samedi 12 janvier 2019

Qu'est-ce qu'une dictature ?


 La Démocratie selon Bilderberg


Qu'est-ce qu'une dictature ?
Définition du dictionnaire:
Concentration de tous les pouvoirs entre les mains d'un individu, d'une assemblée, d'un parti, d'une classe.

Nous pensons vivre en Démocratie, dans une certaine mesure c'est ainsi que des États, son qualifiés y compris en Occident. Mais quelle est la réalité ? La démocratie tel que les Grecs l'avaient imaginée (Pour et par le peuple) n'a plus rien à voir avec celle dont nous dépendons.

A constater la brutalité des pouvoirs en place, devons nous nous demander si les Peuples, ont encore un droit à l'existence démocratique, du moins dans l'espace que nous appelons Occident.  A cette question il me semble que citer, en plus de la France actuelle, Israël et l'Espagne est nécessaire. En Israël nous savons que le sionisme n'accorde la bienveillance démocratique qu'aux juifs, les colonisés ont droit a la féroce répression des armes ; en Espagne le gouvernement "royal", avorton de la dictature franquiste, réprime l'organisation d'une consultation populaire (référendum) sans violence en Catalogne, avec une férocité inouïe. Et chaque une de ces "démocraties" se justifie en avançant l'argument de lutter contre la violence … ! Cela me parait une évidence, les populations sont aujourd'hui l'exutoire des gens sans scrupules qui pour y arriver ne reculent devant aucune bassesse.

Et ne soyons pas dupes, nous devons à l'Europe de Maastricht, les difficultés des Etats et le désenchantement des populations. Cette Europe est l'outil le plus efficace pour soumettre ses Gouvernements nationaux aux exigences de la mondialisation, voulue  par la Conférence Trilatérale (assemblée).  

Constatons que nos "démocraties" sont la sœur jumelle de la dictature !  
C'est une évidence pour tout homme honnête qui réfléchit sur le monde dans lequel il vit, constate que la gestion de l’État, l'est pour le bénéfice d'une classe fiancio/idéologique, largement minoritaire mais qui a les moyens de dicter ses desiderata a nos élus les plus cupides, (mis à part, sans doute, les maires des petites villes) s'appropriant honteusement des richesses que produit la Nation, au moyen de revenus, indemnités (dont ils n'ont même pas le besoin de justifier), des avantages inouïs qui les relègue à la condition de personnages scolastiques, agissant au détriment de la majorité de la population.  En un mot DICTATURE, avec la différenciation que la force brutale, psychologique, financière, les représailles ne sont effectuées par le réel responsable, mais par son plénipotentiaire (un individu). 

Avouons que le quinquennat d'Emmanuel Macron, son Gouvernement, sa majorité ressemble fort à cette dictature, les réflexions ça et là de ses députés, élus je le rappelle par défaut, ne peuvent être inspirées que par un profond "bourrage de crâne"  tant la pensée parait émaner de poltrons illuminées. 
A ce sujet trop de journaliste brident volontairement leur "papiers" de peur d'hypothéquer leur carrière, quant ils ne s'adonnent à un brainwashing indigne du véritable journalisme. Sans écarter, que cette classe ci-dessus citée a les moyens de coopter dans nos grandes écoles ceux qui un jour aura, par le poste offert, a s'exprimer en public.
Parce que je l'ai constaté personnellement, les étudiants de Sciences Po Strasbourg, et certainement pas uniquement, subissent un lavage de cerveau en règle. Je ne puis me l'expliquer autrement tant leur pensée est infantile.  

Pratiquement tous nos dirigeants politiques voir économiques considèrent que la démocratie consiste à organiser des élections où la manipulation de l'opinion, sondages à l'appui et déclarations aura "mâché" le travail. Que le vainqueur une fois élu, s'assoit sur ses promesses et l'intérêt National, au sens strict du terme. Pour lui l'Intérêt national se confond avec celui de la classe dont il est le serviteur. Les citoyens sont pour lui, non la finalité de son engagement politique librement consenti, mais l'exutoire des exigences de sa "foi".

Un élément incontournable qui fait obligation chez la plupart de nos élus de rester dans un cadre défini par l'influence d'intérêts privés, dont l'Europe est le vecteur qui nous y oblige, loin des besoins de la Nation et des aspirations populaires des citoyens. La Dette, l'Ecologie, la Compétitivité, la Défense des citoyens, la Lutte contre le terrorisme* sont des arguties visant: "à nous faire accepter ce que normalement nous aurions refusé".

* Terrorisme Islamiste, parlons-en si vous le voulez bien. L'acte fondateur du terrorisme musulman ou islamiste est la création d'Israël, moins par son implantation que par la politique que le sionisme y a menée. Et comme aux USA, en France le lobby pro israélien est si puissant qu'il influence la politique française et désigne les Conseillers à la Présidence. Il n'est donc pas étonnant si le Président de la France dès son élection va présenter ses amitiés en Israël.
La compétitivité, ce la fait plus de trente longues années que les savoirs français, les entreprises françaises sont délocalisés sans que aucun gouvernement ne trouve la solution. La faute bien entendu aux chômeurs…
  
Pourquoi la population française souffre?
  • Georges POmpidou, ancien directeur de la Banque Rothschild, c'est plié aux exigences de la mondialisation et fit voter les lois qui ont obligé l’État à emprunter sur le "MARCHE".
  • Dominique Strauss Kahn à qui ont doit la courbe exponentielle de la DETTE, sous le Gouvernement Mitterrand, finançant les dépenses de gestion courantes par l'emprunt.
  • Emmanuel Macron,  issu de la Banque Rothschild, gagne l'élection Présidentielle après avoir  lâchement écarté ses rivaux , grâce à l'influence de ses commanditaires. Et il fait quoi?

La 5e République était taillé pour le Général de Gaulle, et comme tout homme devant prendre des décisions, a ses détracteurs (nous sommes d'accord) mais parce qu'il était un homme honnête et qu'il avait une vue d'ensemble et à long terme juste, qu'il ne voulait pas perdre du temps avec les querelles partisanes de la 4e République et contrairement a la majorité de ses successeurs  la droiture, l'honnêteté, l'étique de la fonction lui étaient indispensable. Avec Emmanuel Macron on est dans le plus grand écart que nous puissions constater.