mercredi 8 février 2012

C.R.I.F. (Le dîner)



Richard Prasquier, président du Conseil représentatif des institutions juives de France, lors du dîner de 2011

Le drapeau israélien ne flotte pas à coté des drapeau Européen et Français.
Le CRIF n'est pas une association française qui veut représenter l'ensemble 
des association juives françaises, par ailleurs toutes les association juives françaises 
ne veulent pas être représentés par le CRIF.  
Organisation sioniste en France, extrémiste et xénophobe, nuance d'importance. 
Car c'est une évidence le CRIF cautionne les crimes que commet Israël.


Comment s'étonner de la politique menée par Sarkozy et Hollande, attendu qu'ils sont des souteneurs du CRIF! L'association la plus raciste de France. Il s'en suit naturellement l'islamophobie, qui dulcifie les crimes de l'armée que cette secte protège.
Ce mercredi soir aura lieu le 27e dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France. Dans le pavillon d'Amenonville, 800 à 1000 convives sont attendus, parmi lesquels Nicolas Sarkozy et François Hollande. 
Le désormais fameux dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France, qui a vu le jour en 1985, prend cette année plus que jamais une tournure politique. Tous les regards scrutent la liste des invités, notent la présence de l'un et l'absence de l'autre. Il n'aura donc échappé à personne que les deux favoris des sondages pour la présidentielle participeront, mais pourquoi? 
Tous les politiques? 
On pourrait penser que le Crif est le rendez-vous de tous les politiques, mais ce n'est pas vraiment le cas. Outre le fait que Marine Le Pen, comme son père avant elle, n'a pas été invitée, les partis à gauche de la gauche qui ont pris position pour le boycott d'Israël pour défendre la Palestine ne sont pas non plus les bienvenus et ce depuis 2009. Sergio Coronado, directeur de la communication d'Eva Joly souligne sur ce point que le parti adhère à "la position des nations unies". Et il ne semble pas trop chamboulé par l'absence d'un carton d'invitation: "si on en avait reçu une, on se serait posé la question. Là ce n'est pas le cas, ça ne nous empêche pas de dormir." 

Vous doutez de la nocivité de l'Etat qui à l'origine devrait être un Foyer pour les Juifs :

On comprends mieux pourquoi l'Independence de la France est aliéné au bon vouloir d'Israël contre, principalement, les Etats musulmans. Ce n'est pas de la politique, le vocable complot conviendrait mieux à ces arrangements communautaristes d'une autre temps. Il faut reconnaitre que le sionisme, depuis 1897, s'est toujours arrangé pour corrompre l'interlocuteur qui favoriserait ses desseins. Le C.R.I.F. ne déroge pas à cette règle.

Selon le C.R.I.F 80% des juifs français ont voté pour Sarkozy, après qu'il ait déclare ouvertement être favorable à Israël.
J'aimerais poser une question, le Général de Gaulle aurait-il assisté à ces diners ségrégationnistes ? Sans peur de me tromper je dis NON.  Pourquoi dans ces conditions ces hommes politiques se fourvoient dans des compromis incompatibles avec une République démocratique indépendante ?
La réponse est simple :
  • primo, parce qu'il n'ont pas de convictions politiques, ni une déontologie propre, mais se plient à leur intérêt.
  • secundo, parce leur cupidité est aussi forte que leur ambition.
Nous ne sommes plus là, dans un Etat démocratique mais dans une République bananière, où les dirigeants n'agissent pas pour l'ensemble des citoyens, mais pour leur intérêt personnel. (éventuellement celui de leur caste). Ces soutiens obtenus grâce à ces lobbys, ici, grâce au soutien des juifs oblige son bénéficiaire a l'avenir a se plier à leur exigences. C'est ainsi que le Président de la république française M Nicolas Sarkozy à cautionné un crime de guerre, voire contre l'humanité à Gaza. Crime de guerre, crime contre l'humanité, qualifié ainsi par la commission onusienne que dirigea le Juge Goldstone, lui-même juif.* (que l'on ne pourra pas, comme à l’accoutumé, qualifier d'antisémite dès que ces criminels sont à court d'arguments.) 
(J'attire votre ATTENTION sur le fait que, a la sortie de son rapport, nombreuses furent les protestation de la communauté juive en France mais aussi aux Etats-Unis, relayé par les médias et beaucoup d'articles parurent sur INTERNET, tentant d'atténuer l'importance de ce RAPPORT ou encore avançant que le Juge Goldstone serait revenu sur ces déclarations. C'EST FAUX. Ce sont les mêmes médias qui relayèrent ces vrais-fausses nouvelles qui aujourd'hui encensent le CRIF et son diner. CQFD)    

* Le rapport de la Mission internationale indépendante d’établissement des faits sur le conflit à Gaza plus connu sous le nom de rapport Goldstone1 est un rapport de 575 pages rédigé à la demande du Conseil des droits de l'homme des Nations unies sur l'opération militaire israélienne appelée opération Plomb Durci de décembre 2008 et janvier 2009 contre la bande de Gaza et sur les tirs de roquettes et de missiles contre des localités civiles israéliennes par le Hamas et autres organisations islamistes au cours de laquelle près de 1400 Palestiniens, dont 758 civils, et 13 Israéliens, pour la plupart militaires avaient été tués2.


C’est ainsi que le CRIF suggéra au Ministre des Affaires Etrangères M Bernard Kouchner de remettre le prix des «Droits de l’homme 2009» que Chaque année le France attribue à une ONG méritante, qu’il le fut remis  à Science-Po au lieu qu’il soit remis au Quai d’Orsay (Ministère des Affaires étrangères) tel que le voudrait l’usage, dans le but d’en diminuer la solennité et par voie de conséquence l’importance.
Il faut dire que ce prix revenait cette année à une ONG Palestinienne.
Que M Kouchner soit juif, ce la ne regarde que lui, Il ne doit en aucun cas permettre à une organisation xénophobe de dicter la conduite que doit tenir la France.
Que M Bernard Kouchner soit juif, cela ne regarde que lui, en aucun cas une organisation raciste et xénophobe ne doit dicter à la France sa conduite. 

Ce diner est surtout une tribune où le trafic d'influence se joue sous table.
Aux Etats-Unis les lobbys financent les deux camps, même à des degrés différents le vainqueur restera prisonnier de ses mentors.
Le CRIF un rendez-vous politique ! Le C.R.I.F est surtout une organisation raciste et xénophobe, qui s'est distingué par le soutient à l'armée israélienne au moment où cette dernière commettait un crime de guerre.   Car il est évident que le C.R.I.F. soutient un Etat criminel. Et si l'influence des juifs est indiscutable, elle est aussi, au sein de la nation une ordre au service d'une puissance étrangère. Car en effet, Israël ne se gène pas pour houspiller un homme politique français qui sortirait de la ligne politique souhaité par le sionisme, ne se gène pas, non plus, pour déclarer que les ogives nucléaires israéliennes sont pointées, aussi, sur les capitales européennes...   
Les Juifs sont-ils malmenés en France ? NON.
Dans ces conditions pourquoi les déclarations pusillanimes de Nicolas Sarkozy sur la Shoah et le danger que courent les Juifs en France, si ce n'est pour s'attirer leurs grâces au détriment forcement de la Nation ? Mais la question à se poser : " est est-ce que ces hommes ayant fait allégeance au sionisme sont-ils encore libres ?" être élu grâce a l'influence des juifs  favorables au sionisme,  permet-il de mener une politique indépendante ? La réponse est NON. Étant donné que Sarkozy a été obligé de soutenir Israël après ses crimes à Gaza, au lieu comme il l'avait annoncé dans un premier temps, d'y envoyer un navire hôpital et c'est enfin de compte une vedette militaire qu'il y envoya... pour affirma-t-il aider la marine israélienne à surveiller les cotes au large de Gaza !

IL doit y avoir écrit GOGO sur le chapeau des français. 



Le Président de la République française M Nicolas Sarkozy, a souhaité lors de son discours au dîner du CRIF, que les israéliens et palestiniens se parlent. Il assure que la France n'extrade pas les criminels.
Discours laudatif servant a endormir la défiance des français favorables a ce que le droit international s'applique en Palestine comme partout dans le monde. Les Israélien et les palestiniens se parlent depuis plus de quarante années, dans des pourparlers de paix, qui ne servent qu'a entériner la politique criminelle sioniste déployé par TOUS les gouvernements israéliens. Qui est assez stupide pour croire que M Sarkozy est sincère ? Lui qui a embrassé Tzipi Livni Ministre de la Défense ou donné l'accolade Ehud Olmert deux responsables des crimes a Gaza.
La France n'extrade pas les criminels juifs, même quand ils on la double nationalité franco/israélienne ? Et si le criminels avait été un Arabe est-ce que notre cher Président l'aurait, aussi, assuré de sa non extradition ?




La démocratie occidentale est mal menée, mais nous ne pouvons que nous en prendre à nous mêmes d'élire ces hommes. Et je voudrais ajouter que DROITE ou GAUCHE ne change rien a ce constat. Il y a des hommes honnêtes à DROITE et a GAUCHE. Cependant élire un homme favorable à Israël au sionisme s'est prendre le risque de le voir trahir les principes philosophiques de la France, les principes philosophies voulus par le CONSEIL de la RÉSISTANCE pour la société française.   

Vous pensez que le Parti Socialiste est plus enclin au respect du DROIT INTERNATIONAL ?   Vous vous "fourrez" le doigt dans l’œil... Plus apte à la gestion d'un Etat ? Vous vous fourrez le doigt dans  l’œil...

Il est temps que le premier critère qui guide 
notre vote, nos lectures, nos émission de 
géopolitique  [...] soit l’honnêteté, 
autrement c'est le mur que l'on rencontrera. 









Analyse 07/02/2012




Analyse : L’enlèvement de députés sert à saboter le Conseil Législatif Palestinien
[ 07/02/2012 - 22:50 ]

Gaza – CPI

L'armée israélienne continue a enlever et a emprisonner les représentants du peuple palestinien, en Cisjordanie et dans la sainte ville d’Al-Quds (Jérusalem-Est). Des analystes politiques confirment que ces agissements ont pour objectif d’asservir le peuple palestinien, d’abolir le rôle du Conseil Législatif Palestinien et d’affirmer le contrôle juif sur la Cisjordanie et sur Jérusalem-Est.

Pour sa part, Dr. Abdou As-Sattar Qassem, professeur en sciences politiques à l’Université Nationale d’Al-Najah, croit que l’enlèvement des deux députés Tottah et Abou Arafa vise à briser le moral des Palestiniens et à semer l’anarchie dans la société palestinienne ; et cela fait partie de la politique générale des occupants sionistes menée contre les Palestiniens.

Ces déclarations ont été faites après la "descente" des forces spéciales de l’armée de israélienne au siège de la Croix-Rouge de la ville d'Al-Quds et l’enlèvement du député Mohammed Tottah et du ministre Khaled Abou Arafa.

Dans des déclarations fournies au Centre Palestinien d’Information (CPI), Qassem s’est indigné de ces kidnappings :
« Les enlèvements continuent depuis la victoire du mouvement du Hamas aux élections. Les occupants israéliens ne veulent pas que la vie politique continue normalement. Ils veulent qu’un groupe particulier prenne la Cisjordanie et la ville d'Al-Quds en main ». Ainsi, ajoute-t-il :
« Les occupants sionistes veulent façonner la Cisjordanie selon leurs désirs ».
Et la Croix-Rouge est une institution qui fait partie du paysage politique international, note-t-il : 
« La Croix-Rouge ne peut rien faire. Et nous ne nous attendons pas à une action de leur part. Et si nous leur demandons quelque chose, nous ne faisons que perdre notre temps et nos efforts pour rien ».
Il ne faut pas rester à ce point passif face aux enlèvements des députés, dit Qassem : 
« Il faut mettre les bouchées doubles et changer la donne ; notre vie et nos actions ne nous permettent pas la résistance, mais la soumission ».

L’occupation sioniste ne veut pas la paix

Dans le même contexte, l’analyste politique Mustapha As-Sawwaf note que la politique de l’occupation sioniste n’est pas nouvelle. Elle vise à asservir le peuple palestinien et à dire que l’intérêt juif passe avant tout.

Les occupants israéliens ne veulent aucunement faire la paix avec les Palestiniens, « y compris avec le Fatah de Mahmoud Abbas  », dit-il.
Et pour la descente effectuée par les occupants sionistes au siège de la Croix-Rouge, il la considère comme une agression de toutes les lois et d’une institution internationale.
Et pour lui, cette descente n’est ni la première, ni la dernière ; le problème, c’est que la Croix-Rouge ne travaille pas de façon neutre et ne montre aucune réaction à ce qui s’est passé.

Le deuxième problème, ajoute-t-il, c’est que « l’autorité palestinienne cède à l’occupant et reste à ses côtés. La preuve, ce sont les négociations d’Amman et leur continuité ».

Cette descente exige de l’autorité de Ramallah et de son président Mahmoud Abbas, souligne As-Sawwaf, qu’ils laissent tomber ces négociations, qu’ils reviennent aux côtés du peuple palestiniens et qu’ils bâtissent une nouvelle stratégie basée sur ses principes.

Frapper le Conseil Législatif Palestinien
De son côté, l’analyste politique Naji Charabe dit que l’enlèvement des députés palestiniens, surtout ceux du mouvement du Hamas, vise à frapper la vie politique palestinienne, détruire le Conseil Législatif Palestinien, et créer des difficultés dans les discutions de la réconciliation.
De plus, ajoute-t-il, les occupants sionistes veulent confirmer leur mainmise sur la ville d'Al-Quds, sans aucun égard pour toutes les institutions politiques et juridiques.

Il appelle la Croix-Rouge à réagir, en dénonçant au grand-jour les mesures inhumaines, antidémocratiques pratiquées à l’encontre des Palestiniens.

Notons enfin que le 4 juin 2010, les occupants sionistes ont retiré les cartes d’identité de députés du Conseil Législatif Palestinien. Les députés Khaled Abou Arfa, Ahmed Attoun et Mohammed Tottah s’étaient réfugiés, depuis le 1er juillet 2010, au siège de la Croix-Rouge, où ils vivaient dans des conditions aussi difficiles que celles d’une prison.

Là, est le vrai visage de ces voyous, qui, parce que protèges  par les juifs disséminées de par le monde a qui nous avons fait confiance et élus aux postes de responsabilités politique, utilisent le pouvoir que nous leur avons conféré pour pérenniser cet Etat voyou, aujourd'hui, clairement immérité. Ces juifs que nous avons élus, qui utilisant nos institutions démocratiques s'immiscent au sein des centres de décision  et  se révèlent à nous, comme les souteneurs de criminels. 

Poésie Républicaine


Poésie à l'intention de tous ceux qui, serviteurs de la Globalisation,  adeptes inconditionnels du Nouvel Ordre Mondial que Commande le groupe Bilderberg a tous ces politiques cupides ; journalistes de brocante hypocrites ; élites déloyales ; toute cette intelligentsia nauséeuse [...] au service d'un ordre qui n'est pas nouveau,  sont des criminels, les uns par les faits ou par la politique qu'ils mènent, les autres par procuration.




Diaporama :  
Un Président modèle  







lundi 6 février 2012

Un Juif britannique orthodoxe


Un Juif britannique orthodoxe :
Madame la vice-présidente, ma grand-mère n’est pas morte pour cautionner les assassinats de grand-mères palestiniennes à Gaza… Les palestiniens sont traités comme des ordures… La solution n’est pas la conquête, ce n’est pas le véritable objectif des israéliens. Ses gouvernants ne sont pas des criminels de guerre. Sont des idiots.
Déclara à la Chambre des Communes britannique, pendant l’agression de Gaza, le député Gerald Kaufmann, en tant que juif orthodoxe et sioniste dont ses familiers furent massacrés pendant l’Holocauste, et ami de nombreux premiers ministres d’Israël en commençant par Ben Gourion.
Ces militaires même obéissant aux ordres peuvent et  doivent être accusés et condamnées pour  crimes de guerre. Sans ça où est la justice mais surtout le libre arbitre du genre humain ?
L’armée israélienne a commandé des T-shirts qui ne se vendent pas dans les rues  pour ses unités, mais que les jeunes soldats trouvent dans les casernes. « Un tir deux morts » est leitmotivs sous le dessin d’une musulmane enceinte. « Mieux vaudrait utiliser le préservatif » on peut lire sur une longue-vue par laquelle on peut voir une enfant morte avec sa peluche. Dans un autre est imprimé : « Confirmer la mort ». C’est-à-dire tirer à la tête, qu’une blessure ne brûle que le vêtement.  […] Seuls des êtres dégénérés et pédants peuvent abaisser à ce point l’homme. 

   Les porte-parole militaires affirment que les recrues obéissent impeccablement aux règles de conduite  morale. Mais les excès sont nombreux et les punitions brillent par leur absence.
Un soldat qui vida un chargeur sur une enfant blessée en 2004 à Rafah se présenta volontairement pour la récente campagne de Gaza.  « Ma préoccupation majeure  est la perte de humanité des guerres prolongées », déclarait  (il y a quelques années) celui qui aujourd’hui est le chef de l’Etat-major de l’armée israélienne d’occupation, (financée par des entreprises occidentales principalement de distribution) Gaby Ashkenazi.  (Ashke-nazi ! ça s’invente pas)
Hier, vendredi 11 décembre France 3 diffusait exceptionnellement un reportage sur la Palestine (Cisjordanie) où une Mosquée avait été attaqué, murs graphitées, vitres cassées… par des colons qui sommaient les « arabes » de quitter leur terre en les agressant physiquement !
En Europe de tels agissements à l’encontre d’un Synagogue non seulement est immédiatement qualifié d’antisémite mais l’information relayée en France en Europe et traitée comme une suite logique au terrorisme islamiste. Cet acte est condamné, à juste titre, par toutes les communautés. Mais comment devons-nous qualifier et traiter ces mêmes actes en Palestine ?    On arrête la guerre au Kosovo en Ossétie… et on ne serait pas capable d’arrêter ce conflit en Palestine !
Sommes-nous réellement des truands ?  Un truand se distingue par ses actes criminels qu’il croit légitimes parce qu’il s’accorde le droit de les accomplir.  Nous, qui nous taisons sommes au mieux, ses complices…  



Traduction du journal Espagnol 
El Pays :    L’arrogance des assassins !
Israël menace l’UE en aparté du processus diplomatique. Le Gouvernement Netanyahu exige de l’Europe qu’elle baisse d’un ton dans ses critiques. Du temps et aucune interférence, au moins à haute voix. Cela est ce qu’Israël exige des pays européens et à une Union Européenne, qui a distillé ces derniers temps des critiques, inclus dans la presse locale, contre le refus du Gouvernement israélien à se compromettre dans des négociations en vue de la création d’un Etat palestinien.
La réaction diplomatique israélienne, qui distille aussi dans les  journaux,  est de celles qui ne laissent aucun doute sur le mal-être. Israël est en train de demander à l’Europe de baisser le ton, que nous maintenons un dialogue discret. « Que si les déclarations continuent l’Europe ne pourra faire partie du processus diplomatique » prévint Rafi Barak, directeur pour l’Europe du Ministère des relations Extérieures, qui ne cache pas la cible de son attaque : son homologue de l’Union Européenne, Benita Ferrero-Waldner.
L’exécutif de Benjamin Netanyahu prétend que Bruxelles continue à jouer la carte de figurant. Sachant que les Etats-Unis en suivant sa volonté politique pourrait passer la main au Gouvernement israélien et que l’Europe payerait le gros de la facture de l’Autorité Palestinienne, à la place du pays occupant pour le bénéfice d’Israël.
Le journal Haaretz informait hier de l’initiative de la diplomatie israélienne. Barak c’est entretenu à plusieurs ambassadeurs européens leur demandant  de communiquer  à leur gouvernement respectif de baisser le profil de leurs déclarations. « Ce refroidissement public a réclamé l’intervention du premier ministre Netanyahu y compris le chef de l’opposition Tzipi Livni.   Nous avons apprécié que les principaux pays européens aient respecté notre pétition et nous concèdent du temps, mais l’unanimité de l’Europe est importante  dans cette affaire. Ajouta Barak.
Mme. Ferrero-Waldner a assurée que le rehaussement déjà négocié sur les relations économiques, culturelles, scientifiques entre Israël et l’UE doit attendre une meilleure conjoncture pour son approbation.  Mais les récentes visites à Jérusalem des ministres des Affaires Extérieures européens incommodent aussi Israël. Un haut fonctionnaire  assurait ironiquement, pendant la visite de l’Espagnol Miguel Angel Moratinos : « que peut faire l’Espagne ? Il se peut que le Barcelone gagne la Champions-League devant les trois équipes anglaises. 

La guerre de Gaza a provoqué des critiques acerbes dans l’opinion publique de beaucoup de pays européens, et ses dirigeants ne sont pas sourds : Israël joua la Coupe Davis à portes fermées ; en Norvège, avocats et juges préparent la procédure pour crimes de guerre ; dans le Royaume-Uni grandissent les appels au boycott académique et quelques compagnies   ont coupé leurs relations commerciales avec Israël. Mais la nervosité de la diplomatie israélienne, est  en réalité engendré par la visite officielle prévue pour le 18 mai à Washington de Benjamin Netanyahu... 





-Jérusalem -  20/03/2009















Taxation des revenus financiers




Depuis quelques mois on entend ça et là des candidats à l'élection présidentielle parler de la taxation des revenus financiers comme ceux du travail. Cela permet l'élargissement de l'assiette où est assise la taxation des revenus de la Sécurité Sociale et non comme c'est le cas actuellement, où, mise à part la CSG, la taxation est exclusivement  basé sur les revenus du travail. Or la répartition de la taxe collecté concerne la société toute entière, exemple : des allocations familiales qui concerne la société toute entière mais dont les revenus sont exclusivement basées sur le travail.
En conséquence assoir l'assiette des cotisations sur l'ensemble des revenus, du travail, de l'immobilier, du capital, est un principe logique qui suit les recommandations de solidarité voulues par le Conseil de la Résistance, après la guerre. Ces déclarations je les ai fait au début du quinquennat de M Sarkozy, lorsqu'il a commencé à réduire les prestations, ou mettre en place le déremboursement des médicaments, c'est à dire il y a plus de quatre ans.

Ci-dessus un extrait de mon autre Blog, La Palestine, une Nation en trop, ou sur le modèle de questions réponse, je dénonce la bassesse des nos élites dirigeantes et le crime que commettent au nom d'un autre crime, les descendants des rescapés des camps de la mort en Palestine.  



Ces écrits bien que mis sur le blog au faire et à mesure, ont été consignés en 2009, lorsque je militais au sein du Collectif Judéo Arabe et Citoyen pour la paix (CJACP) de Strasbourg. 
Collectif dont la présidente était juive et dont le père avait souffert de la persécution nazie, et si sont plus grand souhait était d'instaurer la paix entre juifs et arabes en Palestine il y en avait d'autres, de ses coreligionnaires, qui militaient contre les gouvernements  israéliens mais ne voulaient mettre en cause le principe même du sionisme. Or j'estimais que le sionisme tel que voulu par Théodore Herzl, était, justement, la cause de ce conflit et c'est là toute l'ambiguïté qu'il y a à militer pour la paix et pour le principe sioniste. J'ai donc démissionné et crée ce blog, puis consigné ma vision de l'Historiographie palestinienne et sociétale. C'est parce que nous vivons une époque de truanderie, que les dirigeants que nous élisons comme étant des dirigeants démocratiques,  se révèlent à nous comme étant des subalternes, les laquais d'une idéologie où la majeur partie de l'humanité serait l'esclave  d'une minorité. 
La société civile doit prendre son destin en "main" et écarter d'office tous ces politiques menteurs et cupides, monnayant notre liberté pour un peu plus d'aisance personnelle.
L'exemple de l'Europe est de ce point, un cas parfaitement significatif :  
"En effet, l'Europe (principalement celle de Barroso) est aux antipodes de l'Europe voulue par ses pères. L'Europe devait être un espace de liberté, de progrès social et économique. 
Qu'est aujourd'hui l'U.E. ? 
Un conglomérat incompris par ses propres composantes où ses dirigeants adeptes de la globalisation utilisent les sociétés aux conceptions sociales arriérées pour abaisser notre condition humaine au prétexte de gains de productivité qui ne profite qu'aux tenants du Nouvel Ordre Mondial. N.O.M. qui vise à rendre la condition d'esclave a la plus grande partie de la population mondiale. Le plus navrant c'est que nous élisons ceux-là même qui deviennent par déloyauté, par cupidité, les laquais des dirigeants de ce N.O.M.   


Extrait de la page : Chapitre  XlL
- Comment, nous en France !
- Oui, je m’en sens héréditaire. Il n’y a de toute façon personne qui peut se prévaloir d’une quelconque participation à cette révolution. 
- Que veux-tu dire par socioéconomique, socio ethnique. 
- Cela me parait évident aucune classe sociale ne peut prétendre dominer une société. De la même manière aucune communauté ethnique ne le peut, non plus. Mais il me semble clair qu’en élargissant la recherche de cette domination à une autre composante de la société, cela parait alors possible, pour au moins deux raisons. La première, c’est que l’origine de cette super classe  économico ethnique, sera délayée. La seconde en est la propagation socio ethnique devant faire le lien avec les classes socioéconomiques des autres Etats.  C’est en tous cas ce que nous pouvons déjà constater.      
- Qu’en tends-tu par « Mur de verre » ?
- Bien, je vais t’en faire une liste des parpaings qui le composent, elle n’est pas exhaustive, bien entendu :
(Je ferais abstraction de la sécurité, partie intégrante de ce mur de verre et « fer de lance » du savoir-faire israélien)
01- La ghettoïsation des quartiers les plus défavorisés (absence de tissu économique, mal desservis par les transports publics, […]
02- La perte des acquis sociaux. (Alors qu’il suffirait de taxer les revenus spéculatifs, financiers, immobiliers, au même titre que les revenus du travail.)
03- Le déremboursements des médicaments. (dont les plus bas salaires payent le plus lourd tribut, en effet, les déduction forfaitaires sont fixes au lieu de se faire en fonction d’un barème calculé, par exemple, sur des revenus. Nous n’avons pas besoin de ces hommes politiques là.) 
04- Le plafonnement des petites retraites. Le plafond en dessus du quel la CSG et le RDS est exonéré ne permet pas de vivre honorablement, la résultante est que y compris les petites retraites participent à l’effort de solidarité mais cet effort grève leur budget de manière plus conséquence que pour les haut revenus. Qui par le jeu des niches fiscales parviennent, pour certains, à s’exempter de l’impôt ! Sans compter le retour du Bouclier fiscal.  Que l’on impose les français à 50% (maxi) je trouve cela normal et même souhaitable, cependant il faut de ce fait abolir toutes les niches fiscales.) Elisons-nous réellement des hommes honnêtes ?
05- La perte du pouvoir d’achat.
06- Le travail précaire, à temps partiel …
07- Les délocalisations ! (Délocalisation pour un meilleur rendement du capital, le reste c’est du blabla…)
08- Les avantages accordées à la classe dirigeante. Stock-options, indemnités parachutes, retraites dorées… (y compris en toute absence de rentabilité)
09- La baisse du pouvoir d’achat, en même temps que les politiques et dirigeants augmentent le leur.
10- L’accaparation de la valeur ajoutée, produite par les employées, par les dirigeants et les politiques.
11- La construction (et là contrairement au Proche-Orient) de phalanstères (cités dorées) mais nullement destinées aux employées mais aux nantis. Protection oblige.  Ces apostats de la condition humaine ne se rendent pas compte que s’ils sont obligés de se protéger c’est justement parce qu’il y a un malaise !! 
12- […]

dimanche 5 février 2012

L’effacement d’un patrimoine



Saleh ABDEL-JAWAD, professeur à l’université de Birzeit, s’interroge sur les raisons de l’échec de l’historiographie arabe et palestinienne face à la narration historique israélienne, et sur l’occupation de la réalité de la Nakba pendant si longtemps. Il identifie trois causes majeures : la perte du patrimoine écrit, le rôle prédominant de la tradition orale dans la culture arabe et la supériorité de fait de l’historiographie israélienne due à un héritage européen moderne.

La résolution de partage du territoire de la Palestine votée par les Nations Unies le 29 novembre 1947 a déclenché des accrochages qui ont mené à la guerre de 1948, une guerre totale qui à durée plus d’un an. A l’issue de cette guerre, il y avait clairement un vainqueur et un vaincu. Mais cette victoire n’est pas une victoire comme les autres, car elle cache une tragédie immense, qui a un impact direct sur la capacité du vaincu à écrire son propre récit historique.

Jusqu’aux nom des villages rayés de la carte
La victoire israélienne de 1948 n’est pas une victoire classique. Elle a suivi une guerre d’autodéfense entraînant l’expulsion « de centaines de milliers de Palestiniens », selon l’expression convenue, et l’avortement d’un Etat palestinien.  1948, c’est avant tout une tragédie humaine de premier plan : 80 à 85 % des villages arabes passées sous contrôle israélien on été tout simplement rasés, leur population chassé, et ce en dehors de tout fait de guerre. Parmi les onze villes palestiniennes tombées, cinq on connu une dépopulation et une expulsion totale ; il s’agit de Tibériade, Safad, Bir Sabaa (Bersheva), Bissan, Majdal. Dans cinq autres villes, seule une petite minorité de la population a pu subsister. Une seule petite ville, Nazareth, qui ressemblait plutôt à un gros village, a été épargnée, ceci pour éviter de provoquer le Vatican et l’opinion publique occidentale et chrétienne. Ces villages, comme la plupart des quartiers arabes des villes, ont été rasés pour effacer toute trace ou tout signe d’un passé arabe. L’historien Meron Benvenisti a écrit en détail le processus systématique qui a permis de rayer jusqu’au nom de ces villages de la carte.
Un patrimoine dévalisé :
Cette destruction socioculturelle a privé les Palestiniens de ce qui représente l’incubateur du patrimoine culturel : c’est dans les villes de Jaffa et Haïfa et les quartiers arabes de Jérusalem-Ouest que se trouvaient les bibliothèques, les archives, la presse et les imprimeries, les registres du cadastre, mes maisons d’édition et les centres culturels, les cinémas et les théâtres. Entre les mois d’avril et mai 1948, la presse palestinienne, source de première importance, a été confisque et détruite, les événements de la guerre n’ont plus été couverts à partir de cette date.
La totalité du patrimoine culturel écrit a été dévalisée, les archives des conseils locaux, celles des hôpitaux, des écoles, les bibliothèques privés, les papiers de famille et les mémoires personnels. Je citerai ici les archives et documents de grands intellectuels ou romanciers palestiniens tels que Georges Antonius, Aouni Abdel Hadi, Henri Cattan, Mustapha Mourad Eddbagh, et bien d’autres…
Enfin les archives de la seule organisation militaire palestinienne, le « Jihad El Mougaddas », ont également été confisquées. Une partie de ces archives est tombée aux mains des israéliens, tandis que la partie la plus importante a été confisquée par l’armée jordanienne, lors de l’attaque du quartier général de l’armée palestinienne dans les deux villages voisins de Birzeit et de Ain Sinia, en juillet 1948. Personne ne sait jusqu'à aujourd’hui où ont disparu ces archives. Lorsque les forces israéliennes sont entrées à Jérusalem en 1967, la famille Husseini a brûlé un certain nombre de papiers par crainte de représailles de l’armée. Enfin tout ce qui restait de ces archives, conservé à la Maison de l’Orient, a été confisqué le 1er juin 2001.   Le problème de la perte des archives et des documents palestiniens n’est pas spécifique à la guerre de 1948. L’héritage politique et culturel des Palestiniens a, comme leur terre, toujours été l’objet d’usurpations. Ainsi Israël a confisqué les documents du mouvement national et de la société palestinienne qui se trouvaient dans les locaux des administrations jordanienne en Cisjordanie et Egyptienne dans la bande de Gaza. Ces documents ont été transférés en Israël  où ils sont devenus partie intégrante des archives de l’État hébreu (State Archives) conservées dans les souterrains de l’immeuble qui abrite le gouvernement israélien. Les chercheurs palestiniens, et les Palestiniens en général, propriétaires de ces documents, n’y ont pas accès.
Des archives confisquées ou interdits d’accès.
En tant qu’historien palestinien, il me faut évoquer les problèmes rencontrés et les dangers courus par les chercheurs palestiniens pour préserver les documents du mouvement national palestinien sous occupation israélienne, comme les documents de l’Intifada. A plusieurs reprises en outre, les forces d’occupation ont incendié intentionnellement et criminellement les bureaux des registres et des tribunaux (à Naplouse et à Jérusalem). Rappelons aussi que l’un des objectifs de l’occupation de Beyrouth était de confisquer les archives du Centre d’Etudes Palestiniennes. Les chercheurs palestiniens et arabes sont d’ailleurs confrontés au fait que les archives arabes, militaires ou politiques, concernant la guerre de 1948, sont strictement interdites dans les pays arabes qui ont participé à la guerre.
Destruction, confiscation et inaccessibilité des sources écrites : cette situation d’impasse ne laisse d’autre issue au chercheur que de se tourner vers les sources orales. Cela explique partiellement l’échec des historiens palestiniens qui n’ont pas eu recours aux témoignages pour écrire l’histoire de la Nakba. Ce n’est pas par hasard que le livre volumineux de l’historien palestinien « Aref el Aref » qui à travaillé en s’appuyant sur des sources orales, reste encore le meilleur ouvrage palestinien sur cette guerre, malgré ses lacunes et ses faiblesses. Il ne disposait en effet que des moyens très simples, et a publié son livre bien avant l’ouverture des archives en 1970, bien avant que ne paraissent les nombreux livres disponibles sur la question.   En plus de la perte de leurs archives, des sources écrites et de leurs bibliothèques, les historiens palestiniens ont vécu les contraintes d’un quotidien de survie qui a paralysé la vie intellectuelle durant des années.
Les historiens ont souligné la singularité de ce phénomène d’effacement. L’étendue de la destruction subie par le peuple palestinien en 1948, une destruction multiforme, a toujours été sous-estimée, y compris du côté des historiens palestiniens et arabes. 

Lettre à France3 du 15 mai 2008


France 3                                                                              

« Droit d’inventaire » Marie Drucker

7 esplanade Henri de France

75907  PARIS Cedex 15


Strasbourg 15 mai 2008                                                              





Madame,


N’ayant pas pu visionner l’émission dans son entier je ne porterai pas de jugement. Votre parcours professionnel est suffisamment objectif pour que je vous fasse entière confiance.

Cependant, je trouve que Max Gallo n’a pas beaucoup chanté hier soir, sa mansuétude à l’égard du sionisme me laisse perplexe, pour de pas dire déçu de ce manque d’objectivité.  Minimiser l’importance de la Nakba comme celle de la Shoah est inconcevable. Car en effet : Contrairement à ce que les dirigeants sionistes déclarent ; il y a eu belle et bien préméditation dans le crime que représente la « Nakba » et ceux qui suivirent. Par la méthode employée, par le non respect des accords internationaux y compris sur le déplacement des populations. Les colonies sont depuis en contradiction avec les accords de Genève. Israël est aujourd’hui un état voyou.

(Extrait d’un compte rendu d’Itzhak Sadeh chef duPalmah: Pappe* décrit dans le détail comment, dès le début des années 1940, la direction du Yichouv a préparé l’expulsion des Palestiniens, puis en 1947-1949, l’a mise en œuvre étape après étape. Un fait, parmi tant d’autres, qui contredit la thèse d’absence d’intention : la constitution, dès avant la seconde guerre mondiale, d’un fichier de tous les villages arabes. Recruté pour s’en charger, un topographe de l’Université hébraïque de Jérusalem « suggéra de conduire une inspection à l’aide de photographies aériennes ». Ainsi furent constitués des dossiers détaillés sur chacun des villages de Palestine qui comprenaient, explique Pappe, « les routes d’accès, la qualité de la terre, les sources, les principales sources de revenus, la composition sociologique, les affiliations religieuses, le nom des mukhtars, les relations avec les autres villages, l’âge des habitants hommes (de 16 à 50 ans) et bien d’autres choses ».  La plusimportante était «  un index de l’"hostilité"  [à l’égard du projet sioniste], à partir du niveau de la participation du village à la révolte de 1936. Une liste comportait quiconque y avait pris part et les familles de ceux qui avaient perdu quelqu’un dans le combat contre les Britanniques (appuyés par des juifs). Une attention particulière était prêtée aux gens qui avaient prétendument tué des juifs ». En 1948 cette dernière information « alimentera les pires atrocités dans les villages, conduisant à des exécutions de masse ou à Hébron des exécutions sommaires ».  Très peu de Palestiniens ont été indemnisés, à ce jour, du départ en très grande partie forcé et n’en déplaise à Robert Badinter il y a même  certains juifs sans scrupules qui préfèrent s’enrichir encore aujourd’hui sur le dos des palestiniens s’appropriant de leurs terres par spoliation ou  par des arguties via des associations crées ad hoc. Aucune communauté au monde, n’oserait afficher tant d’aplomb abritant autant d’aigrefins et criminels de guerre.
* Ilan Pappe Historien israélien, réfugie à Londres. 


Robert Badinter regarde le sionisme avec les yeux de Chimène, c’est peut-être normal mais c’est profondément injuste à l’égard de ceux cherchent à connaître l’histoire.

M Badinter affirme que les juifs étaient qualifiés de « RATS » ! Rats comme l’animal capable de s’adapter à toutes les situations ou Rat comme radin et cupide comme on vient de le voir ou celui qui s’accapare du travail des autres ? 

Contrairement à ce qu’affirme Robert Badinter : Israël est un état raciste. Il y a en Israël des différences en fonction des d’origines y compris entre juifs, je dirais même que comme les états voyous confisquent les passeports des travailleurs étrangers gagnant une misère, venus remplacer la main d’œuvre arabe. Contrairement, au message qu’il voudrait faire passer, cela n’a rien à voir avec la mondialisation, c’est une question de respect du à l’être humain quelque soit sa religion, sa race.   Ne pouvant croire que Robert Badinter ignore la réalité de la société israélienne, je mets en cause sa sincérité, ce qui ne m’étonne qu’a moitié surtout  lorsqu’il atténue ses propos en parlant du fanatisme arabe. Qu’il, lui en déplaise ou non, le fanatisme juif et le fanatisme arabe est le même, ce n’est que la dialectique qui fait la différence et c’est parce que les palestiniens résistent, et que vouloir défendre sa terre  est plus légitime, qu’il faut les diaboliser et qualifier de terroristes. Mais au fond de lui, enfin chez toute personne non illuminé, sait que c’est le même. Car enfin quel homme intelligent et pragmatique peut croire qu’un être spirituel peut faire un don matériel, fuse-t-il une terre ?

J’ai vraiment du mal à comprendre la mansuétude collective qui entoure le sionisme et l’état d’Israël, le sionisme issu des « lumières » n’a plus rien à voir  avec les criminels d’aujourd’hui et le fonctionnement népotique ou aimable de la communauté ne change rien.


Comme l’écrit Abraham B. Yehoshua : Les juifs forment-ils vraiment une nation qui, chasée de sa patrie il y a deux mille ans, aurait toujours rêvé de s’y rassembler à nouveau ? Dans sa critique de ce dogme du sionisme, faute de tirer toutes les leçons de l’histoire, il affirme que les juifs formant fondamentalement une nation territoriale est très fragile et n’a pas de base historique réelle.  Cette insistance sur l’enracinement dans un territoire national est une idée moderne.


Cela dit, ce que je reproche au sionisme c’est, de ne pas avoir tenu compte que sur la terre où il voulaient créer, selon les lumières, un foyer juifs il y avait un peuple qui n’ayant jamais quitté sa terre et y avait droit tout autant que les rescapées des camps de la mort. Aujourd’hui ce rêve pourtant  réalisable s’achève par la cupidité d’êtres qui n’étaient que des révolutionnaires revanchards et criminels, n’en déplaise à ces juifs purs méritant de vivre en paix après les souffrances.  

  

Ce que je pense c’est qu’il doit se préparer quelque chose que l’on n’ose pas imaginer pour justifier tant d’empressement à honorer des criminels se servant de l’arme nucléaire nullement comme dissuasion mais pour ne pas faire la paix. Israël possède un arsenal de 50 mégatonnes l’équivalent de 3 850 bombes d’Hiroshima. Israël a tenté à plusieurs reprises d’en découdre  avec ses voisins, le moindre prétexte est bon pour tenter d’enflammer le Proche et Moyen-Orient. Tous ces hâbleurs ne peuvent ignorer que depuis 1947 les ogives nucléaires israéliennes sont pointées sur les capitales arabes et bien au-delà. Aujourd’hui les criminels sionistes pensent pouvoir réaliser la chimère biblique de « peuple  élu » et régner sur un "monde" désolé mais sans Palestiniens.


Veuillez agrées, Madame,  l’expression de mes salutations distinguées.


                                                              ………….   ……………….


(*) En espagnol la traduction de « Gallo » est : « Coq ». 
Ceci expliquant cela.