vendredi 11 mai 2018

Le professeur conseille l’obéissance...


Je crois que ce "professeurs de droit" émérite, sans doute, laisse sous-entendre en quelque sorte, que Trump a toutes les cartes en mais pour faire plier qui s'opposera à lui. Qu'il vaut mieux être obéissant. En effet: sera obéissant celui qui n'aura pas le courage de dire: " Trump ta politique est celle d'un dictateur, et un dictateur on l'évacue par les égouts". Nous sommes un Pays libre et nous sommes libres de nos décisions. Nous ferons des affaires avec qui nous voudrons, y compris si dans les sphères des Grandes écoles pensent le contraire. 
Nous serons obéissants, si nos dirigeants se comportent comme des poltrons. Il est honteux qu'un pseudo professeur se résigne et accepte de céder notre indépendance.
Seul les médiocres peuvent accepter le dicktat Nord-américain. 

Qu'a-t'il a vendre pour avoir cette réflexion? Aurait-il un intérêt personnel ou communautaire à défendre?  C'est encore un homme qui abonde dans le sens américain, parce que les égouts américains parfume Israël. 

Ces hommes-là nous prennent pour des cons. Et il est professeur en France, c'est dire s'il y a du chemin à faire pour assainir les mentalités dans ces "grandes-écoles" là... 
Ce cher Monsieur est-il né à Constantine ou en Tunisie? Ce Monsieur m'interdit de dire ce que pense et veut supprimer l'article. Je crois que la boucle est bouclée. Ce genre de personnages doit, comme le font les jeunes français de confession juive qui vont faire leur service militaire,  LA BAS tel que le déclare JJ Golmann dans sa chanson, et s'il faut du courage, c'est moins pour s'y implanter que  pour tuer des innocents.  

Ce que les gens reprochent aux Juifs, se trouve peut-être dans ces comportements, communautaristes et manipulateurs.
Et dire qu'il n'est pas le seul "haut professeur" a gangrener nos étudiants. Tout comme on met sous surveillance les écoles confessionnelles, principalement Musulmanes ainsi que les prêcheurs dans les Mosquées, on devrait également mettre sous écoute les professeurs d'Université et Grandes-Ecoles de confession juive, ainsi que les sionistes (juifs ou non) au sein de nos institutions y compris les associations comme le CRIF , qui font autant de tord à notre pays, peut-être même pire, que ne le font les attentats terroristes, car ce que cette 5e. colonne cherche n'est pas la destruction de quelques vies, mais celle de la société qui ne cautionne pas ses crimes. 
Il n'est pas nécessaire d'être sorti de Saint-Cyr  pour comprendre que la déstabilisation actuelle du monde prend racine en Israël. Et s'accrochent a ces racines des êtres qui réfléchissent d'un point de leur intérêt, mais non de JUSTICE.  
Israël est Etat illégal dans sa création, dans son expansion, dans sa politique. Il doit donc s'imposer par la force au lieu du Droit. 





jeudi 10 mai 2018

Depuis la décision de Donald Trump


C'est qui Pépé le Putois? 

Depuis la décision de Donald Trump, le gouvernement israélien adopte un ton martial, se disant "déterminé à arrêter l’agression de l’Iran tant qu’elle est à ses premiers stades, même si cela implique un conflit", selon Libération. Dimanche, peu avant l'annonce, plusieurs médias israéliens ont affirmé que des miliciens chiites, basés en Syrie, "étaient sur le point de tirer de missiles" sur Israël, rapporte Le Figaro (article payant). Mardi soir, l'armée israélienne a mené des frappes "préventives" à Al-Kiswah, au sud de la capitale syrienne, rapporte le quotidien israélien Haaretz (article en anglais). 

Cet article de France-Info, décrit parfaitement les conflits du Proche et Moyen-Orient: où Israël s'autorise à tuer des êtres humains, sur des simples suppositions.  
  • Des miliciens chiites, basés en Syrie, "étaient sur le point de tirer de missiles" sur Israël. (Sur le point d'être lancés)
  • L'armée israélienne a mené des frappes "préventives" à Al-Kiswah, (préventives, c'est-à-dire, qui ont eu lieu)
  • Là est toute la sémantique utilisée par les israéliens pour tromper les pauvres d'esprit.
  • Il n'en reste pas moins que le véritable agent déstabilisateur de la région c'est bien Israël.
  • On peut considérer, par conséquent, que aucun homme en possession de ses facultés mentales pourrait à ce point se mentir à lui-même, en cautionnant l'Etat illégal. Sauf Donald Trump bien entendu. Cependant si cet homme était plus intelligent que rusé, cela se saurait…


Monsieur Emmanuel Macron.




Il est temps d'établir un nouvel ordre mondial, politique, économique et monétaire.

Que les USA, Trump se retire des accords sur le nucléaire iranien cela le regarde, qu'il impose des sanctions à l'Iran, cela le regarde aussi, mais qu'il veuille sanctionner les Etats qui finalisent leurs transactions avec l'Iran en dollars, cela n'est pas admissible.  

Comment l'accepter, sans admettre que le reste du monde vit sous le joug des USA? Nos dirigeants seraient-il à ce point, serviles, qu'ils n'auraient pas le courage de s'y opposer ?

Comment permettre qu'au XXI siècle, où la Démocratie sert d'excuse à l'agression d'Etats souverains, un homme quasi illettré, va-t-en-guerre inégalé, impose sa vision dictatoriale du monde y compris à ses soi-disant alliés ?

Je crois que l'époque est propice, enfin, à un changement où la Justice aurait recouvrai  ses "lettres de noblesse" et ou la Démocratie son véritable sens. Et où les Nations n'auraient par peur d'être agressées par de fous furieux à la mèche incertaine qui parce qu'ils possèdent 50% de l'armement mondial s'autorisent à distribuer les autorisations.

M. Macron taxer les plus fragiles, n'importe qui sait le faire, mais c'est au pied du mur que l'on reconnaît le maçon. Si vous voulez être l'artisan si souvent claironné, c'est a votre tour de dire au fou à la mèche, à l'Europe et au Monde: qu'il y a un autre chemin pour le monde.

Mais honnêtement, je ne crois pas que vous soyez  l'"homme" de la situation. 

Ce nouvel épisode démontre, si besoin, les limites du libéralisme  madein USA, imposant au monde sa loi. Sans parler du monde, si nous européen voulons rester libres, maîtres de notre destin, il faudra tel que le voulait le Général de Gaulle, s'affranchir du poids que représentent les idéologies politiques ou mercantiles pour se comporter avec loyauté et franchise  quelque soit notre interlocuteur. 


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Gaza. La marche du retour.


Vous voulez savoir qui sont les dirigeants israélien, et voulez connaître comment les média traitent l'information au Proche-Orient ?

Lisez cet article.  



 «Pourquoi je participe à la grande marche du retour à Gaza» 
1 05 2018 • 18 h 57 min

Par Fadi Abu SHAMMALAH, directeur exécutif de l’Union générale des centres culturels de Gaza
En introduction, un communiqué de Jean Marlowe, auteure, réalisatrice étasunienne
Seattle, Le 27/04/2018
Je suis heureuse de partager avec vous l’article « Pourquoi je marche à Gaza », du New York Times écrit par mon cher ami et collègue, Fadi Abu Shammalah, coproducteur du film « Naila et l’Insurrection » produit par Just Vision.
Merci de diffuser largement
Il y a trois ans, j’ai eu l’immense privilège de voyager à Gaza pour y interviewer des femmes animatrices de la Première Intifada pour le documentaire produit par Just Vision, « Naila et l’Insurrection ». Une partie de ma tâche consistait à trouver sur place une équipe avec laquelle travailler sur la production. Je n’aurais pas pu être plus chanceuse que de rencontrer Fadi Abu Shammalah, qui est devenu coproducteur du film. Au cours de plusieurs voyages à Gaza, j’ai retrouvé Fadi, j’ai été invitée chez lui, j’ai déjeuné avec ses parents, je me suis liée d’amitié avec sa merveilleuse épouse et j’ai partagé des moments de jeux avec ses garçons chéris.
Alors vous pouvez imaginer ma préoccupation quand Fadi m’a dit qu’il participerait à la Grande Marche du retour à Gaza. Mais j’ai rapidement réalisé que nous avions beaucoup à apprendre de Fadi. Nous lui avons demandé s’il accepterait d’écrire un article sur les raisons pour lesquelles un père aimant ses trois enfants était prêt à risquer sa vie en participant aux manifestations. Quelles étaient ses motivations, ses peurs, ses aspirations ?
Nous sommes absolument ravis que la voix de Fadi soit maintenant partagée avec des millions de personnes grâce à cet article publié ce matin dans le New York Times. Le public américain a absolument besoin d’entendre son point de vue.
En solidarité et en lutte,
Jen Marlowe
Auteure, réalisatrice
Chargée de communication associée, Just Vision Productions
Coproductrice du film « Naila et l’insurrection »


KHAN YOUNIS, Bande de Gaza
Tôt dans la matinée du 30 mars, mon fils Ali, âgé de 7 ans, a vu que je me préparais à sortir. C’était inhabituel pour un vendredi.

« Où vas-tu, papa? »
– « À la frontière. Participer à la Grande Marche du Retour. »

La Grande Marche du Retour est le nom donné aux 45 jours de protestation le long de la frontière entre Gaza et Israël. Elle a commencé le 30 mars, le « jour de la terre » commémorant les massacres de six Palestiniens d’Israël qui avaient protesté contre les confiscations de terres en 1976, et se clôturera le 15 mai, jour du 70e anniversaire de la Nakba, qui commémore le déplacement massif de Palestiniens pendant la guerre de 1948 qui conduit à la création de l’État d’Israël.

« Puis-je venir avec toi? », a demandé Ali. Je lui ai dit que c’était trop dangereux. Si on en croyait les avertissements militaires israéliens, le risque que des manifestants non armés soient abattus par des tireurs d’élite israéliens était trop élevé. « Pourquoi y vas-tu si tu peux te faire tuer ? » s’empressa de demander Ali.

Sa question ne quittait pas mon esprit alors que je me rendais au campement près de la frontière à l’est de Khan Younis, la ville du sud de Gaza où je vis. Elle est restée dans mes pensées les vendredis suivants alors que je continuais à participer à la Marche, et elle y est encore présente maintenant.

Ma vie me ravit. Je suis le père de trois merveilleux enfants (Ali a deux frères, l’un de 4 ans, Karam et l’autre, Adam, vient de naître), je suis marié à une femme que je considère comme mon âme sœur.

Mes craintes ont été confirmées : 39 manifestants ont été tués depuis le début de la Marche, beaucoup par des tirs de snipers, y compris un gamin de 15 ans la semaine dernière et deux autres adolescents le 6 avril. Israël refuse de rendre les corps de deux de ces tués.

Des milliers d’autres ont été blessés. Les journalistes ont été visés ; 13 d’entre eux ont reçu des balles depuis le début des manifestations, y compris Yasser Murtaja, un photographe âgé de 30 ans et Ahmed Abu Hussein, 25 ans, qui est décédé mercredi des suites de ses blessures.

Alors pourquoi suis-je prêt à risquer ma vie en rejoignant la Grande Marche du Retour ?

Transport d’un manifestant palestinien blessé.
Mohammed Saber/European Pressphoto Agency, via Shutterstock

Il y a plusieurs réponses à la question d’Ali.
Je crois foncièrement à la stratégie de la Marche, mouvement de masse pacifique, conduit par des civils. J’ai aussi été impressionné par la façon dont le mouvement a uni le peuple palestinien de la Bande de Gaza, politiquement divisé. Et la Marche est un moyen efficace de mettre en évidence les conditions de vie insupportables auxquelles sont confrontés les habitants de la Bande de Gaza : quatre heures d’électricité par jour, l’indignité de voir notre économie et nos frontières soumises à un siège, la peur du bombardement de nos maisons.

Mais la raison principale pour laquelle je participe est que, dans quelques années, je veux pouvoir regarder Ali, Karam et Adam dans les yeux et leur dire :
  • «Votre père faisait partie de cette lutte historique et non-violente pour notre patrie. »
  • Les médias occidentaux ont couvert la Grande Marche du retour en se focalisant sur les images de jeunes jetant des pierres et brûlant des pneus. L’armée israélienne décrit l’action comme une provocation violente du Hamas, une affirmation à laquelle de nombreux analystes ont aveuglément adhéré. Ces descriptions sont en totale contradiction avec mon expérience du terrain.
  • Des membres de l’Union générale des centres culturels de Gaza, organisation non gouvernementale dont je suis le directeur exécutif, ont participé aux réunions de préparation de la Marche, qui comprenaient des représentants de toutes les composantes de la société civile et politique de Gaza. A la frontière, je n’ai pas vu un seul drapeau du Hamas, une seule bannière du Fatah, ni d’affiche du Front populaire de libération de la Palestine, d’ailleurs – attirail répandu dans pratiquement toutes les autres manifestations auxquelles j’ai assisté. Ici, nous n’avons déployé qu’un drapeau – le drapeau palestinien.
  • Certes, les membres du Hamas participent à la Marche, car ils font partie de la communauté palestinienne. Mais cette participation indique peut-être qu’ils pourraient s’éloigner d’une conception de la libération de la Palestine par des moyens militaires et qu’ils commenceraient à opter pour la protestation civile populaire et non armée. Mais la Grande Marche du Retour n’est pas l’action du Hamas. C’est la nôtre.
  • Et notre action est loin de se résumer à des pneus brûlés ou à des jeunes jetant des pierres sur des soldats stationnés à des centaines de mètres de là. La résistance dans les campements a été créative et belle. J’ai dansé le dabke, la danse nationale palestinienne, avec d’autres jeunes hommes. J’ai dégusté des spécialités culinaires traditionnelles, comme le msakhan (poulet rôti aux oignons, au sumac et aux pignons de pin) et le maftool (un plat à base de couscous).
  • J’ai chanté des chants traditionnels avec d’autres manifestants et je me suis assis avec les anciens qui échangeaient des anecdotes sur la vie d’avant 1948 dans leurs villages natals. Certains vendredis, des cerfs-volants ont sillonné le ciel et d’autres vendredis, des drapeaux ont été hissés sur des perches de 25 mètres de haut pour être clairement visibles de l’autre côté de la frontière.
  • Tout cela se déroulait sous les lunettes de visée des fusils des tireurs d’élite israéliens stationnés à environ 700 mètres. Nous étions tendus, nous avions peur – en effet, il m’est arrivé de me trouver à proximité de personnes qui se faisaient tirer dessus et au milieu des nuages de gaz lacrymogènes – mais nous étions joyeux. Le chant, la danse, les récits, les drapeaux, les cerfs-volants et l’art culinaire sont plus que des symboles de notre patrimoine culturel.
  • Ils démontrent – clairement, résolument, passionnément et pacifiquement – que nous existons, que nous demeurerons, que nous sommes des êtres humains avec la dignité due aux êtres humains, et que nous avons le droit au retour dans nos foyers. J’ai envie de dormir sous les oliviers de Bayt Daras, mon village natal (ville palestinienne située à 30 kilomètres au nord-est de Gaza qui a été vidée de ses habitants en 1948 – ndt). Je veux montrer à Ali, Karam et Adam la mosquée dans laquelle mon grand-père a prié. Je veux vivre paisiblement dans ma maison familiale avec tous mes voisins, qu’ils soient musulmans, chrétiens, juifs ou athées.
  • Les habitants de Gaza ont subi une tragédie après l’autre : des vagues de déplacements massifs, la vie dans des camps de réfugiés sordides, une économie piratée, un accès restreint aux zones de pêche, un siège asphyxiant et trois guerres au cours de ces neuf dernières années. Israël a imaginé qu’une fois la génération qui a connu la Nakba disparue, les jeunes renonceraient à notre rêve de retour. Je crois que c’est en partie pour cela qu’Israël maintient Gaza au bord de la catastrophe humanitaire – nos vies réduites à une lutte quotidienne pour la nourriture, l’eau, les médicaments et l’électricité, nous ne serions plus en état de nous soucier de plus nobles aspirations. La Marche prouve que ma génération n’a pas l’intention d’abandonner les rêves de son peuple.
  • La Grande Marche du retour a galvanisé mon optimisme, mais je reste réaliste. La Marche, seule, ne mettra pas fin au siège et à l’occupation, ne résorbera pas l’énorme déséquilibre des forces entre Israël et les Palestiniens ni ne réparera les torts historiques. L’engagement se poursuit jusqu’à ce que tous les êtres humains dans la région puissent partager les mêmes droits. Mais je ne pouvais pas être plus impressionné par mon peuple ou être fier de lui – nous voir unis sous un même drapeau, avec une approbation quasi unanime des moyens pacifiques pour réclamer nos droits et affirmer notre humanité.
  • Tous les vendredis, jusqu’au 15 mai, je continuerai à aller aux campements pour envoyer un message à la communauté internationale décrivant les conditions désastreuses dans lesquelles je suis obligé d’élever mes fils. J’irai, jusqu’à ce que je puisse apercevoir nos terres – nos arbres – de l’autre côté de la frontière militaire alors que les soldats israéliens me surveillent derrière leurs armes.
  • Si Ali me demande pourquoi je retourne à la Grande Marche du Retour malgré le danger, je lui dirai ceci : J’aime la vie. Mais plus que ça, je t’aime, toi, Karam et Adam. Si risquer ma vie signifie que toi et tes frères aurez une chance de grandir, d’avoir un avenir digne, de vivre en paix avec vos voisins, dans un pays libre, alors c’est un risque que je dois prendre.


Source : NY Times


mercredi 9 mai 2018

Comment douter de la servilité de nos média.



Comment douter de la servilité de nos média, quand ces derniers s'abstiennent d'informer le public des réelles implications, par exemple, des déclarations de Donald Trump. Quant, même Mélanie Trump se sent obligée (avec diplomatie) de le recadrer.

Maintenant j'aimerais que l'on m'explique le principe sur lequel est basé la volonté des va-t-en-guerre qui permet à ces voyous de décider qui a le droit de posséder l'arme nucléaire et ceux qui n'y ont pas droit? 

Donald Trump, a part le fait qu'il est le vassal d'Israël et qui risque de ce fait d’entraîner le monde dans le chaos, et comme lui ne craint, à l'égal de tous les querelleurs, ceux qui peuvent riposter à leur violence.

Trump accuse l'Iran de vouloir accéder au club atomique.  Qui pourrait blâmer l'Iran  de tenter d'assurer sa sécurité? 
On a bien claironné a tous ceux qui voulaient l'entendre: "qu'Israël avait le droit de se défendre"  alors que non seulement, son intégrité n'a jamais été menacé, mais l'agresseur ce serait plutôt lui.  Enfin, pour tous ceux qui réfléchissent d'un point de vue de JUSTICE.  

Ce genre de personnages appliquent, comme le faisait Hitler, sa justice et comme lui veulent  nettoyer le monde des gens qui ne leur conviennent pas. Des gens comme les Pieds nickelés ou Netanyahou ont l'arrogance de croire que leur vision du monde fait force de loi. Ce sont des hommes sans état de conscience. Et comme un animal ne prennent en considération que leur gamelle...

Les arguments développés par Trump sont dictés par le criminel Netanyahou, qui veut pouvoir continuer sa politique expansionniste et continuer à commettre  ses massacres et assassinats, devant l'impassibilité de l'Occident qui même si, de temps en temps, quelques voix le lèvent timidement, devant tant de duplicité et d'hypocrisie criminelle, Israël continue son "petit bonhomme de chemin" sans que aucun de ces pseudos redresseurs de tord, accuse les dirigeants d'Israël de crimes contre l'humanité.
Hitler, oh pardon, Netanyahou  bombarde le positions syriennes depuis des années, soi-disant des bases iraniennes, Soyons sérieux pour une fois. Israël craint, dit-il, les agression de l'Iran, mais depuis des décennies c'est Israël qui agresse la Perse. Quand aux bases (conventionnelles) iraniennes en Syrie, que doit dire la Russie et l'Iran qui sont encerclées de bases militaire US, armées de missiles balistique pour servir de vecteur a des armes nucléaires ?  Et là, je pisse sur les journalistes et experts qui en tenure de camouflage, qui nous mentent, parce qu'ils manquent du courage nécessaire à l'explosion de la vérité.  C'est parce que nous avons des poltrons, illuminés d'idéologies inhumaines, aux commandes des Etats et des principaux organismes du Droit et de l'information, nationaux et internationaux qu'Israël pourra allumer la mèche...  Hitler en d'autres temps l'avait compris. Il n'y a rien de plus grave pour une nation, que les dirigeants illuminés ou/et pusillanimes. Ils ont la clé de tous les conflits. 
Israël a fait de ses voisins, ses ennemis. C'et Etat illégal ne mérite donc pas  la moindre bienveillance puisque à la base et depuis a été et est dirigé par des criminels coupables, et on semble l'oublier, de crimes contre l'humanité. A l'heure actuelle, il n'y a pas un seul dirigeant israélien qui ne puisse être accuse de crimes de guerre, voir contre l’humanité.  Et c'est pour ces criminels-là, que les "pieds nickelés" risquent un conflit généralisé. A croire qu'ils ne sont pas des hommes, mais des hologrammes. [marionnettes convient aussi] 

Et pourquoi cela? Parce qu'il y a eu un génocide contre les Juifs? Et qu'ils auraient maintenant un droit divin, sans doute, a commettre le même crime contre une population qui ne lui avait rient fait. Non, si Israël peut commettre autant de crimes s'est que ce pays illégal, je vous le rappelle, s'est doté très tôt de la bombe atomique, [L'Angleterre et la France l'on, s'est vrai, beaucoup aidé] même avant que la résolution 181, de novembre 1947 sur la partition de la Palestine, soit votée.

A chaque fois que l'occident, souvent les USA, a tenté de remmener l'Etat criminel (Israël) sur le droit chemin, ce dernier menaçait d'utiliser  la bombe atomique, si sa politique était menacé.
Par ailleurs Israël, comme les USA utilisent des armes à fragmentation radioactive contre des populations civiles (à Gaza par exemple), sans que cela  n'émeuve, ces êtres mal élevées, que leur mère a délaissé et qui accusent l'Iran d'intentions malveillantes, Alors même que cet Occident félon, manipulateur et va-t-en-guerre, agresse des Etats souverains sous des arguments apocryphes, mensongers et manipulateurs. 
(je crois qu'il est inutile d'en faire la litanie)
  
Là aussi l'exemple de la Corée du Nord, devrait ouvrir les écoutilles de tous les imbéciles, et comprendre qu'un pays en possession de l'arme nucléaire fait reculer le criminel Trump, mais aussi Macron, May [ ... ]. Dans ces conditions quoi de plus légitime  qu'un Etat  veuille se doter de l'arme nucléaire pour se protéger des pays qui qui la possèdent et principalement pour se protéger des pieds nickelés utilisant des arguments mensongers pour appliquer une politique dont ils sont les seuls bénéficiaires.  
Et il est évident que le gueulard Trump réfléchirait un peu, comme sa femme vient de lui rappeler, dans ses élucubrations verbales, mais aussi dans ses actions criminelles, avants d'attaquer un Etat en possession de l'arme nucléaire…

Tout cela pour dire quoi?
Que si l'Iran veut accéder à l'arme nucléaire c'est moins pour attaquer un autre Etat, mais pour que Trump hésite avants de lâcher ses bombes sur un Etat souverain, mais surtout pour qu'Israël change, enfin, sa vision des rapports avec ses voisins. Cela me parait une évidence. 

Néanmoins je ne suis pas sur que c'est ce que veulent les Trump et les Netanyahou. Non ce qu'ils veulent c'est continuer à imposer  leur suprématie au monde.

Normalement on devrait pouvoir compter sur les médias et les instances internationales  pour nous éclairer, mais que pouvons-nous attendre de ces fils dont je ne suis pas sur qu'ils descendent d'une bonne mère. Qu'ils ont eu l'éducation adéquate en leur inculquant le premier principe de la bonne éducation qui veut:   que notre liberté finit là où commence celle de l'autre.
   



mardi 8 mai 2018

Halte au silence sur l'enfermement des Gazaouis

Où sont les "Pieds nickelés" qui fixent lignes ROUGES ? 
Ces escrocs  qui on l'arrogance, qui sied si bien aux imbéciles, de croire que eux seuls peuvent avoir raison et s'autorisent à assassiner au nom d'une démocratie, qu'il n 'ont jamais vu, y compris en peinture !!! Des salauds la plus part du temps ayant usurpé un pouvoir grâce aux joueurs de bilboquet argentés. 

"Ami", sort de ton costume, on t'a découvert.

Résistance non violente à l'enfermement.
Nous sommes face à une idéologie et des gens pire que le nazisme et les nazis, les nazis étaient des criminels, nous sommes d'accord, cependant contrairement aux criminels et a l'idéologie d'aujourd'hui, ne cherchaient pas d'excuse à leurs méfaits.

Comme au  Stand de tir les snipers israéliens abatent des palestiniens...

http://www.afps-alsace.com/Gaza/index.htm


lundi 7 mai 2018

On nous "enfume" ...



C'est quoi le Statut des Cheminots ?
C'est quoi les Conventions Collectives de Branche?
Merlin dirait: "La différence entre le Statut et la Convention Collective,  est la même qu'il y a entre le crocodile et l'alligator" C'est caïman la même chose…

Alors ! L'argument que l'enfumeur emploi pour laisser croire a une différence est quasi inexistant, mais permet de faire croire aux imbéciles que le Caïman est un  Dromadaire…     

L'insistance et vociférations avec laquelle les médias glorifient Emanuel Macron deviennent grotesques.  Le plus ridicule c'est Stéphane Bern, a croire qu'ils ont joué au bilboquet ensemble, vous savez ce jeu qui consiste a "faire pénétrer la partie rigide dans la boule". 

C'est par la répétition de votre annonce que vous obtiendrez le succès.
Publicité qu'il y a quelques années, faisait la promotion des réclames publicitaires. Si la plupart d'entre-nous avions oublié cette "maxime" de la publicité commerciale,  le service de  communication de l'Elysée ne  l'a pas, lui, oublié et la promotion élyséenne, comme celle d'un mauvais produit, matraque les supports des suppôts (diffuseurs), aux quatre vents. Avec une astuce qui consiste à faire référence à un familier, pour appuyer le mensonge.

Il faut vraiment que l'on ait des salopards au Gouvernement pour que l'on réduise le revenu des petites retraites (puisque les très petites sont exonérées de leur escroqueries) et qu'ils fassent en contre partie des cadeau colossaux aux multimilliardaires. Ce gouvernement foule au pied tous les principes de la solidarité, inscrite, je vous le rappelle dans la Constitution française et dans sa devise. Ce qui est incompréhensible, c'est la magnanimité, à son égard, des lèche cul des média et d'une nomenklatura écœurante. . 


Certains média lèche-cul affirment même que Macron est: "droit dans ces bottes", qu'il n'est affecté par  personne ! Bien évidemment puisqu'il a fait allégeance au grand-capital. Les média ne le disent pas, mais il a fait allégeance aussi à la "haute finance" CQFD. Cet escroc n'aura pas de soucis dans un proche avenir, ni lors de sa retraite, les joueurs de bilboquet veillent sur ses parties grasses. Et comme lui a conseillé un de ses mentors : "dites-leur ce qu'ils veulent entendre" ce slogan de campagne électorale se perpétue au-de-là de ce qui est permis. Les seules réformes que l'on peut constater sont celles où les plus riches monopolisent les avantage et le reste de la population sont taxés sans vergogne, comme seul un être amoral peut le faire et comme un truand, trouve des arguments à ses actes. 

Je crois que la France n'a jamais eu des medias a ce point serviles.  Il est vrai que cela fait maintenant plusieurs années que la presse est passe aux main de riches "héritiers".