samedi 7 octobre 2017

La Démocratie !!!





Manifestation palestinienne réprime avec violence 
par le très "démocratique" État colonial israélien.


Etymologie : du grec dêmos, peuple, et kratos, pouvoir, autorité.
Définition de la démocratie était: "pour et par le peuple".

Contrairement à la quasi-totalité des pseudos démocraties, qui se résument à organiser des élections,  "dégomment" tout candidat gênant, influence les électeurs par le moyen de sondages truqués et des médias aux ordres, des gouvernants sans adhésion populaire obtiennent la majorité par défaut.  (Choisir entre la peste ou le choléra)

La démocratie est le régime politique dans lequel le pouvoir est détenu ou contrôlé par le peuple (principe de souveraineté), sans qu'il y ait de distinctions dues la naissance, la richesse, la compétence... (principe d'égalité). En règle générale, les démocraties sont indirectes ou représentatives, le pouvoir s'exerçant par l'intermédiaire de représentants désignés lors d'élections au suffrage universel.

La Démocratie se distingue par  le droit à s'exprimer, par les décisions prises à la majorité et dans l'intérêt du plus grand nombre.
=-=-=-=-=-=-=-=-=-=

Dans le cas de la dernière convulsion de la "démocratie moderne" celle qui secoue l'Espagne, beaucoup de personnes l'ont réduit à l'opposition entre deux visions de la Démocratie.
Je ne me réfère pas, bien évidement aux aboiements entendus, mais à la réelle signification étymologique de la démocratie. Et là, aussi bien la chef du Gouvernement Espagnol, que le Président français, Rajoy et Macron ignorent ce que la mot Démocratie veut dire.

- Rajoy, assimile tous les catalans aux indépendantistes, au lieu d'entendre ce que les catalans ont à lui dire, préfère les croire indépendantistes et les brutaliser avec force sans faire de distinction entre les indépendantistes et les catalans qui manifestent moins pour l'indépendance que contre sa politique digne de Franco, qui punit d'emprisonnement ferme: (par exemple) l'insulte au bourreau qui vous brutalise, mais aussi, le droit que la démocratie vous octroi, celui de vous exprimer librement et sans contrainte. Il a peur de quoi ce DESPOTE? Il sait qu'il agit mal et comme tout schizophrène n’a a sa disposition que la violence brutale pour s'y opposer...

La Catalogne, ce n'est pas nouveau, a un statut particulier au cœur de la plupart des autres régions, envié (sans-doute), jalousé (certainement), dénigrée (souvent) et je pense que ceux qui s'expriment de l'extérieur (ce qui est en soi grave, à moins que ne soit de la stupidité) ignorent les tenants et les aboutissants des revendications catalanes ou sont, au fond d'eux, les mêmes êtres brutaux et autocratiques qu'a pu être le chef du Gouvernement Espagnol. 

Chef du Gouvernement Espagnol caractérisé par sa stupidité. Le problème de l'indépendance se pose très souvent dans les États formés de communautés par trop différentes ou formé de frontières forcés, et l'Espagne n'échappe pas à cette constante. Mais mon propos n'est pas là, l'Espagne est maintenant un État et si je qualifie le despote d'imbécile c'est qu'il aurait du faire voter au parlement espagnol et le transcrire dans la Constitution: "l'obligation de toute région séparatiste d'obtenir l'accord des autres composantes". Et s'obliger à prendre en considération les doléances qui amènent une des composantes à se considérer lésé...
Au lieu de cela et avec lui le roitelet, sans se soucier du droit d'expression que la démocratie  attribue et du mal être Catalan, depuis au moins (expérience personnelle, par rapport a ce que j'ai pu remarquer) une bonne décennie. Non ces… (et tous qui dans l'ignorance s'expriment) cautionnent des actes antidémocratiques par excellence…

Parlons un peu de Macron, qui dans une accolade de Führers, cautionne les brutalités de Rajoy. Lui, qui avec moins du quart des Français ayant voté pour sa candidature prétend, malgré l'élection obtenue (avec des procédés indignes et par défaut)  avoir le droit de trahir les principes démocratiques par l'obéissance à des influences qui n'ont rien de commun avec la démocratie, mais avec une mafia argenté se permettant de rallier tous les simples d'esprit qui croient que l'on est sur terre pour amasser. 
Il faudrait que Macron ait la même détermination à taxer ceux qui délocalisent, aussi bien les entreprises que les capitaux, (il y a des moyens) qu'il le fait avec le "petit peuple". 
Ces hommes Macron, Rajoy parmi tant d'autres sont les vecteurs d'une pensée nauséeuse qui n'a plus rien de commun avec la démocratie mais avec la sauvegarde de l'intérêt des puissants. Les Rois, Les Tsars, les dictateurs n'ont pas fait autre chose…

Enfin pour conclure j'ajouterais que, lors que je défends le point de vue Catalan, je ne défends pas l'indépendance de la Catalogne, (un certain Christophe se reconnaitra) j'ai simplement placé, la virgule au bon endroit, d'un point de vue du ressenti des catalans et du point de vue de l'histoire. Depuis quant la brutalité est légitimé pour empêcher quelqu’un de s'exprimer? 
Quand a ces ignorants qui à bout d'arguments me reprochent mon militantisme pour que le droit international s'applique au Proche-Orient entre juifs et palestiniens sont, pour moi, sans importance.  


mardi 3 octobre 2017

Israël cache son rôle dans les crimes du Myanmar contre les Rohingyas




29 09 2017 • 14 h 40 min
Par Ali Abunimah – The Electronic Intifada – 27 septembre 2017



Le général Min Aung Hlaing et d’autres dirigeants du Myanmar visitent le fabricant d’armes Israélien, Aerospace Industries, en septembre 2015. (via Facebook)

Israël tente d’enterrer l’information concernant ses ventes d’armes au régime militaire du Myanmar, que les Nations-Unies accusent d’une campagne « brutale » contre la population musulmane Rohingya du pays qui est un « cas typique de nettoyage ethnique ».

Des centaines de milliers de Rohingyas fuient leurs foyers alors que des foules bouddhistes brûlent leurs villages.

Amnesty International et Human Rights Watch affirment que les militaires du Myanmar, ou Birmanie, commettent en ce moment des crimes contre l’humanité.

« L’armée se rend coupable de déportations par la force, d’assassinats, de viols et de persécutions contre les musulmans Rohingyas dans le nord de l’État Rakhine, provoquant des morts en grand nombre et des déplacements massifs » déclare Human Rights Watch.
La dirigeante du Myanmar, prix Nobel et ancienne prisonnière politique, Aung San Suu Kyi, est de plus en plus critiquée dans le monde pour ses faux-fuyants et justifications des atrocités.

« Un régime dictatorial »
L’avocat et militant israélien pour les droits de l’homme, Eitay Mack, fait campagne depuis longtemps pour obliger Israël à révéler et à mettre un terme à ses ventes d’armes à divers régimes violents.

Cette semaine, le procureur de l’État d’Israël a demandé à la Haute Cour de classer rétroactivement comme confidentiels, tous les documents et procédures relatifs au dernier procès de Mack, qui essaie d’obliger le gouvernement à cesser ses ventes d’armes au Myanmar.

Dans une déclaration adressée par courriel, Mack assimile la demande du procureur aux méthodes d’un « régime dictatorial ».

Les juges ont rejeté cette demande de censure totale, mais ils ont accepté d’ordonner le silence sur une décision concernant cette question qu’ils comptent rendre mercredi.

Mark affirme que les juges ont décidé de classer confidentielle leur décision sans donner, à lui-même et aux autres parties, l’occasion de répondre à la requête de l’État.

Lors d’une audience lundi, les juges ont entendu à huis clos un témoignage sur les relations d’Israël avec le Myanmar. Le journal israélien Haaretz rapporte que dans la partie publique de la séance, un représentant du gouvernement « a refusé de commenter la question ou de déclarer si Israël allait ou non arrêter d’armer les militaires du Myanmar ».

« La tentative des ministères de la Défense et des Affaires étrangères, et du procureur de l’État, de réduire l’opinion au silence et de dissimuler l’implication d’Israël dans les crimes contre l’humanité ne réussira pas » promet Mack.

Comme il le souligne, la preuve des liens qui se renforcent entre Tel Aviv et les militaires du Myanmar ne peut pas facilement se dissimuler.

Une frénésie d’achats
En 2015, Min Aung Hlaing, un général de l’armée Myanmar, est venu en Israël en faisant escale dans certaines des plus importantes fabriques d’armes, dont Elbit Systems et Israel Aerospace Industries.

Le général a posté sur Facebook des photos de ses visites chez les fabricants d’armes et dans des bases militaires israéliennes, qui ont conduit Haaretz à conclure que le Myanmar avait en projet d’acheter des bateaux patrouilleurs militaires de fabrication israélienne.

Dans les années 1990, bien avant que la junte militaire du Myanmar se voie accorder un visage « démocratique » grâce à Aung San Suu Kyi, les « consultants israéliens » ont aidé à la construction d’une usine d’armement pour le Myanmar, selon un rapport de 2007 d’Amnesty International.

Ce rapport appelait à un embargo international complet sur le Myanmar.

Armer des régimes parias
Dans son édito de mercredi, Haaretz exhorte les législateurs israéliens à s’unir pour mettre fin à la « honte » d’Israël qui vend des armes à des régimes aussi brutaux.
Haaretz fait remarquer qu’Israël a une longue histoire en matière d’armements – et de mensonges à propos de son armement – des forces qui perpétuaient des massacres en Bosnie, des dictatures militaires du Chili et de l’Argentine, des Contras soutenus par les États-Unis au Nicaragua.

Et d’ajouter qu’Israël continue d’armer « les forces du mal » au Soudan du sud.
Les armes israéliennes ont été utilisées pour le génocide au Rwanda en 1994, une affaire pour laquelle les juges israéliens ont, là aussi, accepté de dissimuler les détails à l’opinion.

Israël a toujours été disposé à armer des régimes parias. Il a fourni des centaines de millions de dollars d’armes à l’Afrique du Sud de l’apartheid, alors que ce régime qui soutenait la suprématie de la race blanche était soumis à un embargo international.
« Une fois de plus, nous découvrons que l’État d’Israël n’est pas une démocratie, comme il aime à se présenter » affirme Mack, après la décision de la Haute Cour de classer confidentielle sa décision. « Jour après jour, l’État d’Israël devient semblable à ces États auxquels il vend des armes ».

Testés sur les Palestiniens
Certains le verront comme un sentiment digne de la part de Mack et de Haaretz qu’Israël peut être contraint d’agir selon une norme morale qui ne représente pas une « honte ».

Les efforts de Mack pour découvrir la vérité sont de fait utiles et admirables.
Mais comme lui-même et Haaretz le savent assurément, Israël a été créé sur le nettoyage ethnique de la population autochtone de la Palestine.

Israël continue d’exister en tant qu’État juif d’apartheid uniquement en mettant en œuvre sans relâche une politique raciste.

Il maintient un régime politique et juridique ouvertement raciste et une occupation militaire brutale qui privent des millions de Palestiniens de leurs droits les plus fondamentaux.

Il perpétue des massacres répétés de Palestiniens pour « tondre la pelouse » des autochtones qui résistent, et ses généraux et ministres menacent constamment de « détruire » le Liban.

Israël va continuer de vendre ses armes aux régimes parias, il va continuer parce qu’il est, et qu’il a toujours été, comme ses clients.

Les Palestiniens, après tout, sont des sujets d’expérience dont la souffrance permet à Israël de vendre ses technologies de mort dans le monde entier comme « ayant fait leurs preuves sur le terrain ».

Traduction : JPP pour l’Agence Média Palestine


Mais des imbéciles se mêleront, une nouvelle fouis, de ce qui ne leur regarde pas, et iront faire allégeance à Israël, à ses crimes et à l'idée que les sionistes se font du monde…
Est-il possible que tant de dirigeants soient des criminels par procuration s'ils ne le sont en puissance. 

L’ONU prend une première mesure en vue de mettre fin à l’impunité d’Israël




2 10 2017 • 11 h 14 min
Par Ali Abunimah – The Electronic Intifada – 28 septembre 2017

Une liste fournie par l’ONU des sociétés qui ont des relations économiques avec les colonies illégales d’Israël donnerait une impulsion au mouvement mondial pour les droits des Palestiniens. Ryan Rodrick Beiler ActiveStills

Les représentants de l’ONU évoluent finalement vers l’affirmation de la responsabilité d’Israël dans le non-respect du droit international, en dépit d’une résistance farouche de la part d’Israël et de ses alliés.

« Après des décennies de dépossession palestinienne et  d’occupation militaire et d’apartheid par Israël, les Nations Unies ont pris leur première mesure concrète en vue d’établir la responsabilité d’Israël dans ses violations continues des droits humains des Palestiniens » a dit Omar Barghouti, un des fondateurs du mouvement de boycott, désinvestissement et sanctions (BDS). « Les Palestiniens accueillent chaleureusement cette mesure ».

Mercredi, le journal israélien Haaretz a rapporté le fait que le Bureau des droits humains de l’ONU  a commencé des envois de lettres destinées à 150 sociétés dans le monde, les avertissant qu’elles pourraient figurer sur une base de données des entreprises ayant des relations économiques avec les colonies israéliennes des territoires occupés de Cisjordanie, Jérusalem comprise.

Nickolay Mladenov, le chef de la représentation politique de l’ONU à Jérusalem, a dit cette semaine  au Conseil de Sécurité de l’ONU que « les activités de colonisation illégale d’Israël ont continué à un rythme élevé » en grave violation des résolutions de l’ONU.

Le consensus juridique se développe selon lequel le droit international exige des gouvernements qu’ils interdisent les échanges économiques avec les colonies.

« Cela pourrait faire boule de neige »
Les représentants d’Israël ont admis que de nombreuses sociétés  – sans pour autant en fournir les noms – ont déjà répondu à ces lettres en assurant le bureau des droits humains de l’ONU qu’elles ne renouvelleraient pas leurs contrats en Israël, ni n’en chercheraient de nouveaux.

« Ces entreprises n’arrivent pas à faire la différence entre Israël et les colonies et mettent fin à leurs opérations sur l’ensemble » a dit à Haaretz un représentant israélien de haut niveau. « Les sociétés étrangères ne vont pas investir dans quelque chose qui relève de problèmes politiques, cela pourrait faire boule de neige ».

Ce représentant israélien de haut niveau a confirmé ce qu’un chef de la diplomatie européenne avait confié à des collègues à Bruxelles.

Dans un mémo de juin écrit alors qu’il était ambassadeur de l’UE à Tel Aviv, Lars Faaborg-Andersen a admis que l’UE n’avait pas de moyen fiable de distinguer les exportations des colonies d’autres produits israéliens.

Les commentaires des représentants israéliens font aussi écho à la découverte d’un rapport secret de deux groupes de lobby israéliens influents qui a fuité plus tôt dans l’année dans « Electronic Intifada ».

Le rapport, assumé par le gouvernement israélien, concluait que la plupart des « dommages collatéraux » infligés à Israël par le mouvement BDS sont le résultant d’un « boycott silencieux » – de groupes, d’individus et de sociétés qui décident, sans l’afficher, de s’abstenir de s’engager avec Israël, soit qu’ils soutiennent les droits des Palestiniens, soit simplement qu’ils veuillent « éviter des problèmes et critiques superflus ».

Des noms bien connus
Le mois dernier, le Washington Post a précisé les noms de certaines des sociétés américaines averties par l’ONU qu’elles pourraient être inclues dans la base de données.
On y trouve les noms de sociétés comme Caterpillar, TripAdvisor, Priceline.com et Airbnb.

Selon Haaretz, environ 30 des 150 sociétés sont américaines, d’autres sont allemandes, sud-coréennes et norvégiennes.

Le Washington Post  a aussi souligné la forte opposition américaine à cette base de données dont la création a été commandée par un vote de l’an dernier du Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU. Nikki Haley, l’ambassadeur des États Unis à l’ONU, a qualifié de « honteuse » cette base de données et a dit que son pays envisage de sortir du Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU.

Israël a mis sur pied un groupe de travail gouvernemental pour tenter de faire échouer la liste, mais selon Haaretz, la plupart des représentants qui y sont impliqués croient que la publication en décembre de la base de données est « inévitable ».

L’imminence de cette liste a fait proposer par des juristes américains une législation, la Loi Anti-Boycott d’Israël, qui pourrait imposer des amendes importantes et des peines de prison à des sociétés et à leur personnel pour participation à un boycott d’Israël et de ses colonies, supposément encouragé par une organisation internationale.

La désespérance d’Israël
L’intensité de la pression américaine, et la longue histoire de la complaisance de la soi-disant communauté internationale envers Israël, font qu’il ne peut pas être garanti que les représentants de l’ONU ne vont pas capituler de nouveau.

Il y a deux ans, le Secrétaire Général de l’ONU d’alors, Ban Ki-moon avait cédé à la pression israélienne et américaine et avait retiré Israël d’une liste de graves violeurs des droits des enfants.

En mars, Antonio Guterres, le successeur de Ban, s’était plié devant la pression des États Unis  et avait étouffé un rapport qui avait établi qu’Israël pratique l’apartheid contre les Palestiniens.

Une des conclusions de ce rapport est que les recherches et analyses juridiques de services de l’ONU, comme le Centre des Nations Unies Contre l’Apartheid, ont été des ressources essentielles pour les militants de la société civile dans leurs efforts visant à « légitimer le boycott, le désinvestissement et les sanctions et à contribuer à la formation d’ensemble d’un mouvement transnational contre l’apartheid en Afrique du Sud ».

Le rapport a encouragé une approche semblable en vue de mettre fin à l’apartheid israélien. La militante historique Adri Nieuwhof a récemment écrit pour Electronic Intifada que l’enregistrement par l’ONU des sociétés, athlètes et professionnels du spectacle complices de l’apartheid sud-africain avait donné un élan important à la campagne internationale de solidarité.

« Le fait qu’Israël veuille tuer dans l’œuf la base de données prévue est le signe d’une désespérance » a écrit Nieuwhof. « Israël est déjà un État paria dans l’esprit des gens ordinaires dans le monde. Si les crimes d’Israël ne cessent pas, son isolement ira croissant ».

« Nous espérons que le Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU restera ferme et publiera la liste complète des entreprises opérant illégalement dans ou avec les colonies israéliennes sur de la terre palestinienne volée et qu’il développera cette liste suite à l’appel du Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU de mars 2016 » a déclaré Omar Barghouti cofondateur de BDS.

« Si elle est mise en œuvre correctement, cette base de données de l’ONU des entreprises complices de certaines des violations par Israël des droits humains, peut augurer d’un début de la fin de l’impunité criminelle d’Israël ».

Traduction SF pour l’Agence Media Palestine



Cette photographie ne ment pas,
ces sbires ce sont bien les créateurs et parrains de Daech.
Ce sont l’anti-démocratie.
Ils ne peuvent combattre la justice,
alors ils créent les conditions qui permettent de le faire...

dimanche 1 octobre 2017

Nous pensons tous vivre en démocratie.




Mais un État qui permet le financement du nazisme est-il encore une démocratie? Cette question vous, ne vous la poseriez pas une seconde, tant elle parait  antidémocratique.   

Dans ces conditions comment pourrions-nous admettre, le financement d'une armée qui; colonise un peuple souverain  qui : pratique une politique de vol des terres autochtones ; destruction de l'habitat autochtones ; emprisonnement illégal du peuple autochtone ;  qui bombarde les populations civiles : qui affame le peuple autochtone ; qui l'empêche, (par le blocus pratiqué, acte de guerre je vous le rappelle) l'entrée des denrées et médicaments nécessaires à leur survie (les enfants auront des séquelles par le manque de nourriture et médicaments leur vie durant.)  […]

Non cet État n'est pas une démocratie mais un État soumis à l'influence de la pensée dominante, répandue en son sein par des êtres sans scrupules et qui voudraient, comble de la fourberie, de l'hypocrisie, de la duplicité …, nous faire croire que les pogroms ou le génocides des Juifs par les nazis, leur donne ce droit !

Seul une mentalité soufrant de schizonévrose psychopathe, peut croire  qu'un crime peut justifier un autre crime, nous sommes d'accord, mais faut-il encore avoir de la mélasse à la place de la matière-grise, pour protéger l'influence de ces criminels par procuration.  
Nous avons au sein de nos gouvernements une 5e. Colonne au service d'Israël qui n'agit pas pour la prospérité de notre pays mais, et on le constate encore aujourd'hui, se mettre au service de l'idée sioniste…