Dans le
dernier épisode du 23 novembre d' "Un village français" diffusé par
France3, la scène où les juifs qui avaient immigré en Palestine, se font
attaquer par un groupe armé, imprègne dans le subconscient du
téléspectateur une "image"
très éloigné de la réalité Palestinienne de cette époque. Heureusement ou grâce à
l'honnêteté du cinéaste, il y est
précisé aussi que l'embuscade, faisait suite au massacre de Deir-Yassin par les
juifs.
Mais
l'histoire, n'est pas tout à fait celle-ci.
Les Brigades juives sionistes bien armées et entrainés (au nez et à la
barbe du Mandat anglais) se sont rendus coupables d'exécutions sommaires,
pillages, massacres dont Deir-Yassin se détache par sa monstruosité. En effet:
des enfants, femmes enceinte, des vieillards furent froidement abattus et
naturellement tous les hommes en âge de se battre.
L'occupation de la Palestine ne s'est as réalisé au moyen de luttes entre deux groupes nationaux rivaux, mais entre des immigrants juifs principalement d'Europe de l'Est qui, protégés au départ par des hommes en armes (probablement appartenant à la Haganah), occupaient un terrain (souvent en hauteur, construisaient une palissade, un mirador) appelées Kibboutz qu'ils défendaient en déclarant par le fait accompli être les propriétaires de la terre. Le vol de terres est encore de nos jours en vigueur.
L'occupation de la Palestine ne s'est as réalisé au moyen de luttes entre deux groupes nationaux rivaux, mais entre des immigrants juifs principalement d'Europe de l'Est qui, protégés au départ par des hommes en armes (probablement appartenant à la Haganah), occupaient un terrain (souvent en hauteur, construisaient une palissade, un mirador) appelées Kibboutz qu'ils défendaient en déclarant par le fait accompli être les propriétaires de la terre. Le vol de terres est encore de nos jours en vigueur.
Ces Brigades comme le groupe Stern
; l'Irgün ; Lehi ... étaient "chapeautées" par la Haganah (crée
en 1920, embryon de la future armé israélienne, qu'il a intégré en 1948) et qui
commettaient les massacres que la future armée ne pouvait justifier.
Il n'y a
pas un dirigeant
juif de l'Etat d'Israël qui ne soit issu de la mouvance
terroriste, affilié à la Haganah, qui ne soit coupable de
nettoyage ethnique en Palestine, qu'il soit issu du groupe Stern, Lehi ou Irgün
pour ne citer que les plus criminels.
Les
Images que France3 a montré laisse croire à une guérilla entre juifs et
palestiniens, là encore l'histoire n'est pas tout -à-fat celle-ci. En effet,
les villages en Palestine possédaient deux gardes-champêtres armés de vieux
fusils datant de la première guerre
mondiale. Ce n'est qu'au vu des crimes
commis par les hordes juives semant la terreur dans la région, qu'il s'est
formé une sorte de "Brigades internationales" (aux quelles sans doute
des palestiniens s'y sont aussi engagés) qui ont tenté de contenir les
assassins juifs. Brigades composées de musulmans d'autres Nations et en
particulier des musulmans de
Bosnie-Herzégovine.
Si je
cite cette nation, c'est que d'après moi le massacre d'Srebrenica doit
beaucoup à cet engagement. Comment un Général Français Philippe Morillon né à Casablanca a pu désarmer un camp, sans
désarmer l'autre, en sachant qu'en face il y avait des criminels comme MLADIC
ET KARADZIC?
=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=
Les palestiniens sont un Peuple instruit et
pacifique, il a fallu les crimes sionistes pour qu'ils se décident, après la
Création d'Israël en 1948, à prendre les armes. Encore aujourd'hui les informations
que nous sont distillés sur la Palestine, sont un marché de dupes, auquel nos
dirigeants et média s'y vautrent avec délectation …
Les morts
de Deir-Yassin parlent:
Déchirants
souvenirs:
Ainsi
débute un crime contre l’humanité qui encore aujourd’hui est niée par les
instances internationales. A la honte d’hier on rajoute le cynisme
d’aujourd’hui.
Le plan
d’expulsion « Daleth » : « dès le début des années 1940, la direction du
Yichouv a préparé l’expulsion des Palestiniens, puis, en 1947-1948, l’a mise en
œuvre, étape après étape. Un fait parmi bien d’autres, qui contredit la thèse
de l’absence d’intention : la constitution, dès avant la seconde guerre
mondiale, d’un fichier de tous les villages arabes.
Recruté pour s’en charger, un topographe de l’Université hébraïque de Jérusalem « suggéra de conduire une inspection à l’aide de photographies aériennes ». A cette époque la Palestine était sous Administration britannique. Le « Mandat » pouvait-il l’ignorer… ?
Ainsi furent constitués des dossiers détaillés sur chacun des villages de Palestine avec : « les routes d’accès, la qualité de la terre, les sources, les principales sources de revenu, la composition sociologique, les affiliations religieuses, le nom des muktars [chefs], les relations avec les autres villages, l’âge des habitants (hommes de 16 à 50 ans) et bien d’autres choses ». La plus importante était « un index de l’"hostilité" [à l’égard du projet sioniste] à partir du niveau de participation du village à la révolte de 1936. Une liste comportait quiconque y avait pris part et les familles de ceux qui avaient perdu quelqu’un dans les combats contre les Britanniques. Une attention particulière était prêtée aux gens qui avaient prétendument tué de juifs ». En 1948, cette dernière information « alimentera les pires atrocités dans les villages, conduisant à des exécutions de masse. En 1943, Ezra Danin, qui jouera cinq ans plus tard un rôle de dirigeant dans l’épuration ethnique, « de manière explicitement militaire : le nombre de gardes (la plus part des villages n’en avaient aucun) et les quantités et qualité des armes à la disposition du village (en général archaïques ou même absentes).
Recruté pour s’en charger, un topographe de l’Université hébraïque de Jérusalem « suggéra de conduire une inspection à l’aide de photographies aériennes ». A cette époque la Palestine était sous Administration britannique. Le « Mandat » pouvait-il l’ignorer… ?
Ainsi furent constitués des dossiers détaillés sur chacun des villages de Palestine avec : « les routes d’accès, la qualité de la terre, les sources, les principales sources de revenu, la composition sociologique, les affiliations religieuses, le nom des muktars [chefs], les relations avec les autres villages, l’âge des habitants (hommes de 16 à 50 ans) et bien d’autres choses ». La plus importante était « un index de l’"hostilité" [à l’égard du projet sioniste] à partir du niveau de participation du village à la révolte de 1936. Une liste comportait quiconque y avait pris part et les familles de ceux qui avaient perdu quelqu’un dans les combats contre les Britanniques. Une attention particulière était prêtée aux gens qui avaient prétendument tué de juifs ». En 1948, cette dernière information « alimentera les pires atrocités dans les villages, conduisant à des exécutions de masse. En 1943, Ezra Danin, qui jouera cinq ans plus tard un rôle de dirigeant dans l’épuration ethnique, « de manière explicitement militaire : le nombre de gardes (la plus part des villages n’en avaient aucun) et les quantités et qualité des armes à la disposition du village (en général archaïques ou même absentes).
Et aussi.
La déshumanisation des palestiniens:
A propos des «
réfugiés » juifs venant du monde arabe: