samedi 22 janvier 2022

Syndicat Liberté Sante - Point de situation / Voeux

Vidéo : Corruption au Parlement Européen. 

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Vidéo : 

 https://www.youtube.com/watch?v=coKkr5UxJq4&t=35s

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MANIFESTE DU SLS, SYNDICAT LIBERTÉ SANTÉ

Nous, professionnels de santé, ne pouvons rester insensibles à l’agression de notre système de soin, particulièrement violente depuis un an et demi.
Nous ne pouvons accepter la défiguration du secret médical, du libre consentement au soin et de l’indépendance professionnelle.

En réaction et pour la défense de l’ensemble des professionnels de santé et professions connexes, nous avons acté la création du SLS, Syndicat Liberté Santé.

La liberté que nous défendons est une liberté altruiste, celle de la recherche commune d’une société plus équitable, qui prenne en compte la richesse des compétences que chacun peut apporter avec son individualité, dans la limite de ce qu’il lui semble admissible de donner et dans l’intérêt de la société.

Le Syndicat Liberté Santé défendra toujours avec zèle l’exercice de la liberté d’expression quand il s’agit de rapporter la vérité du terrain et d’assurer la qualité du soin.

Nous affirmons qu’aucun individu, ni aucun groupe d’individus, pas même l’Etat, n’a le droit de disposer du corps des professionnels membres, ni d’aucune autre personne.

La liberté que nous défendons est celle qui n’enfreint jamais la dignité humaine.

La santé que nous défendons est au sens noble l’état de complet bien-être physique, mental et social et non seulement une absence de maladie ou d’infirmité.

Dans la crise provoquée par la gestion de cette épidémie et au-delà, le Syndicat Liberté Santé a pour but de défendre la qualité des soins, la liberté de prescription, le libre-arbitre de tous ses membres, afin d’apporter la réponse la plus adaptée à chaque patient, en fonction de la situation sanitaire individuelle et globale, tenant compte de l’état actuel des données cliniques et scientifiques indépendantes et exemptes de tout conflit d’intérêt.

Nous affirmons que chaque professionnel contribue par ses compétences, son expérience, son humanité et son engagement à la réussite de notre système de santé.

Nous défendons la diversité des compétences professionnelles de chacun des acteurs du soin, afin d’assurer la valeur absolue du libre choix du patient et du soignant au-delà des recommandations opposables, garantissant ainsi la prévalence de la singularité sanitaire et excluant toute protocolisation systématique.

Le Syndicat Liberté Santé exclut toute violence, sous quelque forme que ce soit, dans notre société, dans nos structures, nos groupes, nos équipes, nos hôpitaux, nos brigades …

Nous promettons de contribuer à la construction d’une société plus équitable, riche de ses individualités, dans la paix, la prudence, la communication loyale, l’écoute attentive, la discussion et en ne nous laissant pas acheter à des fins opposées à nos valeurs, mais restant ouverts à des contributions bienveillantes.

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le 15 septembre 2021

Le 12 Juillet 2021, Emmanuel Macron, trahissant ses promesses, engageait les institutions législatives en annonçant une «obligation vaccinale» pour les soignants, et en étendant le passe sanitaire pour les actions du quotidien.

La loi du 5 Août 2021, incluant tous les professionnels de la santé, et ratifiée par les deux assemblées en marche forcée, sur la base d’éléments scientifiques douteux, est venue confirmer le délitement de la séparation des pouvoirs exécutifs et législatifs.

Nous soignants, et acteurs des soins, rassemblés dans le Syndicat Liberté Santé (SLS), rappelons qu’aucun individu, pas même le Président de la République, aucun groupe d’individus, serait-ce l’Etat, ne peut disposer du corps d’autrui.

Nous rappelons avec la Loi Kouchner de 2002, que le patient doit avoir un consentement libre et éclairé des actes et traitements qui lui sont proposés.

Nous rappelons qu’il est de notre devoir de n’exercer aucune pression, ni aucune discrimination à l’égard des personnes vulnérables que nous accompagnons.

Nous nous opposons à cette entreprise d’intimidation, qui vise à forcer les consciences et violer les corps.

Le SLS appelle à la grève l’ensemble des professionnels de la santé Libéraux et salariés du secteur privé

Du fait de la jeunesse du SLS, nous ne sommes pas en mesure d’appeler à la grève le secteur public, nous exhortons les syndicats historiques à nous rejoindre dans cette lutte, pour ne pas laisser les salariés du secteur public dans l’impossibilité de défendre leurs droits fondamentaux.

Partout en France, les soignants défendent le droit de disposer de leur corps.

Face à cette réalité, de nombreux établissements envisagent de retarder l’obligation vaccinale.

NOUS NE NOUS SATISFERONS PAS DE DEMI-RECULADE OU DE DÉLAIS SUPPLÉMENTAIRES.

Nous sommes chaque jour plus nombreux et déterminés jusqu’à l’obtention 

du retrait de l’obligation vaccinale des professionnels de la santé

ET

du retrait de l’obligation de présentation d’un passe pour l’ensemble des services et établissements de santé, sociaux et médico-sociaux.

vendredi 21 janvier 2022

La preuve est faire de la nocivité des vaccins.

Vidéo : Corruption au Parlement Européen. 

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Démonstration de la supercherie des injections par la généticiene 

Alexandra Henrion-Caude 

CENSURE DÉTECTÉE
1 092 vues Publiée sur YouTube il y a 13 heures











Vidéos : 

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Le passe vaccinal est une mauvaise blague politicienne.  https://crowdbunker.com/v/T45Sbb_z9xI

Les vampires s'abreuvent du sang de la France

Vidéo : Corruption au Parlement Européen. 

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Je rappelle que le représentant MC Kinsey pour la France est le fils du Président du Conseil Constitutionnel. "Celui qui encaisse mais n'est pas responsable" Si l'on y ajoute les sommes que le pervers narcissique élyséen à versées aux laboratoires et les sommes qu'il à déversé sur les médecins, média et tous ceux qui on favorisé le système de vaccinations, plus les "conseillers" qui mettent place leur politique, cela fait beaucoup. Macron (ses commanditaires avec son assentiment)  à mis en place  un système visant à vider la France de sa substance. 

Ce qui votent Macron sont les ennemis de la France. C'est une évidence. J'espère  que la justice fera sont travail, si elle est libre, bien entendu.

MC Kinsey se moque moque carrément de la France.

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Publié le 20/01/2022 à 17

En langage familier, c’est ce que l’on appelle « passer un sale quart d’heure ».
F. Froger / Z9, pour FranceSoir / DR
Auteur(s): FranceSoir 
Auditionné par une commission d’enquête sénatoriale mardi 18 janvier, un des directeurs associés du cabinet de conseil McKinsey a eu toutes les peines du monde à justifier un contrat de 496 800 euros pour « évaluer les évolutions du métier d’enseignant », entre autres sujets de discussion.

Une somme versée pour « réfléchir aux évolutions du métier d’enseignant »

En langage familier, c’est ce que l’on appelle « passer un sale quart d’heure ». Mardi 18 janvier, la commission d’enquête du Sénat s’est réunie pour mesurer « l’influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques ». L’objectif était de mieux comprendre le rôle joué par ces cabinets dans la gestion de la campagne de vaccination contre le Covid-19, mais aussi en savoir davantage sur la nature de certaines missions facturées à plusieurs centaines de milliers d’euros.

C’est justement pour justifier un contrat 496 800 euros que deux directeurs associés du cabinet américain McKinsey ont dû répondre aux questions des sénateurs. La présidente du groupe communiste, ici rapporteure de la commission Éliane Assassi, a ainsi interrogé Karim Tadjeddine, responsable du pôle Secteur public de McKinsey France sur un contrat d’un montant de 496 800 euros pour « évaluer les évolutions du métier d’enseignant ».

Pour justifier la somme perçue par son cabinet, Karim Tadjeddine a déclaré qu’elle avait servi à organiser un « séminaire » pour « réfléchir aux grandes tendances des évolutions du secteur de l’enseignement ». « Nous avons accompagné la DITP [Direction Interministérielle de la Transformation Publique, ndlr] dans cette réflexion. », a-t-il ajouté.

« 496 800 euros, c’est l’équivalent d’un million de masques FFP2 »

Une réponse qui n’a visiblement pas convaincu l’élue de Seine-Saint-Denis, qui a estimé que la réponse était « un peu imprécise » pour une somme aussi conséquente. « Ça a abouti à quoi, précisément ? », insiste Éliane Assassi. Ce à quoi Karim Tadjeddine répond qu’il s’agissait de « travaux de "benchmarking" du marché, de comparaison » des évolutions du métier d’enseignant et des systèmes éducatifs européens et de « réfléchir à des thèmes de réflexion pour la tenue d’un séminaire avec les responsables des enseignants ».

Toujours pas convaincue. Un peu plus tard, face à la ministre chargée de la Transformation et de la Fonction publiques Amélie de Montchalin, la sénatrice a rappelé que « 496 800 euros, c’est l’équivalent de 1 600 purificateurs d’air dans 1 600 restaurants scolaires, et c’est l’équivalent d’un million de masques FFP2 qu’attendent dans l’urgence les enseignants comme l’a promis le ministre Jean-Michel Blanquer ».




Largement partagée sur les réseaux sociaux, cette séquence montrant le conseiller de McKinsey en difficulté a beaucoup fait réagir, alors qu’une nouvelle mobilisation des enseignants a été organisée ce jeudi 20 janvier pour protester contre la gestion de l’épidémie dans les écoles, et que Jean-Michel Blanquer est en pleine tempête médiatique après les révélations de ses vacances à Ibiza par Médiapart.

Depuis le début de la crise sanitaire, le cabinet de conseil McKinsey, bien aimé du gouvernement français depuis déjà quelques années, a engrangé plus de 13,5 millions d’euros, selon cette même Commission d’enquête sur l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques.

jeudi 20 janvier 2022

Un vrai journaliste : Ernet Hemingway.

Un homme qui manque énormément au journalisme de légende par opposition au journalisme merdique subalterne de la matière.  



Avec la doxa actuelle du capitalisme manipulateur, qui foule au pied les principes que l’humanité a jugée utile d’accepter, comme les Droit de l’Homme, le Serment d’Hippocrate […], est une idéologie dont l’homme doit se débarrasser, pour un vivre ensemble où l’homme compte d’avantage que son compte en banque.

Désormais où les mensonges qui ont entouré la pandémie perdent, en même temps que le virus, de leur nocivité on entend les derniers barouds d’honneur dans le média où des imbéciles, en l’occurrence une femme sur France 2, affirmer que la faiblesse du variant omicron est dû aux vaccinés. Comment est possible dans ces conditions qu’un media d’Etat laisse dire de tels mensonges ? C’est la médiocrité de ces media, comme tant d’autres, qui permet aux hypocrites d’expectorer leur ignorance.   


mardi 18 janvier 2022

Maître de Araujo-Recchia dépose plainte contre les parlementaires ayant voté la loi du 5 août

  Publié le 10/01/2022 à 20:15

Me Virginie de Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris.
FS

Auteur(s): FranceSoir 
ENTRETIEN - Maître de Araujo-Recchia, en partenariat avec son confrère Jean-Pierre Joseph, et deux autres juristes, ont déposé une plainte devant le doyen des juges d’instruction pour le compte des associations BonSens.org, l’AIMSIB et le Collectif des Maires Résistants à l'encontre des parlementaires ayant validé la loi du 5 août relative à la gestion de crise sanitaire. Ce texte de loi visait à contraindre des millions de professionnels à se soumettre à une thérapie génique expérimentale sous peine de perdre leur emploi. Les associations plaignantes ont été informées que les parlementaires de la Commission Mixte Paritaire (CMP) ont conclu un accord en hors du cadre de la CMP au profit d’intérêts privés en contrepartie de leur vote pour un projet de loi qui viole la Constitution française, le droit international et les règlements des deux Chambres que les Parlementaires sont tenus de respecter. Maître de Araujo-Recchia nous a accordé un entretien en vue de nous expliquer les tenants et les aboutissants de cette action en justice :

Maître DE ARAUJO-RECCHIA, vous êtes avocat à la Cour de Paris et vous déposez actuellement une plainte pénale pour le compte des associations contre des parlementaires, quels sont les faits qui ont conduit à déposer cette plainte ?

Il s’agit tout d’abord d’une plainte pénale rédigée en comité avec mon confrère Jean-Pierre Joseph, et deux autres juristes, déposée pour le compte des associations BonSens.org, l’AIMSIB et le Collectif des Maires Résistants.

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Cette plainte concerne des agissements susceptibles de revêtir une qualification criminelle car ils violent le droit international contraignant, la Constitution et les règlements des deux Chambres que les parlementaires se doivent de respecter. Par conséquent le dossier est déposé directement devant le doyen des juges d’instruction.

En effet, les associations plaignantes ont été averties du fait que des membres de la Commission mixte paritaire (CMP) du Parlement chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion du projet de loi rétablissant et complétant l’état d’urgence sanitaire, qui s’est réunie le 25 juillet 2021, ont négocié et conclu un accord occulte en dehors de la CMP en vue de satisfaire des intérêts privés en échange de leur vote en faveur dudit projet de loi.

Pour rappel, il s’agissait notamment de reconduire le passe sanitaire (obligation vaccinale déguisée) et de décider de l’obligation vaccinale de nombreux professionnels (professionnels de santé, pompiers, militaires entre autres).

Par ce biais, les parlementaires mis en cause ont donc condamné des millions de Français à choisir entre leur emploi/leur vie sociale et leur santé. En effet, il ne s’agit pas de se soumettre à une vaccination obligatoire avec un produit sûr pour lequel il y a dix ans de recul et qui est destiné à protéger d’une maladie mortelle sans aucun traitement disponible.

Il s’agit en réalité de contraindre des millions de Français à se soumettre à un essai clinique de médicaments biologiques (i.e. les thérapies géniques faisant partie de la catégorie des médicaments biologiques conformément au droit de l’U.E.), qui présentaient avant même leur mise sur le marché une liste impressionnante d’effets indésirables.

Le rapport de la Federal Drug Administration, (FDA - Agence du médicament des Etats-Unis) d’octobre 2020 le démontre fort bien: il était déjà question de myocardites, de syndrome Guillain-Barré, de maladie de Creutzfeldt Jacob etc.

Ces produits pharmaceutiques font l’objet de millions de déclarations d’effets indésirables :
- 2 880 653 enregistrements déclarés sur la base VigiAcces de l’OMS,
- 19 387 décès au 18 décembre 2021 et 1 275 634 effets indésirables dont 363 774 graves sur le site de pharmacovigilance européen EudraVigilance,

Ces données sont extrêmement alarmantes comparées aux données de toutes les campagnes de vaccination classique réunies, sachant que dans le domaine de la pharmacovigilance, les déclarations concernent en réalité 1 à 10% des effets réels d’après des études internes des Health Human Services et de Harvard).

Or, les associations BonSens.org et l’AIMSIB n’ont cessé d’alerter les parlementaires par tous les moyens (lettres ouvertes, lettres recommandées, articles, interviews en vidéo des plus grands experts mondiaux, intervention au sein du Comité scientifique indépendant, proposition de financement des réunions et enquêtes nécessaires).

Malgré toutes ces alertes et les décès qui se comptent par milliers, les parlementaires mis en cause semblent avoir privilégié la négociation de faveurs d’ordre privé plutôt que de protéger les intérêts de la Nation et la santé des Français, en violation non seulement des règlements propres aux deux chambres du Parlement mais également du droit international contraignant.

Nous rappelons le point 5 du code de Nuremberg:
« 5. L'expérience ne doit pas être tentée lorsqu'il y a une raison a priori de croire qu'elle entraînera la mort ou l'invalidité du sujet. »

Il s’agit d’une règle communément reconnue en matière d’éthique médicale, comme l’a rappelé le docteur Mc Cullough, cardiologue à l’Institut de Baylor, Etats-Unis, en mai 2021. En principe, les premiers décès entraînent l’arrêt immédiat des essais cliniques:

"La limite pour arrêter un programme de vaccin est 25 à 50 morts. Grippe porcine, 1976, 25 décès, ils ont arrêté. On a 200 rapports de décès en moyenne par an aux US tous vaccins confondus. Nous avons plus de 4.000 rapports de morts aux Etats-Unis! C’est de loin l’agent biologique le plus mortel, le plus toxique jamais injecté dans un corps humain.

Or, force est de constater que cette règle majeure en matière d’éthique médicale n’a absolument pas été suivie.

Pour ceux qui viendraient à m’opposer que le code de Nuremberg n’est pas opposable, je rappellerai que le code de Nuremberg fait partie du droit international coutumier (opinio juris site necessitatis).

A ce propos, nous citerons Mary HOLLAND, professeur de droit à l’université de New-York, qui a interpellé les membres des Nations-unies en mai 2016 sur les politiques vaccinales qui violent le code de Nuremberg.

«Les Nations-unies, ainsi que la communauté internationale ont l’obligation de respecter les droits humains liés à la vaccination ».

« Le code de Nuremberg stipule que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique. » Cette interdiction est maintenant si universellement reconnue que certains tribunaux et chercheurs ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier. (….). »

Je rappelle également que la France est signataire du Pacte international relatif aux droits civils et politiques ainsi que de la Convention D’OVIEDO et que ces textes ont force contraignante.

Sur la base de ces éléments, les associations ont donc souhaité remettre en cause l’immunité des parlementaires mis en cause, qui ne peut être applicable de manière absolue.

L’immunité parlementaire peut-elle être remise en cause dans ce cas précis ?

Après étude de la jurisprudence, des normes constitutionnelles et du droit international contraignant, nous estimons que l’immunité parlementaire n’est pas absolue, notamment lorsque les agissements constatés sont d’une particulière gravité et qualifiables de crimes et délits.

Des parlementaires ont d’ores et déjà été condamnés par la justice, notamment dans des cas où l’influence de laboratoires pharmaceutiques a pu être démontrée.

Or, en l’occurence, les plaignants estiment que les agissements des parlementaires mis en cause les ont rendu complices d’empoisonnement et de crime contre l’humanité.

Puis, le droit international général prévoit l'absence d'immunité pour les chefs d'État et leurs administrations en matière de crimes contre l'humanité et plus généralement tout violation grave au droit international.

En effet, le droit international contraignant interdit aux dirigeants et leurs administrations de contraindre leurs citoyens à participer à un essai clinique, ce qui est considéré comme étant un crime contre l’humanité lorsque l’expérience entraîne la mort ou l’invalidité de milliers de personnes.

Enfin, nous rappelons que dans l’affaire PAPON, le Conseil d’Etat a considéré que les fautes de cet agent public ont été commises dans le cadre de son service, qu’elles ne sont pas dépourvues de tout lien avec ce dernier.

Toutefois, en raison de leur « particulière gravité », elles ont le caractère d’une faute personnelle inexcusable, ce qui les rend détachables des fonctions exercées.

Par conséquent, Monsieur Maurice Papon est déclaré coupable de complicité de crime contre l’humanité.

L’engagement de la responsabilité pénale du complice de crimes contre l’humanité ne nécessite, au plan moral, que la preuve de l’intention de commettre les crimes de droit commun qui servent d’appui aux crimes contre l’humanité.

Cette jurisprudence pourrait être utilisée en l’espèce.

L’immunité parlementaire pourrait-elle être remise en cause en ce qui concerne les parlementaires qui viendraient à voter en faveur du projet de loi instaurant le passe vaccinal ?

En votant en faveur de la mise en place du passe vaccinal, les parlementaires entérinerons le principe de discrimination au sein de la population entre « vaccinés X doses covid » et les « non-vaccinés » covid.

Ceci équivaut à sanctionner des personnes qui n'ont enfreint aucune loi puisqu’aucune loi à ce jour n’oblige à la vaccination covid.

Conformément à l’article 5 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 :

« La Loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société. Tout ce qui n'est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas. » 

Conformément à l’article 8 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 :

« La Loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une Loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée. »  (en latin, Nullum crimen, nulla poena sine lege).

Or, il n’existe aucune loi d’obligation vaccinale anti-covid.

D’ailleurs et pour répondre à une tribune dernièrement parue dans la presse grand public, des études et des rapports issus des données hospitalières démontrent que les personnes qui se sont faites inoculer une substance génique expérimentale anti-covid transmettent la maladie, développent la maladie, sont probablement à l'origine des nouveaux variants et sont plus nombreuses à l’hôpital (Omicron étant très contagieux mais non dangereux).

Donc, les personnes qui ne se sont pas fait inoculer ces produits ne peuvent absolument pas être tenues responsables de la contamination d'autres personnes.

Pour en revenir à la responsabilité pénale des parlementaires, il est évident que le passe sanitaire (sachant que les tests ne sont pas fiables, M. Fauci, le directeur de l'Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID), un centre de recherche du département américain de la Santé, vient de le reconnaître: https://www.youtube.com/watch?v=bAICMQ1D5F8 à 6’27’’) et le passe vaccinal sont inconstitutionnels et contraires aux conventions internationales, d’une part, parce qu’ils créent une discrimination donc une sanction à l’égard de personnes qui n’ont pas enfreint la loi et que d’autre part, ces passes sont de nature à contraindre la population à participer à un essai clinique de produits pharmaceutiques expérimentaux de nature à porter atteinte à leur vie.

Nous avons constaté lors de la première lecture du projet de loi devant l’Assemblée nationale, que Monsieur Eric Coquerel, député, avait soumis un amendement n°390 afin de rappeler aux parlementaires que la suspension des soignants sans salaire était contraire aux normes du bloc constitutionnel et aux conventions internationales. Pour autant, cet amendement a été rejeté, ce qui démontre bien que les parlementaires sont parfaitement informés du fait qu’ils violent les normes suprêmes en adoptant ce texte et qu’ils se rendent sciemment complices de crime contre l’humanité.

A partir de ce constat, leur responsabilité pénale peut être mise en jeu étant donné que l’élément intentionnel peut être démontré par ce biais et que les parlementaires savent pertinemment qu’ils sont en train de satisfaire des intérêts privés, que ce soit des laboratoires pharmaceutiques ou plus largement l’oligarchie mondialiste, qui n’ont que faire de la santé des citoyens.

Pensez-vous que l’immunité du président de la République pourrait être remise en cause de la même manière ?

En principe, conformément à l’article 68 de la Constitution:

« Le président de la République ne peut être destitué qu'en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l'exercice de son mandat. La destitution est prononcée par le Parlement constitué en Haute Cour. »

Conformément également à l’article 67 de la Constitution:

« Le président de la République n'est pas responsable des actes accomplis en cette qualité, sous réserve des dispositions des articles 53-2 et 68.
Il ne peut, durant son mandat et devant aucune juridiction ou autorité administrative française, être requis de témoigner non plus que faire l'objet d'une action, d'un acte d'information, d'instruction ou de poursuite. Tout délai de prescription ou de forclusion est suspendu.
Les instances et procédures auxquelles il est ainsi fait obstacle peuvent être reprises ou engagées contre lui à l'expiration d'un délai d'un mois suivant la cessation des fonctions. »

Néanmoins, étant donné que le président de la République actuel a proclamé à plusieurs reprises, que des citoyens ont des devoirs avant les droits, il est indispensable de rappeler qu’en droit français, les citoyens ont en réalité avant tout des droits et que les pouvoirs exécutif, législatif, judiciaire et médiatique sont à leur service.

Conformément à l’article 2 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 :

« Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression. »

Je suis navrée d’avoir à citer des textes pourtant connus de tous, mais à la lecture de certains articles parus dans la presse subventionnée, je considère qu’en tant qu’avocat, il est de mon devoir de les rappeler.

Conformément au Préambule de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789

Les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée Nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'Homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les Membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous.

Les citoyens sont détenteurs de droits, ils font société, paient des impôts et des charges sociales et respectent les lois.

Si nous n’avons que des devoirs et que les libertés sont supprimées, il s’agit alors d’esclavage moderne et de totalitarisme.

Par ailleurs, d’après l’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 :

« Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution. »

Or, cela fait deux ans que le président de la République fait appel de manière permanente au Conseil de défense et de sécurité nationale (aux compétences élargies depuis 2009 par décret simple, sans qu’aucune loi organique ne soit venue modifier la Constitution), au mépris du principe délibératif, s’arrogeant ainsi les pleins pouvoirs, sans que le Parlement ne daigne remplir son rôle de gardien de l’Etat de droit, le Conseil d’Etat et le Conseil constitutionnel ne jouant plus leur rôle ni a priori ni a posteriori.

Pourtant, conformément à l’article 3 de la Constitution :

« La souveraineté nationale appartient au peuple qui l'exerce par ses représentants et par la voie du référendum.
Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s'en attribuer l’exercice. »

Quelles pourraient être les conséquences de ce constat ? S’il n’y a point de Constitution, qu’en est-il de l’immunité du président de la République ? Est-il justiciable devant les tribunaux de droit commun étant donné ses agissements d’une particulière gravité détachable de sa fonction, conformément au droit international ?

En effet, pourquoi devrait-on accepter de maintenir l’immunité du président de la République issu de la Constitution, alors que la séparation des pouvoirs n’est plus et que le président de la République est à l’origine d’atteintes sans précédent à l’égard de notre Etat de droit, aux intérêts fondamentaux de la Nation et par dessus tout qu’il porte atteinte à l’intégrité psychique et physique des Français ?

L’article 5 de la Constitution est très clair :

« Le président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l'Etat.
Il est le garant de l'indépendance nationale, de l'intégrité du territoire et du respect des traités. »

En outre, s’il n’y a plus de Constitution et que le président de la République est justiciable devant les juridictions de droit commun, les conséquences des mesures prises depuis mars 2020, dans l’unique intérêt d’entités privées étrangères, sont-elles d’une « particulière gravité », revêtant de ce fait le caractère d’une faute personnelle inexcusable, ce qui les rend détachables des fonctions exercées ?

Les magistrats devront probablement tôt ou tard se pencher sur cette question étant donné que les parlementaires n’envisagent pas de procédure de destitution après deux ans d’absence d’éthique, de violation grave des normes suprêmes et de la destruction de la Nation.

Retrouvez l'intégralité de la plainte en PDF ici.

Des députés européens se lèvent contre le passe sanitaire : "ces sujets doivent être apartisans"

 Publié le 30/11/2021 à 20:34
Des députés européens qui se lèvent contre le passe sanitaire.
Romain Pauc / FS
Auteur(s): FranceSoir 
Dans la continuité de notre entretien au Parlement européen de Bruxelles avec les députées Virginie Joron et Francesca Donato, nous avons interviewé dans leur bureau quatre autres députés européens expliquant leur position sur le passe sanitaire.

Version courte de nos entretiens [versions complètes ci-après]

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Ils reviennent sur les dysfonctionnements de l’institution. Le Parlement européen est-il simplement une chambre d’enregistrement des propositions de la Commission ? Il faut rappeler que les députés n’ont pas l’initiative législative, c’est-à-dire qu’ils ne peuvent proposer eux-mêmes des lois à l’Assemblée. Depuis peu, ces législateurs comme les salariés de l’institution, doivent présenter un passe sanitaire pour continuer à travailler.

Robert Roos, député européen hollandais, membre du parti JA21 : « il y a quelques personnes du bureau du Parlement européen qui décident qu’on peut exclure des représentants de cette institution. Qui sont-ils pour exclure des députés ? Car ils ne sont pas mon employeur. Pour moi, c’est fou, parce que si ces gens ne donnent accès au Parlement qu’à des personnes partageant les mêmes idées, alors c’est une situation dangereuse et nous risquons de ne plus avoir de démocratie. »

Voir aussi : Parlement européen : "La moitié des contrats avec Pfizer sont caviardés"

Les partis minoritaires à l’Assemblée européenne se retrouvent quasiment seuls à dénoncer le passe sanitaire ; Anne-Sophie Pelletier, de la France insoumise, confirme de la même manière que Virginie Joron avec le Rassemblement national, que l’opposition n’est pas écoutée et que les dossiers finissent dans la corbeille.

Pour Hervé Juvin, membre du groupe Identité et Démocratie (ID), les lois sur le passe sanitaire font partie d’un ensemble d’outils ouvrant la voie à davantage de contrôle social. La différence avec les politiques passées est que « si la volonté de contrôle social a toujours existé, elle manquait auparavant de moyens. Qu’est-ce qui manquait aux régimes qui prônait le contrôle des vies ? C’est le numérique. Avec le QR code, on a accès à toutes les informations d’un seul scan, les conditions de contrôle social sont aujourd’hui réunies. »

Un point de vue d'Allemagne : le député européen Nicolaus Fest, membre d’AFD, tente de comprendre pourquoi plus de gens ne s’opposent pas au passe sanitaire : « je pense qu’ils ont tous honte de leurs anciennes décisions. Et donc, il est très difficile maintenant pour la majorité du Parlement de dire, oui, ils ont commis une erreur. Ils ont peur d’admettre que la première décision était un échec. »

Entretien avec Anne-Sophie Pelletier, députée européenne.

Entretien avec Robert Roos (Pays-Bas), député européen.

Entretien avec Hervé Juvin, député européen.

Entretien avec Nicolaus Fest (Allemagne), député européen.

Michel de Lorgeril : "Les autorités sanitaires ont fermé les yeux sur l'essai de Pfizer"

 Publié le 09/12/2021 à 21:58

Cardiologue reconnu, Michel de Lorgeril était l'invité de FranceSoir.
FS

Auteur(s): FranceSoir 
Qu’est-ce qu’un scientifique ? À quoi correspond une forme grave ? Comment mesure-t-on l’efficacité d’un vaccin ? À quoi correspond le chiffre de 95 % avancé par Pfizer ? Comment mesurer les effets indésirables ? Tels sont les grands thèmes abordés par Michel de Lorgeril, docteur en médecine, chercheur au CNRS, expert international en cardiologie et nutrition, membre de la Société européenne de cardiologie, dans ce debriefing.


L'essentiel de l'entretien :

Qu’est-ce qu’un scientifique ? 

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Michel de Lorgeril : Un scientifique donne des explications sur les mystères de la nature, des explications qui peuvent évoluer avec le temps et qui ne sont jamais définitives. Un scientifique est un hésitant, un sceptique et s’il peut y avoir des divergences le but, in fine, est de parvenir à un consensus, un compromis. Les scientifiques se reconnaissent et ne se disputent pas avec n’importe qui. Les exemples de déclarations non valables permettent d’aborder les changements de notre époque qui, depuis le début de la pandémie, a vu fleurir les affirmations les plus invraisemblables tandis que les normes disparaissent.

Quelles sont ces normes qui auraient disparu ?

Pour faire reconnaître un nouveau vaccin, il faut mettre toutes les autorités sanitaires d’accord et faire un essai randomisé en double aveugle. Une exigence à laquelle Pfizer n’a pas répondu. À ce travail scientifique bâclé s’ajoute le laxisme des régulateurs dont le premier d'entre eux, est l’éditorialiste en chef du New England Journal of Medecine qui a publié cette étude, n'hésitant pas à affirmer qu'elle avait été faite en double aveugle alors que de l’aveu de leurs auteurs, c’est de l’observation.

Si, en temps normal les autorités sanitaires exigent ces normes pour connaître les bénéfices d’un médicament ou d’un vaccin, et ce afin d’accorder les autorisations de mise sur le marché, force est de reconnaître qu’elles ont fermé les yeux sur cet essai et permis une vaccination sur des millions de personnes.

Par conséquent, ce 95 % ne veut rien dire puisque la méthodologie n'a pas été respectée. À ceci vient s’ajouter un autre biais : l’essai a été effectué par l’industriel, qui a donné lui-même les résultats. Une pratique qui enlève toute crédibilité à ses annonces. 

Comment définir une forme grave ?

S’il est reconnu que le vaccin n’empêche pas la transmission et la contamination, on entend partout qu’il empêcherait de faire des formes grave. Pour répondre à la question, il faut d’abord s’entendre sur ce qu’est une forme grave. La sévérité d’une maladie se mesure à la mortalité. Or, l’essai Pfizer n’ayant montré aucun décès, il ne peut contenir d’informations sur les formes graves. Par conséquent, cette affirmation viendrait de l’observation de ce qui se passe dans les hôpitaux. Mais l’on ne peut tirer aucune conclusion solide scientifiquement lorsqu’on se place dans l’observationnel et le rétrospectif.

Malgré cela, il est possible d’obtenir des informations indirectes notamment en examinant les courbes de mortalité d’un pays comme Israël qui a vacciné au moment de la troisième vague toute la population éligible, couvrant par là toutes les catégories qui présentaient des risques de mourir de la Covid.

À la fin de cette vague, les autorités ont déclaré que cette campagne de vaccination avait permis de stopper l’épidémie. Une déclaration fausse puisqu'il y avait au moins trois facteurs possibles pour l’arrêt de cette troisième vague, à savoir le confinement strict, le decrescendo naturel du pic de contamination, et enfin la campagne de vaccination. Cependant, si l’on considère ce dernier critère, comment expliquer la quatrième vague tout aussi meurtrière trois mois plus tard ?

Comment mesurer les effets secondaires ?

S’il existe une méthodologie acceptable pour mesurer l’efficacité avec l’essai randomisé en double aveugle, il n’existe pas de méthode acceptable sur le plan éthique pour démontrer les effets secondaires. Prenons l’exemple d’un médicament anti-coagulant. Une personne qui présente des risques de caillots et qui accepte de participer à l’étude peut en tirer un bénéfice y compris si elle se retrouve dans le groupe placébo. En effet, cette personne sera la première à connaître l’efficacité de ce nouveau médicament et aura tous ses frais de santé pris en charge, une chose qui n’est pas négligeable, notamment aux États-Unis.

En revanche, le raisonnement ne peut être le même lorsqu’il s’agit de mesurer les effets secondaires puisqu’il n’est pas éthiquement acceptable de proposer un produit de santé potentiellement dangereux. Par conséquent, les effets secondaires ne se mesurent qu’à postériori même s’il peut exister des informations importantes au moment de l’essai clinique. Mais ces données sont rares puisqu’un industriel qui désire obtenir les autorisations de mise sur le marché ne sélectionne pas des individus fragiles.

Mesurer a posteriori n’est pas simple et la pharmacovigilance peut être très difficile à appliquer. Établir une corrélation entre un vaccin et un effet secondaire grave peut prendre beaucoup de temps tandis que ceux qui défendent leurs produits de santé n’hésitent pas à parler de hasard ou de coïncidence.

Si certaines affaires comme le scandale du Mediator ont pris plusieurs décennies, les effets secondaires liés aux différents vaccins, s’ils ont été niés au départ, sont malgré tout peu à peu reconnus. Cette reconnaissance a même signé l’arrêt des vaccins adénovirus à vecteur recombiné comme AstraZeneca et Janssen. De son côté, Pfizer a reconnu que son vaccin pouvait provoquer des péricardites et des myocardites même si la fréquence et la sévérité de ces pathologies sont encore minimisées.