samedi 2 décembre 2017

Barak Obama à Paris



https://www.ouest-france.fr/monde/etats-unis/barack-obama/barack-obama-que-vient-il-faire-paris-5419477


Barak Obama, qui devait ramener la paix au Proche-Orient ; qui devait supprimer Guantánamo ; qui devait souffler un "vent de justice" dans le monde.
Qu'est-ce qu'il a fait en réalité? 
Il a, non seulement, renforcé la colonisation israélienne mais encore il a laissé ces criminels continuer à perpétrer leurs crimes ; il a renforcé les tortures à Guantánamo ; Il a fait assassiner à travers le monde, sans preuves, sans jugement des pseudos terroristes, mais surtout des civils innocents. [S'est si facile, le cul sur un fauteuil, de permettre le largage d'un missile...] ; Il devait enfin rentrer dans le cercle des États civilisés et retirer les prisons US implantés ça-et-là (États sans scrupules) où la torture et l'assassinat faisaient office de justice [...]
Aujourd'hui ce criminel par procuration, V.R.P. (valet, va aussi) des nouveaux maîtres du monde s'applique à faire des conférences, payées à prix d'or pour des propos superficiels qui n’intéressent plus personne.
Est-on en droit de se demander pourquoi ?  Non seulement c'est notre droit, mais je vais vous le dire.  De Clinton à Hollande tous les ex présidents font des conférences de ce genre, payés non, pour leur contenu mais pour services rendus, services que s'ils avaient été rémunérés en temps et en heure, auraient été taxés de corruption.

Aujourd'hui rémunérer ces clowns est, dans l'état de corruption générale, légal...     

vendredi 1 décembre 2017

Chaos en Libye !




On entend ça-et-là: Le chaos qui règne en Libye, l'esclavage y est omniprésent. D'accord mais qui est à l'origine de ce chaos? Kadhafi?  Ce ne serait pas plutôt l'Occident et en l'occurrence  son valet Nicolas Sarkozy…

Il faudrait tout-de-même qu'un jour nous comprenions que le "mauvais esprit" que nous occidentaux répandons, a comme résultante la révolte de ces êtres qui ne sont plus d'accord ou qui fuient la misère que nous avons sème chez eux.  Et comme le dit Edwy Plenel chez JJ Bourdin, en quelque sorte: nous y avons une responsabilité et nous ne devons pas, face à ces populations, les fuir ou refuser de les accueillir.  

L'Occident en général a depuis toujours, en abandonnant sa suprématie sur un territoire, installé à sa placé un fantoche qui lui a permis de continuer une colonisation travestie, qui n'a bénéficié, ni au peuple autochtone, ni à la population ce la nation colonisatrice, mais a tout un magma d'escrocs de la condition humaine, qu'ils soient: dirigeants politiques, dirigeants économiques, média.

En prenant acte de cette réalité nous comprenons alors, et seulement alors, la mansuétude des pseudos Etats démocratiques occidentaux à l'égard des criminels israéliens. En Palestine il y avait une population pastorale, instruite et pacifique, vivant dans une société aussi avance, sinon d'avantage, que ne l'était l'Europe à l'époque Ottomane. Cette Europe qui cautionne une organisation criminelle, reposant sur ses  propres lois et qui ne respecte pas le Droit International, pas plus d'ailleurs que les résolutions de l'ONU (organisme qui lui a pourtant donné vie), ni les Droits de l'Homme les plus élémentaires.


Bombardement au Phosphore-Blanc par l'armée israélienne à Gaza.
Interdit, pourtant, par la Convention de Genève, sur les populations.  


Ce sont de véritables criminels qui s'étonnent que l'on se révolte contre leur brutalité. L'Holocauste a permis à ces criminels (sionistes), par le remords engendré, de laisser croire, que s'était leur droit de compromettre l'existence d'un Peuple qui ne lui avait rient fait, pacifique qui les avait accueilli comme des frères. (Compte tenu de l'Historiographie Hébreu) Seul une organisation criminelle pouvait agir de la sorte.
Le plus incompréhensible reste et restera la caution de cet Occident dont, aujourd'hui, plus rien n'est démocratique, où le vol des terres, sans bourse délier, (Israël) ou le vol (ou presque) des richesses du sous-sol, sont la seule méthode à suivre.



Le MUR de la honte créant de facto un apartheid que l'Occident cautionne.


Le sionisme à volé la religion et l'étoile de David aux Juifs. Cependant à constater l'influence des personnalités juives sur nos gouvernement et la caution qu'apporte la majorité de la communauté, j'affirme que le désordre qui règne sur le monde leur doit beaucoup. Si seulement la Déclaration Balfour* (qui à crée le sionisme) avait été respectée nous n'en serions pas là. C'est une certitude, ces criminels pour pérenniser l'Etat illégal qu'est Israël, doivent "maîtriser" tout concept qui pourrait le mettre en cause.



Quelle armée de poltrons ferait la guerre aux enfant?
L'armée israélienne... 

Vous pouvez pensez autrement, c'est votre droit. Mais c'est aussi mon droit de penser que vous êtes sioniste (juifs ou non) ou alors un jouisseur incapable de voir plus loin que le bout de son nez.

  
=-=-=-=-=-=-=-=-=-

* [Déclaration Balfour : "Le gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l'établissement en Palestine d'un foyer national pour le peuple juif, et emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif, étant clairement entendu, que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte ni aux droits civils et religieux des collectivités non juives existant en Palestine, ni aux droit et au statut politique dont les juifs jouissent dans tout autre pays."]

  • 1e. "prévarication" :
    La déclaration Balfour, est un arrangement entre lord Balfour, représentant du Gouvernement de sa Majesté et lord Rothschild, représentant de l'organisation sioniste mondiale. C'est-à-dire entre deux entités privées, qui n'ont aucun mandat international, pour décider à la place du Peuple de Palestine.
    Cela, qu'on le veuille ou non,  s'appelle COMPLOT.

    2e " prévarication " :
    La déclaration  Balfour à été ajouté aux accords Sykes-Picot lors de la Conférence de San Remo. Le sort final de la Palestine est décidé par le Conseil Suprême des Alliés. Un rapport du Royal Institute of International Affairs (RIIA) donne le compte rendu suivant :
    "Pour reconnaître la validité des arrangements Sykes-Picot il fallait l’accord franco-anglais concernant l’ensemble des territoires turcs, à la suite d’un compromis intervenu entre Clemenceau et Lloyd Georg, la Palestine, qui devait être d’après le plan Sykes-Picot placée sous administration internationale, passa finalement d’un commun accord sous tutelle britannique." Sans la Société des Nation (SDN) eut son mot à dire.

    3e " prévarication " :
    Résolution sur la partition de la Palestine. Au terme de pressions scandaleuses sur les pays du Tiers Monde, les USA font adopter un plan de partage de la Palestine (29 novembre 1947).
    Les Juifs, qui possèdent 6,5% du sol et constituent 35% de la population, recevront les 56% de la Palestine et ses terres les plus fertiles.

    4e " prévarication "
    Si les juifs ont gardé leur statut dans leur pays d'Origine, les palestiniens sont devenu des parias dans leur propre Etat. Parce que cela arrange  les juifs ; les sionistes ; la communauté occidentale : la résistance du Peuple palestinien est qualifié par ces êtres à l'état de conscience douteux, de terrorisme. Et a ce titre les criminels sionistes, cautionnés par les criminels par procuration que sont les dirigeants occidentaux, s'autorisent à les assassiner ; les bombarder ;  araser leurs terres arables ; détruire leur habitat ; les emprisonner sous le régime dit : "arrestation administrative" que le très "démocratique" gouvernement de salauds limité à six mois, mais il s'empresse de dire qu'il peut être renouvelle indéfiniment. C'est ainsi qu'il y a dans les geôles, juives d'Israël, des prisonniers sans acte d'accusation, sans preuves, sans procès, en prison en point c'est tout, depuis plus de trente ans. Sans parler des incendies d'oliviers, j'en passe et des meilleures.
    Et il se trouve encore aujourd'hui une intelligentsia remarquable par sa connerie qui dit : "Israël à le droit de se défendre"  ou des journalistes pour débiles  qui estiment la présence sioniste en Palestine légitime !!!

mercredi 29 novembre 2017

Chronologie VI (Palestine/Israël)

Négationniste juif...
Le négationnisme juif ne se cantonne pas uniquement aux crimes commis en Palestine, mais aussi a l'irrespect de leurs engagements.  Le drame de la Palestine s'enracine, justement, dans ce non respect.

Pour un homme honnête  engager sa parole, c'est  s'obliger à la respecter. Pour un sioniste engager sa parole, est un moyen de parvenir à ses fins, une fois le but atteint il ne se sent plus concerné par la parole donnée. Là, est aussi le drame de la Palestine.  


Dès 1948 commence la destruction des villages palestiniens ; des lois faites sur mesure permettront la transformation en  « terre juive » inaliénable de 93% du territoire palestinien. Les 130 000 Palestiniens restés en territoire israélien sont placés sous gouvernement militaire, qui durera jusqu’en 1966.  Près de 430 villages palestiniens sont détruits à partir de l’été 1948, 300 000 hectares, 70 000 pièces d’habitation, 8 700 magasins, 5 millions de livres palestiniennes sont volés. 
Depuis le vote par l’ONU de la partition de la Palestine Israël n’a respecte aucune des résolutions, qu'elle a pourtant voté.   La violation du Droit au Retour des palestiniens, par Israël, contenu dans la résolution 194 de l’ONU, sera la première de ces violations. (Toujours refusé de nos jours par l'Etat sioniste)

Mars 1949, Martin Buber, philosophe juif, s’adressant à Ben Gourion.
 « Nous devrons affronter la réalité qu’Israël n’est ni innocent, ni rédemptif. Et qu’à sa création et dans son expansion, nous, en tant que Juifs, avons crée ce dont ce dont nous avons historiquement souffert, une population de réfugiés en Diaspora. »      

Ha’aretz, 4 avrfil 1969 -Moshe Dayan, discours au Technion, Haïfa, Ha’aretz.
« Des villages juifs ont été construit à la place des villages arabes. Vous ne connaissez même pas les noms de ces villages arabes, et je ne vous blâme pas parce que les livres de géographie n’existent plus. Non seulement les livres n’existent plus, mais les villages arabes ne sont pas là non plus. Nahlal s’est construit à la place de Mallul, Kibbutz Gvat à la place de Jibta, Kibbutz Sarid à la place de Huneifis, et Kefar Yehushua à la place de Tal al Shuman. Il n’y a pas un seul endroit construit dans ce pays qui n’avait pas une ancienne population arabe. »  

« De quels moyens disposais-je pour comprendre qu’il s’agissait d’une fable pour petits enfants ? Que nos responsabilités étaient systématiquement cachées sous le tapis ? » Gidéon Levy, chroniqueur réputé, au journal israélien Ha’aretz, 10 juillet 2003 -(Cité par Sylvain Cypel, « Les emmurés » p.153)

Quelques chiffres illustrant une réalité souvent ignorée :
Du 23 février au 20 juillet. Accords d’armistice entre Israël  et les pays Arabes. L’Etat juif augmente son territoire de 33% et expulse 730 000 Palestiniens. 
L’Etat Palestinien est mort-né. 
1949  Quelques chiffres illustrant une réalité souvent ignorée :
Israël, 1950 : Juifs 1 000 000  Palestiniens 130 000
Cisjordanie/Gaza : 1 400 000 Palestiniens, dont 470 000 réfugiés (dans leur propre pays)
Hors Palestine : 260 000 réfugiés
Près de 431 villages par les forces juives dès le début de l’Epuration Ethnique (1948). Villages détruits rasés à la place : des colonies, des parcs, des stèles commémoratives mais aucune référence aux villages arabes ! 

1949  Israël devient membre de l’ONU…
Le 11 mai 1949, Israël fut admis à l’Organisation des Nations Unies. Le préambule de la résolution admettant Israël mentionnait expressément l’engagement d’Israël d’appliquer les résolutions 181 et 194, qui exprimaient la conception centrale de la question de Palestine à L’organisation des Nation Unies :
« Ayant reçu le rapport du Conseil de sécurité relatif à la demande d’admission d’Israël à l’Organisation des Nation Unies, « Notant que, de l’avis du Conseil de sécurité, Israël est un État pacifique*, capable de remplir les obligations de la Charte et disposé à le faire, « Notant  que le Conseil de sécurité a recommandé à l’Assemblée générale d’admettre Israël à l’Organisation des nation Unies ;
Le Conseil de Sécurité a estimé qu'Israël est un État pacifique. Nous avons surtout constaté depuis qu'il est un État belliqueux. Cependant la caractéristique guerrière d'Israël était monstrueusement "visible" déjà à cette époque [Le Nettoyage Ethnique l'atteste],dans ces condition comment le Conseil de Sécurité de l'ONU à pu croire qu'Israël était apte à remplir ses obligations? Seul la possibilité du versement d'un "pot-de-vin" ou "avantages" rend compréhensible ces avis, à moins qu'il faille croire que le Conseil de Sécurité de l'ONU fut composé d'êtres stupides. 
« Prenant acte, en outre, de la déclaration par laquelle l’État d’Israël " accepte dans aucune réserve les obligations découlant de la Charte des Nation Unies et s’engage à les observer* du jour où il deviendra Membre des Nation Unies" 

Pas une seule des résolutions des Nations Unies n'a été respecté par Israël, oh pardon, si une seule la résolution 181 du 26 novembre 1947 et pas entièrement, sur la partition de la Palestine. 
 « Rappelant ses résolutions du 29 novembre 1947 [181] et du 11 novembre [194], et prenant acte des déclarations faites et des explications fournies devant la Commission politique spéciale par le représentant du Gouvernement d’Israël en ce qui concerne la mise en œuvre des dites résolutions ;
« L’Assemblée générale, « Remplissant les fonctions qui lui incombent aux termes de l’article 4 de la Charte et de l’Article 125 de son règlement intérieur ;
« 1. Décide qu’Israël est un État pacifique qui accepte les obligations de la Charte, qui est capable de remplir les dites obligations et disposé à le faire ; (Or il n’a pas rempli une seule des résolutions depuis 1948.)
« 2. Décide d’admettre Israël à l’organisation des Nations Unies. »

Bien sûr, les résolutions 181 et 194, pas plus que les plus de 65 autres résolutions de l’ONU, ne furent jamais appliquées par Israël. Sans compter plus de 30 résolutions « tuées » grâce au veto américain.

Ce qui n’empêche pas Israël de continuer à siéger à l’ONU. Israël et les USA, que la population mondiale a désignés comme les Etats les plus dangereux pour la paix.  Ben Gourion mais aussi le sionisme en général, nous l’avons constaté, n’engage sa parole que pour parvenir à ses fins, pour lui engager sa parole n’implique nullement de devoir la respecter.

En 1950, les juifs d’Irak furent victimes du sionisme ! 
D'avril 1950 a janvier 1951 : trois bombes et des explosifs divers visant des juifs tonnent dans sa capitale Bagdad, où réside la plus ancienne communauté juive du Moyen-Orient, 170 000 Irakiens juifs. A chaque fois les attentats son mis sur le compte d’une mystérieuse organisation extrémiste. ("Aujourd’hui on dirait terrorisme islamiste") La troisième bombe fait un mort et la panique s’installe. Israël met en place un pont aérien et à la fin de 1951 il ne reste plus que 5.000 Juifs en Irak. 
Peu après, les auteurs des attentats, quinze sionistes Irakiens et Israéliens, sont arrêtés et font des aveux détaillés. 
Ces attentats venaient après deux années de propagande américaine, via les conseillers bien évidemment favorables au sionisme, et israélienne  pour pousser les Juifs d’Irak à partir. La tactique consistant à créer des peurs artificielles pousser l’immigration vers Israël  se répétera dans les autres pays du Moyen-Orient (Cf. Egypte).

[La tactique de la peur de l'antisémitisme est récurrente chez les  le sionistes, le sionisme s'en est toujours servi, y compris de nos jours.]  

«  J’e n’ai pas honte de dire que si j’avais le pouvoir autant que j’ai la volonté, je sélectionnerais un groupe de jeunes hommes efficaces –intelligents-, convenables, dévoués à notre idéal et brûlant de désir d’aider à la rédemption des Juifs  - et je les enverrais dans les pays où les juifs sont absorbés dans une autosatisfaction  pécheresse. La tâche de ses jeunes gens serait de se déguiser en non-juifs, et de tourmenter les Juifs avec des slogans antisémites comme « maudits Juifs », « Juifs allez en Palestine » et autres familiarités. Je suis garant que le résultat, en termes d’immigration de ces pays, serait 10 000 fois plus grand que celui obtenu par des milliers d’émissaires qui ont prêché pendant des années à des sourds. »    (Article du quotidien Davar du début des années 50, cité par Alfred Lilienthal, « The other side of the coin », Devin-Adair, Nex York, p. 47)

La France, l’Angleterre et l’Amérique reconnaissent officiellement le 25 mai 1950, dans une déclaration tripartite, Israël et ses conquêtes de 1948/49.
La situation socio-économique oblige nombreux palestiniens à enter en Israël. De 1949 à 1956, entre 2 700 et 5 000 palestiniens « infiltrés » furent tués par l’armée israélienne. Neuf sur dix d’entre eux étaient des réfugiés désarmés cherchant à revenir pour des raisons sociales ou économiques. Le 12 octobre 1953, une grenade fut jetée dans la colonie juive à l’est de Tel-Aviv, tuent une femme et deux enfants,  l’Unité 101 d’Ariel Sharon fait exploser 45 maisons du village cisjordanien frontalier de Kibya en forçant les habitants à rester dedans : 69 morts. Les massacres dans la tradition de celui de Deir Yassin portent désormais un nouveau nom : « représailles ».

« C’est à la charge du peuple de préparer la guerre, mais c’est à l’armée israélienne de mener le combat avec l’objectif ultime d’ériger d’Empire d’Israël. » Moshé Dayan (Ministre de la Défense et des Affaires Etrangères d’Israël), le 12 février 1952 (Radio Israël.)

Comment expliquer que tant de Juifs de par le monde soutiennent le sionisme quoi qu’il fasse :
  1. Le sionisme n’a pas toujours été soutenu comme il l’est aujourd’hui.
  2. Ce soutien tient à plusieurs facteurs, parfois souhaitable lorsque il est protecteur, parfois népotique lorsqu’il favorise un membre de la communauté du seul fait d’être juif ou lorsque ce soutien sert à justifier des actes délictueux ou non recommandables, cela s’appelle de la complicité.
  3. La communauté Hébreu, comme toute autre communauté, subit l’influence de la morale moderne, universaliste, globalisante, individualisant les hommes, les communautés. L’homme,  quoi que l’on pense, est attiré par l’individualisme  il ne s’associe que s’il y trouve un intérêt tangible, la cupidité est très largement inscrite dans nos gènes.
Conclusion : le sionisme par son organisation mondiale a su rassembler tous les avantages que sa situation ethnologique lui procure. Ses adeptes occupent des postes importants dans les pays d’où ils sont les citoyens et influent les politiques de ces pays, comme c’est le cas aux USA, mais aussi de la France, Danemark, Hollande… et en plus généralement en Europe où le « lobbying » est institutionnalisé et instrumentalisé outrageusement en faveur d’Israël (accords bilatéraux, par exemple y compris illégalement, par le non respect des accords conclus, sans que l’Europe agisse en conséquence). Dans ces conditions les juifs qu’ils soient européens, américains ou quelque fusse leur nationalité ont tout intérêt à se faire remarquer comme pro sionistes, s’il veulent réussir aussi bien professionnellement que socialement.
Du l’impérieuse nécessite pour Israël d’être un Etat « fort », « sans faiblesse ». Car il me semble évident que si la diaspora juive perd confiance dans la certitude  qu’Israël sera son « sauveur » le soutien indéfectible à  Israël s’effriterait lamentablement, (cela, malgré la fanatisme qui n’en doutons pas est le même que le fanatisme islamiste) qui avec le soutien US est aussi une des raison du non respect du droit International.  Soutien de l’Europe clairement établi aujourd’hui. Il est bien entendu que tirent avantage de ce soutien tous ceux qui  abondent dans l’intérêt Israël, juif ou goï. 
Il tient par conséquent a nous de faire comprendre à Israël, à la diaspora juive, à tous ces politiques que nous élisons et qui nous trahissent dès le soir de l’élection,  que la meilleure sécurité d’Israël, que la pérennisation de cet Etat dans ces frontières de 1967, c’est nous et non sa force. Que la manipulation des citoyens est le plus sur moyen de voir revenir les affres d’un passé somme toute récent.

le 14 octobre 1954, Gamal Abder Nasser prend le pouvoir en Egypte.
Pinhas Lavon, ministre de la défense israélien est accusé le 21 février 1955 d’avoir ordonné une série d’attentats antibritanniques sur le sol Egyptien en juillet 1954 est contraint de démissionner. Il est remplacé par Ben Gourion, qui nommera Moshe Dayan chef d’état-major en octobre. 
Les Etats arabes insistent, selon la charte acceptée par Israël, sur le retour des réfugiés, un statut international de Jérusalem et des concessions territoriales israéliennes. Refus catégorique israélien. Aucun accord de paix ne peut intervenir. 1956, Nasser fait pression en refusant le passage du canal de Suez aux navires israéliens et en bloquant le détroit de Tiran.
Ben Gourion a une hantise : renverser Nasser. Puis l’Angleterre et la France veulent abolir la nationalisation du canal de Suez, tandis que le gouvernement Guy Mollet en France voir en Nasser l’inspirateur de la rébellion anticoloniale en Algérie. Les trois pays fomentent l’invasion du Sinaï et l’occupation de la zone du canal. Les USA et l’URSS, pour une fois alliés, bloquent cette aventure militaire et forcent les trois pays à se retirer. Israël  restera un an de plus à Gaza. Le canal restera nationalisé – et ouvert.


« Nous ne savions pas ce qu'il fallait faire d’eux [les prisonniers de guerre égyptiens en 1956]. Il n’y avait pas d’autre choix  que de les tuer. Ce n’était pas une telle affaire si vous prenez en considération que je dormais bien après avoir échappé aux fours crématoires d’Auschwitz. »   L’ex Brigadier général israélien Arieh Biro. The New York Times, 21 août 1995.


C'est-à-dire que cet homme tente de justifier son crime par un autre crime, c'est exactement le raisonnement d'un criminel. 

dimanche 26 novembre 2017

Haaretz, denonce l'organisation crimnelle israélienne.



Editorial d’Haaretz : » Israël agit comme une organisation criminelle qui fonctionne selon ses propres lois « 

La justice israélienne (ces salauds) estiment que les colons ont droit: "à la vie, la dignité, la propriété, et le reste des droits dont quiconque jouit en Israël". Déclaration de l'ex président de la Cour Suprême le nazi Aharon Barak.
Le journal israélien Haaretz  a raison lorqu'il qualifie cet État d'organisation criminelle.
 

 

• 1 h 28 min


La ministre de la Justice Ayelet Shaked et le Procureur Général Avichai Mendelblit, 25 octobre 2017. Oren Ben Hakoon

Mercredi, le Procureur général Avichai Mendelblit a autorisé la confiscation de terres privées palestiniennes pour les besoins de colons en Cisjordanie. Sa démarche faisait suite à une requête de la ministre de la Justice Ayelet Shaked pour le revêtement d’une route vers l’avant-poste illégal Harasha, sans laquelle il serait impossible de le « légitimer ».

Son opinion se fondait ostensiblement sur la décision du Juge à la retraite de la Cour Suprême Salim Joubran à propos d’Amona. Joubran a décrété que le commandant militaire de Cisjordanie devait également veiller aux besoins des colons, puisqu’ils sont résidents de la région. Joubran se réfère ainsi à la décision de l’ancien président de la Cour Suprême Aharon Barak stipulant que « les Israéliens de cette région ont droit à la vie, la dignité, la propriété et le reste des droits dont quiconque jouit en Israël ».

Avec tous les problèmes soulevés par ces décisions, supposer que Mendelblit met en œuvre le jugement de Joubran est sans fondement. Joubran a souligné que le besoin de protéger les colons ne peut pas entacher le statut spécial des Palestiniens de population « protégée » selon le droit international et que le commandant militaire doit veiller à ne prendre aucune mesure qui pourrait porter atteinte à leurs droits au détriment des résidents de l’État occupant.

Mendelblit et Shaked ont clairement choisi d’ignorer ces points, jetant de la poudre aux yeux du public parce que le verdict du tribunal ne traitait pas du tout de l’expropriation de la terre pour les besoins des colonies et ne condamnait pas ce genre d’actions illégales.

On peut maintenant s’attendre à ce que l’opinion de Mendelblit soit utile à l’insatiable appétit des colons pour les terres privées des Palestiniens. Cependant, dans le processus de blanchiment juridique, les fonctionnaires impliqués ont omis, comme d’habitude, la question de la légalité des colonies. Selon le droit international, toutes les colonies de Cisjordanie sont illégales. Mendelblit ne peut donc légitimer le vol des terres palestiniennes en faveur d’aucune colonie au nom de « besoins publics », parce que le public auquel il s’adresse a volé la terre sur laquelle il habite.

Israël agit comme une organisation criminelle qui fonctionne selon ses propres lois et est persuadée qu’on peut la considérer comme un organe juridique.

Mendelblit a enjolivé son avis avec une série de vagues qualifications telles que « faisabilité » et « proportionnalité ». Ces mots n’ont aucun sens pratique lorsqu’il s’agit, pour les colons et le gouvernement, d’assouvir la passion qui les anime pour le vol des terres. Ce genre d’opinion conduit à porter atteinte aux droits des Palestiniens, à ce qu’Israël fasse fi du droit international et à saper la légitimité du système judiciaire d’Israël.
 L’article ci-dessus est un éditorial en Une d’Haaretz, tel que publié en Israël dans ses versions en hébreu et en anglais.

Source : Haaretz Editorial  du 17 novembre 2017




L'éditorial du journal israélien Haarezt, traduit une évidence, c'est l'attitude des dirigeants, principalement, occidentaux à l'égard de ces criminels qui est étrange. Et il m'est incompréhensible que l'on puisse cautionner l'emprisonnement abusif de personnes innocentes, la destruction de l'habitat autochtone, la privation de liberté de villages entiers ou de vulgariser et consentir le vol de terres palestiniennes. 
Du Nord au Sud de l'Est à l'Ouest il n'y a pas un État démocratique qui encrerait dans la loi le vol de terres destines a y implanter des colonies illégales. 



Il n'y a pas un exemple dans l'Histoire universelle où une organisation politico/religieuse ait colonisé un Peuple, la criminalité du sionisme est d'autant plus inacceptable, qu'elle se réalise par l'exclusion du  Peuple autochtone, vole ses terres et leur existence. 
Cela dépasse la portée morale du génocide, attendu que c'est une extermination du Peuple et de la nation de Palestine, même lente, et circonstance aggravante avec l'assentiment de la majorité de la Communauté et des autorités religieuses juives, qui ont su corrompre les dirigeants cupides et poltrons de nos pseudo démocraties...