mercredi 2 avril 2014

Jérusalem, ville sainte de l'islam et le christianisme.



Jérusalem, ville sainte de l'islam et le christianisme.
Le flagrant mensonge de l'histoire juive de la ville

Ne croyons pas, que la planification des informations, de la pensée unique si largement rependue dans les médias par les élites principalement politiques, mais aussi intellectuelles favorables au sionisme, sur l'enracinement des Juifs en Palestine, soit un simple enfumage. Ni que cet enfumage soit fortuit et localisé exclusivement au Proche-Orient. Cette planification concerne aussi les populations, aux USA, en Europe, en France, où la quasi totalité des informations qui nous parvient sont mensongères ou inexistantes, concernant le conflit israélo/palestinien, mais aussi toutes les informations concernant ses acteurs sur place et à travers tout l'occident, information politiques, bien sur, mais aussi économiques ou sociétales. Dans les faits les populations occidentales subissent les conséquences de l'allégeance de nos élites à Israël. Le sionisme est une idéologie qui a  l'intrigue comme fondement et l'a érigé en dogme. Il n'y a pas un seul "arrangement" où ce constat puisse être réfuté.

22-03-2014

Les mosquées d'Al Aqsa et du Rocher dans la citée de Jérusalem-Est occupée par l'armée israélienne depuis 1967, a une suite, l'escalade systématique d'une opération à double objectif: la démolition de deux mosquées et la construction à la place de l'amplement claironné "Troisième Temple" du judaïsme.

Cette opération soigneusement planifiée par Israël et le sionisme international, a toujours été à l'unisson avec la judaïsation urbaine et démographique de partie arabe de Jérusalem, la destruction de quartiers anciens et historiques de la ville, la construction d'énormes masses de colonies juives dans son environnement immédiat asphyxie la population arabe indigène en violation constante du droit international et devant un silence sépulcral de la communauté internationale.

Ces derniers jours. Permettre à des extrémistes juifs de réciter leurs oraisons talmudiques, sur l'esplanade des mosquées, protégés par les forces de sécurité israéliennes, n'a pas été le seul objectif, puisque ces dernières interdisaient aux fidèles musulmans, à la fois, l'accès aux moquées et la sortie de ceux qui se trouvaient à l'intérieur de la mosquée.   

Nous ne prétendons pas entrer dans le détail multiples facettes du plan criminel israélien, mais exposer le flagrant mensonge que représentent les allégations historiques israéliens sur l'Esplanade des Mosquées, appelée -Mont du Temple- par les israélien dans une ville, Jérusalem, où jusqu'à présent n'a pu être démontré qu'il existait, ici, un seul vestige remontant à la période de domination juive, d'autre part, en admettant que se fut vrai, se fut fortuit et passager sur l'ensemble des 10.000 dernières années d'histoire ininterrompue des peuples desquels descend le peuple palestinien actuel.
Ce point est d'importance capitale et permet de comprendre le titre donné à ce "post". En effet, la civilisation palestinienne a 10.000 ans y compris du temps où ses citoyens n'étaient pas, ni musulmans, ni chrétiens et que cette terre ne s'appelait pas encore Palestine, ils n'étaient pas là, de passage ni en vacances, s'était leur terre celle de leurs pères, de leurs aïeuls, ils ont toujours vécu là.
Personne ne dément le fait que la religion Musulmane ou Chrétienne prennent leur origine dans la religion Israélite. Mais ce n'est pas de cela dont il s'agit, même si le sionisme se sert de la religion et de ses Mythes pour laisser sous-entendre un droit originel qui lui permettrait de prendre l'ascendant sur cette terre (la terre promise), sur les hommes (le peuple élu).  
Mais quelle est la réalité ?
La réalité est que le sionisme (ces juifs qui veulent prendre possession de cette terre en éradiquant son peuple originel) et si Moïse guida "le peuple élu" jusque la "Terre promise", ils venaient d'Egypte et plus récemment d'Europe. C'est-a-dire que les origines de ceux qui se prétendent les propriétaires de cette terre, donné par Dieu, je le rappelle, se trouve quelque part dans ce qui était la Mésopotamie et ils ne sont mêmes pas sur que le Temple de Salomon (Premier Temple) fut érigé dans ce qui est aujourd'hui le Proche-Orient, et aucun historient n'apporte la preuve que le second temple ait existé, en Palestine ou ailleurs. 
En résumé : si la religion musulmane ou la religion chrétienne ont fait scission avec la religion israélite, rien ne permet d'affirmer que les juifs sont le peuple originel, puisque à leur arrivé sur cette terre des hommes qui n'étaient pas de passage, ni en vacances l'habitaient, qu'il n'est pas sur que les recherches archéologiques puissent apporter la preuve d'un passage, comme le déclare l'auteur de ce "post", fortuit et éphémère, par rapport aux 10.000 ans de la civilisation palestinienne. Civilisation palestinienne qui elle n'a jamais quitté sa terre. Qu'ils soient, aujourd'hui, musulmans ou chrétiens. Que les juifs veuillent, au regard des persécutions et crimes commis à leur encontre, retourner sur la terre où leur ancêtres y vécurent, pourquoi pas, mais assurément pas de la manière dont ils l'ont fait. En tout état de cause, c'est aux palestiniens (au regard du mal que les juifs sionistes venus d'Europe ont fait) de dire qui est digne d'y rester.

Le sionisme falsificateur
Les propagandistes d'Israël et le sionisme international s'efforcent de propager en Occident que Jérusalem n'est pas la ville sainte de l'islam, comme c'est le cas de l'article intitulé «Jerusalem Means More to Jews than to Muslims», (Jérusalem signifie plus pour les Juifs que pour les musulmans), que le tristement connu islamophobe américain Daniel Pipes, a publié dans le Los Angeles Times, le 21 Juillet 2000.
Dans ce contexte, l'un des faux arguments utilisés sans vergogne par le sionisme est que, contrairement aux Écritures juives, le Coran ne mentionne pas une seule fois Jérusalem. La vérité est l'exact opposé: Jérusalem et la Palestine en général est le seul endroit qui a été béni à plusieurs reprises dans le Coran qui est pour tout croyant musulman la parole de Dieu.
A titre d'exemple, la sourate du Voyage nocturne (sourate 17) commence ainsi: "Gloire à Celui qui a déplacé son serviteur la nuit de mosquée Masjid Al Haram (à la Mecque) à la Mosquée Al Aqsa, nous avons béni les alentours, pour lui montrer certains de nos signes". Ce verset fait référence au voyage nocturne du Prophète Mohammad, de la Mecque à Jérusalem, d'où il a fait, selon la tradition islamique, son ascension vers le ciel. En outre, tant le voyage nocturne (Al Isra) et l'Ascension (Al Mi'raj) sont deux faits absolument fondamentaux dans l'élaboration de la religion de l'Islam. Simplement, l'islam est inconcevable sans Al Israa et Al Mi'raj, c'est à dire: sans Jérusalem.

Beaucoup se demanderont comment se fait le Coran fait référence à la mosquée Al-Aqsa quand l'actuelle mosquée que nous connaissons aujourd'hui avec ce nom a été construite près d'un demi -siècle après la mort du prophète Mahomet ? La réponse est que, selon la tradition islamique, la mosquée Al Aqsa a été construite par Adam quarante ans après avoir construit aussi, en Arabie, la Kaaba, c'est à dire la mosquée Al Haram. Cela signifie que le l'actuelle esplanade de 144 900 mètres carrés, où se trouvent les mosquées d'Al Aqsa et du Rocher, ont toujours été une mosquée. Comme preuve de cela, nous avons le suiveur hadith (dit) du Prophète, narré par Abou Thar Al Ghafari, noble compagnon du Prophète, qui a dit : « J'ai interrogé le Messager de Dieu, la paix soit avec ​​lui, sur la première mosquée érigée  sur cette terre, et me dit: la Mosquée Al Haram, je lui dit: laquelle ? En quoi il m'a répondu : la Mosquée Al Aqsa, et lui ait demandé : et combien d'années entre les deux et me dit: Quarante ans. Selon la tradition islamique, les principaux prophètes avant Abraham ont renouvelé et reconstruit les deux mosquées jusqu'à l'arrivée du Prophète Mohammad.
Mais encore, la foi musulmane basée sur le Hadith du Prophète dans lesquels il raconte son voyage nocturne à Jérusalem et son ascension (réalisée précisément depuis l'Esplanade des Mosquées) établit qu'à cet endroit précis le prophète Mohammad a présidé l'oraison dans laquelle ont participé tous les prophètes, juste avant son Ascension.
Qu'est le Dôme du Rocher? Car c'est précisément la mosquée construite sur le rocher de 18 mètres de long et 14 mètres de large à partir de laquelle le Prophète Mohammad a commencé son ascension. Il est un lieu de grande sainteté et de vénération pour l'Islam.   
En outre, c'est précisément pendant l'Ascension depuis Jérusalem qu'ont été imposés les cinq prières quotidiennes des musulmans comme un pilier essentiel de l'Islam.
Pour le christianisme et selon la tradition, que serait l'essentiel de la Passion du Christ sans le parcours le long de la Via Dolorosa à Jérusalem, sans la crucifixion qui eut lieu à Jérusalem, sans la descente de la croix du Christ, sans son enterrement et sans son Ascension, toujours à Jérusalem? Et si l'on considère que la naissance de Jésus, toute sa vie, la prédication et la diffusion de son message, la dernière Cène, etc. nous constatons que tout cela eut Jérusalem, Bethléem, Nazareth et Palestine général pour scénario.

Au lieu de cela, qu'a le judaïsme à Jérusalem et en Palestine en général? Rien du tout. Les Israéliens n'ont pas trouvé à ce jour, malgré des décennies de recherche archéologiques et explorations, un seul vestige fiable et documenté de la présence du judaïsme en Palestine... d'une présence toujours éphémère et fugace, et toujours en tant que groupe d'invasion, agresseur, violent et étranger à la terre où ils arrivaient (Canaan ) en provenance d'Egypte (avec Moïse et Josué) puis transporté à Babylone (Irak) par Nobocodnosor II puis 70 ans plus tard de retourné à Canaan par Cyrus II, en 537 a.c. Tout cela selon la tradition juive qui n'a jamais été confirmée par une autorité académique ni source historique fiable. Alors, la séjour des Juifs en Palestine, d'avoir eu lieu tel que narre la Torah, ce séjour fut toujours sous la forme d'épisodes sporadiques et ensanglantes (en guerre constante avec la population indigènes) qui avaient lieu dans l"'océan" de 10.000 années histoire de la Palestine, documenté par l'Histoire et l'Archéologie, que les Cananéens ont toujours résidés là (inclus les Jébuséens), les Phéniciens, les Philistins et autres peuples qui sont les ancêtres du peuple palestinien actuel.
Il me semble utile de préciser que les recherches archéologiques, [financés par la famille Rothschild, ceux-là même qui sont à l'origine de la déclaration Balfour et de la colonisation de la Palestine] ont deux objectifs:
  • Prouver la présence juive au Proche-Orient, ce que personne ne conteste.
  • "Rogner" sous cet argument le maximum de l'espace palestinien, tout en leur créant des conditions de vie pénibles. Dans l'espoir de les décourager et qu'ils émigrent vers d'autres cieux.   

Alquds... la Sainte
Un autre argument du sionisme un peu désespérée, dans leur désir de séparer Jérusalem et le peuple autochtone arabo-palestinien, est quelque chose que la Torah (et donc, l'Ancien Testament) mentionne à plusieurs reprises le nom de Jérusalem et aucune le Coran, argument déjà vu et qui c'est faux. En réalité, le Coran fait référence à Jérusalem et au reste de la Palestine dans plusieurs sourates avec des expressions: Al Aqsa, Al Qarya (La Villa) et Al Ard (l'endroit), comme l'expliquent de nombreux érudits musulmans de la question, Imran Husein dans son travail (Jérusalem dans le Coran), publié en anglais par Dar Al Quran, à New York, en 2002 et traduit en arabe par Mahmoud Assuqi.
Mais si nous voulons recourir à cette dialectique utilisée par les propagandistes d'Israël, nous pouvons constater que seulement en langue arabe Jérusalem est appelé La Sainte (Al Qods) et (la Ville Sainte: Bait Al Maqdes), cependant, et suivant la logique des propagandistes d'Israël, la ville ne serait sainte que pour les Arabes, musulmans et chrétiens, et non pour les  juifs étant donné que ces derniers ne la nomment Sainte.
Cette dialectique manipulatrice nous en sommes victimes et est utilisée encore de nos jours. A Barcelone par exemple... Pourquoi cette fascination à s'approprier ou à laisser une trace, dans des lieux et des monuments qui n'ont été ni découverts, ni construits par les Juifs ?
Quel que soit le pays d'ailleurs. Si nous prenons l'exemple de New-York ou en France où les communautés juives y sont très importantes, quels monuments les juifs laissent pour, la postérité ? Excepté le génotype: de faire de l'argent avec l'argent ? A l'origine des crises économiques...

Le Prophète Mohammad fait référence à Jérusalem comme "Bait Al Maqdes" dans nombreux de ses hadiths, qui en plus de faire référence à la ville a toujours rappelé, dans de d'autres hadiths, "la Mosquée Al Aqsa." Dans un de ces hadiths du Prophète Mohammad a déclaré que "une prière à Jérusalem vaut mille prières ailleurs". Dans un autre célèbre Hadith dit: "il n'y a pas de pérégrination à l'exception de trois mosquées: Masjid Al Haram, la mosquée de la mine (à Médine) et la mosquée Al Aqsa".
Plus encore, le nom hébreu de Jérusalem, Yerushalaim, n'est pas de l'hébreu, mais Cananéen, comme c'est le cas pour la grande majorité des noms des villes de Palestine évoqué dans les textes religieux juifs, puisque la Ville Sainte existait depuis plus de 18 siècles avant le début de l'invasion hébreu de la Palestine en 1240 a.c. et plus de 20 siècles avant sa conquête par David, toujours selon les textes religieux juifs.

Jérusalem a été fondée par la tribu cananéenne des Jébuséens et son nom en l'année 3000 a.c. était Jebus (Yabus en cananéen) et 500 ans plus tard, en 2500 avant a.c. arquerait le nom de Salem (Genèse 14:18). Il n'y a aucun doute, dans le monde académique spécialiste de la question, que Salem était la Jérusalem d'aujourd'hui. Cette certitude remonte au siècle IV (La Vulgate, traduction de la Bible hébreu et grecque au latin réalisée en 382 sur les ordres du pape Damase I).

Deux siècles après que Jérusalem fut conquise (toujours selon la Torah) par David, aidé par les Philistins. Rappelons ici que David était un allié des Philistins et fut au service du roi Aquis (Akish) de la ville philistine de Gath (dans la bande de Gaza actuelle) et a contribué à vaincre le premier roi d'Israël, Saül, dans la bataille de Gilboa qui eut lieu autour de l'an 1010 avant a.c. Saül et ses trois fils ont été tués dans ladite bataille, et dont a la suite de laquelle David fut élu par la tribu de Benjamin en tant que roi de Juda, mais les 11 autres tribus juives ne l'a pas accepté et ont élu Isboseth , un parent éloigné de Saül, comme son successeur en tant que roi d'Israël jusqu'à ce que le nouveau roi fut assassiné [un atavisme, décidemment celui qui contrevient aux intérêts sionistes doit être éliminé] et les 11 tribus du Nord ont accepté David comme roi. C'est alors que David unifia Israël et Juda et décidé de conquérir la ville neutre de Salem, (Jérusalem) qui jusque-là n'avait jamais eu de présence juive (2° Samuel 5:1-10). Ainsi, David dut faire face à ses anciens protecteurs, les Jébuséens et prit possession de la citée, Salem, qui jusque-là avait toujours été administrée par ses fondateurs cananéens.
Jérusalem s'appelait alors Salem et les Hébreux ont maintenu ce nom cananéen, dans un premier temps, avants de devenir Yerushalayim, c'est à dire, la ville de Salem, purement et simplement. (Source: Terre de Canaan, Isaac Asimov, 1971).

Suivant cette ligne, les auteurs et les propagandistes sionistes précités parlent des vestiges du Temple de Salomon sous la mosquée du Rocher et Al-Aqsa, ce qui est absolument faux, puisque après 46 ans depuis qu'Israël occupé militairement Jérusalem-Est, où que les équipes archéologiques israéliennes recherchent, sans relâche, les «traces» du Temple,  n'ont trouvé rien du tout de ce qu'ils cherchaient.
Je le répète: Israël n'a rien trouvé des restes archéologiques en relation au tant vantée Temple et son affirmation selon laquelle le soi-disant Mur des Lamentations est une partie du Temple, n'a jamais été appuyé par aucune autorité académique ou par tout archéologue indépendant.
Le propre professeur d'Archéologie de l'Université israélienne de Tel Aviv, Israël Finkelstein, a souligné encore et encore cette interprétation, en plus de rejeter catégoriquement que la Torah ou l'Ancien Testament soient des sources fiables de l'histoire réelle.

Ce temple, que l'on croit que Salomon a achevée en 957 a.c. (Finkelstein et d'autres archéologues israéliens et occidentaux ont exprimé de sérieux doutes quant à la véracité de l'existence d'un tel temple) et détruit par Nabuchodonosor II de Babylone en 586 avant a.c. De ce temple, qui est celui que vénèrent les juifs, il n'y avait aucun signe. Le second Temple de Jérusalem construit en 515 a.c. était beaucoup de moindre importance architecturale et a été totalement détruit par l'armée romaine dirigée par Tito, 9 Octobre 70, après avoir détruit Jérusalem.
Si l'on considère d'abord que le premier Temple "n'était pas grand" (Encyclopédie Britannique, Volume 6, 1993) et si nous nous rappelons que nous parlons d'une période historique et une zone où un seul homme, Samson, pouvait démolir un temple tirant simplement deux colonnes (Ancien Testament - Juges:16), nous pouvons facilement déduire quel genre de bâtiments étaient ces deux temples.


Qui a construit le Temple ?
A tout cela il faut ajouter que les Juifs ne trouvent pas, dans toute leur intermittente et sporadique histoire en Palestine, un motif de fierté a l'exception d'inexistantes ruines d'un prétendu temple qui selon tous les indices étaient d'avoir existé, de dimension réduites et qui a été détruit autour d'il y a 25 siècles.
Même le premier temple n'aurait pas pu être été construit, sans l'aide essentielle fournie au roi Salomon par son voisin le roi phénicien de Tyr Hiram, qui a envoyé ses architectes (y compris l'architecte phénicien du même nom, Hiram), les artisans et maçons, qui sont les véritables bâtisseurs de ce temple juif, ainsi que de l'envoi de bois de cèdre. (Ancien Testament. Reyes I).

Tous les peuples contemporains et antérieurs à la période que nous traitons ont laissé de multiples et grandioses édifications, même si beaucoup d'autres ont disparu tout au long des siècles. Egyptiens, babyloniens, assyriens, romains, grecs, arabes, ect., ont laissé à l'heure actuelle un riche patrimoine archéologique, artistique et architectural, dans de nombreuses régions du monde antique, à l'exception des Juifs, qui à partir de l'état actuel et artificielle d'Israël et son appareil de propagande installé dans l'Ouest, assourdissant la moitié de l'humanité avec son interminables histoires et hystérise sionistes en relation à un seul temple dans toute son histoire qui fut apparemment la seule chose utile qu'ils ont été capables de construire, et seulement grâce à la précieuse aide des Phéniciens de Tyr.

Les propagandistes israéliens étourdissent la moitié du monde (e l'Ouest, bien sûr)  parlant de ce temple inexistant, dans le seul but d'aveugler l'opinion publique occidentale hypnotisée avec une hallucination sioniste qui convertit le mot Jérusalem en un synonyme du mot Juif, [comme ils l'on fait avec Muntjuic à Barcelone] afin de justifier dans une certaine mesure de leurs horribles crimes en Palestine et excuser les incessantes opérations et les travaux illégaux de judaïsation de la ville qu'Israël occupe manu militari depuis 1967.
De cette façon, les sionistes ont la prétention de faire oublier à l'Occident que Jérusalem est en fait la ville du Saint-Sépulcre, de la Basilique de la Résurrection et de nombreuses d'autres églises et des monuments historiques chrétiens, et à la fois Jérusalem est les mosquées d'Al-Aqsa et du Rocher, d'Omar, et de nombreuses d'autres mosquées et monuments islamiques construits au fil des siècles et qui sont, conjointement avec les chrétiens, sont de véritables joyaux du patrimoine de l'humanité. En plus, la vieille ville de Jérusalem elle-même est de construction islamique avec quelques vestiges de l'époque romaine.

Il en résulte que de tant et tant temples glorieux existants de fait depuis des siècles ne comptent absolument pas pour Israël, parce qu'ils sont chrétiens et musulmans, et tout ce qui compte dans la ville occupée de Jérusalem, selon l'occupant sioniste, est un supposé temple disparu il y a 25 siècles et dont il ne reste  aucune trace depuis des centaines d'années.

La même chose se produit dans le reste de la Palestine, où les Juifs ont laissé peu de  traces, à l'exception de tombes imaginaires et jamais, (en aucun cas) documentées, tandis que les musulmans et les chrétiens ont leurs lieux saints, encore debout, pleins de vie, depuis de nombreux siècles. Même les Romains ont en Palestine et dans toute la région du Moyen-Orient de nombreux sites archéologiques magnifiques. Les Hébreux, cependant, n'ont rien de rien. Ça oui, une propagande formidable, beaucoup de mythologie et dans un bruit assourdissant.

Et n'oublions jamais que nous parlons d'une ville occupée par Israël, sans aucun droit d'y rester. Israël, puissance envahissante et occupante de l'ensemble du territoire de la Palestine, et depuis des décennies ignore et piétine le droit international, en rejetant systématiquement les exigences de la communauté internationale, telle qu'elle est exprimée dans d'innombrables résolutions de l'ONU, pour qu'il se retirer des territoires occupés depuis 1967, y compris Jérusalem-Est qui doivent être restitués à leurs propriétaires légitimes, les Palestiniens: musulmans et chrétiens.

Au-delà des textes religieux qui peuvent s'opposer, il y a une vérité inaliénable qui est celle du peuple autochtone. Les invasions, les dominations, les occupations, les incursions, les agressions [...] font partie de l'Histoire de la Palestine des palestiniens et sont loin des vicissitudes exclusives d'une religion.    

Mon avis personnel, auquel je n'y avais pas réfléchi et que ce "post" fait jaillir dans la lumière, est que: les monuments religieux ou historiques juifs, à part les synagogues ou les bains, il n'y a pas dans les villes où ils résident, d'ouvrages à leur mémoire. La religion et (je ne sais pas si l'on peut parler d'ethnie, puis c'est maintenant reconnu que le prosélytisme -et les conversions- juif fut tout aussi actif que le prosélytisme musulman ou chrétien.), les Juifs entant communauté, n'ont pas marqué leur civilisation de leur empreinte. La seule empreinte laissé par la communauté juive, même, si nous sommes d'accord pour affirmer que tous les juifs ne sont pas concernées, la seule trace d'un savoir faire est celui de faire de l'argent avec l'argent -fausse plus-value qui n'enrichit que le spéculateur- et à l'origine des crises qui nous appauvrissent et nous soumettent, par conséquent, à leur volonté.
Je me souviens de la domination des Almoravides (Moines guerriers berbères) de l'Espagne où ils sont restés 8 siècles en Andalousie, il y avait à Cordoue un grand centre universitaire, où des intellectuels du monde venaient y étudier. Sans compter : La Mezquita de Cordoue, la Giralda de Séville, l'Alhambra de Grenade [...]  marquant le passage de leur civilisation.
Ce que je crois, c'est que vivre pour amasser ne permet pas de vivre, tout comme vivre pour dominer...

Ce que je crois est qu'il y a dans la communauté juive -certainement plus que dans aucune autre- des personnages que l'on pourrait classer dans le qualificatif INTRIGANTS, et toutes les négociation menées en secret depuis 1897 par le sionisme étayent ma réflexion. Et c'est peut-être de là que vient la mauvaise réputation dont ils se dédouanent en qualifiant d'antisémite ceux qui, ne sont pas d'accord avec les intrigants, qu'abrite la communauté. 
Ce que je crois aussi, c'est que nous confondons INSTRUCTION et INTELLIGENCE, et si l’instruction des juifs ASHKENAZE  est, en moyenne, supérieure a celle des autres communautés, je ne crois pas qu'il soient plus intelligents, peut-être plus rusés. Mais, si l'intelligence permet de faire accepter un concept, la ruse berne celui qui accepte. 
En résumé: intriguer, n'est pas un signe d’intelligence, c'est un moyen -lorsqu'on les a- de mener à bien un complot. Et personne d’intelligent ne pourra nier qu'il y a eu un complot contre la Palestine. 
Mes craintes : c'est que cet atavisme s'applique à plus ou moins long terme à l'humanité. Ne se veulent-ils pas: "le Peuple Élu" ?