OTAN.

A Kiev, les dernières scènes de l'hypocrisie nord-américaine a été la visite du directeur de la CIA, Brennan, visant à préparer l'offensive militaire à l'est du pays (visite que Washington a tenté d'occulter, niant les faits dans un premier temps,  puis forcé de l'admettre devant les preuves ensuite), puis la visite du vice-président Joe Biden, pour soutenir le gouvernement de droite. Ils étaient les garanties dont putschistes de Kiev avaient besoin: la préparation de l'offensive militaire contre la révolte dans l'Est a débutée immédiatement: au début de mai, le gouvernement de Kiev a lancé ses unités militaires contre l'Est, qui ont déjà fait plusieurs victimes dans Kramatorsk, dix morts dans Slaviansk, et me massacre d'Odessa, 46 personnes (pour la plupart membres du Parti communiste et d'autres forces de gauche) ont été brûlés vifs par l'extrême droite dans l'édifice des syndicats. La résistance de la population et les groupes d'autodéfense  ont rendu difficile les objectifs de Washington, mais la tendance vers la guerre civile avait commencé.


L'Europe, et surtout l'Allemagne, s'est montrée plus prudente, non seulement par la dépendance l'énergétique, mais parce que Berlin et Bruxelles sont conscients qu'ils n'ont rien à gagner dans une spirale de guerre ouverte, même si la pression américaine va les forcer à accepter le programme des "faucons"* de l'OTAN et du Pentagone. Au lieu de cela, l'attitude des gouvernements "clients" de Washington (tels que la Pologne et les États baltes), ainsi qu'à Londres et Paris sont plus susceptibles de suivre aveuglément les décisions des États-Unis. Les menaces et les sanctions économiques à Moscou, et l'envoi de navires de guerre américains en Mer Noire complété le plan d'isolation de la Russie, une véritable provocation, comme l'on affirmé les anciens chanceliers allemands Helmut Kohl, Gerhard Schröder et Helmut Schmidt.
Ce n'est peut-être pas pour rien que l'Allemagne plane au dessus des difficiles économiques rencontrés par tous ces apostats des administrations nationales. Ils préfèrent sans doute, les pots-de-vin, et favoriser des criminels.
Quelles sont les raisons pour lesquelles les États-Unis et l'Union européenne ont lancé une invitation similaire en Ukraine, une véritable provocation ?
  • Primo, poursuivre l'élargissement des territoires sous l'influence européenne et américaine, maintenir la pression sur l'ancien territoire soviétique, afin de réduire la zone d'influence de Moscou et provoquer une rupture irréversible des républiques qui jusqu'à il y a deux décennies ont vécu ensemble. Selon le raisonnement particulier des États-Unis, que l'Union européenne veuille étendre ses pays membres est raisonnable, mais si Moscou prétend la même chose pour son projet d'union douanière ... cette option devient une «expansion» qui menace le monde. Parce que Washington cherche l'isolement de la Russie. Le coup d'Etat de Kiev avait aussi des prétentions occultes: dénoncer et obtenir l'annulation des accords russo-ukrainiens sur l'établissement de la flotte russe à Sébastopol, Crimée, objectif que la réaction Russe a détruit par le retour de la Crimée à la Russie.
  • Secundo, les Etats-Unis veulent donner un nouveau rôle à l'OTAN**, avec une structure militaire renouvelée, après des années de confusion, cependant, n'a pas empêché l'intégration de tous les anciens pays socialistes d'Europe orientale et les pays baltes (en violation flagrante des accords de Paris de la dernière décennie du XXe siècle). (Ben oui, l'Ukraine a une façade sur l'Atlantique Nord, s'est connu de tous !!! Il n'y pas là confusion des genres ?) Parallèlement à cela, un programme complet de réarmement, qui a été revendiquée par Chuck Hagel, le chef du Pentagone, exigeant des alliés européens une augmentation des dépenses militaires.*** La perspective de l'intégration de l'Ukraine, la Géorgie, et même la Moldavie, aboutirait au siège de Moscou, qui perdrait ainsi, inclus l'influence sur la périphérie russe et serait condamnée à être une puissance régionale. La perspective d'une OTAN renouvelée, chevauchant l'hystérie guerrière (aujourd'hui, anti-russe, demain, anti-chinoise), et l'Union européenne et la Russie empêtrées dans des conflits bilatéraux, mettrait dans des meilleures conditions les États-Unis pour développer son grand défi des deux prochaines décennies: la lutte contre la Chine.
Qui, nous savons tous, détient une part très importante de -bons du trésor américain-. Et en toile de fond ces deux pays finiraient par ne plus s'opposer à l'avènement de l'Etat illégal...
[Dans la politique US, il ne faudrait pas oublier cet aspect des choses.]    
  • Tercio,  pourquoi Washington veut forcer l'Union européenne à un nouveau partage de la charge du réarmement: agiter l'épouvantail de l'expansion russe, y compris si c'est faux, il est utile de forcer Berlin, Paris et Londres à dépenser plus pour assurer le développement militaire de l'OTAN, un bras militaire que Washington envisage d'utiliser (comme il l'a fait en Afghanistan) dans de nouvelles zones de conflit, même s'il viole les propres traités de l'organisation. Obama et le Pentagone utilisent pour faire pression sur ses alliés,  des membres éminents de gouvernements clients, comme le ministre d'extrême-droite, de la Défense, polonais, Tomasz Siemoniak, qui n'a pas hésité à parler de "la nouvelle doctrine russe, qui protège les interventions brutales" affirmation sans que le perspicace ministre  ait remarqué les interventions militaires américaines à l'étranger.
  • Quarto, les États-Unis prétend briser les liens qu'on développé Moscou et Pékin ces dernières années, dans le domaine de la coopération stratégique, militaire et énergétique, bien que cet objectif soit difficile: la pression sur Moscou pour renforcer l'inclinaison de la Russie vers l'Asie. Toutefois, le Pentagone et la Maison Blanche chérissent l'idée d'obtenir l'isolement de Moscou, de renforcer la présence militaire de l'OTAN en Europe de l'Est et dans le Caucase, encercler les défenses militaires russes avec le bouclier antimissile, et faire de la Russie une puissance régionale qui assiste impotente à la réduction de son poids dans le monde.

Le désastre de l'Ukraine indépendante (avec les parties orange et bleu, les deux défenseurs de l'économie capitaliste et les participants dans le vol et la corruption) est qu'aujourd'hui le pays n'a même pas atteint le niveau économique de 1991: près d'un quart de siècle perdu. Et, au-delà de l'analyse de la crise créée en Ukraine par le coup d’État de Février, la question que doivent résoudre les forces politiques ukrainiennes et sa population de près de cinquante millions d'habitants est la viabilité d'une Ukraine éloignée et confrontée à la Russie. Tout indique que l'intérêt national ukrainien devrait être le renforcement des liens avec Moscou. Que le gouvernement de Poutine soit nationaliste et conservateur est, dans ce sens, une question secondaire. N'oubliez pas que le Parti communiste russe (qui est la deuxième force politique du pays) a sévèrement critiqué Poutine et parle de "régime criminel", sans que cela le mène a collaborez avec les efforts occidentaux de marginaliser la Russie, ou à compléter l'expansion de l'OTAN vers l'est.

Malgré l'hystérie anti-russe des médias occidentaux, Moscou n'est pas intéressé par l'aggravation de la situation en Ukraine, ni par le début d'une guerre civile. La situation économique en Ukraine est insoutenable, proche de la faillite, le trouble se développe, l’État ne peut même pas payer la fourniture de gaz russe, et a des centaines de milliers de personnes qui ne reçoivent pas leurs salaires, et des hausses de prix démesurées, tandis que le spectre de la faim réapparaît. Pendant ce temps, les promesses occidentales de soutien financier sont restées de vaines paroles, et, a nouveau, les recettes néolibérales de Washington, Bruxelles et du FMI annoncent des années de sacrifice pour l'Ukraine et de magnifiques affaires pour les entreprises occidentales.


L'attitude de l'OTAN en Libye et en Syrie, contribuant à la guerre, ressemble beaucoup à l'irresponsabilité de l'impulsion donné au Coup d’État en Ukraine et après appuyer une junte putschiste  (appelée "gouvernement intérimaire" dans leur sémantique hypocrite) présidé par un personnage comme Yakseniuk, si grotesque qui est capable de dire, sans rougir : que Moscou "veut commencer la troisième guerre mondiale". Comme si le monde avait oublié les constants mensonges de Washington et de l'OTAN, comme si méconnaissions la sanglante histoire des interventions militaires et des guerres, comme si nous avions oublié la légende des «armes de destruction massive» en Irak, ou les mensonges avancées pour envahir l'Afghanistan, comme si personne ne se souvenait des provocations de la télévision lituanienne en 1991; comme si nous venions de découvrir les révélations de Seymour Hersh sur la véritable paternité de l'utilisation d'armes chimiques en Syrie, ou la propre provocation et coup d'Etat à Kiev, le gouvernement nord-américain continue à inonder le monde de mensonges, grâce à une armée de journalistes et manipulateurs de l'opinion publique, et des groupes d'affaires, se faisant l'écho des mensonges de Washington.

Washington et l'OTAN tentent de faire oublier que la crise en Ukraine a été initié par une révolte soutenue par eux, que leurs protégés ont violés les premiers accords de Kiev entre le gouvernement et l'opposition, que l'actuel gouvernement ukrainien résulte d'un Coup d'Etat, et que le accords de Genève ont été violés par le gouvernement putschiste, qui prétendait désarmer les rebelles de l'Est et du Sud du pays, mais non les extrémistes de Maidan, ni les fascistes de Svoboda et du Pravy Sektor, responsables du massacre d'Odessa. L'administration Obama, qui encouragea la révolte contre le gouvernement de M. Ianoukovitch, n'a pas la moindre pudeur d'accuser Moscou d'être derrière les protestations de ceux qui n'acceptent pas le gouvernement putschiste. Ainsi, alors que se succédaient les protestations à Kiev et les attaques contre la police, les participants ont étaient considérés par la presse internationale comme «manifestants pacifiques», en dépit de la dureté des images, malgré les lynchages et les meurtres. Lorsque les manifestations ont commencé dans l'est et le sud, les citoyens on été considérés comme «terroristes» et Washington a soutenu le développement de ce que le président putschiste, Tourtchinov, a appelée "opération antiterroriste", envoyant l'armée et les groupes de fascistes qui furent enrôlés dans la Garde nationale créée à cet effet. Ainsi, un bataillon de 350 voyous fascistes a été envoyé à Slaviansk.

Ce ne sont pas les premiers mensonges de Washington et de l'OTAN, loin de là. Jusqu'à présent, Obama se justifiait en disant qu'il ignorait la portée des logiciels espions de la NSA et d'autres agences d'espionnage du pays. Maintenant, nous savons aussi qu'il mentait: le 15 Avril 2014, Le New-York-Times a révélé que Obama avait autorisé la NSA à espionner des dizaines de millions de personnes et a autorisé l'agence à profiter de failles de sécurité pour espionner les gouvernements, dirigeants d'autres pays et des entreprises. Régnant sur ​​le marché du mensonge, dans la crise qu'ils ont déclenchée en Ukraine et qui peut conduire à l'apparition d'une nouvelle guerre civile, Washington et l'OTAN se révèlent comme un danger pour le monde, se protégeant de l'hypocrisie et de la duplicité de ses dirigeants, comme l'a fait Obama dans sa conférence de presse avec Mme Merkel, où il a eu le cynisme de qualifier le gouvernement putschiste de Kiev comme «dûment élu" caressant sans vergogne l'objectif d'accueillir l'OTAN. Accumulant canulars, inondant le monde de mensonges, de tromperie, ayant recours au mensonge que représente la déclaration alarmiste sur les intentions russes, l'OTAN est devenue un "bunker" de menaces mensongères employés dans les guerres.


                                
Tout cela augure : (partie de la lettre que j'avais envoyée à Stéphane Hessel) l’Europe d’aujourd’hui fait partie intégrante des criminels du « Nouvel  ordre mondial » ayant pour devise : « Communauté, Identité, Stabilité ».
Nouvel Ordre Mondial dénoncé par Aldous Huxley en 1933 dans (Le Meilleur des Mondes et dont nous pouvons remarquer les prémices en occident, mais surtout l’expérience grandeur nature, en Palestine. Et comme il le disait : le secret du bonheur et de la vertu est, d’« aimer ce que l’on est obligé de faire ». Tel est le but du conditionnement : « faire accepter aux gens la destination sociale à laquelle ils ne peuvent échapper. »
Est-il possible, M Hessel, de connaître votre avis sur ces criminels cherchant à créer un « Eden » pour eux et un « no man’s land » impropre à l’existence pour les autres.
En Palestine et depuis quelques années, l'expérience déborde sur les pays et les dirigeants qui ne cautionnent pas son idéologie. Idéologie de rapine (sur les matières premières et les secteurs stratégiques de ces pays).

* Ces "faucons" appelles aussi "néocons" (néoconservateurs américains) sont en grande majorité: sionistes et par conséquent pro israéliens. Et, il n'y a pas qu'au Pentagone où ces juifs y font la loi. (Je n'ai rien contre le juif lambda, c'est un constat que je fais). L'axe du Mal, par exemple, à été inventé par David Froom, juif et néocon. Et quand on me fait comprendre que les USA ont une politique indépendante des intérêts israéliens, par exemple, je veut bien les croire, mais l'influence du lobby juif en Amérique du Nord, ajouté aux juif influent aux destines des administrations américanises, il est logique que par le népotisme juif la politique des USA préserve les Intérêts des juifs.
Logique peut-être, mais arbitraire à coup sur.
Les palestiniens en savent quelque chose...
Cependant il y a une population qui, pour la plupart, ignorent les implications de leur pays dans le soutient financier a cette politique. Ils payent un point s'est tout. Ils répugnent à mettre en place un service social digne d'une démocratie, mais non seulement ils financent des criminels, mais ils financent, aussi, une idéologie digne de criminels. 

** O.T.A.N. "Traité de l'Atlantique Nord". On le remarque aisément les "faucons" de l'OTAN, ne se contentent pas de l'Atlantique Nord ! Est-ce une manière d'intervenir en toute illégalité avec (pour les cons) un semblant de légalité. Israël n'a pas fait et ne fait autre chose.

*** Non seulement nos dirigeants politiques mènent grand train, nous mettent à contribution, pour financer leurs gabegies et leur incompétence







L'actuel bombardement de Gaza (8/9 juillet 2014) par Israël suit les mêmes principes que ceux utilisés par les USA et Obama. Mais le plus grave à mes Yeux c'est la capacité de nuisance de la secte sioniste. En effet, concernant les bombardements de Gaza de 2008/2009 sur Wikipédia Israël prétend détruire les infrastructures du Hamas.

Or, l'armée israélienne n'a pas seulement détruit les infrastructures du Hamas, mais aussi les bâtiments officiels de l'ONU, les Hôpitaux, les écoles, les maisons d'habitation etc. Il faut signaler aussi, que la zone portuaire de Gaza, par exemple, à été détruit par Israël il y quelque temps déjà. Les desseins de Netanyhau vis a vis des Palestiniens est le même que celui d'Hitler vis à vis des Juifs. Seil les sont peuvent encore aujourd’hui l'ignorer, ou pour des raisons nauséeuses, faire semblant de l'ignorer.
Prétendre, pour justifier le massacre de civils et la destruction de leur habitat, lutter contre une formation politico/religieuse élue démocratiquement, qui d'adhère pas à la politique de colonisation et de spoliation israélienne, est un concept qu'un être normalement constitué ne peut y faire référence.