vendredi 7 juillet 2017

Le 14 Juillet avec Trump!




David Asouline (sénateur de Paris) s'étonne de l'invitation par la France (Emmanuel Macron) au défilé du 14 Juillet de Donald Trump, qui avait refusé les accords de la COP21, organisé par la France.

Il n'est pas nécessaire d'être sorti de Saint- Cyr pour intégrer le fait que Trump n’a pas été élu pour une quelconque avance politique universelle ni même écologique. Il a été élu pour favoriser la pensée dominante mondialiste et agresser (et pas uniquement en paroles) tout concept qui pourrait entraver son avènement.

N'avez-vous pas remarqué qu'Israël à durci sa politique coloniale et agressive à l'encontre de la Palestine, agression des enfants palestiniens, maltraitance des prisonniers, dont le crime, pour la plupart, a été de s'opposer à cette politique, vol de terres, expropriations, démolition des maisons […],  pourtant le président américain n’a pas sourcillé.

Vous avez dit bizarre?  Donalt Trump personnage rudéral, qui incarne la cupidité, sort du même "moule" que Emmanuel Macron, leurs espérances sont les mêmes et qui grâce à la stupidité de leurs électeurs la pensée dominante ravage nos sociétés.     



Hébron. Patrimoine mondial...

La torture des enfants palestiniens par Israël est « institutionnelle »



• 9 h 40

Par Ben White, le 7 février 2017

Ben white est un journaliste indépendant, écrivain et militant, spécialisé dans les questions sur Palestine/Israël. The Guardian.






On rapporte, parmi les techniques de torture, les gifles sur la tête, l’accroupissement mains liées contre un mur pendant de longues périodes [Abid Katib/Getty Images]



Un récent article publié par le journal israélien Haaretz a confirmé jusqu’où les interrogateurs du Shin Bet soumettent leurs prisonniers à la torture.
Parmi les techniques utilisées, on trouve les gifles sur la tête « pour atteindre les organes sensibles comme le nez, les oreilles, l’arcade sourcilière et les lèvres », l’obligation pour un individu menotté de s’accroupir contre un mur pendant de longues périodes et la mise du suspect le dos en extension arrière sur une chaise, bras et jambes attachés.
Les récits des interrogateurs se font l’écho de ce que les associations palestiniennes et israéliennes des droits de l’Homme racontent depuis longtemps. L’ONG Addameer pour les droits des Prisonniers a dit que ces pratiques « sont connues pour être couramment et systématiquement utilisées contre les détenus palestiniens ». Parmi les autres méthodes de torture utilisées contre les Palestiniens, on trouve la privation de sommeil et les menaces contre des membres de la famille, a dit un porte-parole d’Addameer à Al Jazeera.
Rachel Stroumsa, directrice générale du Comité Public Contre la Torture en Israël (CPCTI), a dit que son ONG avait connaissance de centaines de plaintes et d’accusations allant dans ce sens.
En plus des interrogatoires utilisés pour obtenir des informations sur des actions à venir, « notre expérience nous montre que la torture est également utilisée pour obtenir des confessions d’actes passés », a dit Stroumsa à Al Jazeera.
Dans son rapport annuel de l’an dernier, Amnesty International a découvert que les forces israéliennes et le personnel du Shin Bet avaient « torturé et autrement maltraité des détenus palestiniens, dont des enfants, particulièrement au cours des arrestations et des interrogatoires », avec des techniques qui comprennent « coups de bâton, gifles, étranglements, entrave prolongée, positions stressantes, privation de sommeil et menaces ».
Un représentant de Défense des Enfants International – Palestine a dit à Al Jazeera que l’enquête de l’association a montré que les deux tiers des enfants palestiniens détenus en Cisjordanie occupée par les forces israéliennes avaient subi des violences physiques après leur arrestation ».
« Les interrogateurs utilisent l’abus de leur position, des menaces et l’isolement pour obtenir de certains enfants des aveux forcés, et les juges des tribunaux militaires israéliens excluent rarement ces aveux. » Ayed Abu Qtaish, directeur du programme de Responsabilisation à Défense des Enfants International – Palestine
« Les enfants palestiniens sont régulièrement soumis à des techniques d’interrogatoire coercitives et violentes dans le but de leur arracher des aveux », a dit Ayed Abu Qtaish, directeur du programme de Responsabilisation de l’association. « Les interrogateurs abusent de leur position et usent de menaces et de l’isolement pour arracher des aveux à certains enfants, et les juges des tribunaux militaires israéliens excluent rarement ces aveux. »
Torture et mauvais traitements sont si omniprésents, disent les militants des droits de l’Homme, que les condamnations des Palestiniens pour « atteinte à la sécurité » sont fondamentalement peu fiables, ne serait-ce que parce que les mauvais traitements font partie d’un plus vaste défaut de procédure régulière.
Selon une étude, pas moins de 91 % des détenus palestiniens de Cisjordanie occupée sont maintenus au secret pendant une partie sinon l’intégralité de leur interrogatoire. Stroumsa dit que cette pratique est « un élément propice à la torture ».
Dans le système des tribunaux militaires dont le taux de condamnations atteint les 99 %, les Palestiniens peuvent être détenus 60 jours sans avoir accès à un avocat – comparés aux Etats Unis où la durée moyenne des interrogatoires aboutissant à de faux aveux est de 16 heures.
« Comme les enfants palestiniens continuent à subir systématiquement des mauvais traitements et le déni de leurs droits à une procédure officielle, il devient évident que les tribunaux militaires n’ont rien à faire de la justice », a dit Abu Qtaish.
En plus de la torture et du manque d’accès à un conseil, on demande aux Palestiniens de signer leurs aveux sur des formulaires en hébreu, langue que souvent ils ne comprennent pas. Tout ceci « crée un environnement coercitif qui aboutit à des aveux faits sous la contrainte », a fait remarquer Addameer.
Un exemple récent est le cas de Mohammad el-Halabi, employé de World Vision basé à Gaza qu’Israël avait chargé de verser de l’argent au Hamas. Halabi, qui est jugé dans un tribunal civil de Beer Sheva, a protesté de son innocence, disant qu’il a été torturé par ses interrogateurs. Ces réclamations ont également été faites par ses avocats, qu’Halabi a été empêché de voir pendant trois semaines après son arrestation.
Le nouveau rapport d’Haaretz attire l’attention sur un sujet qui n’est pas souvent sous les feux de la rampe. En novembre 2015, une vidéo de l’interrogatoire du jeune Ahmad Manasra de 13 ans a suscité l’indignation, tandis que l’entrée d’Israël en mai dernier dans le Comité des Nations Unies Contre la Torture – qui traitait des « preuves obtenues sous la torture » dans les tribunaux – a bénéficié d’une couverture médiatique.
Mais beaucoup d’autres événements se passent incognito. Une étude universitaire publiée en novembre 2015 dans une revue médicale examinée par des pairs a révélé des dizaines de cas de torture sexuelle et de mauvais traitements sur des prisonniers palestiniens détenus par Israël.
Les militants sur le terrain disent qu’il y a un urgent besoin d’un coup de projecteur international sur les pratiques de la torture par Israël, ne fut-ce qu’à cause de la nature institutionnalisée du problème.
Bien qu’un règlement de 1999 du Tribunal Suprême d’Israël ait interdit le recours aux « moyens physiques » d’interrogatoire, les agents du Shin Bet ont en fait bénéficié de l’impunité pour torture et mauvais traitements grâce à l’exemption de la soi-disant « défense de nécessité » ou « bombe à retardement ».
Selon les militants contre la torture, cette exemption a servi depuis de feu vert à la torture. Depuis 2001, des centaines de plaintes officielles ont été portées contre les interrogateurs du Shin Bet, mais pas une seule enquête criminelle n’a été ouverte.
« Je pense que la pression internationale est essentielle et qu’elle a parfois prouvé son efficacité », a dit Stroumsa.


« Et, étant donné l’énorme soutien économique et politique apporté à Israël par l’étranger, il est aussi du devoir de la communauté internationale de s’exprimer sur ces violations. »

lundi 3 juillet 2017

Mme Weil au Panthéon !



Ce matin 6/07 j'ai entendu sur Europe1, un  éditorial qui cherchait à qualifier d'antisémite, anti-européen et anti-je-ne sais quoi tous ceux qui n'étaient pas d'accord avec le personnage ou l'"œuvre" de Simone Weil.



·        Je ne suis pas raciste, donc pas antisémite. Il y a un principe dont ce genre de personnage fait abstraction: c'est que le racisme comme l'antisémitisme est de vouloir faire du tort à quelqu'un, du seul ait de ses origines, ne pas être d'accord avec déclarations ou les actions d'une personne, fusse-t-il juif/juive, est le droit le plus absolu de tout-en-chacun. N'en déplaise à ces imbéciles qui soufflent avec le vent…

·        Je ne suis pas anti-européen. Je suis contre la gestion de l'Europe qui nous est présentée, où le copinage, la corruption, la l'incongruité de la dépense où faire pousser la charrette par des bœufs est le fait marquant de ses dirigeants actuels, loin, très loin de l'Europe imagine par De Gaulle ou Adenauer.  




Sur RMC (le média le plus actif, avec RTL, dans l'épandage de la pensée dominante) le dimanche 2/07/2017  JJ Bourdin reçoit une jeune femme qui a lancé une pétition sur Internet demandant l'entrée de sa coreligionnaire Mme Weil au Panthéon! Il me semble pourtant que la décision appartient au Président de la République et à la famille. Dans ces conditions pourquoi la société civile devrait se prononcer sur une décision qui ne la concerne pas?

Ce matin lundi 3/07/2017 les Petites-filles de Mme Weil, se sont exprimées sur Europe1 déclarant que la volonté de Simone Weil était de reposer auprès de son mari.

Cela étant dit. On peut s'interroger sur le fonctionnement de la pensée dominante,  qui est utilisé, comme nous avons pu le constater depuis des décennies, pour phagocyter d'avance tout concept qui pourrait la contrarier. Cette pensée basée sur une sémantique positive, c'est-à-dire, qui se présente comme un bien, a comme résultante de nous imposer notre mode de penser. Il en résulte, des restrictions de la liberté  individuelle ou la perte d'acquis obtenus de haute lutte, pour ce qui concerne la société. Cette pensée largement épandue par les grands média est une manipulation inacceptable.

Toute personne a, ou devait avoir, le droit d'exprimer sa pensée sans quelle soit polluée par des volontés partisanes.

La personne de Mme Simone Weil, ne devrait pas être visée par les déclarations contraires à la pensée dominante, mais son action, que toute personne indépendante a le droit de contester.  Bien entendu, la défense de la mémoire de la Shoah est son droit le plus absolu, mais peut et devrait être contesté par ceux qui dénoncent les crimes que ses coreligionnaires commettent en Palestine et qui demandent que le Droit international et les droit de l'homme s'appliquent dans cette contrée du monde et que d'autre part  le crime contre l'humanité que représente l'holocauste ne saurait justifier, puisque le but est rigoureusement le même: voler la vie  ou empêcher de vivre, d'autres êtres humains.




Mme Weil en faisant référence à la Shoah s'approprie les souffrances universelles, en lui donnant un nom qui ne concerne que les Juifs.
Qualifier les crimes de la Deuxième guerre mondiale par le vocable Shoah c'est faire injure a l'ensemble des victimes, de l'Holocauste.
Mais la pensée dominante ne s'exprime pas ainsi, au contraire, puisqu'elle, à court d'arguments va qualifier d'antisémite tout concept qui pourrait contrarier ses objectifs.

Le travail de Simone Weil à l'assemblée faisait partie de son engagement entant que parlementaire, il n'y a là rien d'extraordinaire et si Mme Weil se démarque des autres parlementaires c'est que ces derniers ont failli à leur engagement, défaillance remarquable encore de nos jours et où la cupidité fait office de promesse. 

Aujourd'hui le mérite de l'IVG revient à Simone Weil, il me semble pourtant que se fut une directive de Valéry Giscard d’Estaing que Mme Weil a exécutée. Mais même là je ne suis entièrement d'accord. En effet: un avortement est un traumatisme parfois physique, très souvent psychique. Et si l'IVG doit être accordé pour les cas présentant une pathologie physique ou psychologique, la banalisation de l'avortement va à l'encontre de la moralité humaine.  Et si le féminisme s'accorde pour nous dire que la femme peut disposer de son corps, il me semble, pourtant, que si forniquer avec qui bon lui semble est sont droit le plus absolu, il est de sa responsabilité d'agir en conséquence afin de pallier à une grossesse non désiré. 
Disposer de l'embryon fait-il parti des prérogatives de la femme ou du couple?
 La question reste posée…

La France n'a pas été le seul État, ni le premier, à pratique l'IVG c'est donc qu'une nouvelle fois, la société occidentale a cédée sous la pression de la pensée dominante à la déconstruction sociétale, sous un prétendu libéralisme et qui ne concerne pas uniquement la morale… Déconstruction sociétale que Jacques Dérida a vulgarisée (Né à Oran dans une famille juive Séfarade) sous un prétendu libéralisme,


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Pour les Juifs les époux Klarsfeld ont le même mérite que peut avoir Simone Weil, peut-être même d'avantage, mais pour le commun de mortels, pour un être juste (qui place la justice, la vrai, au pinacle de l'honnêteté, physique et intellectuelle)  ne peut que ressentir dans le "travail" des époux Klarsfeld qu'une vengeance, puisqu'ils se sont tu face aux crimes sionistes en Palestine. S'ils avaient agi par justice, ils se seraient levés et condamné les crimes sionistes, tout comme aurait du le faire Mme Weil qui s'est toujours tu. Car en effet, les crimes sionistes, non seulement avaient été programmés lors du Congrès mondial sioniste à Bâle dès 1897, mais encore les crimes ont été commis à l'encontre d'un peuple, qui non seulement ne leur avait rien fait, mais encore  les avait accueilli comme des frères, compte tenu des 6.000 ans d'histoire qui les séparait. Aujourd'hui grâce à aux personnalités qui ont la justice sélective, ce peuple est entrain de disparaître. Et l'influence sioniste dans le monde (juifs ou non), fait que pour parvenir à leur fin, tout concept qui pourrait le mettre en cause, est: soit éliminé, soit réduit au silence… En ce sens les médias jouent admirablement leur rôle.
Pour un journaliste de légende, il y en  a quatre qui sont de brocante, des êtres cupides utilisant la médiatisation que leur métier confère pour manipuler la société.   

Cependant, les affres de l'holocauste, bien d'êtres humains l'ont subi et tous n'étaient pas juifs, parmi les internées et assassinés des camps de concentration il y avait d'autres communautés y compris des français et en particulier des alsaciens. Il n'empêche que le lobby juif américain c'est a la SNCF qu'il a demandé des comptes, suite à leur déportation des Juifs à partir du VELDIV (vélodrome d'hiver), les mort de la Deuxième guerre mondiale sont, d'après ces gens, insignifiants et sans importance, j'espère très sincèrement qu'un jour les palestiniens demanderont, aussi, des comptes aux juifs sionistes, que les victimes des escroqueries commises par des juifs aujourd'hui réfugiés en Israël, et que cet État protège, demanderont aussi réparation.   

Il y a cependant des actes prémédités que l'on ne peut pas balayer d'un revers de manche, et contrairement à l'idée rependue que le sionisme serait la conséquence de l'holocauste, il faut se souvenir que le sionisme créée en 1897 par Théodore Herzl dans son pamphlet: Der Judenstaat, 1986 (L'État des Juifs) avait prévu jusqu'au moindre détail sur le martyr des palestiniens.
Martyr que le sionisme tente de préserver y compris au prix de guerres d'influence qu'elles soient économiques ou politiques qui ont engendré les d'actes terroristes que nous connaissons aujourd'hui dans le monde.  Celui qui dit le contraire est un sot qui non seulement méconnait l'histoire, mais encore altère la réalité historique, comme le ferait un être psychopathe schizophrénique (comme le sont, d'après moi, les sionistes). Et nous savons tous que schizophrénie est la conséquence directe de nos actes.  Sans compter les attaques sous fausse bannière, dont l'Occident est coutumier. 

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