jeudi 18 avril 2019

Mainmise de l’État sur l'info




Boulevard Voltaire info@boulevard-voltaire.fr


Chère Madame, Cher Monsieur,
Après la loi liberticide sur les Fake news, le chef de l’Etat continue de tisser sa toile pour aller encore plus loin dans le contrôle de l’information en France.
Le politiquement correct gangrène déjà l’info diffusée par la plupart des médias subventionnés mais, pour Emmanuel Macron, ce n’est pas encore assez.
En janvier dernier, il avait évoqué sa volonté de développer une information “neutre” que “l’Etat doit financer”. Ahurissant !
Son projet : “Financer des structures qui assurent la neutralité” avec dans les rédactions... des journalistes rémunérés par l'Etat pour la “vérification de l’information”.
Autrement dit, c'est la surveillance et le contrôle de l’information par l’Etat, avec des médias “autorisés” et “vérifiés”, rémunérés sur fonds publics et chargés de distiller la bonne parole pour répandre la “vérité” d’Etat.
Et le président de la République est déterminé à faire avancer son projet à toute vitesse. Il a commandé un rapport, qui vient d’être publié, pour la “création d’une instance d’autorégulation et de médiation de l’information”.
En clair, c’est la création d’un comité de censure officiel, avec les “bons” médias obéissants, soumis au contrôle de l’instance et recourant à l’autocensure pour bénéficier de financements publics et de l'agrément de l’Etat.
Ce projet est une attaque sans précédent sur la liberté de l'information en France.
Mais ensemble, avec Boulevard Voltaire, nous avons le pouvoir de résister !
Car la seule solution pour que, demain, les Français puissent encore trouver une information non verrouillée par le pouvoir politique, c’est de donner à Boulevard Voltaire, votre média indépendant, dont les choix éditoriaux sont totalement libres, les moyens de produire et de diffuser la contre-information éradiquée de la plupart des autres médias sous la coupe de l’Etat.
C'est pour garantir cette liberté et cette autonomie que nous ne recevons pas de subventions, publiques ou privées. Nous ne voulons pas mettre le journal entre les mains de l'Etat, ni d'actionnaires ou de pays étrangers, comme c'est le cas des plus grands journaux français – qui sont désormais aux ordres de leurs commanditaires.
Nous mettons un peu de publicité sur le site, mais les recettes sont marginales et ne nous permettent pas de financer les frais de logistique, ni de dédommager les permanents qui passe 10h par jour, weekend compris, pour vous permettre de lire des articles de qualité chaque matin.
Tout ce que nous avons fait jusque-là pour maintenir et développer Boulevard Voltaire, et donner de l'information alternative gratuite et de qualité à plus d'un million et demi de personnes, nous le devons au soutien engagé de citoyens, comme vous, qui ont à cœur de lutter contre les mensonges du politiquement correct et rétablir une véritable liberté d'expression et d'opinion en France.
 
Aujourd'hui, nous voulons vous proposer de rejoindre le mouvement, et de contribuer, par votre don, à développer Boulevard Voltaire.
Nous devons, très vite, renforcer et développer au maximum le sanctuaire de l'information indépendante que nous avons bâti sur Boulevard Voltaire et le faire connaître au plus grand nombre de personnes possible. C'est vital pour la liberté de l'information des Français.
Mais pour y arriver, nous avons besoin de vous !
C'est pourquoi nous nous permettons de vous demander, à vous, lecteur de Boulevard Voltairede nous aider par votre don à produire et à diffuser, plus largement encore, une information libre, non censurée par le politiquement correct, non contrôlée par le pouvoir politique.