Une parole a vous glacer le sang: "Je veux entendre la voix de
mon fils"
Le journaliste
palestinien al-Qiq "persécutés pour de bonnes raisons".
L'avocat du journaliste palestinien en prison dit...
Ce sont ces récits qui fond
comprendre que nos pays son dirigés par des êtres insignifiants qui pour la sauvegarde d'un État illégal enfuient au fond de leurs consciences, en admettant qu'ils en
ont une, leur cupidité, leur schizophrénie, leur pathologies mortifères, leur
hypocrisie, leur amoralité en un mot des êtres qu'il faudrait enfermer dans le sac
de notre indifférence pour qu'il étouffent pour l'éternité.
17-02-2016
"Je veux entendre la
voix de mon fils", crie Muhammad, avec le peu de voix qui lui reste et
les médecins mercenaires veulent qu'il
se taise, qu'il ne faut pas dire cela, il veulent qu'il arrête la
grève de la faim, mais ne l'obtiennent pas, "Je
veux entendre la voix de mon fils ". Les blouses blanches sortent de la salle se couvrant les oreilles,
baissant la tête et les yeux mi-clos, et ne supportent pas que celui qu'ils veulent faire mourir de faim résister
tant, et avec sa
petite voix demande a entendre son fils.
Le kidnapping de Muhammad al-Qiq, avait été occulté au monde, n'avait
le droit de voir sa famille, nous étions
sans nouvelles. Et quand il
se révolta la seule façon de le dompter que ses geôliers ont trouve a été de la priver de nourriture, mais Muhammad résiste ; Ils lui enlèvent
la possibilité de vivre, et il résiste ;
Ils lui ont enlève a sa famille, a
son médecin, a la Palestine, et il résiste
encore, aujourd'hui nous avons appris
que ses geôliers lui ont même refusé la
possibilité d'ouvrir la fenêtre, moins pour empêcher l'aire d'entrer que
d'entendre les manifestations en faveur
de sa liberté, que Muhammad
entende la voix de ses enfants,
qui en appellent a la conscience du monde, les organisations internationales pour
faire respecter ses droits.
Qu'a fait
ce journaliste palestinien pour que
les occupants de son pays l'enlèvent et
le soumettent a ces tortures:?
La réponse se trouve dans le poème de
Bertolt Brecht intitulé
"Persécutés pour une bonne
raison" :
"Je prends la balance de sa justice //
et montre // ses faux
poids. // Y ses espions l'informent // que
je suis avec ceux a qui on a volé la terre // pour
préparer la rébellion. // On m'a prévenu
et ont pris // ce que j'ai gagné avec mon travail. Comme je ne me suis pas corrigé // on m'a persécuté, //
et il y avait encore dans ma maison // des écrits que je découvrait
// leurs plans contre le peuple. C'est pour cela
// Qu'ils ont lancé contre moi un mandat d'arrêt // je
suis accusé de penser d'un mode faible, c'est a dire, // l'état d'esprit de l'opprimé. // Je suis
marqué au fer rouge, où que j'aille, // pour tous les propriétaires, d'avantage de non
propriétaires // lisent l'ordre
de détention //
et m'a accordent un refuge. Ils te persécutent
//on m'a dit // pour une bonne raison
".
Palestine aujourd'hui
est une fourmilière bouillonnante,
ses villes et villages recueillent dans ses
rues et dans ses maisons les
voix, mais les nations
du monde tendent-elles l'oreille
à la voix de la Palestine?,
Quand les sionistes consument leurs crimes? Il y aura-t-il
quelqu'un pour dire, qu'il ne savait rien ?
Israël a
changé de tactique, désormais c'est une guerre coloniale extermination lente
contre le peuple palestinien. Le bombardement sur Gaza il y a un an et demi a
trouvé de nombreux freins internationaux, sa guerre actuelle il s'agit de faire
passer ses méfaits pour des accidents sans pertinence, et qui a mis en place
une armée de faux journalistes sans morale
occultant lorsqu'il le peuvent les assassinats et leurs but.
Un exemple: dans les deux derniers jours la
terreur de cet Etat a tué 9 Palestiniens, des enfants aux adultes, au milieu de
la nuit ses bandes armées envahissent les rues et font des raids dans les
bureau généraux assaillant les maisons; raids désormais connus pour avoir
kidnappé 13 personnalités Palestiniennes; aujourd'hui,
ils ont capturé un membre du Fatah appartenant au Conseil national palestinien,
et la persécutions continuent, les maisons de familles palestiniennes sont démolies,
l'empoisonnement de l'agriculture palestinienne, le retrait massif des permis
permettant aux Gazaouis à visiter leurs terres d'avants 48,
... Samer'Isawi, le prisonnier qui a fait la plus longue grève de la faim et
d'autres compagnons de prison, en solidarité avec les Muhammad Qiq et contre
«détention administrative»*, cette loi inventée par les colonialistes anglais
quand ils étaient charge du "Mandat" en Palestine, se sont de nouveau
déclaré en grève de la faim ... mais
nous devons être prévenus, que les assassins peuvent le sortir au dernier
moment de l'hôpital pour qu'il agonise dans sa maison ou lorsque les dommages seront irréparables
comme ils l'ont fait avec d'autres prisonniers.
*[Détention administrative: sans motif avéré, sans accusation, sans jugement, en prison un
point c'est tout. Alors que le Mandat accordé a l'Angleterre stipulait que le Mandant
devait amener les palestiniens a l'autodétermination démocratiquement et que aucune décision les concernant ne serait prise sans les consulter. Dans les fait les Anglais se sont conduits comme des pirates
autorisant les immigrés juifs venus d'Europe a s'armer au nez et a sa barbe.]
Le très manipulateur gouvernement israélien précise que l’arrestation administrative ne peux l'être que pour six mois, mas ses criminels précisent, aussi, quelle peut être renouvelé définitivement.
Belle conception de la démocratie, de la justice...
Rendez public cet article, diffusez-le,
demandez à votre gouvernement de l'aider
dans sa lutte pour la liberté, pour la
liberté de Muhammad Qiq.
Ramón Pedregal Casanova, né a Valverde de
Jucar (Espagne) en 1951. Etudiant a l'Université Complutense de Madrid Ciencias
Políticas et a l'Ecole de Lettres ... Assesseur littéraire de l'Editorial
"Lengua de Trapo". Dirige l'Ecole de Littérature (Bibliothèque
Municipal. Las Rozas. Madrid). Publie de publications littéraires, reportages, interviews,
critiques, éssais, des des revues et journaux comme Revue Delibros, Añil (revue
de la culture de la Junte de Communautés de Castilla-La Mancha), Cuadernos del
Matemático, El Cenital, Lateral, Platea, Diario Ya, Diario Lanza (Ciudad Real),
La Nueva España (Asturias). Ha été Professeur de Novela Española dans le Cours de
Création Littéraire de l'Ecole de Lettes.
Est président de AMANE, Association Européenne de Coopération
International et Etudes Sociales, il l'auteur de “Dietario de crisis” (Agenda de crises), “Siete Novelas de la
Menoria Histórica. Posfacios” (Sept
romans de la Mémoire Historique. Postfacions",
y “Gaza 51 días” (Gaza 51 jours).