M
Dominique Strauss-Kahn, accuse, dans le "The Guardian" ses
adversaires politiques d'avoir fomenté la cabale qui l'accable...
N'étant
pas dans le secret des Dieux, peu de gens peuvent affirmer ou infirmer une telle
accusation, il faut avouer cependant, que peu de personnes, ayant un peu
d'honneur, mettraient leur propre comportement, sans conteste, "bestial",
comme étant la responsabilité de ses adversaires politiques, en admettant
qu'ils y soient pour quelque chose.
Comment
peut-on croire que les français, en possession de la vérité, auraient choisi, un homme incapable de
résister à ses pulsion bestiales, comme président de la République.
La
réponse est NON.
La seule
question qui se pose à nous est de connaitre les raisons de l'omerta qui
entourait DSK sur son incapacité a maitriser son penchant digne d'un
"bonobo" et que la médiatisation des faits nous ont permis de savoir
ce que tous les acteurs politiques et medias savaient depuis longtemps.
On peut
remercier Dieu, s'il existe, de nous avoir épargné, que parvienne à la tête
d'un Etat, un homme à la moralité douteuse.
En effet, la Présidence d'une nation ne peut cohabiter avec des principes immoraux.
Aux USA,
si je prends cet exemple, un seul mensonge suffit à briser la carrière d'un
homme politique. Pourquoi qu'en France, il en serait autrement...
Cela aurait
la vertu de remplacer, à l'instant, 80% de la classe politique
Je me
souvient quand Patrick Bruel (sioniste proclamé) déclarant : " regretter l'affaire DSK et qui a empêché au
meilleur d'entre nous d'être Président
de la république." C'est vrai
qu'en Israël les Présidents sont souvent accusés d'harcèlement sexuel ou de
détournements de fonds...
La
démocratie que les élites nous "vendent", n'est pas la démocratie, ne
peut être la démocratie, ses origines étaient : "pour et par le
peuple". L'oligarchie qui nous gouverne s'autorise à nous laisser croire a
un engagement citoyen, quand, elle utilise nos voix comme un "chèque en blanc"
et au lieu d'agir dans l'intérêt du peuple, c'est dans l'intérêt d'une minorité
qu'ils œuvrent.
Dans
la plupart des pays, la société semble avoir atteint un état de délitement, de
déliquescence, sinon d’implosion plus qu’inquiétant, quels que soient les
points de vue et outils de mesure. Egoïsme, xénophobie, intolérance,
déresponsabilisation, violence sociale, matérialisme effréné, corruption,
oligarchisme, « perte des valeurs, humaines et morales »… : tous les compteurs
sont au rouge !
Comment, ces..., ont pu aliéner les Etats à la finance privé ?
En France, le premier d'entre eux, ce DSK.
En France, le premier d'entre eux, ce DSK.
En
imaginant la cité idéale, Platon voyait, dans la démocratie, l’instauration du
désordre correspondant à la montée des classes populaires vers le pouvoir
qu’elles n’ont pas appris à connaître et à exercer. Dans la cité idéale,
gouverner apparaissait comme une activité réservée à ceux qui étaient aptes à
gouverner, les meilleurs par la naissance; mais cette aptitude devait être
renforcée par un long apprentissage scientifique. Seules des têtes « bien
faites », pensantes, étaient appelées au pouvoir.
Cependant, dès cette époque, il n’y a pas de démocratie (régime politique) sans démocratisation (création d’un espace public démocratique). Dans la cité réelle, les sophistes accordent leur confiance à la rhétorique, ils mettent en scène les pouvoirs du mot qu’ils enseignent à leurs élèves. Ainsi contribuent-ils à la libération de la parole sur la place publique, l’agora. Leur apport à la démocratisation de la vie sociale est indéniable, puisqu’ils ne s’embarrassent pas, comme le fait remarquer Platon, d’être artisans le jour et, le soir venu, de se mêler de philosophie, de partager avec tous leurs savoir et savoir-faire, eux qui n’étaient pas nés pour être des philosophes.
Cependant, dès cette époque, il n’y a pas de démocratie (régime politique) sans démocratisation (création d’un espace public démocratique). Dans la cité réelle, les sophistes accordent leur confiance à la rhétorique, ils mettent en scène les pouvoirs du mot qu’ils enseignent à leurs élèves. Ainsi contribuent-ils à la libération de la parole sur la place publique, l’agora. Leur apport à la démocratisation de la vie sociale est indéniable, puisqu’ils ne s’embarrassent pas, comme le fait remarquer Platon, d’être artisans le jour et, le soir venu, de se mêler de philosophie, de partager avec tous leurs savoir et savoir-faire, eux qui n’étaient pas nés pour être des philosophes.