jeudi 25 février 2016

Et la Palestine ?



 Voila un homme, M Moix, dans les geôles israéliennes le dirigeant palestinien
En prison sous le régime de l'arrestation administrative depuis 2002.
Le très manipulateur gouvernement israélien précise que l’arrestation administrative ne peux l'être que pour six mois, mais ses criminels précisent, aussi, quelle peut être renouvelé indéfiniment.
Belle conception de la démocratie, de la justice... 
Et aussi le journaliste
Muhammad al-Qiq

Hier j'ai visionné sur YouTube l'intervention de Jean-Louis Mélenchon dans l'émission chez Rouquier ONPC et bien que l'intervention de Mélenchon ait été magnifique, celle d'un homme honnête et sincère, il manquait dans cette interview quelque chose que je n'arrivais à définir, sur le moment.
Après avoir lu l'article dans Europe Newsweek de Haneen Zoabi (député israélienne) sur l'épuration ethnique à Jérusalem, je me suis dit oui c'est cela, ces deux farfadets du journalisme ont interrogé J.L. Mélanchon sur tous les problèmes, ou presque, de ce bas monde  mais rien sur la Palestine, ni sur l'actuelle épuration ethnique de Jérusalem exécuté sous nos yeux, rien sur Gaza où  plus d'un million et demi d'êtres humains pris eu piège d'un Ghetto inhumain et illégal. où l'aviation israélienne répand des pesticides sur les cultures pour les rendre impropres à la consommation. On aurait aimé savoir ce que J.L. Mélenchon en pense.
Mais que peut-on attendre de ces deux journalistes par procuration, principalement Yann Moix, un être écœurant qui utilise son instruction pour soutenir des êtres écœurants, Son allégeance, sa servilité devant BHL a été écœurante. Comment se pourrait-il en être autrement?  

mercredi 24 février 2016

Pourquoi Israël combat les Palestiniens de souche?



Tous ceux qui responsables ou simples citoyens, cautionnent ou favorisent la politique dictatoriale israélienne sont: sans conteste possible les nouveau collabo, des criminels par procuration qu'ils soient juifs ou non.
Cet article n'est pas écrit par un terroriste ou un de ces "inutiles" militants des droits de l'homme, mais par une femme élue au Parlement israélien. 
  
J'accuse ici la plupart des dirigeants occidentaux : d'hypocrisie, de malhonnêteté intellectuelle et physique, de manipulations, de cautionner des crimes [...] d'assassiner (par la politique menée) ses militaires et ses propres citoyens et tout cela pourquoi ? Sans doute pour tenter de laver un crime, l'Holocauste, et qui par leur soutient au sionisme le salissent d'avantage... Honte à tous cette intelligentsia malodorante.
Principalement ce gouvernement, comme celui de Sarkozy, sont les suppôts d'une idéologie criminelle qui ne dit pas son nom, qui décide de notre existence intellectuelle et économique. C'est vrai qu'ils en ont les moyens. 


 Women mourn during the funeral of Palestinian Ahmed Zakarna in the West Bank town of Qabatya, February 5, 2016. Zakarna and two other Palestinians killed an Israeli border policewoman and seriously wounded another before being shot dead by officers, Israeli police said.Reuters/Mohamad Torokman


  


Europe Newsweek
19-02-2016

Les femmes pleurent lors des funérailles du palestinien Ahmed Zakaria, dans la ville cisjordanienne de Qabatya, le 5 Février 2016. Zakarna et deux autres Palestiniens ont tué un policier à la frontière israélienne et grièvement blessé un autre avant d'âtre abattu par les agents, selon la police israélienne. Reuters / Mohamad Torokman

Une enfant de 15 ans grièvement blessé git sur le trottoir, saignant de ses multiples blessures par balles. Un homme s'approche et de sang-froid  lui tire une balle dans la tête, un coup final et fatal qui en termine avec une jeune vie sur un trottoir de Jérusalem. Un autre «terroriste» tué par des tirs d'un «héros» ou s'agit-il d'une autre exécution extrajudiciaire du type comme nous en avons pris maintenant l'habitude

Même le langage a changé: "neutraliser" est le terme utilisé par les médias israéliens lorsque l'on tire pour mettre fin à une vie humaine, une vie palestinienne.
Nous ne sommes plus en mesure de voir l'horrible tragédie d'un uniforme scolaire ensanglante, cartable, timbres autocollants éparpillés sur le trottoir. Et parmi tout cela, aussi une petite paire de ciseaux avec laquelle la jeune fille avait essayé de poignarder un homme âgé.

Elle est là, une autre "terroriste" sans nom, une jeune victime dans la réalité quotidienne de l'occupation de leur raids nocturnes, l'oppression et l'humiliation, le mur de la discrimination (pour la sécurité), la démolition de maisons, routes seulement pour les Israéliens, leurs barrages routiers, leur incendies d'églises et de mosquées. Les colons, les forces de sécurité tirant au hasard. Une vie de tous les jours grise et dépouillé de tout espoir.
Je ne veux pas justifier ces actes désespérés. Chaque mort sous l'occupation doit être évitée. Ces enfants ne font pas partie d'un mouvement politique, mais sont le résultat d'une oppression bien organisé. Ils sont tant victimes de l'oppression que les victimes de leurs actes désespérés.

La police de Jérusalem refusant de rendre les corps de Palestiniens impliqués dans des actes individuels qui sont morts ces derniers mois. C'est une façon de punir leurs familles. Maintenant il y a dix corps retenus. La police insistent pour que les funérailles se fassent de nuit avec un maximum de 50 personnes présentes, les familles ont accepté mais les cadavres n'ont pas été restitués. Maintenu dans leur prison de glace, ils sont devenus des pions dans un jeu politique dégoutant.

Trois législateurs israéliens, Jamal Zahalka, Basal Gatas et moi on s'est réunis la semaine dernière avec les représentants de ces 10 familles et leurs avocats pour tenter de faire avancer l'enterrement de leurs enfants. Avant cette réunion j'avais été en contact avec le ministre de la Sécurité intérieure, et après on a présenté une demande écrite au ministre avec détails sur les 10 familles et les conditions que la police avait établi pour les funérailles de leurs enfants. Au début de la rencontre avec les familles, qui ont eu lieu dans un espace culturel à Jérusalem-Est, nous avons lu le premier verset du Coran en silence, une coutume religieuse et culturelle.

Mais Netanyahu utilise notre acte comme prétexte nous accuser de mener une campagne de haine, qui a conduit à notre suspension du parlement israélien (Knesset) pendant plusieurs mois. Nous avons été qualifiés de traîtres et pire. La démocratie d'Israël implique la souveraineté de la majorité tandis qu'il y a une carence flagrante des  droits des minorités. Le danger de la tyrannie de la majorité est constituée, c'est ainsi que l'on peut le dire.

Cette campagne ne se soutiens pas par elle-même: la déclaration de l'organisation illégale de la branche nord du Mouvement islamique, la loi sur les ONG, qui limite sévèrement la fonctionnement des organisations des droits humains, la censure militaire de sites Web, arrestations préventives de militants politiques avant les manifestations, les lois criminalisant le soutien du mouvement international boycott, désinvestissement, sanction (BDS), différentes lois qui permettent de refuser l'accès aux Arabes, ainsi  d'autres lois qui légalisent la discrimination dans le domaine de la propriété de la terre, droits de construire et bien plus encore, tout peut être vu comme des indicateurs clairs de la volonté d'adopter des politiques discriminatoires contre les peuples indigènes du pays et de leurs défenseurs.

"Légitime défense" est le terme utilisé par Israël pour justifier des exécutions extrajudiciaires, ainsi que le contrôle sur la vie des autres. Cependant, il ne peut y avoir aucune justification pour tuer, pas plus que pour l'oppression exercée. L'occupant n'a pas le droit à l'auto-défense. Nous, les occupés, nous avons le droit plein et juste pour le combattre, par tous les moyens reconnus par le droit international et avec le soutien de la communauté internationale.

Notre suspension doit être versée dans le contexte de l'hostilité permanente de l'Etat envers les Palestiniens, d'une part, et les croissantes dispositions permettant d'adopter des pratiques non démocratiques de l'autre côté. Il faut savoir que le second aspect est un sous-produit de la première.

Israël, par sa définition même d'un État juif, a jeté les bases, en particulier parce que l'État considère les Palestiniens comme des étrangers dans leur propre pays. En 1948, 85% des Palestiniens ont été expulsés et ceux qui ont eu droit de rester sont considérés comme des intrus. Malgré la grande injustice commise contre nous et suggérons une vision de justice et d'égalité pour tous.

Haneen Zoabi est actuellement membre de la Knesset pour la Lista Arabe Unie. Est la première femme élue au Parlement israélien.

 

mardi 23 février 2016

Interdite ou non, les étudiants britanniques continuent à soutenir le BDS



Malheureusement en France "pays des droit de l'homme", l'Université est resté, dans sa grande majorité sur les stalles de l'indifférence, pour ne dire de la pusillanimité et la lâcheté devant les manquements aux Droit de l'homme d'Israël. Et ils ont préféré, comme leurs ainés, (journalistes, dirigeants politiques  ou économiques) ne  pas porter atteinte à leur avenir naissant. Cependant une fois ce constat fait, cette mansuétude à l'égard de criminels et la crainte pour son avenir, illustre si nécessaire: que notre pays sous l'égide de gens cupides et mal intentionnés est au bord de l'implosion économique et intellectuelle.        


Middle East Eye
22-02-2016

Bien que le gouvernement a tendance à arrêter, les universitaires britannique continuent de lutter pour le boycott, le désinvestissement et les sanctions contre Israël.

Une femme palestinienne se tient avec un enfant dans une ruelle à côté d'une peinture murale de l'artiste rue britannique Banksy, peint à l'origine sur le Mur de l'Apartheid en Cisjordanie, a Bethléem, dans camp de réfugiés palestiniens al-Aroub,  dans le nord la ville d'Hébron en Cisjordanie. (le 11 Février 2016 (AFP).

Hier matin je me suis réveillé, comme de nombreux défenseurs des droits humains des Palestiniens, en colère et frustration, car une fois de plus notre gouvernement, un gouvernement conservateur, a pris position en faveur de l'occupation et de l'apartheid.
Le lundi, The Independent est sorti avec une histoire en couverture affirmant que le Gouvernement du Royaume-Uni  établit des plans pour interdire aux organismes publics de boycotter les entreprises "non étiques". Plus précisément, complices de l'occupation et de l'annexion de la Palestine.

Le gouvernement prend des mesures énergiques contre les tentatives des municipalités et autres organismes publics de spolier les organisations complices dans les crimes commis contre le peuple palestinien, en disant que ces décisions apportent divisions et polarisation.
Alors que le mouvement pour interdire le boycott n'a pas fait que diviser et polariser le ministre du gouvernement britannique, Matthew Hancook, qui a qualifié la politique de boycott, désinvestissement et sanctions de «champ politique» et déclare que ces mouvements vont se confronter a notre sécurité internationale.
Ces plans ont été discutés pour la première fois en Octobre 2015 au congrès du Parti conservateur et il est prévu que ces nouveaux règlements soient annoncés lors d'une visite de Hancock en Israël, cette semaine.

Tout cela semble être une réaction au succès de grande envergure du mouvement BDS au Royaume-Uni, et en particulier ses progrès dans les universités et les syndicats d'étudiants. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté a un réel élan en faveur de la campagne de solidarité avec la Palestine, avec plus de 25 syndicats d'étudiants qui ont approuvé démocratiquement une politique de soutien au BDS.
Cela a été rapidement suivie par l'Union nationale des étudiants, qui a aussi démocratiquement voté en faveur de la politique de soutien au boycott.

Dans les conséquences de l'opération "marge de protection" qui a conduit à la mort de milliers de Palestiniens, dont la plus grande majorité étaient des civils, les étudiants de tout le pays ont commencé à prendre des mesures. Ces actions ont eu beaucoup de succès sur les investissements étrangers en Israël qui sont tombés de 46 % et de nombreuses organisations cibles du mouvement BDS ont rompu leurs contrats.

Les actions et le succès du BDS ne se limite pas au Royaume-Uni. Nous avons vu aussi que l'Université de Johannesburg a coupé ses liens avec les universités israéliennes, des étudiants aux États-Unis et du Canada ont voté en faveur du désinvestissement et des milliers d'artistes en Irlande et en Suisse se sont réunis pour appeler à un boycott culturel.
Ce qui a commencé dans la société civile palestinienne semble avoir atteint le monde. Le mouvement a commencé comme le dernier recours de personnes avec très peu de pouvoir qui se sont réunis et fait ce qui était en leur pouvoir pour changer les choses.
Ceci est du parce que les étudiants ont souvent été perçus comme des leaders moraux en exercice et pour longtemps, nous avons soutenu la conviction que nos écoles devraient être l'épicentre de l'éthique et des droits humains. Cette croyance a conduit les militants étudiants à la volonté de changer le monde. Nous nous sommes battus contre la guerre au Vietnam, l'apartheid en Afrique du Sud et le racisme ici à la maison. Nous avons fait campagne sur ces questions au détriment de notre liberté de parole et d'expression.
Le Premier ministre a déclaré que la France sans les Juifs ne serait plus la France. Mais cette France, amorphe devant l'apostasie de nos dirigeants,  est-elle encore la France? Là est la vrai question Mr. Valls...
Et nous avons gagné.
Nous avons gagné parce qu'aucun de ces changements ne peut se produire par sa propre volonté. Les changements sociaux ou humains importants n'ont jamais surgi du néant. Chacun d'eux exige un changement d'attitude des puissants. Ce changement d'attitude est souvent inspiré par les jeunes et les étudiants exigeants qui contestent l'ordre établi.

La mesure proposée par le gouvernement Britannique d'interdire le boycott et écraser la dissidence politique est tout simplement une attaque contre nos libertés démocratiques et notre liberté d'expression. Le gouvernement parle de retirer son engagement des établissements financés par l'État avec conseillers démocratiquement élus.

Nous sommes en colère et frustrés. Cela ne devrait pas nous surprendre. Rappelez-vous que ce soit le gouvernement conservateur de Margaret Thatcher, qui se sont opposés aux sanctions contre l'apartheid en Afrique du Sud et le propre David Cameron été noté  comme celui qui "a fait un voyage tous frais payés par l'apartheid en Afrique du Sud, tandis que Nelson Mandela était toujours en prison ".
Cela ne sert qu'à rappeler aux syndicats d'étudiants et militants étudiantins pourquoi notre travail est si important. Une réaction de cette ampleur est un signe que nous sommes en train de gagner.

La réalité est que les étudiants continuent de lutter contre l'occupation et de l'apartheid. Nous allons poursuivre nos efforts contre les crimes commis par l'Etat d'Israël et desquels nous ne sommes pas responsables. Nous sommes responsables de notre propre conscience et de la posture de nos communautés.


Ali Milani est président du conseil de l'Union des étudiants de Brunel au Royaume-Uni. Ali a fait campagne sur les questions pertinentes pour les étudiants et la libération de la Palestine; Il travaille avec des organisations comme Amnesty international et Amis d'Al Aqsa.

L'avocat du journaliste palestinien en prison dit...



L'avocat du journaliste palestinien en prison dit que les interrogateurs israéliens l'ont menacé de violer, lui et sa famille,  parce qu'il a entamé une grève de la faim
Mondoweiss
22-02-2016
 
Le journaliste en grève de la faim Muhammad al-Qiq, avant son arrestation 

Les agents israéliens ont menacé de violer le prisonnier palestinien en grève de la faim, sa femme et leurs enfants, selon son avocat, Ashraf Abu Sneineh.
"Au début de l'enquête Mohammed dit qu'il serait maintenu en détention administrative pendant sept ans s'il n'avoué pas", a déclaré Abu Sneineh à Mondoweiss par téléphone mercredi matin. Il a répondu, «Je n'ai rien à confesser et ne veux pas poursuivre cette enquête de cette façon."Puis ils l'ont menacé lui, sa femme et leurs enfants de viol".

Après ces menaces al-Qiq a commencé sa grève de la faim, selon Abu Sneineh.
Le tribunal israélien a refusé de transférer le journaliste su Centre Médical HaEmek à Afula pour recevoir le traitement dans la ville de Ramallah en Cisjordanie occupée. Après 86 jours de grève de la faim, l'état de santé d'Al-Qiq se détériore et pourrait mourir à tout moment. "Une ligne fine le sépare de la mort. Mohammed se bat pour sa vie. Il souffre de crampes dans les bras et les jambes et le rythme cardiaque est irrégulier", a déclaré Abou Sneineh.

Une video publié en debut de semaine montre Muhammad al-Qiq sur son lit d' hôpital, criant de douleur et demandant a voir son fils de trois ans.

Selon Abu Sneineh, Israël n'a pas accusé officiellement  Muhammad al-oiq par manque de preuves et par l'incohérence des services d'intelligence.
Comme l'a signalé Jonás Jeremy Bob du Jérusalem Post, les accusations d'incitation sont souvent insuffisants pour la détention administrative.
Faa'a Shalash, l'épouse d'al-Qiq, dit lorsque les forces israéliennes ont attaqué sa maison au milieu de la nuit dans la ville de Ramallah en Cisjordanie occupée, les soldats ont frappé à la porte d'abord avec des armes, puis ont fait sauter la porte avec des explosifs.  "On n'a même pas eu le temps de se rhabiller avant ils ont fait sauter la porte," a-t-il dit Mondoweiss. Puis les soldats ont interrogé al-Qiq avant de l'emmener vers la colonie de Beit El, où ils ont laissé a l'extérieur, menotté et les yeux bandés par un temps froid de Novembre pendant vingt heures et finalement l'ont transféré à la prison al-Jalame, a déclaré Faa'a Shalash.

Malgré la douloureuse absence de son mari, elle croit qu'il se bat pour une plus grande cause. «Si Mohammad ne fait rien, il ouvrira la voie qui permettra a l'occupant d'incarcérer plus de Palestiniens, notamment les journalistes, en détention administrative", a déclaré Faiha'a Shalash.
Après presque trois mois de grève de la faim, Mohammad al-Qiq n'a reçu que très peu de couverture médiatique aux États-Unis et cela arrive à un momentla pression sur les journalistes augmente. Cette semaine, le chef du bureau de Jérusalem du Washington Post, William Booth et un de ses collègues ont été arrêtés par la police israélienne devant la porte de Damas à Jérusalem-Est occupée. Comme pour Mohammad al-Qiq, la police les a accusés d'incitation. Dans une première déclaration, la police les a accusés de «troubler l'ordre public» à des «fins de propagande» et plus tard expliquait que l'accusation originale était "sans fondement".

Peu de temps après, le Bureau de presse du gouvernement d'Israël a publié une déclaration disant: "la liberté de la presse est une valeur suprême dans la démocratie israélienne." Le Washington Post a simplement couvert le cas de al-Qiq, en utilisant les rapports des agences de presse.

Il n'est pas rare que les interrogateurs israéliens menacent de violences sexuelles. Après avoir battu jusqu'au sang  la prisonnière palestinienne Rasmea Odeh, son père Josef Odeh a été amené et a subi des pressions pour qu'il ait des relations sexuelles avec elle, selon Alfred Lilienthal dans "The Zionist connection", devant son refus, les interrogateurs les ont battus avant "d'ouvrir les jambes de la prisonnière et d'introduire un bâton".


lundi 22 février 2016

Plainte contre Israël par les Associations des Droit de l'Homme.



Plainte a été déposée par des Associations de Défense des Droits de l'Homme contre Israël. Israël torture des enfants palestiniens en les gardant en hiver dans des cages à l'extérieur soumises aux intempéries.
 

American Herald Tribune
15-02-2016

Compte tenu de tous les crimes commis par les israéliens (pour être plus exact et plus juste nous les appellerons sionistes), je suis tenté de croire les faits que publie cet article. Ces crimes nous paraissent à nous, gens civilisés, improbables mais lorsqu'on connait la très récente histoire d'Israël et le soutien que cet Etat illégal obtient, de personnalités sans scrupules, il n'y a aucune raison, mais vraiment, aucune raison d'en douter.
Il faut partir du principe que l'on est en face de gens qui veulent jouir du travail des autres, là, vous l'avez compris, il ne s'agit pas exclusivement d'israéliens mais de tous ces escrocs de la pensée qui cherchent à nous imposer la pensée dominante qui finalement ne favorise que ces gens qui croient que faire de l'argent avec l'argent est ou devrait être le but d'une vie. Et a partir de ce principe plus aucun acte criminel est condamnable du moment qu'il rapporte. Si vous pensez autrement, c'est votre droit, mais vous êtes sourd et aveugle a ce qui se passe sur terre...    


Le rapport de Novembre 2015 du journal The Independent cité une organisation de défense des droits des prisonniers palestiniens (PPC) qui affirme qu'au moins 600 enfants palestiniens ont été arrêtés à Jérusalem dans la première moitié de 2015 et environ 40% ont été victimes d'abus sexuels. Le même média (The Independent) a publié un nouveau rapport en Janvier 2016 disant que le gouvernement israélien torturait les enfants et les maintenait  dans des cages en plein air pendant l'hiver.

Le journal The Independent a cité un rapport publié par le Comité Public contre la Torture en Israël (PCATI) disant que «les enfants accusés de délits mineurs ont été menacés, enfermés dans des cages, ont subi des violences sexuelles et des jugement militaires sans représentation».
Après la visite des avocats du Bureau du Défense Publique en Israël (DOP) ont découvert des détails impactant de ce qui se passe dans les locaux du centre de détention.

"Lors de notre visite, qui a eu lieu au cours d'une violente tempête qui a secoué le pays, les avocats ont rencontré des détenus de la prison de Rambla qui ont décrit une image saisissante: "en pleine nuit des dizaines de détenus ont été transférés dans des cages à l'extérieur des prisons" DOP décrit la scène sur son site Internet.
"Ces procédés, les prisonniers attendent à l'extérieur dans des cages, a perduré plusieurs mois et a été constaté par d'autres fonctionnaires".
Le rapport dit: que l'incident de la prison de Ramla, était un exemple d'un large éventail d'abus.

En ce qui concerne les charges pour lesquelles les enfants ont été arrêtés, DOP a cité des chiffres du groupe de campagne, notant que "la majorité des enfants palestiniens détenus sont accusés d'avoir jeté des pierres".
74% de ces enfants souffrent de violences physiques lors de l'arrestation, du transfert ou pendant l'interrogatoire, ajoute le rapport, soulignant qu'Israël est le seul gouvernement qui juge systématiquement les enfants palestiniens dans des tribunaux militaires et que "aucun enfant israélien n'est soumis au système du tribunal militaire".

Seulement au cours des trois premières semaines de Novembre 2014 Israël a enlevé au moins 380 Palestiniens de Cisjordanie et de Jérusalem-Est occupée.
Dans un examen du dossier des droits de l'enfant en 2013 la Convention des Nations Unies sur les droits de l'enfant (CRC). DOP se dit profondément préoccupé par la pratique de la torture et les mauvais traitements des enfants palestiniens arrêtés et jugés par des tribunaux militaires et de police et du fait que l'état Israël ne met pas fin a ces pratiques en dépit des inquiétudes exprimées à plusieurs reprises dans les rapports des  organisations.
Il ajoute en outre qu'il existe "une utilisation continue de la violence physique et verbale, l'humiliation, restrictions douloureuses, l'utilisation de capuches et sacs sur le visage, les menaces de mort, la violence physique, agressions sexuelles contre eux ou les membres de leur famille et restriction de l'accès a la toilette, a la nourriture et a l'eau".

Le rapport de la Convention a expliqué, aussi, que l'armée israélienne a utilisé des enfants palestiniens comme boucliers humains à de multiples occasions.
Selon ces rapports, plus de 7.000 Palestiniens sont détenus dans 17 prisons israéliennes et les camps de détention. Plusieurs organisations des droits de l'homme ont appelé et à plusieurs reprises l'ONU qu'Israël s'abstienne d'arrêter et de torturer les enfants palestiniens, de cesser la poursuite en vertu de la loi militaire et de libérer tous les enfants détenus illégalement.








 




Même aux USA, où a part quelques escrocs de l'information, les Média sont plus honnêtes...



 Même aux USA, où a part quelques escrocs de l'information, les Média sont plus honnêtes...

13 heures journal de Canal+
Un reportage décrivait les difficultés de circuler des autochtones, demandes incessantes de papiers d'identité,  les enfants disparus en allant à l'école, puis l'information des autorités annonçant leur morts et les dépouilles qui ne sont pas rendues  aux familles [...]
"je me suis dit: c'est étrange que canal plus décrive la véritable situation en Palestine, jamais les grand Média français n'ont rendu un bilant exact de la situation. Les information ont toujours été ou presque à charge. Les responsables ont toujours été les palestiniens ou c'est comme cela que les grand média français l'ont toujours présenté."
Dans les faits il s'agissait  du conflit Turco/Kurde et là naturellement j'ai été rassuré, non par peur que ce conflit soit dénoncé, mais parce qu'il me confirme la philosophie de "nos" media relatant différemment les mêmes fait, en fonction d'intérêts partisans.