Macron,
vous qui parlez de “faute morale” pour les non-injectés… C’est sans
doute le plus bel hommage que pouvait rendre le vice à la vertu.
VOUS
qui depuis le début de votre quinquennat détruisez méthodiquement le
pays en le dépeçant pour le livrer au rabais aux vautours et aux
charognards de la haute finance, VOUS qui nous dépouillez de notre histoire, quand ce n’est pas pour lui faire injure…
VOUS qui
de félonie en trahisons nous avez privé de nos plus beaux fleurons
industriels, de nos secteurs stratégiques nationaux comme Alstom ou les chantiers navals de Saint-Nazaire, moyennant
quelques misérables écus indûment perçus en rétrocommissions sur votre
cassette personnelle, tout en gonflant nos dettes de manière aussi
exponentielle que démentielle.
VOUS qui en bon Bankster qui se respecte, dénationalisez toujours plus la chose publique pour goinfrer et remplir les bourses des actionnaires du CAC 40, les “Black Rock” et autres “Vangard Group”, en socialisant systématiquement les pertes et en privatisant les profits.
Par
voix de presse, on vous a annoncé en grandes pompes comme un jeune
prodige, un “Président philosophe”, mais que l’on ne s’y trompe pas,
votre seule philosophie de vie se résume à la maximisation du taux de
profit et à l’appât du gain détourné à l’avantage exclusif de quelques
copains de coquins, à la loi du marché du plus fort, dans ce qui ne
s’apparente plus qu’à un vaste marché de dupes.
VOUS, qu’on nous a fallacieusement présenté comme le virtuose, le “Mozart de l’économie”... Tout
sonne faux dans votre partition de joueur de flûte désenchantée aux
allures de Requiem pour les finances de notre belle France. VOUS conduisez
le pays à la banqueroute, avec une croissance nulle et une dette
publique rendue abyssale, qui ressemble au tonneau des Danaïdes.
VOUS avez été mis en place par les ultras-riches pour mieux les servir et asservir les pauvres. VOUS êtes en quelque sorte la parfaite antithèse de Robin des bois : VOUS redistribuez
les richesses en pratiquant le ruissellement inversé de bas en haut par
la captation des moyens de subsistance des plus pauvres. Ainsi, la
suppression de l’ISF à rendu 3,5 milliards aux plus fortunés, tandis que
la baisse des APL a retiré 3,7 milliards d’euros aux plus modestes.
Seuls les premiers de cordée trouvent grâce à vos yeux. Tous les autres,
avec vos coups pendables de brigand de la haute finance, peuvent bien
aller se faire pendre !
VOUS qui
de par votre indécent et somptuaire train de vie faites honte à votre
fonction, avec vos caprices de petit poudré, qui à vue de nez, est aussi
grand amateur de “poudre de perlinpinpin”, avec vos outrances de
coquelet Roitelet parvenu et toutes les extravagances décoratives de
votre Pompadour de Brigitte, qui joue aux grandes Marquises en étalant
en long et en large toute son indécence sur les couvertures glacées des
magazines de la presse people de caniveau de la délinquante Mimi Marchand.
Nous
le peuple des gens qui ne sont rien, nous bouillonnons et en avons
soupé de vos délires esthétiques qui sont aussi douteux que votre sens
de l’éthique… De la clinquante vaisselle dorée relookée à 500 000 euros,
en passant par la moquette flambant neuve de la salle de bal à 300 000
euros, par la tapisserie moderne ou encore par les tableaux criards
signés par le dernier scribouillard tendance du tout Paris.
Sans
compter sur les 62 400 euros par ans engagés sur les deniers publics en
frais de coiffeur et de maquilleur pour assurer le ravalement de façade
qui s’impose, une peau lisse et un cuir chevelu bien luisant au couple
présidentiel. Parce qu’après tout Bel Ami, VOUS et
votre cougar à l’élégance postiche, votre pimbêche qui parade en Prada,
votre
“cagole peroxydée”, pour reprendre les qualificatifs du “Financial Times”, le valez bien ! On comprend maintenant mieux pourquoi, avec tous ces caprices mondains, VOUS mettez le pays en coupe réglée, en coupant à notre barbe tant dans les dépenses publiques… Hélas je le crains, VOUS aurez
beau multiplier à grands frais les masques de beauté et les artifices
cosmétiques, ils ne parviendront jamais à maquiller et à dissimuler
toute la laideur sans fard, l’insondable noirceur de votre âme.
N’en
jeter plus, la coupe de l’indécence n’est pas encore tout à fait
pleine, car pour ne rien arranger aux choses, il manque encore pour
faire bonne note à la douloureuse, les lys sans panache et autres
orchidées du narcisse et de sa fleur défraîchie toute fanée, de sa
chrysanthème flétrie qui, rien que pour l’année 2020, auront coûté la
bagatelle de 600 000 euros ! En pleine crise sociale et sanitaire, c’est
pousser l’audace jusqu’à en perdre la face, tant et si bien qu’il ne se
dégage plus que de nos deux couronnes fleuries, une fragrance d’ordures
et de flatulences des plus rances, qui vient importuner et incommoder
même les narines des plus niais et mous du bulbe ! Ce sont les
vénéneuses fleurs du mal, de l’injustice sociale et de l’indécence que
vous cultivez dans votre jardin aux immondices qui n’a résolument plus
rien de français. VOUS avez réduit la dignité de votre fonction présidentielle à une fonction pestilentielle.
Dans
le même temps, sous l’effet de vos politiques, fleurissent et
prolifèrent toujours plus les clochards, ces sans dents qui poussent
comme du chiendent et que vous traitez telles de viles mauvaises herbes,
avec le plus grand dédain. Tant et si bien que certains Parisiens
fauchés comme les blés, en sont réduits à dormir au grand air, à même
les parterres de fleurs de votre cité… Mais peut-être qu’après tout,
cette débauche d’ornement floraux était nécessaire pour assurer une
unité de style, rester en cohérence avec votre langage pour le moins
fleuri lorsque vous vous adressez à vos cons de sous-citoyens, pour
parer de ses plus beaux atours, le roi qui pique et sa reine sans cœur.
En tous les cas, voilà qui donne vraiment la gerbe et la nausée !
On
peut dire que c’est vraiment le bouquet, d’autant que votre Brigitte
nous joue aux bonnes Samaritaine, avec une charité ostentatoire
absolument dégoulinante d’hypocrisie, dans une piètre pièce de théâtre
de boulevard, via son opération de com des “pièces jaunes”.
Ainsi, elle n’hésite pas à faire appel à la solidarité et à la
générosité nationale de la populace, pour qu’elle contribue de par sa
misérable obole à redorer à peu de frais votre image ternie, à maintenir
tant bien que mal en place votre stature, à perpétuer toute votre
imposture.
Et
que dire de vos fêtes de la musique, qui dénotent tant de par leur
vulgarité et de par leur singularité, qui nous jouent une si drôle de
partition. Comment qualifier ce spectacle aussi inconvenant que
primitif, résolument plus cacophonique que symphonique, ce tumulte qui
nous insulte, ce ramdam de tam-tams, ce tintamarre de tous les diables,
ce tohu-bohu aux accents simiesques, avec son orgie de mauvais goût aux
allures de bacchanales dignes d’un empire putride en pleine
décomposition, ou des plus belles heures de Caligula…
Toutes
ces fantaisies coûtent entre nous, il faut bien se l’avouer, un “pognon
de dingue” au contribuable, ou plutôt, au pauvre con qui vous verse son
tribut. Non décidément, rien n’est trop beau pour assouvir le goût
immodéré du lucre et du faste de nos deux improbables tourtereaux…
D’aucuns
nous narrent dans notre roman national que jadis, le peuple de France
se serait soulevé comme un seul homme, afin de mettre un terme aux
privilèges indus et s’émanciper des abus et autres vexations d’une
monarchie hautement décadente. Pourtant, nul doute que jamais les
monarques de l’époque ne se seraient livrés à de tels excès et
n’auraient versé dans un tel mépris affiché et totalement décomplexé,
tant pour le pays que pour les petites gens qui le composent. Ils
avaient à n’en pas douter, infiniment plus de noblesse et de dignité que
votre sérénissime Altesse… Cette Monarchie que l’on nous a dépeint
comme absolue était dans son pouvoir toute relative par rapport à
l’emprise de l’arbitraire de vos lois totalitaires, qui entendent
maintenant régenter les moindres faits et gestes de nos existences du
berceau jusqu’à la tombe.
VOUS qui
cochez toutes les cases du pervers narcissique, avec votre égo
démesuré, votre victimisation déplacée, avec le fossé abyssal qui sépare
vos envolées lyriques, hystériques stratosphériques, vos beaux discours
enfiévrés et enflammés de la piteuse réalité objective du terrain,
votre obsession maladive portée à votre petite personne, votre art
consommé de la séduction, votre cruel manque d’empathie et votre égoïsme
froid, votre langage pervers et manipulateur, votre façon bien malsaine
de placer vos victimes en posture de faiblesse, ou encore votre volonté
de brouiller les cartes pour nous faire perdre toute perception de la
réalité…
Nul doute que ce sont bien toutes ces
“qualités” inhumaines, cette parfaite absence d’état d’âme et de
scrupules qui vous auront distinguées et auront tout particulièrement
séduit vos commanditaires pour vous propulser aux plus hautes fonctions
étatiques afin de nous servir avec votre sourire sardonique votre infâme
politique méphistophélique…
Car, pour reprendre les propos d’Alain Minc,
l’un de vos mentors, dont l’expertise en termes de menteurs est à n’en
pas douter à la hauteur et qui est tout de même celui qui parle encore
le mieux, avec le plus de franchise de votre brillant parcours à l’école
du vice et de la duperie : un « Banquier d’affaires, c’est un métier de pute ! » De l’aveu même de votre ancien directeur à la banque d’affaires Rothschild, vous êtes rompu à l’art de la négociation et de la communication, autrement dit, à «raconter des histoires» en usant de techniques de manipulation de l’opinion publique.
D’ailleurs, depuis deux ans, VOUS nous servez une bien mauvaise pièce, une tragédie aussi burlesque que cruelle, digne du “Docteur Knock”, du “Malade imaginaire”, des “Fourberies du vil pantin”, du “Tartuffe qui nous prenait pour des truffes” ou du “Bourgeois qui n’avait décidément rien d’un gentilhomme”.
Mais malgré vos efforts sans cesse renouvelés pour nous déclamer tout
votre baratin, et toutes vos répétitions en loges, vous n’êtes pas près
de décrocher “le Molière” pour votre interprétation de petit diablotin cabotin jaillissant de sa boîte de Pandore pleine de malices.
En
tant que petit histrion, votre plus belle prestation que l’on peut tout
de même saluer pour son audace et sa “bouleversante” performance, reste
encore sans doute votre irruption dans un centre d’hébergement pour
SDF, volant tel un charitable chevalier blanc au chevet de la misère
sociale. Un exercice de style et de minaude de haute volée culminant
dans un épisode de maraude, aux antipodes de votre mode de vie et
relevant donc de la plus parfaite fraude.
Le
temps de quelques larmoyants clichés pris à la dérobée avec une
spontanéité toute calculée pour le compte de la Mimi, votre marchande de
sable et fournisseuse officielle de belles histoires pour endormir les
peuples, vous vous êtes, pour mieux vous imprégner du rôle, donner plus
d’épaisseur et de crédibilité à cette improbable séquence, grimé en
populo, enfilant pour l’occasion en guise d’accessoire, un jeans et une
veste en cuir.
Histoire
de parfaire l’illusion, vous avez alors agité au vent quelques généreux
effets de manches, promettant des solutions d’hébergement rapides et
des aides juridiques à l’attention de ces pauvres miséreux, parce
qu’après tout, ça ne mange pas de pain et que les belles promesses
n’engagent que ceux qui les croient… Deux ans plus tard, votre
gouvernement retournait sa veste et décidait la suppression de 57
millions de budget dans les structures des CHRS. Un vrai rôle de
composition, digne de l’Actor Studio, qui rivalise de cynisme et de
démagogie avec celui de votre prédécesseur François Hollande, déclamant avec une conviction qui relève de la pièce à conviction qu’il avait pour ennemi juré la haute finance.
VOUS qui
vous mettez désespérément en scène pour vous donner un semblant de
prestance et de consistance, prenant la pose sous les objectifs, en
adoptant la posture inconvenante d'un salaud. d’un penseur ou d’un grand homme tourmenté qui
s'apprête de par sa stature à laisser son empreinte indélébile dans
l’histoire... Sachez que vous aurez beau, avec vos faux airs de
faussaire, singez comme un débile Kennedy ou le penseur de Rodin, que
nenni, tenez-le vous pour dit, VOUS ne resterez qu'un simple gredin et n’incarnerez à jamais que le vertige du vide et de l’insondable néant.
VOUS aussi qui en douce avez lors de cette crise dite sanitaire fait euthanasier bon nombre de personnes âgées à coup de protocole “Rivotril”,
en les privant de soins et d’affection, en les laissant s’éteindre
cloîtrés entre quatre murs dans le désespoir de l’isolement, coupés de
leurs proches, mais que l’on se rassure, avec les normes de
distanciation sociale en vigueur rigoureusement respectées. Parce qu’il
faut bien comprendre qu’en Macronie, on achève bien les petits vieux et
leur bouches devenues inutiles au Grand Capital ; De toute évidence,
beaucoup d’anciens ne sont pas morts de la Covid-19, mais tout
simplement de désespoir, de solitude et de chagrin lié au sentiment
d’abandon. La sociabilité jouant chez-eux de manière déterminante sur
leur espérance de vie. Leurs familles ont juste eu l’insigne privilège
de récupérer en guise d’adieu leurs derniers effets dans des
sacs-poubelles. La grande classe au pays de l’humanisme et des droits de
l’homme ! Quel bel hommage pour clôturer une vie de dur labeur…
Finalement, vous êtes toujours fidèle à votre ligne de conduite, à votre
code du déshonneur, c’est-à-dire aussi impitoyable en toutes
circonstances avec les faibles, que faible avec les forts.
VOUS qui de surcroît avez fait bloquer les nombreux traitements précoces efficaces, sans risques potentiels et peu chers, comme l’Ivermectine ou l’hydroxychloroquine,
pour nous imposer à marche forcée, quoiqu'il en coûte et en dépit du
bon sens cette injection hasardeuse que l’on nomme abusivement à des
fins de manipulation et de tromperie de l’opinion publique “vaccin”,
cette obscure soupe chimique concoctée à la va-vite dans les chaudrons
de Big Pharma, avec des effets secondaires potentiellement
dévastateurs et qui a déjà causé un nombre de morts inédits dans toute
l’histoire vaccinale ; Il s’agit en réalité de thérapies expérimentales
de transfert de gènes, n’ayant aucun rapport avec les traditionnels
vaccins à virus inactivés. Vos invectives contre ceux que vous désignez
avec un mépris condescendant comme “les antivax” n’ont donc pas lieu
d’être !
Force est de constater que les seuls
anticorps qu’il nous faudrait de toute urgence développer pour protéger
notre corps social sont ceux visant à nous prémunir et nous immuniser de
la corruption endémique de ce système manifestement vérolé jusqu’à la
moelle !
VOUS qui
en pleine “pandémie” avez continué à consciencieusement détruire
l’hôpital public, en supprimant des milliers de lits (17 600 en quatre
ans et 5700 en 2020), tout en soutenant et en promettant avec aplomb le
contraire, en virant comme des malpropres tant de respectables
soignants, en prenant bien soin de les laisser sans la moindre
ressource, histoire de leur faire payer à la hauteur de votre orgueil
leur effronterie et leur insoumission ! Ces mêmes soignants que vous
avez dans un premier temps fait applaudir à tout rompre tous les soirs,
de manière bien hypocrite pour mieux servir les intérêts de votre agenda
et impliquer la population dans “l’effort de guerre”.
Avec le cynisme effroyable qui vous caractérise, VOUS avez
dans la plus parfaite indifférence désactivé ces malheureux qui ont
juste agi en conscience avec toute leur science, comme on appuierait sur
la touche “DELETE” d’un ordinateur pour effacer une variable
d’ajustement… Désormais c’est bien clair, on l’aura compris, c’est votre
modèle de société pour votre start-up nation : “la désactivation” ou la
soumission, le “En marche” ou crève… Le seul crime de ses soignants
réfractaires se résumant à ne pas vouloir se prêter au jeu du cobaye
pour le bon plaisir des actionnaires de Big Pharma, en jouant à la roulette russe avec leur santé.
Pourtant
en toute logique, quand on ne traite pas délibérément les malades en
interdisant formellement aux généralistes de prescrire, quand on ferme
les lits d’hôpitaux tout en se débarrassant de bon nombre de personnel
soignant, on ne peut alors décemment plus se plaindre de la saturation
des services de soins et encore moins en reporter la faute sur une
victime expiatoire, se défausser de son écrasante responsabilité et
dévier les colères sur un bouc-émissaire tout trouvé : Le Non-vacciné…
Mais associer décence et cohérence avec Macron, c’est peine perdue et cela relève de l’oxymore ; Somme toute, votre vision politique évoque celle de l’empereur Néron incendiant Rome au son de sa lire et faisant, en véritable pompier pyromane, une grande fournaise et un feu de joie de la cité…
VOUS aussi,
qui par votre folle politique à prétexte sanitaire, faites depuis des
mois maltraiter les enfants dans vos institutions, les plongeant au
quotidien dans la terreur, dans un univers devenu toxique où à présent
l’on apprend plus la socialisation mais la peur systématique de l’autre,
en les culpabilisant à outrance de mettre en danger leur grand-parents…
VOUS qui
leur imposez le port quotidien de cette muselière, de ce grotesque
torchon déshumanisant, aussi efficace qu’une passoire ne le serait pour
retenir des grains de sable. Ce bout de tissu qui masque les sourires
mais dévoile le vrai visage hideux de la dictature, cet uniforme de la
conformité et du formatage précoce, qui les coupe de leurs émotions et
éteint leur joie de vivre, qui réduit dramatiquement leurs capacités
cognitives, de langage et d’apprentissage ;
C’est
également vous qui d’ailleurs, hasard du calendrier sans doute, avez
bien pris soin de faire interdire l’école à la maison, pour que ces
pauvres enfants ne puissent surtout pas se soustraire à cet enfer, à ce
cauchemar totalitaire, au prétexte d’éviter les dérives sectaires et le
séparatisme pour finalement mieux leur apprendre à bien se distancier
les uns des autres. Quelle cruelle ironie ! Mais dans ce climat
anxiogène des plus délétères, votre école à la dérive n’aurait-elle pas,
sous l’impulsion de ce virus à la folie hautement contagieuse,
soudainement muté en la plus inquiétante des sectes ?
Une
secte où l’on endoctrinerait en boucle avec la complicité de
fonctionnaires qui fonctionneraient de manière bien trop zélés à cette
nouvelle religion mortifère de peur, à ce culte Covidiste irrationnel,
jusque dans les manuels scolaires, dans les copies des élèves, ou dans
les punitions de colle sanctionnant un port du masque jugé trop lâche,
ou une furtive bouffée d’air pur prise à la dérobée. Une usine à
formater et à broyer les humains, une organisation sectaire, où comme
dans toute bonne Dictature, l’on apprendrait dès le plus jeune âge la
bonne soumission à l’ordre sanitaire, le sens du sacrifice individuel au
nom de l’intérêt commun supérieur, l’abandon des droits au profit des
devoirs, ainsi que le bienfait de la suspension des libertés
fondamentales au nom de la sécurité de tous ?
VOUS toujours,
qui vous vous entêtez maintenant à vouloir piquer nos gosses comme du
bétail, en hypothéquant sur leur avenir avec ces produits de thérapie
génique expérimentaux encore faut-il le rappeler en phase de test
clinique de stade 3 et en autorisation conditionnelle de mise sur le
marché, faute de traitements qui pourtant existent ! Autrement dit, sans
avoir le moindre recul à moyen et à long terme, alors qu’ils ne
risquent strictement rien de cette maladie, dont la virulence est
actuellement rendue à celle d’un mauvais rhume avec le dernier variant
en date “Omicron”, que vous nous aviez vendu comme une résurgence
de la peste noire, mais qui pourtant se révèle n’être au final qu’une
tempête dans un verre d’eau… Il s’agit donc rien de moins que
d’impliquer nos enfants dans la plus radicale et la plus hasardeuse des
expériences médicales jamais entreprises à une telle échelle.
VOUS, qui n’hésitez donc pas à sacrifier les plus jeunes sur l’hôtel des profits astronomiques de Big Pharma,
ces enfants qui ont pourtant toute la vie devant eux afin de protéger
les anciens, qui ont déjà bien vécu, une hérésie qu’aucune civilisation
traditionnelle n’avait jamais osé faire auparavant ; Ce sont pourtant
toujours, sauf dans votre monde de démon aux valeurs inversées, aux
adultes de protéger les enfants, car ils sont notre seul avenir commun !
En somme, dans cette sordide affaire, vous êtes une sorte de Docteur Folamour sans amour, qui serait conseillé par un quarteron de Docteurs Mabuses qui abusent des conflits d’intérêts.
À
en juger par vos différentes interventions publiques depuis près de
deux ans, on se demande si on a encore en face de nous un “Président de
la République” et non pas un médiocre représentant de commerce à la
solde de ces vendeurs de mort des labos pharmaceutiques. Un chargé
d’affaires “Pfizer”, qui voudrait à tout prix nous refourguer,
tel un vulgaire marchand de tapis, sa camelote avariée de contrebande,
allant jusqu’à se lancer en guise de tactique commerciale dans des
placements produits sur la plateforme Tiktok pour appâter avec ses beaux discours en toc les plus jeunes dans une improbable opération séduction.
Et que dire de votre pitoyable recours à vos deux acolytes de propagande du moment, les inénarrables influenceurs YouTubers McFly et Carlito
pour mieux servir aux d’jeuns votre soupe frelatée, en usant pour toute
forme de pédagogie, de la plus pure démagogie. Une bouffonnerie aussi
affligeante que pathétique !
Tout
ce festival de paillettes d’opérette, ces galipettes dans le jardin
Élyséen, ces roueries qui tournent à vide pour mieux nous rouler dans la
farine, par la connivence complaisante de ce duo de carpettes, grands
amateurs de courbettes, ne valent pas une clopinette. Elles ne sont
qu’un miroir fêlé aux alouettes qui ne fera recette que chez quelques
Midinettes et autres candides par trop crédules. Il y aurait bien de
quoi se rouler parterre si la situation n’était pas aussi tragique.
C’est dire, en vous livrant à cette affligeante politique spectacle, ô
combien VOUS méprisez et insultez l’intelligence des Français…
Mais
il faut bien reconnaître qu’en matière de placement de produit, vous
avez une expérience qui force le respect, puisque vous avez vous-même
été propulsé à la tête du pays comme un vulgaire paquet de lessive
estampillé “révolutionnaire” dans ce qui s’apparente à un coup d’État
médiatique indécent, une vaste entreprise de lavage des cerveaux. On
vous a dépeint comme un jeune homme, aussi dynamique qu’entreprenant, un
petit génie, un gendre idéal armé de son irrésistible sourire
ultra-bright… Mais derrière ce séduisant Storytelling de conte de fée,
cette contrefaçon de mauvais casting se cache, comme cette crise nous
l’aura amplement dévoilé, un petit dictateur raté, une petite main sans
envergure, bras armé de la finance Internationale.
Votre
“magie” politique de mauvaise augure, relève d’une pure illusion, d’un
coup de bluff, de la sorcellerie et de l’envoûtement des masses, d’un
mauvais sort jeté à toute la nation par un habile ensorceleur, qui n’a
décidément rien d’enchanteur, agissant pour le compte d’une occulte et
bien méchante cabale.
Tels des rats de laboratoire, suivant dans ses pas jusqu’au trépas le joueur de flûte de Hamelin,
nous marchons à votre suite droit vers l’abîme, jusqu’au fond du
précipice, du moins pour ceux qui par trop crédules s’en laissent encore
conter et accordent quelques crédits à vos fables de bonimenteurs.
Oui, c’est bien VOUS,
ce parjure sans vergogne qui n’a plus ni visage ni honneur, ce
président fantoche, ce vil pantin de la haute finance qui de par ses
incessants reniements ferait rougir de honte la marionnette Pinocchio, qui tout au long de cette crise n’a eu de cesse de nous trahir et de nous manipuler au dernier degré… C’est bien VOUS qui avez érigé le mensonge comme mode de Gouvernance et élevé l’hypocrisie au rang d’art. Force est de constater que de Véran en variants, la seule chose qui reste invariable chez vous est votre propension innée aux mensonges éhontés. VOUS êtes le champion incontesté du double-discours, de la double éthique à géométrie variable et de l’injonction paradoxale.
Comble de l’audace, VOUS vous êtes érigé à la tête du “Ministère de la Vérité”, pour lutter contre les “Fake News”, alors même que vous en êtes le roi incontesté. Vous êtes le digne héritier d’Orwell dont le livre dystopique “1984” semble être votre manuel de chevet pour servir de cadre de référence à toute votre action politique : “La liberté, c’est l’esclavage”, “Le mensonge, c’est la vérité”, “L’ignorance, c’est la force”… “Le pass sanitaire, c’est la liberté”.
De vagues en vagues, VOUS surfez
sur les peurs et entretenez la terreur pour notre plus grand malheur,
afin de toujours plus contrôler les esprits, de les plonger et les
maintenir dans un état de sidération et de profonde hypnose. Pendant
cette crise, la seule vérité qui sera jamais sortie du cloaque
d’impureté qui vous sert de bouche reste encore sans doute votre fameux «Nous sommes en guerre», scandé à 6 reprises sur un ton martial.
Manifestement
avec le recul, il nous fallait interpréter cette déclaration
d’ouverture des hostilités comme une guerre inédite de nouvelle
génération, livrée non contre un virus inconnu et au final si peu létal,
mais directement contre le peuple dans son ensemble !
Oui, c’est encore VOUS,
ce narcisse suffisant à l’ego hypertrophié, cet individu puant de
cynisme, animé d’une morgue et d’un mépris de classe totalement
décomplexée, qui dispense avec un culot monstre ses leçons de moraline
au bon peuple qui travaille et qui trime sans relâche, qui vous
entretien au quotidien… Tout simplement indécent et obscène !
Oui
Président, tenez-vous le pour dit, je vomis votre morale de pervers
narcissique qui a le goût du soufre et du sang, ou plutôt votre absence
totale de morale, votre nihilisme jusqu’au-boutiste. Je vous exècre à
tout jamais, vous et votre misérable clique de sinistres, votre cour de
parvenus sans cœur, ce cortège improbable d’opportunistes ambitieux, ce
ballet insupportable de voyous et de vauriens, de suiveurs sans
épaisseur, tout ce ramassis infect de médiocres, de sots et de sottes,
de pieds nickelés arrogants, de saltimbanques insignifiants sans
conscience ni consistance. Ils ne m’inspirent désormais plus que dégoût
et profond mépris.
Quelle humiliation et
quelle grotesque et sinistre farce que de se voir dicter sa vie par un
tel aréopage de clowns qui rivalisent de médiocrité ! Cela fait sans
doute partie de l’impitoyable guerre psychologique qui nous est sans
relâche livrée depuis maintenant près de deux ans. C’est bien simple, je
n’arrive même plus à tendre fébrilement l’oreille pour les écouter afin
de prendre connaissance de leurs derniers délires et aberrations
totalitaires du jour, c’est au-dessus de mes forces.
Interdiction
formelle de manger des chips ou de boire dans un train, interdiction de
boire debout dans un bar (puisque visiblement à en croire l’expertise
de votre Conseil Scientifique, le virus ne circulerait qu’à hauteur
d’homme) ;
Interdiction de danser en boîte de nuit, mais possibilité de contacts intimes très rapprochés en clubs échangistes ;
Recommandations
officielles d’ouvrir régulièrement les fenêtres dans les espaces
confinés, mais obligation dans le même temps de porter un masque dès que
l’on met le nez dehors
Port du masque en
extérieur dans l’espace public finalement annulé car jugé inutile, mais
pourtant maintenu et imposé en dépit du bon sens pour les enfants
pendant leurs récréations, en extérieur ou même en plein effort physique
lors des sessions de sport ;
Ne pas pouvoir acheter de petites culottes ou de chaussettes dans le rayon habillage pour sauver des vies ;
N’avoir
strictement aucun symptôme, mais être tout de même considéré comme
malade dit “asymptomatique” avec des tests antigéniques particulièrement
douteux qui s’avèrent positifs avec de l’eau ou du jus d’orange et dont
le résultat est d’après plusieurs témoignages particulièrement
fluctuant en variant parfois d’une heure à l’autre sur la même personne ;
Avoir
affaire à un virus qui défierait toutes les règles de la nature et de
la virologie et qui serait tellement redoutable qu’il faudrait se faire
tester à tout bout de champ pour savoir si l’on en est bel et bien
atteint ;
Découvrir sans cesse des nouveaux variants toujours plus redoutables et contagieux, mais pourtant indétectables ;
Enfoncer
les écouvillons des tests PCR de manière très intrusive jusqu’à une
zone proche de la glande pinéale, alors que le moindre postillon de
salive serait ultra contagieux et aurait un potentiel génocidaire
méconnu ;
Maintenir toutes les restrictions et
les gestes barrières, malgré une vaccination massive annoncée
initialement comme efficace à 95% et présenté comme la panacée, le Graal
ultime de la sortie de crise ;
Nier toute existence d’une
immunité naturelle et dans le même temps rechercher à atteindre une
immunité de groupe par l’unique biais du vaccin. Considérer que seule
l’immunité vaccinale aurait une quelconque valeur et efficacité alors
que c’est l’exact contraire, car l’immunité naturelle est moins ciblée,
plus étendue et beaucoup plus durable;
Forcer
une vaccination basée sur la souche originale SARS-CoV-2 de Wuhan,
obsolète de deux ans et largement inefficace pour prévenir des derniers
variants en circulation comme le Omicron ;
L’Assemblée Nationale ou les meetings politiques sans pass, mais les concerts avec pass obligatoire ;
Le
personnel soignant vacciné testé positif autorisé à travailler, mais le
personnel soignant non-vacciné viré sans ménagement et sans la moindre
ressource ;
Faire contrôler les pass vaccinaux par des policiers eux-mêmes non-vaccinés ;
Pass obligatoire pour tous, sauf pour le personnel politique ;
Vacciner
tout le monde, sans la moindre distinction, en prenant en ligne de
compte les fragilités et les conditions physiologiques spécifiques à
tout un chacun, y compris les femmes enceintes, alors qu’elles ne
peuvent habituellement même pas prendre de la vitamine C sans
consultation et avis médical préalable ;
Pourquoi
un tel entêtement, un tel forcing pour inoculer ces substances
expérimentales qui avec le recul démontrent pourtant toujours plus leur
manque d’efficacité avec une explosion des contaminations, mais aussi
leur dangerosité. Les vaccins ARNm sont 550 fois plus dangereux que les
vaccins de la poliomyélite ;
Imposer un pass
vaccinal, alors même que ces injections ne préviennent ni de contracter,
ni de transmettre le virus, qu’elles ne protègent tout au plus que des
formes graves, mais que ces formes graves ne sont plus d’actualité avec
les derniers variants en circulation. En réalité il s’agit d’un simple
outil d’extorsion du consentement pour une obligation vaccinale
détournée et d’un biais pour habituer les usagers à produire
systématiquement leur identité, de normaliser le contrôle social par
l’identité numérique pour tous les gestes quotidiens de la vie.
J’en passe et des meilleures…
Dans ce grand délire collectif hystérique et contagieux, cet infernal “Coronacircus”,
on marche littéralement sur la tête en habillant le tout d’un
pseudo-vernis de logique et de rationalité scientifique pour mieux faire
passer la pilule totalitaire, sous couvert de mesures sanitaires.
Macron, le “cercle de la raison” dont vous vous faites le chantre, n’est
que folie et déraison, un cercle très vicieux qui tourne en rond, comme
le serpent se mord la queue et dont on se demande encore comment se
soustraire de son étranglement progressif. Vous avez manifestement perdu
tout sens commun et tout sens de la mesure. Manifestement, votre insane
crise sanitaire n’a que pour seul objectif de nous faire taire et de
nous jeter à terre.
C’est bien simple, personne n’est plus à sa place :
Les politiques jouent aux médecins, tandis que les médecins se prennent pour des politiques ;
Les
plus grands professeurs et experts mondiaux sont calomniés, traînés
dans la boue et relégués au statut de charlatans, tout comme les
médecins qui soignent qui se voient réduits au statut d’obscures
complotistes ;
Les “prestitués” aux ordres, ces lecteurs de prompteurs et de dépêches AFP,
ces servils petits télégraphistes qui défendent leurs vils intérêts,
sans plus aucune éthique journalistique, au mépris de leur Charte de Munich, ces sophistes de plateaux “merdiatiques” qui servent les plats de Big Pharma et n’hésitent pas à calomnier des sommités, comme s’il s’agissait de vieux séniles divaguants ;
Les
plateformes de réseaux sociaux font de l’ingérence et de la rétention
d’information et décident de la vérité scientifique en censurant toutes
les voix alternatives d’experts qui ne vont pas dans le sens du narratif
imposé par la doxa ;
Les commerçants et
restaurateurs deviennent des auxiliaires de police, tout le monde
surveille tout le monde et la délation qui est vivement encouragée bat
son plein ; Les professeurs d’école se convertissent en commerciaux de
l’industrie pharmaceutique ;
On demande aussi
aux enfants d’agir comme des adultes responsables, tandis qu’on
infantilise à outrance les adultes, pour qu’ils agissent et pensent
comme des enfants, qu’ils régressent à un stade de dépendance totale
vis-à-vis de papa État !
Toute cette folie
maquillée en science donne le vertige et la nausée ! Plus de doutes,
nous avons basculé en Absurdistan, dans le royaume d’Ubu, dans un asile
psychiatrique à ciel ouvert dont on aurait confié les clés aux plus fous
d’entre tous !
Macron
votre France, c’est celle de l’injustice sociale, celle du deux poids
dix mesures permanent, celle où les forces de répression sanitaires
alignent sans état d’âme, pour faire œuvre de pédagogie, des clochards
dans la rue avec des amendes de 135 euros pour une absence de port de
masque ;
C’est celle où l’on réquisitionne des
forces de l’ordre pour organiser des descentes dans des cinémas afin de
procéder à des contrôles sanitaires inopinés en pleine projection,
pendant que dans le même temps les violeurs, les pédophiles, les
voleurs, les petits malfrats et autres délinquants s’en donnent à cœur
joie dans leurs différents larcins et trafics, le peuple étant pris en
tenaille entre racailles technocrates du haut en col blanc et racailles
du bas (les premières ayant à mes yeux, il faut le relever, un pouvoir
de nuisance infiniment plus grand que les seconds) ;
C’est
le pays où, pendant le confinement, l’on envoie à grands frais
patrouiller des hélicoptères de gendarmerie pour traquer et débusquer
sur leurs sentiers de montagne d’éventuels randonneurs réfractaires au
délire sanitaire ;
C’est le pays où l’on
harcèle, fusil mitrailleur à la main, les braves gens qui ont le malheur
de pique-niquer en plein-air à la plage, tandis que les élites qui sont
bien au-dessus de tout cela, bénéficient de mystérieux passe-droits et
festoient comme des beaux diables dans des restaurants clandestins, ou
se déchaînent dans des boîtes de nuit privées très selects à 300 euros
le ticket d’entrée. Dans ces bonnes adresses de privilégiés, le virus
social n’a visiblement comme par enchantement plus cours…
C’est
donc une société où les mondanités renouent avec les féodalités, où le
gratin de la haute société s’affiche avec morgue, dans la plus parfaite
désinvolture en se moquant éperdument des règles qu’ils nous imposent
pour se prémunir de la dangerosité de ce virus qu’ils nous dépeignent
pourtant comme si mortel, mais dont ils n’ont visiblement que faire.
Tout
ce ramassis d’arsouilles, ces fripouilles, qui de surcroît nous font la
leçon par médias interposés, qui nous embrouillent avec leur infâme
tambouille de carabistouilles, se tripatouillent, se papouillent, se
bisouillent et se léchouillent en toute décontraction devant nos faces
déconfites d’andouilles confinées, sans même être une seule fois
inquiétés par la patrouille. C’est une société de castes, avec d’un côté
les grands seigneurs de l’immunité, tant physiologique que politique et
de l’autre côté les impurs, tous ces intouchables gueux, ces
super-contaminateurs, ces véritables bombes virales ambulantes qui
s’ignorent.
Non
décidément, il est heureux de ne pas partager les mêmes standards
moraux, que ceux d’un boucher sanguinaire, d’un éborgneur et d’un
arracheur de mains, qui a fait massacrer les Gilets Jaunes en lâchant sur eux son fidèle et féroce chien de garde, le préfet Lallement et ses troupes enragées de baqueux.
En
2021, ce patibulaire molosse qui fracasse sur commande tant les
molaires que les os, aura aussi eu le droit de ronger le sien, en
recevant en guise de gâterie et de petite friandise, sa légion de grand
commandeur du déshonneur. Une juste rétribution pour son irréprochable
collaboration des plus serviles, accomplie haut la main les yeux fermés.
La plus haute distinction pour son tableau de chasse aux gilets jaunes,
ces gibiers de sous-classe, qui seraient à vos yeux tout juste bons
pour le gibet. Une décoration pour fêter comme il se doit le sanglant
bilan de ce brave berger Lallemant, ce redresseur de moutons noir qui
auraient tous les torts en étant dans le mauvais camp. Un honneur pour
célébrer toute cette légion d’yeux sortis de leurs orbites qui vaut
vraiment le coup d’œil, cette fructueuse moisson de mains arrachées,
pour distinguer ces bons et loyaux sévices, pratiqués avec zèle et vice
par ses milices, histoire de marquer le coup dignement pour toutes ces
gueules cassées et ces cassages de gueules en règle à la face de tous
ces charlots, ces pauvres benêts qui croyaient encore bien naïvement à
l’esprit “Je suis Charlie”. Rien ne vaut quelques coups de matraques
bien placés pour remettre en ordre les idées et faire rentrer dans les
têtes de ces effrontés bas de front qui est le véritable maître faisant
sa loi.
Dans le même temps, VOUS avez
fait mine, dans un vulgaire simulacre de démocratie, histoire de faire
vaguement illusion et bonne figure de prêter une oreille attentive à
leurs doléances en s’agitant chemise au vent dans les médias de
complaisance. VOUS avez
fracassé dans la répression et dans le sang leurs légitimes
revendications, en étouffant dans l’œuf toutes leurs nobles aspirations à
une meilleure vie, plus décente et plus digne à coup de gaz
lacrymogènes, de grenades de désencerclement, de matraques et de LBD.
C’est la voix du peuple en souffrance que vous avez nassé et étouffé. En
bon démon-crate, l’usage disproportionné et asymétrique de la force et
la gouvernance à coup de 49.3 est votre seule approche du dialogue
social.
Bilan de votre implacable répression :
2 495 personnes blessées dont 202 à la tête, 21 éborgnés et cinq mains
arrachées, une dame de 80 ans tuée au 4ᵉ étage à Marseille par un tir et
39 journalistes victimes.
Et lorsqu’au festival de la BD d’Angoulême, le dessinateur Jul vous a adressé en forme de critique un tee-shirt estampillé «LBD 2020»,
petit clin d’œil taquin, visant à rappeler à votre bon souvenir votre
cortège de malheureuses victimes éborgnées et à dénoncer votre sanglante
répression policière à l’encontre de manifestations pacifiques dans
leur écrasante majorité, VOUS n’avez rien trouvé de mieux que de vous afficher à ses côtés tout sourire en photo. VOUS avez
alors, en guise d’ultime provocation, arboré sur votre visage un hideux
petit rictus bien narquois. Un sourire odieux, aussi infâme que
déplacé, qui en dit très long sur toute l’étendue de votre monstruosité…
L’effroyable banalité du mal en somme.
Pire que cela, dans votre abyssal et abject cynisme, VOUS avez
même osé, toute honte bue, brandir cette caricature comme un objet de
fierté, un trophée gage d’une liberté d’opinion et d’expression
démocratique bien vivace et scrupuleusement respectée sous votre régime.
Là où dans le même temps vous avez affreusement mutilé des citoyens
pour avoir eu l’outrecuidance d’avoir précisément tenté d’exercer ce
droit constitutionnel…
En Guadeloupe, VOUS recherchez
tellement à garantir le bien-être de vos concitoyens, que vous faites
intervenir vos blindés et vos snipers tireurs d’élite du GIGN afin de
mater les autochtones récalcitrants et leur imposer ces injections,
histoire de les soigner, quoi qu’il en coûte, de leur faire du bien à
l’insu de leur plein gré en quelque sorte, de leur expliquer un peu la
vie à ses arriérés qui ne comprennent rien aux bienfaits du progrès et
de la science. Tant d’égards, de sollicitude et d’humanisme pour
garantir la santé de votre prochain et les arracher aux griffes de cette
mauvaise grippe, je dois bien avouer que c’est vraiment touchant… Ne
pas s’incliner devant tant de mansuétude, c’est vraiment faire preuve
d’ingratitude et de mauvaise foi, voire d’être atteint d’un stade
incurable de complotisme.
Il
va sans dire qu’en réalité, ne rien avoir en commun de votre conception
morale, c’est déjà en soi une distinction et un suprême honneur ! C’est
notre légion d’honneur à nous et elle ne saurait se réduire à une
insignifiante breloque Bling Bling vermoulue dispensée aux plus
corrompus de votre caste et autres cons primés à la toute gloire de Big
Pharma, adressée en forme de crachat et d’affront ultime au petit
peuple.
Tel
un enfant immature et capricieux emporté par son délire puéril de toute
puissance et ne supportant plus la moindre contradiction, de ne pouvoir
tout avoir sous son contrôle, voilà maintenant que dernière infamie en
date, VOUS vous proposez, avec la vulgarité crasse qui vous caractérise, « d’emmerder jusqu’au bout ces irresponsables de non-vaccinés »… Jusqu’où ira votre jusqu’au-boutisme, jusqu’aux Goulags
et aux camps de redressement sanitaires ? Cela est semble-t-il
l’aboutissement de votre projet politique, votre ultime ambition pour
parachever votre Grand œuvre de destruction. Ces “Irresponsables” qui ne
seraient, si l’on s’en fie à votre boussole morale déglinguée et
hautement défaillante, même plus dignes d’accéder à la citoyenneté, se
voyant ainsi traités avec plus de sévérité et moins de largesse qu’un
criminel terroriste sanguinaire ou qu’un misérable violeur d’enfant.
Pourtant n’était-ce pas votre sinistre de la justice, Eric Dupond-Moretti qui
avait déclaré il y a tout juste quelques mois que les détenus des
prisons avaient aussi le droit de refuser la vaccination et ne devaient
pas être traités en cobayes, car c’est une question de dignité !
Serait-ce donc à croire que les prisonniers de droit commun auraient
dans cette République bananière le droit à plus d’égards et de dignité
que l’homme du commun, le citoyen de base qui se retrouve traité en
criminel comme un terroriste viral ?
Mais après
tout, si l’on s’en tient à votre logique irrationnelle et que nous
serions dans “une guerre” confrontée à un danger extérieur, un ennemi
insaisissable, alors celui qui refuse de s’enrôler et ne participe pas à
l’effort de cette guerre déclarée unilatéralement devient un traître,
un déserteur sans honneur et un ennemi de l’intérieur. Dès lors,
éliminer cet ennemi intérieur permet de neutraliser la menace
extérieure… Mais faire la guerre à un virus relève d’une chimère et
d’une parfaite illusion, il faudrait tout simplement apprendre à vivre
avec.
En
tous les cas, voilà un prétexte tout trouvé pour bâillonner ces
potentiels opposants politiques lors des prochaines élections en privant
fort opportunément ces nouveaux métèques, ces sous-citoyens de leur
droit de vote. Ainsi, par ce mauvais tour de pass pass, tout le monde
sera désormais unanime et s’inclinera bien respectueusement avec toute
la déférence qui est due à votre auguste et Jupitérienne personne. Malin
!
VOUS faites
ainsi injure à 5 millions de Français en affirmant qu’ils ne seraient
plus dignes de leur citoyenneté parce qu’ils ne veulent pas se soumettre
à vos multiples injonctions à l’injection, eux qui ont certainement un
amour bien plus profond, sincère et légitime pour ce pays que vous n’en
aurez jamais, eux qui ont comme on dit “bien mérité de la France”,
contrairement à vous qui en méprisez souverainement jusqu’à sa culture
et qui n’avez de cesse de la détruire et de l’avilir dans ce qu’elle a
de plus beau et d’authentique.
Cette
déclaration de guerre jetant dans la fange et à la vindicte populaire
toute une frange de la population qui confirme votre choix délibéré pour
une politique du bouc-émissaire pleinement assumée, nous ramène de par
sa dynamique haineuse aux pires horreurs et crimes du passé. Elle nous
place d’emblée sur une pente très glissante, dont l’issue pourrait bien
être aussi funeste que fatale. Au regard de l’histoire, votre
responsabilité pleinement engagée sera donc écrasante. Elle n’est pas
seulement une faute politique indélébile, qui bien avant d’insulter les
Français que vous stigmatisez si injustement de la sorte, salis à tout
jamais la dignité de votre fonction. C’est aussi et avant tout une faute
d’humanité et elle est impardonnable !
N’était-ce pas l’écrivain Albert Camus
qui nous avait déjà mis en garde que lorsque le mépris intervenait en
politique, il préparait ou instaurait le fascisme et que l’essence même
du fascisme était le mépris… Quelle clairvoyance !
Car
comment diable une infime poignée d’irréductibles non-vaccinés, que
vous avez déjà largement marginalisés et qui ne peuvent presque plus
faute de pass valide, mettre les pieds nulle part dans l’espace public,
pourraient-ils à eux seuls contaminer plus de 50 millions de vaccinés
armés de leurs multiples doses de protection, qui contrairement à eux,
ont encore accès à tout, même en étant positifs et capables de
transmettre le virus ?
Par vos inacceptables
écarts de langage orduriers et votre pitoyable exemple, vous envoyez un
très mauvais signal à l’ensemble de la population… En franchissant cette
ligne rouge, vous donnez le champ libre à tous les excès, vous laissez
dans votre sillage la porte ouverte aux pires abus, VOUS déchaîner les passions et VOUS soufflez
sur les braises de la guerre civile, au lieu d’appeler à l’apaisement.
Là où en garant de la cohésion nationale, il vous faudrait en période de
crise rassembler et unir, VOUS ne faites que toujours plus cliver, alimenter les divisions, VOUS attisez
les haines et les tensions, vous fracturez la nation comme jamais
auparavant, semant avec votre venin tel un sournois serpent, les graines
de la discorde et de la zizanie au cœur même de nos familles, en
s’insinuant jusque dans nos foyers à l’occasion d’un repas de Noël sous
haute tension. Avec vous, la France, pays de la concorde est devenue
celui du désordre et de la discorde, de la guerre de tous contre tous.
C’est bien VOUS l’irresponsable en chef !
En bon Machiavel,
sans doute que par cette ultime provocation, dont vous avez le secret,
escomptez-vous pousser par l’exaspération à la faute et à la violence
les non-vaccinés, afin de les réduire aux yeux de l’opinion publique à
une poignée d’extrémistes factieux, de séditieux, de terroristes et de
fous furieux irresponsables et ainsi avoir le champ libre pour
parachever votre tyrannie avec une féroce répression policière et
peut-être l’instauration d’une loi martiale. Comme si la véritable
violence, tant symbolique que physique, ne se plaçait pas de votre côté
et que vous n’en étiez pas le provocateur et principal artisan, en
semant ruine et désespoir par vos prises de décisions iniques. Ainsi,
après avoir créé de toute pièce le chaos, vous pourrez restaurer l’ordre
en “bon père de la nation”. Nous ne sommes pas dupes de cette énième
manœuvre bien malsaine.
Mais
prenez garde que ce petit jeu extrêmement dangereux et hautement
pervers dans lequel vous vous engouffrer, porté par votre audace
naturelle, votre hubris et votre sentiment de totale impunité, ne
finisse en dernière instance par se retourner contre vous. L’histoire
est capricieuse, elle déborde d’ironie et de retournement dialectiques
imprévisibles. Et ce ne serait pas la première fois que certains
bourreaux qui martyrisent leurs peuples aussi bien physiquement que
moralement finissent leur misérable sort en victimes, une fois que la
roue de la destinée a basculé en étant pour solde de tout compte
relégués aux poubelles de l’histoire.
Pensez-vous
sérieusement que la myriade exponentielle des cocus de la vaccination,
qui ne constatent la réalisation d’aucune des belles promesses qui leur
avaient été faites, mais souffrants parfois au plus profond de leur
chair d’effets secondaires ravageurs, ou constatant autour d’eux la
disparition subite d’êtres chers, continueront éternellement à avaler
les couleuvres de Mac Kinsey et les boas constrictors des mensonges éhontés de Big Pharma ? On peut légitimement en douter, l’hypnose à ses limites et le réveil après la gueule de bois risque d’être violent.
Après
deux ans d’une politique sanitaire (qui petite piqûre de rappel aurait
dû initialement durer deux semaines d’effort national, le temps de, je
vous cite, “aplanir la courbe”), dont chacun pourra avec le recul
apprécier à sa juste valeur son cuisant échec, un seul constat s’impose
désormais : VOUS êtes de
très loin le virus le plus destructeur qui soit jamais rentré dans nos
vies, une véritable plaie, une malédiction, un châtiment divin ! VOUS êtes un serviteur zélé de la « Bête de l’Événement »,
son petit mignon de service qui se sent pousser des ailes pour lui
rendre directement hommage dans l’une de vos déclarations officielles.
Un virus fatal, tant pour nos libertés publiques qu’individuelles, une
véritable arme de destruction massive de nos droits inaliénables.
Votre
calamiteuse gestion de crise est criminelle. Elle relève d’un sabotage
volontaire et malveillant. Elle ne peut être mise sur le simple compte
d’une quelconque maladresse ou d’une incompétence historique, elle est
consciente et parfaitement délibérée. Dans ce jeu de massacre mené avec
une insondable perversité au nom de la poursuite d’un prétendu bien
commun et collectif, VOUS détruisez
tour à tour : nos vies et notre mode de vie, notre culture, nos
familles et nos enfants, nos commerces et notre économie, nos emplois et
donc notre avenir, nos hôpitaux et notre système de soin ainsi que la
sécurité sociale, tous nos acquis si chèrement conquis de haute lutte.
Non
décidément, le doute n’est plus permis, il s’agit bien en réalité d’une
guerre larvée d’une hypocrisie sans nom. À mes yeux, vous avez à tout
jamais perdu toute forme de légitimité, je ne vous considère plus comme
un Président, mais comme un criminel devant l’humanité dans l’attente de
son futur jugement.
En bon escroc qui se respecte, VOUS affectionnez
tout particulièrement évoluer au sein des milieux les plus troubles,
côtoyer les coteries d’intérêt les plus secrètes, là où la démocratie
n’a plus le droit de cité, comme celles du Groupe de Bilderberg, en passant par l’ultra-confidentiel Club Dolder, tout en vous entourant de Cabinets Conseils étrangers véreux et payés rubis sur l’ongle comme McKinsey
afin de placer, voire d’imposer avec des méthodes de truands des
produits particulièrement douteux, eux-mêmes fabriqués par des
entreprises criminelles telles que Pfizer ! Cette dernière ayant à son
palmarès judiciaire un très lourd passif allant, excusez du peu, de
multiples condamnations pour charlatanisme, fraudes, trucages,
pots-de-vin, corruption de médecins et de fonctionnaires, falsifications
de rapports et d’études. Et avec tout cela, il faudrait remettre
béatement notre santé et notre vie à ce syndicat du crime en bande
organisée, sous peine de faute morale ? Est-ce bien raisonnable ? Quel
retournement et quelle inversion spectaculaire, c’est vraiment l’hôpital
qui se moque dans les grandes largeurs de la charité !
Par
vos odieuses méthodes de harcèlement et de maître chanteur qui aurait
sournoisement pris en otage nos vies, vous ne valez à mes yeux pas mieux
qu’un chef mafieux qui tour à tour terrorise avant de promettre
protection à ses victimes, tout en extorquant leur consentement afin de
mieux les asservir et les retenir dans son cercle vicieux de chantage
sans bornes. Ainsi, de doses en doses, VOUS soumettez
et violez toujours plus nos corps et notre liberté de conscience, en
faisant peser sur nos malheureuses têtes l’épée de Damoclès d’une mort
sociale sans autre forme de procès. Après avoir privé notre pays de
toute forme de souveraineté, monétaire, économique et juridique, c’est
donc maintenant directement à la souveraineté de nos corps que vous vous
attaquez.
Dans votre orgueil, vous vous pensez sans doute comme étant l’égal d’un prince, un nouveau Roi Soleil Jupitérien qui tutoie les étoiles, mais vous n’êtes pourtant qu’un Golem Attaliesque,
que l’émanation monstrueuse d’un pouvoir oligarchique harceleur et
transgresseur de bas étage, qui entend maintenant mettre au pas les
populations dans un système digne des pires heures du communisme. VOUS n’êtes
que le larbin, le laquais et le valet servile, l’insignifiant jouet de
vos sbires, de cette misérable caste de puissants, de ces grands
argentiers qui président à nos destinés, de ces banquiers apatrides qui
contrôlent en coulisses de par leurs capitaux ce monde devenu immonde.
En bon fusible, vous n’êtes qu’une dérisoire pièce de rechange, un homme
de paille, un rouage insignifiant de cette grande et implacable
machinerie mondialiste totalitaire. Nul doute que vos impitoyables
maîtres vous sacrifieront ou vous remplaceront en temps voulu par une
autre marionnette, tout aussi détestable, si vous ne parvenez pas à
mettre en place leurs objectifs, ou bien une fois votre feuille de route
de destruction achevée.
VOUS vous
comportez comme le ferait un minable petit caïd de banlieue, qui
intimiderait ses habitants en multipliant les menaces, les zones de
non-droits, les brimades, les rackets et les extorsions et qui enverrait
ses petites milices de quartier pour réprimander et faire régner son
ordre par la peur, après avoir généré au préalable le chaos. Finalement,
la seule chose qui vous différencie de ces petites frappes, c’est que
vous avez les moyens de vos ambitions perverses, en disposant comme bon
vous semble d’une force publique détournée de ses fonctions et du
monopole d’une violence d’État devenue illégitime.
VOUS avez
fait du consentement dit “libre” et “éclairé”, fondement même de la
médecine, une obligation de fait, un “consentement” extorqué basé sur la
duperie et l’opacité, en un seul mot : UN VIOL !
Aussi,
pourquoi vous êtes vous entouré dans toutes vos actions d’un tel
impénétrable secret… Secret Défense pour des dizaines d’années pour vos
prises de décisions relatives à la crise sanitaire au sein du “Conseil Scientifique”.
Vous avez mis la vérité sous cloche pour cinquante ans, c’est dire que
vous ne devez pas avoir la conscience bien tranquille pour rester ainsi
tapis dans l’ombre… Secret encore sur les contrats léonins signés avec
les firmes pharmaceutiques, dont tant de clauses honteusement caviardées
sont inaccessibles, quand le peu qui nous reste encore accessible
relève déjà du pur scandale ! Ces contrats qui leur assurent la plus
parfaite impunité sur leurs agissements, tout en accordant la part du
lion aux féroces appétits de ces carnassiers dénués de tous scrupules.
La santé mérite pourtant la plus totale transparence, car elle est notre
bien le plus précieux à tous. Pourtant vous agissez dans l’ombre tel un
conspirateur, tout en exigeant en retour notre confiance aveugle… Et
depuis quand un état se mêlerait-il d’orienter totalement la médecine ?
On sait bien où l’hygiénisme d’État et la toute puissance d’une science
instrumentalisée à des fins politiques a pu conduire de par le passé.
Ce faisant, vous déshonorez notre pays en piétinant allégrement toutes ses valeurs fondamentales de “Liberté”, “Égalité” et “Fraternité”,
qui bien qu’elles ne relevaient déjà que d’une illusion certaine, ne
sont plus désormais, sous votre action délétère, qu’un lointain souvenir
! Elles peuvent désormais aisément être remplacées par “Soumission”, “Ségrégation” et “Délation”.
Il faudra d’ailleurs songer à faire instamment réécrire tous les
frontons des mairies pour les remettre au goût fasciste du jour, en
cohérence avec les nouvelles valeurs de ce régime d’exception illimité
dans le temps, de cet état d’urgence permanent. Vous avez fait de la
chose publique, la “République” une chose privée aux mains de ripoux,
phagocyté par des lobbies et d’obscures forces d’argent.
VOUS êtes
le fossoyeur de cette démocratie moribonde en phase terminale. Vous
avez réduit notre citoyenneté à des doses répétées d’injections de
produits pharmaceutiques et à trois mois… C’est dire tout le degré
d’estime que vous portez en réalité à l’exercice de la démocratie et à
ses citoyens, ainsi qu’aux fameuses “valeurs de la République” dont vous vous gargarisez tant sur le papier, tout en faignant d’en être le garant, alors que vous les piétinez comme jamais…
Mais c’est bien connu, plus on parle d’une chose et moins elle s’inscrit de fait dans la réalité tangible. En réalité, VOUS vous réclamez de valeurs que vous n’avez jamais incarné.
Votre “Green Pass”,
qui deviendra à n’en pas douter pass écologique, pour un développement
du contrôle social durable, n’est rien d’autre qu’un nouvel “Ausweiz”
hygiéniste de santé “Nazitaire”. Il est la marque de l’infamie qui
entérine votre régime ségrégationniste de la honte, qui sépare les bons
élèves, les citoyens “modèles”, les soutiens de votre régime, des
sous-citoyens, ces indéfectibles résistants épris de liberté.
Votre démocratie décrépite de façade, vidée de sa substance, ressemble de plus en plus à un grotesque décor en carton-pâte de village Potemkine ne
pouvant encore faire illusion que chez quelques gogos de bobos bon
teints, qui par pur confort et conformisme, préfèrent encore se voiler
la face en toute bonne conscience.
Quant à vos “Droits de l’homme”,
visiblement ils ne sont plus que réduits aux droits exclusifs d’une
petite caste de privilégiés qui redéfinissent à leur guise le contrat
social, qui font et défont les lois à leur convenance, pour mieux à
coups de décrets nous imposer la leur. Ces décrets votés en catimini à
3h du matin par une assemblée de députés à moitié vide, au nom d’un état
d’urgence qui n’en est pas un. Les “Droits” étant relégués au second
plan, c’est-à-dire totalement accessoires. Dans ce nouveau monde, ce qui
compte désormais, c’est de s’affranchir avant toute chose de ses
devoirs et de perdre ainsi toute authentique liberté. Nous sommes donc
sournoisement passés d’un régime de droits à un régime de permissions.
La liberté est devenue l’exception tandis que la contrainte serait à
présent la règle.
De fait, il n’y a déjà plus
aucune égalité de droit entre les citoyens, mais une égalité de devoirs,
où ceux qui rechignent encore à s’acquitter des devoirs fixés et
imposés unilatéralement par une autorité arbitraire, sans plus aucun
contre-pouvoir, perdraient alors tous leurs droits. C’est ce que je
définirai ni plus, ni moins que comme l’instauration d’une implacable
tyrannie.
VOUS avez
mis en place une société “inclusive d’apartheid”, où l’on met un point
d’honneur à défendre et faire respecter les droits sacrés des minorités,
mais pour mieux oppresser et nier ceux de la majorité ! Dans cette bien
mauvaise farce, seule l’écriture reste encore inclusive, tout le reste
n’est que privilèges exclusifs, comme une fine couche sociétale de
vernis progressiste pour mieux masquer le recul du désastre social.
Tout récemment, pour lutter contre le “Convoi de la Liberté”, VOUS êtes
le premier Président à avoir osé donner l’ordre de verbaliser le port
trop ostentatoire du drapeau national. Ainsi, des citoyens se sont même
vus directement braqués par vos forces du désordre, avec une arme de
service, pour le simple acte hautement séditieux et subversif d’avoir
osé brandir pacifiquement et bien haut les couleurs du drapeau
tricolore. Ce drapeau a été outragé, arraché des mains, voire piétiné,
comme un vulgaire torchon. On pourra relever que dans le même temps, le
drapeau étoilé européen, dont cette année, VOUS avez
jugé bon de parer exclusivement l’arc de Triomphe ne bénéficie
visiblement pas du même traitement de défaveur ! Voilà qui en dit très
long en termes de symbole… VOUS luttez
donc bien avec acharnement contre notre pays, ses symboles et ses
valeurs fondamentales, comme “La liberté” que vous êtes pourtant de par
votre fonction censé incarner et protéger. Sur le terrain de l’injustice
sociale, VOUS déployez vos blindés et
vos Robocops en armures suréquipées pour accueillir manu militari et
dans la plus grande violence ceux qui s’opposent à l’expropriation de
leurs droits et libertés. Seul un tyran qui aurait une peur bleue de son
peuple peut agir de la sorte. Et ce 11 février, pendant que le peuple
en souffrance qui défile et bat avec dignité le pavé sous les moqueries
et le mépris depuis des mois tous les samedi se mobilisait, dans un
superbe élan de solidarité et de fraternité, pour vous signifier toute
son exaspération devant tant de vexations, fidèle à vous-même, tel un
enfant gâté bien pourris, VOUS festoyez
en organisant une petite sauterie pour la réception du président
portugais dans votre palais Élyséen (sans aucun masque cela va sans
dire).
Dans votre monde aux valeurs renversées,
on en arrive tout de même à ce que ceux qui descendent pacifiquement
dans la rue pour défendre avec fermeté et détermination, nos droits et
nos libertés inaliénables se retrouvent taxés d’extrémistes, tandis que
votre pouvoir oppresseur et radical, avec son Nouvel Ordre Sanitaire, de
plus en plus ouvertement totalitaire est dépeint comme des plus
modérés, comme l’avant-garde du progressisme… C’est juste spectaculaire
d’inversion accusatoire !
Une chose est sûre,
si vous faites mine de tant vous préoccuper de la santé et de la vie de
vos concitoyens, toutes vos prises de décisions et vos actions
démontrent sans l’ombre d’un doute qu’en réalité vous méprisez la vie
humaine au dernier degré et que le moteur de toute votre action est
politique et non sanitaire, et une politique des plus sales.
Force est de constater que si vous parlez comme un ange, vous agissez comme un assassin ! VOUS avez les mains pleines du sang des innocents :
Le sang
des personnes qui n’ont pas pu être soignées et prises en charge à
temps pour leur pathologie, avec une perte de chance inacceptable
pendant les différents confinements ;
Le sang des personnes âgées victimes d’homicide avec vos euthanasies actives au “Rivotril” organisées par les “Agences Régionales de Santé” qui ont mis en place un tri sélectif des patients, au lieu d’augmenter la capacité des lits ;
Le sang de
ceux à qui on a refusé l’accès à des traitements médicaux existants et à
qui on a pour toute forme de prise en charge administré du “Doliprane” comme une forme de non-assistance à personne en danger ;
Le sang
de ceux qui se sont suicidés parce que leur vie a basculé, parce qu’ils
ont été conduits à une ruine certaine ou ont perdu tout goût et tout
sens à leur vie dans votre nouveau monde, où ils ont parfois perdu leur
place en étant considérés comme “non-essentiels”;
Le sang des personnes en parfaite santé qui ont trouvé la mort suite à ces inoculations.
Mais n’en doutez pas, tôt ou tard, VOUS aurez
rendez-vous avec l’histoire pour rendre compte de tout le mal que vous
aurez infligé à tant de familles, de toutes ces victimes “collatérales”
engendrées par vos prises de décisions irresponsables, de toute cette
souffrance et de ces drames humains générés ;
Et
si d’aventure la justice temporelle des hommes, particulièrement
défaillante en ces temps de tromperie universelle et de corruption
généralisée, ne remplit pas son office, vous aurez tout de même à en
répondre devant la justice immanente de l’Éternel, car sachez qu’avec
votre morale d’ordre supérieure, vous ne l’emporterez certainement pas
au Paradis… Dieu voit tout et chacun sera jugé selon ses œuvres. Et
force est de constater que la vôtre avec toutes ses basses manœuvres ne
produit que des fruits infertiles, bien pourris et au goût infecte ! Que
tout ce sang que vous avez fait couler directement ou indirectement
finisse par retomber sur votre misérable tête.
Au
moins dans ce chaos à venir, que vous avez malheureusement de par votre
incurie rendue inévitable, il me restera encore ma dignité d’être
humain et l’intégrité de mon âme, deux notions qui manifestement vous
échappent totalement et elles n’ont pas de prix !
Enfin,
sachez que si je suis déchu de ma citoyenneté parce que je réprouve
jusqu’au plus profond de mes tripes ces politiques criminelles et parce
que je refuse de me soumettre à toute cette folie ambiante, à cette
contagion délirante hystérique savamment entretenue et orchestrée par
vos médias subventionnés de propagande aux ordres, ce n’est pas grave,
car après tout, je n’ai finalement plus rien en commun avec ce à quoi
vous avez réduit ce beau pays qui jadis faisait encore ma fierté, à
savoir une tyrannie hygiéniste à visage sanitaire profondément
inhumaine. Je me sens déjà totalement étranger avec cette nouvelle
réalité monstrueuse, cette anomalie de la raison, cette nef des fous en
perdition qui prend l’eau de toutes parts et dont vous êtes l’un des
infernaux chef d’orchestre et maître d’œuvre. Vous avez rendu ce pays
aussi invivable, irrespirable que suffoquant !
Tenez-le
vous pour dit, en ce qui me concerne, je refuse catégoriquement de me
laisser piéger et mettre en cage dans votre prison numérique à ciel
ouvert pour esclave “Moderna” 2.0. En tant qu’être conscient, je
ne peux consentir ni cautionner ce projet d’anti-société, ce nouveau
système d’exploitation, de flicage et de contrôle social permanent. Je
m’oppose à la mise en place de ce nouveau servage féodal, de ce
bio-pouvoir aux inclinaisons fascistes, de ce totalitarisme
technologique, ouvrant un droit de vie ou de mort sur nos existences,
avec la possibilité de déconnecter, de désactiver à distance d’un simple
clic tous ceux qui ne seraient pas assez dociles, domestiqués et bien
soumis aux règles édictées par votre clique Davosienne de fanatiques
sans éthique.
Je refuse ce contrôle intégral,
assuré par l’introduction progressive d’une monnaie numérique. Dans
cette rupture de paradigme, ce basculement brutal de civilisation à
marche forcée, imposée sous prétexte d’une mauvaise grippe, on rentre
dans un nouvel ordre “moral”, qui ne serait plus basé sur le droit, mais
sur un baromètre de “bonne conduite” fixé par votre gouvernement de
corrompus. Ce gouvernement qui ne représente plus que lui-même, et qui
dans toute cette crise a fait l’éclatante démonstration de son absence
totale d’éthique !
Étant issu du peuple des
francs, soit du peuple des hommes libres, je n’ai jamais porté aucun
crédit à ce genre de “Chinoiseries”, n’en déplaise à vos omnipotents
fantasmes de contrôle totalitaires visant à encadrer le Pékin moyen,
comme s’il s’agissait d’une vulgaire machine…
J’ai
la liberté inscrite au cœur de mon ADN, elle coule dans mes veines. Je
n’entends pas présenter de mobile pour avoir le droit de vivre, je ne
suis pas un criminel en conditionnelle ! L’intégralité de ma vie n’est
pas à scanner, à stocker, à scruter jusque dans ses moindres aspects,
même les plus intimes. Même si “je n’ai rien à cacher”, je tiens à mon
jardin secret, question de pudeur !
L'intégralité
de la vie n’est pas à faire analyser par une intelligence artificielle
dans une base de données centralisée et hébergée sur les serveurs privés
de Microsoft. Je ne suis pas une marchandise labellisée, un objet
connecté, un produit de “consumation” à date de péremption, un article
de série standardisé, une ressource humaine non-essentielle, une
variable d’ajustement, mais un être humain qui entend préserver toute sa
dignité, conserver son libre-arbitre et sa vie privée ! Je refuse
d’être réduit, à un statut positif ou négatif, à un cas contact dans
votre vision binaire et arithmétique du monde, à un QR-code domestiqué
sur pattes, géré à distance par algorithmes interposés, d’être traité
comme une vulgaire pièce de bétail de votre troupeau de serfs qui
seraient marqués pour l’abattoir, d’ingurgiter dose après dose vos
boosters à base d’ARN, jusqu’à l’overdose ou la thrombose ! J’entends
bien demeurer le capitaine de mon corps, de mon esprit et de mon âme,
rester le seul maître à bord…
Plutôt que de
QR-code, il faut redonner ses lettres de noblesse au QI en réarmant de
toute urgence l’intelligence, afin de refuser en bloc cet infâme carré
numérique, qui entend encadrer l’ensemble de nos existences, nous
réduisant à de simples numéros, nous faisant régresser de sujet à objet,
tout en niant la complexité du vivant pour imposer une vision binaire
et préformatée du monde… Comme le dit si bien le proverbe créole : « Quand on nait rond, on ne meurt pas carré ! »
Votre
offre logicielle “ARN messager” décrite par son fabriquant comme étant
“The Software of Life”, soit comme “le logiciel de la vie” est très
séduisante, mais ne m’en tenez pas rigueur si après mûres réflexions et
de longues hésitations… Je préfère dans une large mesure rester un “sang
pur”, très loin de vos technologies de pointe à base de protéine
“Spike”, car vos injections ont tout l’air de tourner en eau de boudin
et laissent augurer d’une affaire de sang contaminé 2.0…
Et ce n’est pas ce sinistre gugusse sanguinaire de Laurent Fabius,
ce démon aux dents longues qui rit sous cape en s’étant carapaté de la
justice de l’époque puisque jugé “responsable mais pas coupable” qui
viendra me contredire… Lui qui pour dispenser ses conseils n’a
strictement rien d’un sage, mais dont le pouvoir de nuisance est
toujours à la page, sang pour sang resté intact en tenant entre ses
griffes le Conseil Constitutionnel. Je préfère m’en tenir à mon
“firmware d’origine”, à savoir celui du créateur, faire confiance en mon
système immunitaire inné plutôt que de placer de vains espoirs dans les
programmes artificiels de firmes tiers offrant une hypothétique
protection aussi limitée que hasardeuse, qui expirerait tous les trois
mois et qui nécessiterait d’installer des “upgrades”, des mises-à-jour
et autres “boosters” à vie ! Je ne souhaite pas voir mon logiciel
interne susceptible d’être hacker, piraté et trafiqué, au risque de
produire une erreur fatale. Je laisse ces merveilles technologiques à
vos amis versés dans le monde post humain comme Laurent Alexandre et autres Geeks de la Silicone Vallée.
VOUS,
les nouveaux marchands du Temple, en aveuglant nos cœurs et nos
consciences, avez décidé de profaner, de vous attaquer au sanctuaire le
plus sacré d’entre tous, celui de nos corps. Pour cela vous méritez
d’être vigoureusement chassés et délogés définitivement hors de nos
vies. Votre monde immonde d’utérus artificiel géré par intelligence
artificielle est un affront qui crie au ciel. Mais contrairement au
Christ, nous ne sommes pas près de pardonner, car vous savez
parfaitement ce que vous faites !
Votre projet
de nouvelle société mortifère, artificielle, déshumanisée et
transhumaniste est celui du néant, de la négation même de la vie et de
la civilisation. Et comme tous les faux principes qui contiennent en eux
les germes de leur propre autodestruction, il retournera tôt ou tard au
néant !
En
guise de conclusion, veuillez triste sire, agréer l’expression de mes
sentiments les moins distingués et l’assurance de mon plus profond
mépris.
Signé : un gueux non injecté, un emmerdeur de première et fier de l’être !