vendredi 28 janvier 2011

Holocauste

<< La menace du génocide  persiste >>
Aujourd'hui se célèbre la Journée internationale de Commémoration en Mémoire des victimes de l'Holocauste 

AGENCES  
27/01/2011 13:51
KOBI GIDEON

Un juifs ultra orthodoxe visite Yad Vashem 
(Musé de l'Holocauste de Jérusalem)

Plus de 6 millions de Juifs Européens furent assassinés par le régime nazi durant la Seconde guerre mondiale. Et "la menace du génocide, ultime expression la plus terrible de l'intolérance, la xénophobie, le racisme, persiste".

Ainsi s'est exprimé la Haute Commission de l'ONU pour les Droits Humains, Navi Pillay, dans un message en rapport de la Journée Internationale de Commémoration Annuelle en Mémoire des Victimes de l'Holocauste, célébré aujourd'hui.

Navi Pillay note que "les horreurs de l'holocauste, perpétré avec autant de cruauté systématique envers une population si nombreuse durant des années, continue d'être si pénible a comprendre au jour d'aujourd'hui comme toujours. Les discours de haine ont la capacité de se traduire en actions de pleines de haine".
" C'est un jour du souvenir pour des millions de juifs hommes, femmes, enfants, ainsi que des milliers d'autres victimes, inclus les gitans, esclaves, handicapés, homosexuels, témoins de Jehova, communistes et autres dissidents politiques dont les vies ont été brutalement stoppées par l'idéologie de haine des nazis et ses alliés" ajoutait-elle.   

Navi Pillay souligne que "les discours de haine ont la capacité de se traduire en actions remplies de haine" et que l'Holocauste doit servir de rappel du danger de le la marginalisation  
de certains groupes de la société".

L'Holocauste oublié
Un gitan Holandais, Zoni Weisz, a été aujourd'hui l'orateur principal au Bundestag, (Parlement allemand) au moment de commémorer la libération du camp de concentration nazi d'Auschwitz il y a 66 ans dans la journée où l'Allemagne rend hommage aux victimes de l'Holocauste.   
Son discours a été dédié avants-tout pour se souvenir ce qu'il qualifia comme "l'Holocauste oublié", faisant allusion au près du demi-million de Sinti et Roms, les deux grandes familles gitans centre-européens, victimes de la machine nazi.
  
L'Holocauste des gitans est considéré comme faisant l'objet de l'investigation historique seulement depuis peu, rappela Weisz, qui survivra à la persécution nazi grâce à une série de coïncidences.     
Sur le chemin d'Auschwitz, quand j'avais 7 ans, dans uns station où je devais changer de train, un policier hollandais l'aida, lui et ses compagnons en fuite. 
"La société n'a rien appris du demi-million de gitans assassinés" Weisz survivra la dernière année de l'occupation caché et à la fin de la guerre apprit que ses pères et frères avaient décédés au camp  de concentration.
"Malgré le demi-million de Sintis et Roms assassinés du temps du nazisme la société  n'en a rien appris". "Le contraire elle aurait un comportement plus responsable à notre égard", a dit Weisz.

"Nous sommes des européens et nous devons avoir les mêmes droits que les autres" ajouta le survivant de l'HJolocauste.

"Ne pas baisser la guarde"
Le souvenir est la meilleure antidote  pour que ce qui s'est  passé ne se reproduise.


Lors de cette journée, Silvio Berlusconi et la présidente de la Communauté de communes de Madrid, Esperanza Aguirre ont fait un amalgame fâcheux entre les victimes juives du régime nazi et l'Israël d'aujourd'hui, c'est un déshonneur pour les victimes du nazisme, mais surtout pour eux-mêmes et cela prouve, comme l'a si bien dit Weisz, ; que ces personnages n'ont rien compris... malheureusement ils ne sont pas les seuls. 

Si des Juifs ne se rendaient aujourd'hui, aussi coupables des mêmes crimes, nous fêterions cette commémoration avec le respect qui est due aux victimes du nazisme. Toutes les victimes...  Mais comment respecter ces commémorations quand les criminels sionistes en font un laissez-passer pour spolier, assassiner, emprisonner un peuple ? 

Qui plus est ces articles coïncident avec la campagne de propagande que l'organisation sioniste se propose de réaliser en Europe, visant à améliorer son image et celle de l'État israélien. Quand la meilleure image que l'on peut donner, que l'on soit un homme ou une société, est celle de la justice... Et c'est parce que l'État israélien se comporte comme le ferait un despote et un criminel, qu'il doit utiliser des moyens de communication pour tromper les populations.
Dans les jours a venir nous allons être les témoins d'une série de vérités apocryphes et de manipulation des citoyens, rarement égalée.
Tous les escrocs de la pensée, basés sur un début de faits réels  vont tirer des conclusions, qu'aucun homme honnête n'oserait tirer. Avec le seul but de permettre, à l'État criminel qu'est devenu l'État israélien, de perpétuer ses crimes.  




Raid nocturne à Nabi Saleh


Palestine occupée : raid nocturne et arrestations à Nabi Saleh
[ 26/01/2011 - 17:54 ]
Popular Struggle 

C'est la version MODERNE des dossier des villages que le Yichouv avait demandé en 1940...   Texte sous "Les dossiers de village"  

Témoignage, important qu'il faut lire absolument :
Pour la 3ème fois en deux semaines, le village de An Nabi Saleh a été envahi de nuit par les militaires. Un jeune de 14 ans a été arrêté et emprisonné en attendant de passer en procès.

Manifestation contre l’expropriation de terres palestiniennes pour étendre la colonie juive de Halmish, à Nabi Saleh, en Cisjordanie, le 22 octobre 2010
An Nabi Saleh est un village de 530 habitants à l’ouest de Ramallah, qui a décidé depuis décembre 2009 de manifester sans arme contre la confiscation d’une large partie de ses terres par la colonie voisine d’Halamish. Il y a eu depuis de nombreuses blessures, arrestations et punitions collectives à l’encontre du village. L’armée tente d’écraser la protestation.
A An Nabi Saleh, la répression continue. Dans la nuit de samedi à dimanche, un nouveau raid de l’armée israélienne a été lancé sur le village, pour la 3ème fois en deux semaines. La semaine dernière, l’armée était entrée dans une vingtaine de maisons, photographiant les jeunes et collectant les informations de leur carte d’identité. L’autre moitié du village avait déjà été contrôlée une semaine auparavant dans les mêmes conditions. Ce week-end, entre 2h et 3h du matin, les militaires sont entrés dans des maisons et ont arrêté un jeune de 14 ans. Ils sont venus le chercher dans son lit, en essayant par la même occasion d’arrêter son frère ainé. Cependant, la famille et le voisinage ont réussi à empêcher l’arrestation.
Trois semaines auparavant, ce jeune avait déjà été arrêté durant la manifestation hebdomadaire contre la colonie voisine Halamish. Il avait les mains attachées dans le dos et laissé durant des heures sous une pluie battante avant de lui poser des questions sur les manifestations, les leaders et les stratégies mises en place. Les villageois.es supposent qu’il a été arrêté ce week-end pour obtenir plus d’informations sur les manifestations. C’est aussi (surtout peut-être) un moyen de faire pression (psychologiquement) sur le village et une forme de punition collective.
L’arrestation de ce week-end est survenue après que les villageois, lors la manifestation de vendredi, aient réussi à briser le siège auquel ils font face lors des manifestations. Au lieu de partir depuis le centre du village, la manifestation a commencé dans le village voisin de Beit Rima. Depuis ce village, la manifestation s’est rendue directement à un poste de l’armée, à proximité de la source annexée en décembre 2009 par les colons et militaires d’Halamish. Le jeune arrêté est depuis toujours en détention. Il est passé au tribunal lundi, sans que personne du village ne puisse assister à l’audience : il est accusé de jets de pierre, mais le jugement devrait être rendu jeudi.
En complément/supplément : aujourd’hui l’armée a kidnappé le petit frère de ce jeune (11ans) vers 11h ce matin et relâché vers 15h30. L’arrestation a provoqué une émeute dans le village, un jeune de 19 ans a été touché par 13 rubber bullets1, sur tout le flanc de la cheville à l’omoplate et est hospitalisé depuis. Pas plus de précision pour l’instant.
Un 2ème enfant arrêté en 3 jours à An Nabi Saleh
Le frère de Islam Tamimi - un jeune de 14 ans enlevé dimanche durant un raid nocturne de l’armée israélienne à An Nabi Saleh - s’est fait arrêter mardi matin par l’armée à An Nabi Saleh. Islam Tamimi a été interrogé pendant 8 heures après son arrestation vers 2h du matin dimanche. Hier l’État a demandé qu’il soit maintenu en détention jusqu’à son audience de jeudi.

Islam Tamimi - Photo : Alison Rammer
Dans un contexte où la répression se resserre autour des manifestations non armées en Cisjordanie, Islam Tamimi a été arrêté chez lui à 2h du matin dimanche. C’est la 2ème fois en à peu près trois semaines. L’armée l’a placé dans la prison militaire d’Ofra, une colonie proche de Ramallah en Cisjordanie pour l’interroger sur-le-champ et le relâcher. Après 8h d’interrogatoire dimanche, Islam a avoué avoir jeté des pierres à l’occasion des manifestations hebdomadaires contre l’occupation à An Nabi Saleh. Ses avocat étaient présents au poste de police et n’ont pas cessé de demander à voir Islam mais ils n’y sont pas parvenus pendant les 4 premières heures d’interrogatoire.
Ses parents, qui légalement étaient censés être présents pour l’interrogatoire de leur fils (car mineur), se sont vu refuser l’accès. Il s’est avéré que lorsque les avocats ont enfin pu voir Islam, traumatisé, il avait avoué exactement ce que l’armée voulait entendre, à savoir d’avoir jeté des pierres. Vue l’expérience traumatique qu’il a vécu, Islam a dit qu’il fournirait les quelques informations que l’armée attendait sur An Nabi Saleh. Il était prêt à inventer des informations car vu son âge, il ne connait pas vraiment le fonctionnement du village ni le planning des manifestations.
Lundi matin, Islam a été amené devant la cour militaire. L’État a demandé à la cour de garder Islam jusqu’à jeudi, c’est à dire jusqu’à son jugement. Sa défense a demandé un rendu d’audience à hui clos car il est jeune, le juge n’a pas encore rendu sa décision.
Malgré cela, ce matin l’armée et la police aux frontières ont relancé un raid sur le village et ont arrêté Karim, le frère d’Islam, âgé de 11 ans. L’enfant a été retenu jusqu’à 15h30, après avoir du répondre à des questions similaires à celles de son frère, et s’être fait expliquer par les militaires qu’il devait aller à l’école, continuer ces études, entrer à la fac et surtout ne pas rester avec ces jeunes qui jettent des pierres. Si rien n’a été retenu contre lui, la violence de l’arrestation va sûrement demeurer, l’espoir que quelqu’un vienne le libérer, les hurlements de ses proches, le traumatisme d’un interrogatoire...

23 janvier 2011 - Popular Struggle - Vous pouvez consulter cet article à :
http://popularstruggle.org/content/...
http://popularstruggle.org/content/...
Traduction de l’anglais : Mahmoud

Les dossiers de village du plan Daleth

Les dossiers de village :

Le plan d’expulsion « Daleth » : dès le début des années 1940, la direction du Yichouv a préparé l’expulsion des Palestiniens, puis, en 1947-1948, l’a mise en œuvre, étape après étape. Un fait parmi bien d’autres, qui contredit la thèse de l’absence d’intention : la constitution, dès avant la seconde guerre mondiale, d’un fichier de tous les villages arabes.
Recruté pour s’en charger, un topographe de l’Université hébraïque de Jérusalem « suggéra de conduire une  inspection à l’aide de photographies aériennes ». A cette époque la Palestine était sous Administration  britannique. Le « Mandat » pouvait-il l’ignorer… ?
Ainsi furent constitués des dossiers détaillés sur chacun des villages de Palestine avec : « les routes d’accès, la qualité de la terre, les sources, les principales sources de revenu, la composition sociologique, les affiliations religieuses, le nom des muktars [chefs], les relations avec les autres villages, l’âge des habitants (hommes de 16 à 50 ans) et bien d’autres choses ». La plus importante était  « un index de l’"hostilité" [à l’égard du projet sioniste] à partir du niveau de participation du village à la révolte de 1936. Une liste comportait quiconque y avait pris part et les familles de ceux qui avaient perdu quelqu’un dans les combats contre les Britanniques. Une attention particulière était prêtée aux gens qui avaient prétendument tué de juifs ». En 1948, cette dernière information « alimentera les pires atrocités dans les villages, conduisant à des exécutions de masse. En 1943, Ezra Danin, qui jouera cinq ans plus tard un rôle de dirigeant dans l’épuration ethnique, « de manière explicitement militaire : le nombre de gardes (la plus part des villages n’en avaient aucun) et les quantités et qualité des armes à la disposition du village (en général archaïques ou même absentes).

Documents al-Jazeera : "l'Autorité du Fusil"

Doha CPI   [ 26/01/2011 - 12:44 ]
Documents al-Jazeera : Erekat reconnaît que l'Autorité a tué des Palestiniens, que l'autorité du Fatah a coordonné des opérations contre la résistance palestinienne conjointement  avec l'occupation sioniste.

Doha – Des documents confidentiels publiés par la chaîne "al-Jazeera" ont démontré que la coordination sécuritaire entre l'autorité du Fatah à Ramallah et les services de sécurité de l'occupation sioniste a atteint un stade avancé de coopération afin de porter des coups directs aux diverses factions de la résistance. Cela a conduit Washington et l'entité sioniste à reconnaître le rôle "merveilleux" des services de renseignements de l'autorité d'Abbas, tandis que le dernier a reconnu avoir tué des Palestinien en vue d'établir "l'Autorité du Fusil".
Dans une rencontre en 2005 entre le ministre sioniste de la guerre à l'époque, Chaul Mofaz et l'ex-ministre palestinien de l'intérieur, le général, Nasr Youssef, qui était en charge de la sécurité durant cette période, les documents secrets révèlent que l'autorité de Fatah et le gouvernement sioniste ont discuté ensemble de l'assassinat du leader des brigades des martyrs d'al-Aqsa, la branche militaire du mouvement du Fatah, Hassan al-Madhoun dans la Bande de Gaza.
Dans le dialogue entre les deux parties, Mofaz a déclaré : « Hassan al-Madhoun, nous connaissons son adresse, et Rachid Abou Shebak (l'ancien directeur adjoint de l'autorité palestinienne de la sécurité préventive à Gaza) le sait, pourquoi ne le tuez-vous pas ? » Nasr Youssef lui répond : « Nous avons donné des instructions à Rachid et nous verrons ».
Plusieurs semaines plus tard, le 1er novembre 2005, les avions militaires sionistes ont ciblé par leurs missiles Hassan al-Madhoun et le responsable militaire des brigades d'al-Qassam, la branche militaire du mouvement du Hamas, Fawzi Abou Kara, en les tuant sur le coup.
La coopération des services de renseignements entre les deux côtés (l'autorité du Fatah et l'occupation) a reçu les éloges des responsables américains et sionistes, selon les documents.
Les documents dévoilent deux plans préparés par les services de renseignements britanniques dont l'un appelle à arrêter les leaders des mouvements du Hamas et du Djihad islamique, et le deuxième réclame la création d’un département commun d'opérations lié à l'entité sioniste dans le but de mettre fin aux opérations martyres.
Les documents révèlent que l’Autorité insistait auprès du coordonnateur de la sécurité dans les territoires palestiniens, le général américain, Keith Dayton, pour convaincre l'entité sioniste de renforcer les forces armées de la sécurité palestinienne contre le Hamas. Cela fut évidente dans les déclarations du « négociateur en chef » de l'OLP, Saeb Erekat, lors d'une réunion avec Dayton, le 10 juin 2006, quand il a dit que « la garde présidentielle a désespérément besoin d'armes et de munitions, surtout que la situation dans la Bande de Gaza en fait une nécessité vitale ».
L'autorité d'Abbas a répété la même demande, le 11 du même mois par le directeur général de la police palestinienne, Hazem Atallah, qui a dit que « pour évaluer les armes dont nous avons besoin, nous devons prendre en compte les armes entre les mains des extrémistes, qui incluent des lance-roquettes et des obus d'artillerie lourde, car les armes légères sont insuffisantes ».
En plus de la coordination sécuritaire entre les deux côtés, les documents confidentiels révèlent que l'autorité de Fatah, malgré son insistance pour obtenir des armes pour confronter la résistance, a finalement accepté d’être un Etat démilitarisé.
Et en confirmation de l'Autorité pour sa coopération et son engagement à mettre en œuvre des exigences de sécurité à la partie sioniste, l'occupation a présenté un document secret intitulé « Les succès sécuritaires de l'Autorité palestinienne ».

"Succès" de l'autorité du Fatah dans sa guerre contre la résistance
Le document daté du 9 juin 2009 et couvrant la coopération sécuritaire dans la période de février 2008 à mai 2009, dénombre ces « succès » comme suit : « Arrestation de près de 3700 cadres de groupes armés, convocation d'environ 4700 personnes pour les interroger sur diverses accusations, y compris leur appartenance aux groupes armés, confiscation de plus de 1100 pièces d'armes, saisie de plus de 2.5 millions de Shekels appartenant à des groupes armés ainsi que la confiscation de nombreux matériaux qui incitent à la violence ».
Dans le même document, Saeb Erekat affirme : « Nous avons investi temps et efforts au point que nous avons tué notre peuple pour le maintien de l'ordre et la primauté du droit. Le chef du gouvernement, Salam Fayyad, fait tout son possible pour construire des institutions. Nous ne sommes pas un Etat, mais nous sommes les seuls dans le monde arabe qui surveillons la Zakat et les discours dans les mosquées. Nous nous efforçons de remplir nos obligations ».
Le consul général américain dans la ville occupée d'al-Qods, Jack Ellis, révèle, lors d'une réunion avec le directeur du centre d'information de l'Autorité palestinienne, Ghassan Khatib, le 8 février 2009, que l'ex-directeur de la sécurité préventive à Gaza, leader du Fatah et membre de son comité central, Mohamed Dahlan, s'est engagé à envoyer aux Etats-Unis une liste de tous ceux sur lesquels l'Autorité impose des restrictions pour voyager. « Après cela, Dahlan et Rachid Abou Shebak nous ont envoyé la liste et nous avons proposé d'ajouter quelques centaines d'autres noms, et ils ont accepté ces ajouts ».

Pas de limites à la coopération
Lors d’une réunion de sécurité entre les américains, les sionistes, et les palestiniens le 26 août 2008, M. Erekat a déclaré : « Il n'y a pas de limites à la coopération dans la lutte contre le terrorisme », mais la ministre des Affaires étrangères, Tzipi Livni, affirme que ce n’est « qu’une parole ».
Lors d'une rencontre, le 11 février 2008, le directeur général de la police palestinienne, Hazem Atallah, a dit au président du département politique et sécuritaire au sein du ministère sioniste de la guerre, Amos Gilad, en présence d'Erekat : « Nous avons effectué des arrestations, saisi des armes et expulsé les policiers qui appartiennent au Hamas ».
Mahmoud Abbas va plus loin, lorsqu'il affirme le 22 juin 2005, lors d'une réunion avec le premier ministre sioniste, Ariel Sharon, que « chaque balle qui touche "Israël" est aussi une balle contre les Palestiniens ».
Le président de l'administration civile, le brigadier, Yoav Polly Mordechai, a interrogé le directeur général de la police palestinienne, Hazem Atallah, lors d'une réunion, le 6 mai 2008 en disant : « comment est votre guerre contre le Hamas civil, ses bureaux, les gens dans les mairies, etc. ? » Atallah absorbé dans l’obtention de masques à gaz, a répondu : « Je suis d'accord avec vous, nous devons régler ce problème ».
Mais Polly souligné que « votre président doit déclarer que le Hamas est illégitime, jusqu'à présent, seuls les combattants sont illégaux ».

Gilad menace ses homologues à l'autorité du Fatah le 11 février 2008 disant : « Ce qui est arrivé à Gaza ne doit pas arriver en Cisjordanie. Vous aviez de l'argent, des armes et des agents de police, et il y avait un groupe qui recevait le soutien de l'Iran, et en cinq heures, vous avez perdu l'ensemble de la Bande de Gaza. Ils étaient des officiers corrompus, dont la plupart vivaient au Caire, et je les ai avertis que cela pourrait arriver ».


« L'Autorité du Fusil »
Dans le même contexte, Saeb Erekat, a reconnu lors d'une réunion avec David Hill, vice-émissaire américain pour le processus de paix, le 17 septembre 2009, que l'Autorité palestinienne a été « forcée » de « tuer des Palestiniens en vue d'établir l'Autorité du Fusil et l'Etat de droit, et nous continuons de remplir nos obligations ».
Lors d'une réunion sécuritaire Palestino-sioniste, le 6 mai 2008, le directeur général de la police palestinienne, Hazem Atallah, a déclaré que « Jénine est le test qui a prouvé que nous sommes sérieux. Aujourd'hui à Qabatiya quand une personne ouvre le feu sur les forces de la sécurité nationale, elles répondent de la même façon, c’est la méthode ».

jeudi 27 janvier 2011

Les concession palestiniennes, invalidés par les israéliens.

Israël a également refusé d'accepter des refugiés palestiniens.
Selon des journaux israéliens, l'ANP sollicita le retour de 10.000 refugiés palestiniens, quand ces derniers son cinq millions.
PÚBLICO.ES Madrid 25/01/2011 10:37

Les concessions palestiniennes invalidés par les israéliens.
Si les autorités palestiniennes ont eu un jour inconfortable, hier les fuites publiées par la chaîne  Al Jazzeera et le journal The Guardian affirmant que l'ANP de Mahmud Abbas accepta  la cession de la quasi totalité de Jérusalem-Est aux israéliens, les articles publiées aujourd'hui ne vont pas permettre de faire une pause.  
Selon les information de ces deux médias, se basant sur ce qui est nome comme "les articles palestiniens" les négociateurs d'Abbas acceptèrent  en mars 2007 le retour en Israël de 10.000 refugiés, quand le total des déplacés  est estimé à 5 millions.
La concession, une fois de plus, n'a eu de réponse positive de la part des israéliens et la ministre des Affaires extérieures Tzipi Livni, régla la question affirmant que les refugiés pourront aller dans le nouvel Etat  de Palestine.

Selon le journal britannique, l'envoyé d'Abbas, Saeb Erekat, a également rejeté une quelconque possibilité de réaliser un référendum sur le retour des réfugiés palestiniens vers la Jordanie ou le Liban. " je n'ai jamais dit que la diaspora pourrait voter. Le référendum ne sera valable que pour les palestiniens de Gaza, de Cisjordanie et Jérusalem-Est. Cela ne peut se réaliser au Liban ou en Jordanie" ajouta Saeb Erekat.
Abbas savait que les israéliens n'accepteraient un référendum.

Les informations qu'indiquent que les 1.600 documents révélés par la télévision Qatari, dont une partie cédés à The Guardian.  Erekat lui-même déclara hier que ces informations sont mensongères et que si ces déclarations avaient été les termes d'un accord de paix, les israéliens les auraient accepté immédiatement.

A condition, de faire fi des intentions sionistes, tous ceux qui l'observent savent que le rouleau compresseur de la politique israélienne ne s'arrêtera que lorsque la Palestine sera vidée de ses habitants ancestraux. 

Les israéliens étaient disposés à l'approche de la douleur des réfugiés, mais nullement à en assumer la responsabilité, c'est pour cela que l'offre palestinienne n'est pas recevable.
Dans un premier temps, l'équipe de Ehud Olmert, alors premier ministre israélien, offrit se charger de 5.000 refugiés. Pour les palestiniens, cette offre n'était pas "sérieuse, ni acceptable". 
Mais les palestiniens ne demandèrent d'avantage. Israël accepta le retour de 1.000 palestiniens par an, durant les 10 prochaines années.  L'année dernière, selon The Guardian, cette offre pourrait atteindre 15.000, sur la base d'un document distribué par Erekat, dans lequel il était question de ce chiffre. De toutes les manières ce chiffre n'est pas en adéquation au vu du nombre total de réfugiés palestiniens qui atteint les 5 millions de personnes.
Abbas lui-même, comme le rappelle le journal britannique, était refugié en 1948 après le nettoyage ethnique perpétré pas les forces juives, fin 1947 début 1948, et ajouta-t-il dans une réunion privé  que demander aux israéliens d'accepter "cinq millions, ou inclus un million" de refugiés était illogique et "signifierait la fin d'Israël". 
Les victimes ont de la compassion pour leur bourreau, c'est pas banal !!!
De toutes les manières, Israël finit par refuser cette nouvelle concession palestinienne. "Votre Etat sera la réponse pour tous les palestiniens, inclus les réfugiés.
Là, je reconnais l'humanisme israélien... 



Les concession à Jérusalem-Est


Les concession palestiniennes ne sont pas valables pour les israéliens.

L'Autorité Nationale Palestinienne (ANP) proposa au Gouvernement israélien le maintenir de presque toutes les colonies de Jérusalem.
EUGENIO GARCÍA GASCÓN 

Correspondant à Jérusalem 25/01/2011 04:39


La chaîne de télévision Al-Jazzera a commencé à diffuser une série de 1 684 documents
confidentiels sur les négociations avec l'État israélien, que l'Autorité Palestinienne gardait à Ramallah. La première partie contient des détails compromettants pour l'Autorité palestinienne qu'elle conduisit, entre 1999 et 2010, sur le futur de Jérusalem.

Israël, le sionisme, gangrène tous ceux qui l'approchent, c'est un constat,  qui n'enlève en rien la responsabilité qui est la leur. 

En essence, les documents prouvent que l'Autorité palestinienne c'est résigné a perdre pratiquement toutes les colonies juives qu'il y a dans le secteur occupé de la coté, avec l'exception d'une colonie située au sud de la citée, que les israéliens nomment Har Homa. Où,  comme c'est le cas de la majorité des colonies de Jérusalem, l'État israélien continue les constructions au jour d'aujourd'hui.

La chaîne Al-Jazzera diffuse les procès-verbaux des réunions.
La publication des documents a déclenché des réactions en chaîne, qui ont accusé le reporter d' Al-Jazzera de lancer une attaque directe contre l'Autorité palestinienne et contre son ex-président, Mahmud Abbas, pour torpiller le succès des négociations directes, pratiquement inexistantes en ce moment.

Ce qu'affirme ce journaliste est faux, en effet, pour qu'il soit dans le vrai il eut fallu, que ces négociations aient une change d'aboutir positivement. Or toutes les négociation avec Israël, nous le savons tous, sont une mascarade et cela non seulement depuis 1999/2010, mais depuis toujours. Il n'y a pas un seul engagement pris dans ces négociations qu'a la lettre l'État israélien n'aie pas piétiné...

Quelques leaders du Fatah et israéliens ont tenté de défendre Abbas. C'est le cas de l'ex ministre des Affaires extérieures Shlomo Ben Ami, qui en 2000 supervisa les négociations, et qui déclara hier : que les documents divulgués ne contiennent pas de grandes nouveautés par rapport aux négociation du temps de Yasser Arafat.

C'est clair. Mahmud Abbas est en isolation à la Moukata, nous le constatons ! Nous prendrait-on pour des canards sauvages ?
Cela aussi nous le savons, nous ne pouvons pas faire confiance à un sioniste qu'il soit juif ou non. Un sioniste choisit toujours la solution la moins mauvaise au moment où il en a besoin...

"Le principe était et l'est encore, que les zones de peuplement israéliennes de Jérusalem resteront sous contrôle israélien et les zones de peuplement arabe resteront sous contrôle palestinien", déclara Ben Ami.

Là, on comprend l'empressement que met l'État israélien a nettoyer ethniquement Jérusalem-Est mais aussi la Vallée du Jourdain ou encore, même sans rapport direct, le Néguev.

Seul est demandée l'abandon de la colonie de Bethléem.
Sans doute pour apaiser les critiques de la part de la communauté Chrétienne, comme si le Droit international était une question d'interprétation.  

Lors d'une réunion qui eut lieu le 15 juin 2008, et avec la participation du chef négociateur, Saeb Erekat, le ministre des Affaires étrangères palestinien, Ahmed Qureia, son collègue israélien, Tzipi Livni, et la Secrétaire d'Eat US, Condoleezza Rice, c'est là que furent offeters toutes les colonies de Jérusalem-Est sauf Har Homa.  "C'est la première fois dans l'histoire que nous faisons une telle proposition ; nous ne la fîmes même a Camp David", ajouta Qureia. Ben, non ! A Camp David, Yasser Arafat était présent...



Une autre réunion qui eut lieu en octobre 2009, Erekat offrit aux israéliens le contrôle du quartier juifs de la Vieille Citée et "une partie du quartier Arménien". Les documents révèlent que les israéliens généralement se limitent à écouter et après disent qu'ils refusent la proposition et demandent une nouvelle proposition.
D'autres documents démontrent que Erekat  suggéra aux israéliens que le contrôle de l'esplanade des Mosquées, riveraine du Mur des lamentations, devrait être contrôlé par un comité international duquel l'Arabie Saudite serait partie prenante.

Le drapeau palestinien flotte aux Etats-Unis.

Le drapeau palestinien flotte pour la première fois aux Etats-Unis.
EFE - Washington - 19/01/2011

Le drapeau a été hissé au siège de l'OLP de Washington. - Le Département d'Etat spécifie que cet acte ne suppose pas un changement  de rythme dans la sa stratégie pour le Proche-Orient.

La politique américaine se faisant à Tel-Aviv, le département d'État de Washington se sent obligé de faire cette précision, afin de calmer les velléités que Tel-Aviv pourrait ordonner a son LOBBY américain...  
Nous vivons une époque où la diplomatie est synonyme de la poltronnerie la plus base, puisqu'elle se couche devant des criminels.
La lutte contre le terrorisme par laquelle l'Occident voudrait justifier ces crimes ne se justifie que si l'on lutte aussi contre les faits qui l'engendre.

Le drapeu palestiniens a été hissé ce mardi pour la première fois à l'extérieur de la Délégation de l'Organisation pour la Libération de  la Palestine (OLP) a Washington, comme symbole de la lutte des palestiniens pour la création d'un Etat indépendant.  Maen Rashid Areikat, l'envoyé de l'OLP pour les USA, réalisa le drapeau de trois bandes horizontales de couleur noir, blanc et vert et d'un triangle rouge depuis le balcon de la délégation. Flottant au dessus de l'entre principale de l'édifice de la mission.

Le porte-parole du Département d'Etat, Philip Crowley, a été clair : cela ne signifie un changement de rythme de la pisolitique étatsunienne. Ainsi, a expliqué que le Gouvernement accéda à la demande "il y a quelques mois" pour que l'OLP puisse hisser le drapeau palestinien et a précisé que cela ne implique aucun changement de statut  de la mission aux USA.   

Lors de la cérémonie, Areikat a qualifié le moment d'"historique". "Il est l'heure de que ce drapeau, qui symbolise la lutte des palestiniens pour l'autodétermination et la création d'un Etat, soit hissé aux USA", a affirmé. Pour Areikat, le geste des USD "indique la volonté" de l'Administration du président Barak Obama d'affronter "les réalités".
"Les USA et la Communauté internationale et tout le Moyen-Orient sont intéressés par la création d'un Etat palestinien" a-t-il ajouté.

C'est très bien, fait-il encore qu'il soit viable et dans une continuité territoriale acceptable à la place de la bantoustanisation que propose l'Etat israélien et le sionisme.

Areikat argumenta devant le Département d'Etat qu'il n'y avait aucun sens a hisser la drapeau palestinien sur la base aérienne de Andrews Air-Force, a chaque fois qu'atterrissait le président palestinien, Mahmud Abbas, et qui soit reçu par la Garde d'honneur et ne par le monter à l'extérieur de l'édifice de la délégation de l'OLP.

Petite précision, qui a son importance, sur les critères que l'Occident donne à la démocratie. Mahmud Abbas n'est plus le président élu de l'Autorité palestinienne, depuis l'accession démocratique du Hamas aux affaires, plus aucune autre élection "démocratique" n'a été organisée, qui lui donnerait sa crédibilité. (vous avez dit bizarre ?) La démocratie Occidentale ne vaut que si elle correspond à la vision que lui même se fait. Et lorsqu'il (l'occident) affirme mener la démocratie ça-et-là, c'est sa démocratie qu'il exporte, au besoin si nécessaire d'y faire "élire" un fantoche.  Belle leçon de démocratie pour nains intellectuels !!!

Selon Areikat, le permis de Washington démontre aussi que le Gouvernement de Obama prend au sérieux son affirmation de "sa volonté de voir la lutte des palestiniens se termine par la création d'un Etat palestinien"  Ce que nous demandons maintenant au Gouvernement US est qu'il traduise cet appui à l'Etat palestinien en une action concrète, a précisé.
Les représentants palestiniens   travaillent pour que les membres de l'ONU reconnaissent l'existence d'un Etat palestinien et négocie avec les membres du Conseil de Sécurité un projet  de résolution qui condamne la colonisation juive en territoire palestinien.

UJFP - Nurit Peled Elhanan-

Union Juive Française pour la Paix-Alsace

En marge de la campagne médiatique, visant à rehausser l'image  de l'État israélien, il nous faudra démonter les mensonges et manipulations qui se profilent à l'horizon, sur fond de vérité que furent les crimes nazis ou encore l'antisémitisme des européens, cette campagne tente de justifier les crimes que commet Israël. 
Il n'est plus admissible que l'État voyou qu'est l'État israélien, continue de se servir de la communauté juive, prétendant parler ou agir en son nom au moyen de mensonges, manipulations ou crimes...  


Nurit Peled Elhanan, mère israélienne d'une victime d'attentat, professeur à l'université hébraique de Jérusalem, prix Sakharov du Parlement européen


Cher Monsieur Hessel, chère Madame Shahid, chers participants,
Je suis désolée de ne pouvoir assister à cette importante conférence. Mais je tiens à exprimer mon admiration à Monsieur Hessel, et à tous les participants et à vous assurer que je suis de tout cœur avec vous.  J'ai lu l'éditorial du président du CRIF se félicitant de l'interdiction de notre conférence et remerciant des philosophes et écrivains hypocrites et ignorants, qui pérorent sous les ors des salons parisiens et pensent briller en étalant leur prose "politiquement correcte" tout en ignorant de manière étonnante la vie réelle des gens dans les Territoires palestiniens occupés et le caractère dictatorial du gouvernement israélien actuel. L'ignorance et l'hypocrisie de ces gens n'est pas une négligence, mais un crime, car ils encouragent la tendance fasciste qui menace de nous noyer tous, en Israël, en Palestine et en France.
En 2010, trente lois racistes visant les citoyens palestiniens d'Israël ont été proposées en Israël et, pour la plupart, approuvées. Elles séparent des familles. Elles permettent de confisquer des maisons et des terres, de refuser les traitements médicaux nécessaires à des invalides, de détruire les maisons des Bédouins, de discriminer des écoles quand elles sont druzes ou palestiniennes, d'incarcérer des enfants.
Bien plus, la justice, qui devrait de protéger les gens contre cette terreur, obéit aux lois racistes d'un régime d'apartheid. Comme en Afrique du Sud autrefois, toutes les discriminations anti-palestiniennes en Israël sont légales : nul n'est jamais puni pour les crimes perpétrés contre ces "non-citoyens".
En revanche, ce gouvernement où un Liebermann joue un rôle décisif considère comme un péché mortel la résistance non-violente à l'occupation, qui se développe dans les sociétés palestinienne et israélienne contre  les crimes et la répression découlant de l'occupation.
Ces derniers temps, la police et l'armée israéliennes arrêtent des militants des droits humains lorsqu'ils sont juifs, comme Yonathan Polack, et les tuent s'ils sont palestiniens, tels Bassem Abu-Rahma et sa sœur, Jawahr. Les organisations de droit de l'homme en question sont désormais soumises à des enquêtes brutales et humiliantes par...  les criminels contre l'Humanité qui nous gouvernent. De surcroît, la pauvreté touche plus l'Israélien que jamais, et ses principales victimes sont les citoyens arabes.
Et le monde se tait… Et le CRIF soutient. Cet appui au gouvernement le plus extrémiste de l'histoire d'Israël, engendré par une peur irrationnelle à l'égard de tous les goyim (non-juifs) et aussi par la crainte réflexe de toute critique, nous met tous en danger : c'est la cause principale de la montée de l'antisémitisme en Europe. Ce sont ces Juifs-là, ces philosophes et écrivains ignorants et hypocrites qui alimentent la haine qui s'affirme contre les autres Juifs. D'autant qu'ils combattent la liberté de pensée en France et ailleurs, et prétendent interdire toute critique contre la politique criminelle et raciste d'Israël. Ainsi la fascisation nous menace vous et nous, ici et là-bas.  Les Juifs français devraient comprendre que soutenir un régime fasciste et cruel n'est ni juif ni humain et se rappeler la leçon de Hillel : "Aimez votre prochain comme vous-mêmes, voilà à quoi se résume toute la Torah." Ici, à Jérusalem, notre prochain, c'est le Palestinien. La moitié de la population dominée par Israël est palestinienne.
C'est pourquoi soutenir Israël, c'est soutenir les citoyens d'Israël, juifs comme arabes. Soutenir Israël signifie soutenir des personnes comme Haneen Zoabi, qui lutte avec un courage et une ténacité admirables pour une vraie démocratie.
Lutter pour un Etat d'Israël démocratique, c'est inséparablement lutter pour une Palestine libre, C'est aussi militer pour les droits des "non-citoyens" d'Israël, c'est-à-dire les Palestiniens des Territoires occupés, traités comme des esclaves, concentrés et incarcérés dans des camps énormes au sein même de leur propre pays, privés de tous les droits humains et civils. Soutenir Israël, cela veut dire libérer Israël de son régime criminel, des accords illégaux, des colonies de larrons, boycotter leurs marchandises - produits de terres volées, de l'eau volée, et changer Israël en un pays où chacun peut vivre dans la dignité. Tels sont les principes de sa Déclaration d'Indépendance d'Israël que les juifs du CRIF ont oublié - à moins qu'ils ne l'aient jamais lue ? Moi, mon grand-père a signé cette Déclaration, et je ne peux donc pas l'oublier.
J'espère que ce message arrivera aux oreilles de ces Juifs français que rend sourds la propagande du régime raciste d'Israël, des oreilles bouchées par le terrorisme intellectuel du CRIF.

Le Néguev et ses Bédouins


Le Néguev et ses Bédouins :

Israël est, en ce moment 2010/11 et depuis quelques mois, entrain de faire place-nette dans le désert du Néguev, espace ancestral de ses Bédouins, sous le prétexte de l'utiliser comme terrain militaire, or, tous ceux qui observent les criminels israélien constatent que c''est une argutie additionnelle à leur politique de voyous que pratique cet Etat  de va-nu-pieds, servie et innocentée par des voyous bien chaussés... Les bédouins sont "officiellement" des citoyens israéliens, mais le racisme de cet État ne lui permet pas une conduite décente. État qui n'est pas la hauteur  du privilège que lui accorda l'ONU en 1947.  Aujourd'hui plus que jamais se pose la question de la légalité de l'État israélien, qui na pas su respecter le peuple qui l'avait accueilli.
C'est le nettoyage ethnique permanent.

Villages arabes non reconnus :  entretiens avec Faisal Sawalha
– par Caysha Cay de l’International Medle East Media Center (IMEMC).
-IMEMC : Pourriez-vous nous parler de la loi adoptée l’an dernier (2007) qui assimile les Bédouins à des envahisseurs d’Israël ? Pourriez-vous nous en dire un peu plus ?
-Faisal Sawalha : Il y a eu un amendement à la loi foncière israélienne qui date des années 60. Cet amendement est intitulé « Expulsion des envahisseurs », les Bédouins sont considérés comme les envahisseurs de leurs propres terres. En fait, cette loi donne à l’autorité foncière israélienne le mandat, a la juridiction d’appliquer cette loi foncière à la terre dont la propriété est encore contestée, et il n’y a pas d’autre terre contestée en Israël que celle qui appartient aux citoyens arabes du Néguev.
- IMEMC : Pouvez-vous m’en dire d’avantage sur le triangle de terre sur lequel les Bédouins ont été confinés ?
- Faisal Sawalha : Dès 1948, approximativement 90% des Arabes du Néguev ont été contraints de quitter le pays. Le gouvernement israélien a regroupé tous ceux qui restaient dans le triangle entre Dimona, Beersheba et Arad, ils sont restés sous commandement militaire de 1948 à 1966,      ce qui implique qu’ils n’étaient pas autorisés à quitter la zone.
Les Arabes ont alors perdu les terres qu’ils possédaient en dehors de cette zone puisqu’ils ne pouvaient en faire usage. Différentes lois établissent que si un propriétaire était absent de sa terre entre 1948 et 1950, il en perdrait la propriété. Aussi, nombre de gens se sont retrouvés spoliés. C’est ainsi que s’est crée le problème des déplacés de l’intérieur. Des gens réfugiés à l’intérieur de leur pays et qui ont tout perdu. 
-  IMEMC : Comment relier ces faits avec le plan de développement du Néguev et quel est le plan alternatif du Conseil régional des villages arabes du Néguev ?
- Faisal Sawalha : Le plan de développement du Néguev est une autre tentative du gouvernement israélien  pour « résoudre » le problème des villages non-reconnus et pour les évacuer. Le plan de développement aborde principalement la question du peuplement du Néguev par un plus grand nombre de juif. Nous n’y sommes pas opposés, nous considérons qu’il y a suffisamment de place dans le Néguev pour tous. Mais le problème est que le gouvernement israélien planifie l’implantation de nouvelles colonies juives à l’emplacement même des villages non-reconnus. Plutôt que de planifier de nouvelles colonies, nous préconisons la reconnaissance de nos villages et de laisser leurs habitants vivre dignement en tant que citoyens dont l’égalité des droits, est reconnue. La question des Arabes dans le plan de développement a été confiée au Conseil national de la Sécurité, il est plutôt curieux de voir le destin de citoyens de ce pays confié à une institution qui s’occupe de la sécurité. Le conseil national de la Sécurité a publié son rapport début 2006, il compare les Bédouins du Néguev aux colons israélien de Gaza et réclame du gouvernement, s’il parvient à évacuer Gaza, l’évacuation des Arabes du Néguev. Bien entendu, nous sommes contre une telle comparaison. Pour plusieurs raisons. Il est clair que les colonies de Gaza étaient illégales, étant situées sur la terre indigène d’un autre peuple. Les Bédouins sont le peuple indigène du Néguev, ils vivent sur leur terre ancestrale et il n’y a pas matière a comparaison. Les recommandations du Conseil national de Sécurité sont que le gouvernement doit discuter avec les Bédouins pour trouver une solution au problème des villages non reconnus mais que si un accord n’est pas trouvé dans un délais de deux ans, une solution sera imposée par la force. Ainsi, notre communauté n’a rien à dire ni à décider concernant cette question. […]


L’effacement d’un patrimoine


L’effacement d’un patrimoine : Par Saleh ABDEL-JAWAD

L’auteur, professeur à l’université de Birzeit, s’interroge sur les raisons de l’échec de l’historiographie arabe et palestinienne face à la narration historique israélienne, et sur l’occupation de la réalité de la Naqb pendant si longtemps. Il identifie trois causes majeures : la perte du patrimoine écrit, le rôle prédominant de la tradition orale dans la culture arabe et la supériorité de fait de l’historiographie israélienne due à un héritage européen moderne. Cet extrait aborde la question des sources palestiniennes et de leur accessibilité.

La résolution de partage du territoire de la Palestine votée par les Nations Unies le 29 novembre 1947 a déclenché des accrochages qui ont mené à la guerre de 1948, une guerre totale qui à durée plus d’un an. A l’issue de cette guerre, il y avait clairement un vainqueur et un vaincu. Mais cette victoire n’est pas une victoire comme les autres, car elle cache une tragédie immense, qui a un impact direct sur la capacité du vaincu à écrire son propre récit historique.

Jusqu’aux nom des villages rayés de la carte
La victoire israélienne de 1948 n’est pas une victoire classique. Elle a suivi une guerre d’autodéfense entraînant l’expulsion « quelques centaines de milliers de Palestiniens », selon l’expression convenue, et l’avortement d’un Etat palestinien.
1948, c’est avant tout une tragédie humaine de premier plan : 80 à 85 % des villages arabes passées sous contrôle israélien on été tout simplement rasés, leur population chassé, et ce en dehors de tout faut de guerre. Parmi les onze villes palestiniennes tombées, cinq on connu une dépopulation et une expulsion totale ; il s’agit de Tibériade, Safad, Bir Sabaa (Bersheva), Bissan, Majdal. Dans cinq autres villes, seule une petite minorité de la population a pu subsister. Une seule petite ville, Nazareth, qui ressemblait plutôt à un gros village, a été épargnée, ceci pour éviter de provoquer le Vatican et l’opinion publique occidentale et chrétienne. Ces villages, comme la plupart des quartiers arabes des villes, ont été rasés pour effacer toute trace ou tout signe d’un passé arabe. L’historien Meron Benvenisti a écrit en détail le processus systématique qui a permis de rayer jusqu’au nom de ces villages de la carte.
Un patrimoine dévalisé
Cette destruction socioculturelle a privé les Palestiniens de ce qui représente l’incubateur du patrimoine culturel : c’est dans les villes de Jaffa et Haïfa et les quartiers arabes de Jérusalem-Ouest que se trouvaient les bibliothèques, les archives, la presse et les imprimeries, les registres du cadastre, mes maisons d’édition et les centres culturels, les cinémas et les théâtres. Entre les mois d’avril et mai 1948, la presse palestinienne, source de première importance, a été confisque et détruite, les événements de la guerre n’ont plus été couverts à partir de cette date.

La totalité du patrimoine culturel écrit a été dévalisée, les archives des conseils locaux, celles des hôpitaux, des écoles, les bibliothèques privés, les papiers de famille et les mémoires personnels. Je citerai ici les archives et documents de grands intellectuels ou romanciers palestiniens tels que Georges Antonius, Aouni Abdel Hadi, Henri Cattan, Mustapha Mourad Eddbagh, et bien d’autres…

Enfin les archives de la seule organisation militaire palestinienne, le « Jihad El Mougaddas », ont également été confisquées. Une partie de ces archives est tombée aux mains des israéliens, tandis que la partie la plus importante à été confisquée par l’armée jordanienne, lors de l’attaque du quartier général de l’armée palestinienne dans les deux villages voisins de Birzeit et de Ain Sinia, en juillet 1948. Personne ne sait jusqu'à aujourd’hui où ont disparu ces archives. Lorsque les forces israéliennes sont entrées à Jérusalem en 1967, la famille Husseini a brûlé un certain nombre de papiers par crainte de représailles de l’armée. Enfin tout ce qui restait de ces archives, conservé à la Maison de l’Orient, a été confisqué le 1er juin 2001.

Le problème de la perte des archives et des documents palestiniens n’est pas spécifique à la guerre de 1948. L’héritage politique et culturel des Palestiniens a, comme leur terre, toujours été l’objet d’usurpations. Ainsi Israël a confisqué les documents du mouvement national et de la société palestinienne qui se trouvaient dans les locaux des administrations jordanienne en Cisjordanie et Egyptienne dans la bande de Gaza. Ces documents ont été transférés en Israël  où ils sont devenus partie intégrante des archives de l’État hébreu (State Archives) conservées dans les souterrains de l’immeuble qui abrite le gouvernement israélien. Les chercheurs palestiniens, et les Palestiniens en général, propriétaires de ces documents, n’y ont pas accès.

Des archives confisquées ou interdits d’accès.
En tant qu’historien palestinien, il me faut évoquer les problèmes rencontrés et les dangers courus par les chercheurs palestiniens pour préserver les documents du mouvement national palestinien sous occupation israélienne, comme les documents de l’Intifada. A plusieurs reprises en outre, les forces d’occupation ont incendié intentionnellement et criminellement les bureaux des registres et des tribunaux (à Naplouse et à Jérusalem). Rappelons aussi que l’un des objectifs de l’occupation de Beyrouth était de confisquer les archives du Centre d’Etudes Palestiniennes. Les chercheurs palestiniens et arabes sont d’ailleurs confrontés au fait que les archives arabes, militaires ou politiques, concernant la guerre de 1948, sont strictement interdites dans les pays arabes qui ont participé à la guerre.

Destruction, confiscation et inaccessibilité des sources écrites : cette situation d’impasse ne laisse d’autre issue au chercheur que de se tourner vers les sources orales. Cela explique partiellement l’échec des historiens palestiniens qui n’ont pas eu recours aux témoignages pour écrire l’histoire de la Nakba. Ce n’est pas par hasard que le livre volumineux de l’historien palestinien « Aref el Aref » qui à travaillé en s’appuyant sur des sources orales, reste encore le meilleur ouvrage palestinien sur cette guerre, malgré ses lacunes et ses faiblesses. Il ne disposait en effet que des moyens très simples, et a publié son livre bien avant l’ouverture des archives en 1970, bien avant que ne paraissent les nombreux livres disponibles sur la question.

En plus de la perte de leurs archives, des sources écrites et de leurs bibliothèques, les historiens palestiniens ont vécu les contraintes d’un quotidien de survie qui a paralysé la vie intellectuelle durant des années.
Les historiens ont souligné la singularité de ce phénomène d’effacement. L’étendue de la destruction subie par le peuple palestinien en 1948, une destruction multiforme, a toujours été sous-estimée, y compris du côté des historiens palestiniens et arabes.

mercredi 26 janvier 2011

Criminels de Guerre à Gaza.

CRIMINELS DE GUERRE  à GAZA :

 
01 -Le ministre de la Défense israélien Ehud Barak.
02 -Le général de brigade Eyal Eisenberg, commandait l’ensemble des forces israéliennes contre la bande de Gaza.
03 -Général de division Ido Nehushtan : commandant des forces aériennes israéliennes qui ont mené toutes les opérations de destructions avec des bombes au phosphore.
04 -Colonel Ron Ashrov : commandant pour la zone Nord de la bande de Gaza, commandant adjoint de la brigade Givati.
05 -Général de brigade Eyal Eisenberg : commandant de toutes les FOI (Forces d'Occupation Israéliennes) ; ont commis des crimes de guerre lors de l’ « Opération Plomb durci » placées sous son commandement dans la Division de Gaza ; a personnellement tué des civils ; a commandé les opérations auxquelles ont participé des unités des corps de blindés et du génie, ainsi que des troupes de l’infanterie. Eisenberg avait également commandé une division durant la Seconde Guerre du Liban.
06 -Colonel Yigal Slovik : commandant le convoi de la 401ème brigade du corps des blindés, est entré dans Gaza sur un char d’assaut Merkava par Netzarim et ne s’est arrêté qu’arrivé à la côte ; a assassiné des civils palestiniens qui avaient brandi le drapeau blanc ; a démoli de nombreuses maisons, écrasant ceux qui n'avaient pas eu le temps de sortir. Les unités de la brigade ont également effectué de nombreux raids avec pour cible l’infrastructure publique.
07 -Le commandant de la brigade Sho’alay Marom, Moshe Orr (réserve) : à rasé des centaines de maisons dans Rafah et dans Jabalia.
08 -Colonel Avi Peled : commandant du bataillon 51 qui a opéré dans Gaza durant l’opération « Plomb durci » et également durant la Seconde Guerre du Liban.
09 -Colonel Hertzy Halevy : commandant de brigade, un ancien de l’unité de reconnaissance Sayeret Matkal, commandant la brigade parachutiste à Gaza, à commis des crimes de guerre durant l’opération « Plomb durci ».
10 -Colonel Avichai Mandelblut : (autre orthographe : Mendelblit), à relevé que ses officiers étaient rattachés durant toute la guerre à tous les commandants, du chef d’état-major aux commandants de division.
11 -Colonelle Pnina Sharvit-Baruch, chef du département Droit international, conseillère militaire du quartier général des forces criminelles de défense israéliennes. Sharvit-Baruch a légitimé les crimes de guerre de l’opération « Plomb durci » dans la bande de Gaza. Elle a justifié l’assassinat des civils palestiniens comprenant des centaines d’enfants.   
Sous le commandement de Sharvit-Baruch, les experts juridiques des FDI ont légitimé les attaques et les assassinats collectifs dans Gaza, elle a déclaré que les criminels de guerre des FDI durant l’opération « Plomb durci » à Gaza avaient le feu vert. Sharvit-Baruch et sa division ont pensé que l’assassinat de civils palestiniens dans une maison dont les résidents avaient été alertés par les FDI pouvait être considéré comme justifié juridiquement, bien que l’armée israélienne en fait ne cible pas ainsi les civils. Selon un haut gradé de la division Droit international, « Notre objectif n’est pas de brider l’armée mais de lui donner les outils pour gagner d’une manière légale. 
La colonelle Pnina Sharvit-Baruch a reconsidéré le droit international relatif à la guerre urbaine. Elle a fait valoir à plusieurs reprises que, d’un point de vue strictement juridique, Israël avait le droit d’utiliser l’artillerie sur des cibles dans les zones urbaines palestiniennes. « S’ils lancent des roquettes contre nous depuis des zones habitées, ou fabriquent des bombes dans les sous-sols des immeubles, nous sommes dans notre droit de bombarder ces zones pour réagir » a déclaré Sharvit lors d’une conférence sur la guerre urbaine dans les territoires.
12 -Général de corps d’armée Gabi Ashkenazi : chef d’état-major des forces d’occupation israéliennes ; son père fut un survivant de l’holocauste en Bulgarie, sa mère est née en Syrie. Ce dégénéré moral est l’ingénieur de ce nouvel holocauste dans Gaza. Il a perpétré des crimes de guerre également au sud du Liban. Trois de ses soldats avaient été capturés par la résistance du Hezbollah après qu’ils soient passés illégalement au Liban, une provocation qu’il avait ordonnée lui-même.
13 -Le rabbin en chef de l’armée israélienne, le colonel Avichai Ronsky, fondateur de la yeshiva dans la colonie illégale d’Itamar, au sud de Naplouse, ancien commandant adjoint des blindés. Il est l’auteur d’écrits sur la religion et l’armée. Il a fait ses études avec le prédicateur détesté, le colonel rabbin Yisrael Weiss. Spécialiste de l'endoctrinement des recrues.
En 2007, il a ouvert une nouvelle série de cours pour les diplômés de yeshiva qui ont servi comme soldats dans des unités combattantes, pour devenir rabbins de bataillons dans la réserve. Le premier cours, considéré comme « pilote », s’est tenu à la base d’entraînement n° 1, il a duré six semaines et fut dispensé à 109 soldats diplômés. 
Le colonel Avichai Ronsky a déclaré que son travail consistait à renforcer l’ « esprit de combat » des soldats. Il fait partie des terroristes d’extrême droite, pas très loin de l’esprit du défunt rabbin Meir Kahane, dont le parti fut déclaré illégal en Israël en raison de idéologie raciste. Sous les auspices du rabbinat militaire, des brochures religieuses fascistes des « rabbins » d’extrême droite ont été distribuées aux soldats.
15 -Général de division Yoav Galant : Chef du commandement sud, commandant en chef de l’opération « Plomb durci » ; a personnellement participé au massacre de civils dans la bande de Gaza.
16 -Général de division Amos Yadlin : chef des services de renseignements de l’armée, a participé à l’opération « Plomb durci ».
17 -Yuval Diskin : chef des services de sécurité Shin Bet, organisateur de la guerre dans la bande de Gaza. C’est sur sa recommandation personnelle que l’artillerie israélienne a bombardé les hôpitaux et les centres médicaux de la bande de Gaza.
Général de brigade Jonathan Locker : chef des forces aériennes israéliennes qui ont opéré dans la bande de Gaza.
18 -Le trio qui a préparé ces crimes de guerre : la ministre des Affaires étrangères Tzipi Livni, le Premier ministre Ehud Olmert, le ministre de la Défense Ehud Barak.  Ehud Olmert : Premier ministre corrompu d’Israël, a légitimé la guerre dans la bande de Gaza avec son cabinet. Ehud Barak : ministre de la guerre israélien, a planifié l’opération « Plomb durci » dans la bande de Gaza pour améliorer ses chances aux prochaines élections. Tzipi Livni  : ministre des Affaires étrangères d’Israël, a conduit la propagande israélienne pour légitimer le massacre et les destructions dans la bande de Gaza, a planifié et coordonné l’opération « Plomb durci » dans la bande de Gaza pour améliorer ses chances aux prochaines élections

mardi 25 janvier 2011

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