samedi 4 octobre 2014

Kissinger a élaboré des plans secrets pour attaquer et bloquer à Cuba en 1976

02-10-2014

Le New York Times, dans l'édition d'hier, qui a publié des documents déclassifiés de la bibliothèque présidentielle de Gerald R. Ford, qui ont révélé les plans tracés pour  des frappes aériennes contre Cuba en 1976, dont la paternité est attribuée au secrétaire d'État Henry A. Kissinger.

Ces documents ont été déclassifiés à la demande d'un groupe de chercheurs américains de la National Security Archive et la révélation apparaît à la page A12 de l'édition de mercredi du journal New York.
On y découvre la convocation de Kissinger a un groupe de hauts fonctionnaires américains pour travailler sur des mesures de rétorsion possibles contre Cuba en soutenant militairement la lutte du peuple de l'Angola, à la demande du gouvernement de ce pays d'Afrique.


Article in-extenso:
Source: http://www.cubadebate.cu/noticias/2014/10/01/kissinger-trazo-planes-secretos-para-atacar-y-bloquear-a-cuba-en-1976/#.VCz4LSWfou1

C'est, aussi, Henri Kissinger (juif allemand) a été l'artisan de la politique américaine au Proche et Moyen-Orient. En d'autres termes, cet à ce personnage écœurant à qui nous devons le conflit en Palestine et qui aujourd'hui souhaite le démantèlement de la Syrie.  
C'est-a-dire, que se criminel a passé son existence à favoriser et absoudre les crimes israéliens, personnage à la responsabilité, dans les crimes que les juifs ont commis en Palestine, qui a égalé la responsabilité d'Hitler dans les crimes nazis. Cela démontre si nécessaire que le népotisme juif est funeste pour la paix dans le monde. 

Si la mouvance islamique a été largement favorisée par les USA, l'hypocrisie de Kissinger et les principes que Georges Kennan a inculqué à l'Amérique sont les responsables des difficultés dans lesquelles se trouve les USA au Moyen-Orient aujourd'hui. Le manque de dirigeants avec une vision du monde loyale, comme pouvait l'avoir le Général de Gaulle, permettent à es escrocs d’enflammer cette partie du monde.
Tous les vassaux aliénés à cet occident-là, perdent leur souveraineté au service d'une idéologie de rapine. Un seul "pays" inverse cette subordination: Israël, grâce au sionisme, qui gangrène de l'intérieur les États Occidentaux en général et la nation Nord-américaine en particulier. 

Il n'y a pas une décision "américaine", qui, y compris la lutte contre le terrorisme, où les visées soient autre que: leur pouvoir économiques et la sauve garde d'Israël.

Personne ne peut ignorer que l'actuelle lutte contre E.I. (John McCain) vise à maintenir la pression sur la région pour : 
a) faire main basse sur les resserves gazières syriennes, 
b) qu'Israël s'empare des poches de gaz en Méditerranée, au large de la Palestine historique y compris Gaza et cet État voleur exploite déjà le gaz au large du Liban...

vendredi 3 octobre 2014

Israël détruit un projet financé par la Belgique



La Libre.be
International
Belga Publié le jeudi 02 octobre 2014 à 06h30 -

De la barbarie pure et simple: 
- La vidéo de l'interview
Une fois de plus une vidéo concernant les méfait israéliens a été masqué.

Puisque les soldats guetteurs, les surveillants (juifs sionistes) de la réputation de ces criminels qui ont cru, par leur chantage exécrée sur des êtres cupides, pouvoir s'exonérer de leurs crimes, on détailler en substance le contenu de la vidéo:
  • Journaliste Belge: l'armée israélienne vient de démolir une installation électrique dans un petit village en Cisjordanie.
  • Ambassadeur de criminels: la démolition s'est réalisé selon le droit international.
  • Journaliste Belge: les colonies respectent elles le Droit international?
Là, hésitation, bafouille, bégaiement de l'ambassadeur...
  • Ambassadeur de criminels: en Cisjordanie il y a des territoires sous  l'Autorité palestinienne, des territoires sous la responsabilité israélienne et des territoires mixtes. La démolition concerne la sécurité d'Israël et respecte les accords conclus avec l'Autorité palestinienne.
  • Journaliste Belge:  quel est le danger d'une installation électrique?
  • Ré-bafouille, hésitation, bégaiement
  • Ambassadeur de criminels:  l'installation s'est faite sans permis.
  • etc. etc.
 Ce que cet escroc ne dit pas, c'est que aucun permis n'est accordé aux palestiniens, que ce soit pour améliorer leur quotidien, construire ou agrandir leur demeure, creuser un puits ( que l'armée a enseveli, la semaine passé) ouvrir même une vanne d'eau sans l'autorisation administrative israélienne, (y compris lorsque les cultures dessèchent sur place).
Non le monde semble l'ignorer, nous avons à faire en Palestine (Palestine Historique) à des criminels de la pire espèce, puisque suffisamment rusés, pour vous pousser à la faute. Et une fois la faute commise c'est sans états d'âme que ces criminels en appellent aux accords, toujours léonins, que vous avez été oblige de signer, par la pression subie ou pour faire preuve de votre bonne foi aux dirigeants du monde, qui finalement s'avèrent être  des criminels par procuration "agents" du vice qui mène à tous les vices: LA CUPIDITÉ.

Pour les sceptiques manipulateurs. Je suis occidental bon teint, dès l'âge de raison j'ai banni le mensonge, le vrai, (celui qui porte tord) de ma vie, j'exècre et je combats ceux qui tirent profit du mensonge.



- La vidéo du Conflit
Remarquons la différence de traitement de l'information, entre les journalistes Belges et les ersatz des grands médias français.
L'armée israélienne a détruit lundi un réseau de transport d'électricité mis sur pied dans un village de Cisjordanie grâce à l'aide financière de la Coopération technique belge (CTB), révèle Oxfam-Solidarité dans un communiqué jeudi. C'est la première fois qu'Israël détruit un projet belge, souligne l'ONG, qui exhorte le gouvernement belge "à condamner publiquement les actions d'Israël et à réclamer des dédommagements pour cette destruction". Les dommages sont estimés à 55.000 euros. L'ambassadeur israélien à Bruxelles a par ailleurs été convoqué dans l'après-midi au cabinet du ministre des Affaires étrangères en affaires courantes, Didier Reynders. Lundi matin, les bulldozers israéliens ont fait tomber 70 pylônes électriques et détruit 4,5 kilomètres de câbles électriques du réseau de transport d'électricité aménagé à Khirbet al-Tawil, un village de l'entité de Naplouse, en Cisjordanie, grâce à l'aide financière apportée par la CTB. "Les poteaux ont ensuite été coupés en morceaux pour éviter qu'ils ne soient réutilisés. Tout le village est sans électricité depuis lors", explique le chef du village de Khirbet al-Tawil, Bassam Akher, cité dans le communiqué d'Oxfam-Solidarité.

Mercredi matin, les villageois ont tenté de reconstruire l'infrastructure mais l'armée israélienne, de retour sur les lieux, a stoppé cette tentative, précise Oxfam-Solidarité.
"Si l'on regarde la période entre début janvier et fin août de cette année, et qu'on la compare avec la même période en 2013, on remarque que 10% de personnes en plus se sont retrouvées sans abri à cause de démolitions. Il s'agit de 823 personnes, dont 448 enfants. Un autre projet belge, l'aire de jeu d'une école maternelle dans le village d'Al-Aqaba, est également menacée de destruction", ajoute le communiqué.
Selon l'ONG, les différentes questions parlementaires font apparaître un manque de véritable politique de la part de la Belgique "pour faire face" à la destruction des projets. Elle a donc appelé jeudi, via Twitter notamment, le gouvernement à condamner publiquement les démolitions et a réclamer "des indemnités à Israël" pour les dégâts.
Le ministre des Affaires étrangères, Didier Reynders, a réagi jeudi matin, déclarant que la Belgique "condamne cette destruction", contraire "au droit international", et demande une indemnisation. "Nous avions déjà pris plusieurs initiatives auprès des autorités israéliennes pour éviter la destruction prévue de longue date de ce projet mis en place en collaboration" avec ces mêmes autorités. "Israël doit accepter que les populations puissent vivre dans des conditions décentes."
Une procédure sera également entamée au niveau européen pour savoir comment "réagir en commun" face à ces destructions, souligne le ministre, et amener ce sujet dans les discussions entre l'Union européenne et Israël. Enfin, l'ambassadeur israélien à Bruxelles a été convoqué jeudi au cabinet de Didier Reynders. "Nous voulons comprendre la raison de ce geste et lui faire part de notre condamnation, de notre souhait de coordination au niveau européen et de la demande d'indemnisation", a expliqué M. Reynders. L'ambassadeur de Belgique à Tel-Aviv a également réagi sur place.
Cet acte préfigure, selon Didier Reynders, les discussions qui se tiendront lors de la conférence au Caire sur la reconstruction de la bande de Gaza, le 12 octobre. "Il faut en effet le minimum de garanties au sujet des installations en passe d'être construites ou reconstruites", a conclu le chef de la diplomatie belge.


Mais, ce n'est pas la première fois que les criminels sionistes détruisent des infrastructures financées par des organisations internationales ou des États européens par exemple. [L’Espagne avait financé une petite centrale photovoltaïque, que ces criminels ont détruit il y a deux ans]  Cet a ces moments que l'on regrette que les vicissitudes qui ont émaillé l'historiographie des communautés juives (pluriel) ne leur ai fait comprendre, qu'ils sont responsables des crimes commis à leur encontre. On ne peut se comporter avec  les autres humains comme ils le font sans qu'un jour, 50 ou 500 ans le "bâton" ne se retourne contre eux.
Aujourd'hui toutes les précautions son prises, acheter les consciences de ceux qui en ont si peu, est aisé, cependant cela coute cher, mais ils ont les moyens. Ce sera un peu plus long, je ne vivrai pas pour voir le droit triompher et le regrette.

mercredi 1 octobre 2014

Le Nouvel Ordre Colonial de lOccident - Tariq Ramadan et Michel Collon

Les "révolutions" fomentées et téléguidés de l'extérieur le sont elles vraiment? N'oublions pas que les Taliban comme les combattants ou terroristes, au choix, du E.I. (...) sont une création occidentale, les premiers pour lutter contre les russes et pacifier la région afin d'y construire un pipeline, qui devait transporter le pétrole du Turkménistan via l'Afghanistan, le Pakistan jusqu'en mer d’Oman.  Le tir leur est sorti, selon l'expression par la culasse. Quand aux seconds, sont utiles à maintenir la pression sur la Syrie et une fois la "révolution" aux commandes, les USA en "grand frère, auront élimine un ennemi d'Israël et pourront s'emparer des resserves de gaz syriennes, qui sont les troisièmes du monde, après la Chine et la Russie.
Les plus stupides ici est Hollande et la France qui n'a rien à espérer des bombardements en Irak, autre théâtre où l'occident s'y est comporté en maraudeur.

Les confessions d'un assassin financier

L'Amérique Centrale et du Sud ont beaucoup souffert de la politique hégémonique et manipulatrice des USA,  c'est une évidence. Cela devrait nous alerter sur les réelles intention de cet État va-t-en-guerre au Moyen-Orient et sur les accointances avec Israël et sa mainmise sur nos Nations par l'intermédiaire de gens à qui nous avons fait confiance et qui s'avèrent être des agent de l'étranger, pratiquant un idéologie asservissante...  

Des colons israéliens se sont emparés de force mardi de 25 appartements dans un quartier de Jérusalem-Est annexé.




Publié il y a 11 heures à 22:22 – Mis à jour aujourd’hui à 03:34

Le vol fait partie des préceptes de la religion israélite ! Je ne sais pas, mais des dogmes du sionisme, c'est sur.
 

Ils ont brisé les serrures et en ont installé de nouvelles
C'est ce qu'a déclaré Mohammad al-Khayat à l'AFP, affirmant que des colons s'étaient introduits à l'aube dans des appartements vacants appartenant à sa famille.
Au total, les colons israéliens se sont emparés de force de 25 appartements à Silwan, un quartier de Jérusalem-Est annexé, proche de la Vieille Ville où se trouve l'Esplanade des mosquées, régulièrement le théâtre d'affrontements entre Palestiniens et colons israéliens qui sont de plus en plus nombreux dans le secteur.
Rapidement, des heurts ont d'ailleurs éclaté entre ces nouveaux arrivants et des Palestiniens, révoltés par cette installation illégale.
Une installation légale selon les colons et les autorités israéliennes
La police israélienne affirme que les habitations appartiennent à Elad, une organisation nationaliste israélienne qui œuvre pour renforcer la présence juive dans les quartiers arabes de Jérusalem-Est.
Mais l'organisation a démenti l'information à l'AFP, en reconnaissant toutefois que de ses militants faisaient partie des personnes qui se sont installées dans les 25 appartements. Elad affirme que c'est la société Kendall Finance qui a acheté les appartements aux Palestiniens.
L'avocat des habitants palestiniens, affirme, lui, que "Kendall Finance" est un prête-nom pour l'organisation Elad. Les clients de Maître Mohammed Dahla affirment qu'ils n'ont jamais vendu ces appartements.
Les autorités palestiniennes condamnent
Nabil Abou Roudeina, porte-parole de la présidence palestinienne, a condamné "avec force l'occupation par des colons des immeubles de Silwan près de la mosquée d'Al-Aqsa avec le soutien de l'armée israélienne" (agence Wafa).
Un autre haut dirigeant palestinien (Saëb Erakat), affirme que le discours de Benjamin Netanyahu, à la tribune de l'ONU ce lundi, a encouragé ces actes : "Ils ont traduit en acte le discours de Netanyahu en s'appropriant ces sept immeubles à Jérusalem-Est occupé". Dans ce discours, le Premier ministre israélien avait affirmé que les colons n'étaient "pas des occupants sur la terre d'Israël".
Un ministre israélien visite
Le ministre israélien de l'Habitat, Uri Ariel, s'est rendu sur place ce mardi en soutien aux colons, comme l'a révélé la chaîne de télévision "10", en diffusant les images de cette visite. Uri Ariel, est membre du Foyer juif, un parti nationaliste religieux, partisan de la colonisation.
Les images de la visite montrent le ministre apposant une "mezouza" sur les portes des habitations en question. Cet objet de culte, lorsqu'il est apposé sur le linteau des portes, désigne une maison comme "juive". 


mardi 30 septembre 2014

L'objectivité vue depuis Tel-Aviv



La "formation" israélienne pour les journalistes étrangers

orientxxi.info
23-09-2014

Du 30 Août au 4 Septembre a eu lieu à Tel-Aviv un séminaire, tous frais payés par le gouvernement israélien pour "apprendre à parler d'un conflit de manière neutre et professionnelle." Le programme comprenait des conférences sur le terrorisme et des sujets militaire et politique, une «visite stratégique" à Jérusalem et dans les zones de conflit, réunions et conversations avec des dirigeants politiques, des universitaires, et des journalistes israéliens. La trentaine de participants, journalistes du monde entier, ont été triés sur le volet.

En France la propagande sioniste participe depuis longtemps à la grande manipulation au rythme de: "la victime c'est Israël, la victime c'est Israël".
Ces "publicitaires" ont malheureusement le gite et le couvert dans la quasi totalité des grands média. Nombreuses émissions ou débats sont composés la plupart du temps aux 3/4 d'invités faisant partie de la nébuleuse pro-israélienne, les écrits trompeurs ou tronqués corroborent la pensée distillé.  

Les jeunes journalistes participants au MIES 2014.  
Séminaire qui traite des Média dans les conflits, Septembre 2014.

«Le conflit est partout. Notre défi est d'en parler." Sous ce slogan attractif le  gouvernement israélien a pris a sa charge les coût de formation de cinq jours à Tel-Aviv. Le Séminaire sur les médias dans les conflits ( MICS ) est une proposition pour les jeunes journalistes du monde entier, les invitant à adopter une vision "plus objective" des actions israéliennes. Une activité de hasbara (1) discrètement financé par le gouvernement de Benjamin Netanyahu.

Les sauveteurs Palestine
"Je préfère que la Palestine devienne le territoire d'Israël, plutôt que de la voir tomber dans les mains du Hamás", les organisateurs du séminaire «Médias et conflits», a averti que l'entrevue est off (achevé en anglais N. T.), ce palestinien à ne nous donnera pas son nom, craint pour sa vie. Et explique que si quelqu'un savait ce qu'il pense, il serait en danger de mort. Il travaille dans l'immeuble, "avec Arabes et Juifs et tout va bien,» a-t-il dit. Selon lui, cette situation et les morts qui s'accumulent au cours des dernières années sont la faute du Hamas, qui utilise les Gazaouis comme boucliers humains. La résonance avec le discours prononcé par l'armée israélienne est surprenante.
Parmi les seize groupes impliqués dans le MICS trois sont Palestiniens et les trois soutiennent la politique israélienne. Là est toute l' "impartialité" proposée par la formation. Le message est fortement explicite: Israël nous sauvera tous. Barak Raz, ex porte-parole et ancien chef des opérations militaires, est présentée dans le séminaire comme «un sioniste fier qui aime et recherche l'occasion de partager, de temps en temps, des pensées et impressions sur la situation en Israël et dans la monde. "

Il a dit que "Mahmoud Abbas et le Fatah sont bien conscients que seul Israël peut maintenir l'ordre et de la sécurité en Cisjordanie. C'est pour cela  qu'ils nous laissent 'intervenir. "La vision d'Israël est défensive et protectrice et son armée est une «force de défense» (2). Miri Eisin, un colonel à la retraite et maintenant professeur de géopolitique dit qu'Israël a la nécessité de diffuser ce message, parce que les médias étrangers montrent un seul côté du conflit, qui se réfère à des Israéliens comme des envahisseurs. "Si vous choisissez de montrer des soldats et des chars, vous optez pour l'occupation. Et suppose donc qu'il y a violence à cause de cette occupation. Toutefois, si vous choisissez de montrer les bombes du Hamas, vous montrez qu'il y a violence et suppose que l'occupation est nécessaire pour lutter contre cette violence. Malheureusement, les médias occidentaux ont décidé de montrer uniquement l'occupation”.

Cependant, Israël est là pour Gaza. Banyan Sharon, un ex-officiel de l'armée qui a démissionné en Octobre 2013 maintient toujours des liens étroits avec le corps militaire et aime à souligner les efforts déployés pour soutenir les Palestiniens. "Nous leur avons donné la meilleure partie de la côte. Nous leur permettons de construire des hôtels de luxe sur la côte et vous pouvez voir si vous y allez." A ensuite à souligné que le Hamas a détruit tous ces efforts et a transformé la vie des gens en un cauchemar". l'usine d'Ashkelon fournit toute l'électricité dont Gaza a besoin. Cependant, les combattants du Hamas l'ont pris comme un objectif légitime et ont tenté de lancer des missiles à plusieurs reprises". Schlomi Fogel est un homme d'affaires influent qui prétend qu'Israël soutien tous les pays arabes à travers des relations commerciales s'élevant à plus de 5.000 millions d'euros. "En tant que journalistes, vous devez faire attention à ce qui se passe sous la table", il conseille.

Cet enfant doit mourir
Les journalistes occidentaux prennent la question comme il leur semble. Paul Hirschson, porte-parole du ministère des Affaires étrangères d'Israël, afirme que "ce qui s'est passé à Gaza n'est pas du journalisme. Les questions fondamentales n'ont pas été posées, ils [les journalistes] savaient qu'ils ne faisaient pas bien leur travail." Hirschson fait référence en particulier aux enfants de Gaza. "Personne des forces de défense d'Israël veut tuer des innocents" , a dit Arie Sharuz Shalicar porte-parole dans l'Union européenne, "mais nous y sommes obligés, quel choix avons-nous quand nous les voyons courir vers nous avec une ceinture d'explosifs? ", poursuit-il. Avec l'appui des documents photographiques, les conférenciers accusent le Hamas d'utilisation indigne de leurs propres familles comme boucliers humains. Les missiles sont sur ​​le toit d'un immeuble voisin à une école, un hôpital, un centre pour les Nations Unies...

Boaz Ganor, fondateur et directeur de l'Institut international pour la lutte contre le terrorisme, a déclaré que "il ne connait aucune armée au monde qui a dû faire face à une situation de cette complexité." Très triste, mais légitime et inévitable pour touts les porte-parole de l'armée. L'objectif de toute opération militaire israélienne n'est pas de tuer la progéniture bien-aimé de ses voisins, mais de protéger les siens. Banyan, lors de la visite des participants au séminaire à Sderot, insiste: «Quand la sirène sonne tu n'as que quleques secondes pour choisir quel enfant tu vas sauver. Si vous avez trois enfants qui jouent sur ​​trois sites différents, tu ne vas pas avoir le temps de les sauver. C'est une situation intolérable. "C'est un discours répété mot-à-mot par plusieurs orateurs et entouré par le témoignage émouvant des parents qui ont perdu leur enfants. Il n'y a aucune mention qui est faite des abris dans chaque maison à Sderot pour s'abriter des missiles. Ni présence de parents palestiniens qui ont perdu un ou plusieurs enfants. La compassion et l'empathie deviennent des armes au service de la légitimation de l'action militaire.

La «formation» se transforme en un discours digne des plus grandes campagnes politiques. Les organisateurs sont présentés comme des étudiants ou anciens étudiants intéressés par les relations internationales. Mais, qui paie tous les frais de ces cinq jours (hors billet d'avion pour se rendre à Tel-Aviv), l'autobus privé tous les jours à leur disposition et le séjour dans un hôtel de 150 $ par jour? En plus du salaire de porte-parole militaire, en majorité de haut rang, ou le porte-parole militaire, qui se relaient à chaque activité.

Ce séminaire nommé "professionnel" a débuté en réalité en 2009 par l'initiative d'anciens membres de StandWithUs Israël, un groupement anti-palestinien avec siège aux Etats-Unis et généreusement appuyé et financé avec coup de millions de dollars par Israël. Le projet fut approuvé et compte avec l'appui financier département diplomatique (maintenant engobé dans le bureau du Premier ministre). En 2012 le rapport Molad a signalé, en référence aux MICS que "le ministère des Relations Extérieures organisait un séminaire annuel [...] pour les membres des médias et journalistes européens pour développer des relations plus intimes et personnelles permettant une attitude plus positive de la politique intérieure et extérieure d'Israël".  Dans un article de 2010, Conflict Reporting 2010: Lessons from Israel, Howard Hudson, es-éditeur du Centre Européen de Journalisme, affirma  que les diplômes décernés à la fin de la formation ont été scellés par le service de la diplomatie. La "cérémonie" de graduation est toujours tenue autour d'un buffet accompagné d'un verre de rouge ou de vin blanc. Mais le sceau  du ministère a disparu. Comme la conférence de presse officielle qui approuva les cours du MICS. Reste l'environnement étudiant et un grand sens d'appartenance à une même communauté, qui cultivé avec enthousiasme et fidélité par les étudiants de Herzliya.

Une communication agréable
Et à force de bons sentiments, le séminaire devient un camp d'été. Les 18 journalistes du monde entier, sélectionnés parmi plus de 300 candidats entre 20 et 30 ans. La plupart récemment sortis de l'école, d'autres commencent leur carrière. Ils arrivent frais et plein d'enthousiasme pour les organisateurs du même âge. L'ensemble est un petit camp, les "gardiens" rappellent à l'ordre ces jeunes «recrues» incapables de se discipliner.

Israël, l'endroit où sont dirigés tous les yeux depuis ​​des décennies, est la terre promise pour le journaliste qui n'a jamais mis les pieds dans une zone de guerre et aspire à s'accomplir dans cette zone du journalisme. Qu'elle fierté d'être là! Toutefois. Après de heures de conférences de la chaîne, mais dans l'audience très peu prennent des notes. Très peu lèvent la main en signe de protestation contre les discours dirigés. L'oreille semble attentive, est déjà suffisant. Tout le monde réserve ses forces pour les soirées nocturnes. Selfies, visites de clubs nocturnes et les dîners de pizzas est l'information privilégié des jeunes yuppies de la capitale israélienne, qu'ils utilisent pour oublier les bombes qui pleuvaient sur ​​Gaza il y a seulement une semaine.

Parce qu'au fond ces Israéliensont de bonnes ondes. Pas de violence dans les mots, sont considérés attentionnés, très affectueux. Respectueux de tous. D'autre part  Israël n'a jamais violé les droits civils des palestiniens en 60 années, proclame l'avocat Elyakim Haetzni. Là, au moins, les recrues se réveillent. Et un murmure plane sur la salle.
Mais rien de plus, il ne faut pas casser la bonne ambiance qui règne entre nous. Cela a été la seule véhémence journalistique de la semaine. Le séminaire se termine. Seulement deux des 18 participants ont dénoncé clairement la propagande sioniste. Les 16 autres reçoivent fièrement un certificat de reconnaissance lors de la cérémonie de clôture. Sans pensée critique, aucune réflexion personnelle de part de ceux qui se posent comme les "plumes" de demain. Israël et sa stratégie de "communication amicale" peuvent être fiers de son succès. Et nous nous préoccupons de cette manipulation trop facile de jeunes esprits dans le monde des médias.
Il n'y a rien d'étonnant a cela. Dans nos écoles de journalisme, comme a Sciences Po, les professeurs façonnent ces jeunes cerveaux, non à un journalisme de légende, mais à un journalisme de brocante.
Pour avoir assisté à une Conférence que Jeff Halper, anthropologue israélien, avait donné à Sciences Po Strasbourg, sur l'agression israélienne à Gaza, je peux vous affirmer que déjà au début des années 2000 le cerveau de nos jeunes étudiants en politique internationale était déjà ramolli. En effet, la première question fut accordé d'office au représentant des étudiants et au lieu de poser la question sur les tenants et els aboutissant de l'agression ou sur la reconstruction de Gaza, ce jeune "étudiant" demandait à Jeff Halper: "où en étaient les luttes intestines entre Fatah et Hamas", des 6.000 victimes 1600 tués dont 450 enfants, rien, passé par pertes et profits. Quand à moi je lui posais la question de savoir: "Qui ou quoi, permettait l'impunité d'Israël?"  Jeff Halper me fit comprendre qu'il ne pouvait pas me répondre, et il m'a demandé si l'on pouvait se rencontrer, malheureusement j'avais un autre rendez-vous le soir même. Jeff Halper est un de ces juifs intelligents qui ne demandent qu'a vivre en paix avec les palestiniens.    

Notes
(1) Hasbara, un mot hébreu qui signifie "explication" ou "illumination", se réfère a la politique de communication et à la propagande israélienne dirigée vers l'opinion internationale.
(2) L'armée israélienne se autoproclame "Armée de Défense d'Israël" ou "Forces de Défense d'Israël", qui se traduit en hébreu par le sigle IDF. 


Je ne trouve pas d'autres mots pour exprimer ma stupéfaction: "Les israéliens et tous ceux qui les soutiennent, juifs ou non, sont des êtres sournois, il n'y a pas d'autre mot". Comment une communauté avec autant d'hommes instruits peut-elle se vautrer dans tant hypocrisie?  C'est remarquable, les juifs les plus fanatiques (extrémistes ou pas) lorsqu'ils expriment un souhait on a vraiment l'impression qu'il pensent que c'est "parole d'évangile". Leur réflexion va inlassablement vers la direction qui leur procure le plus grand bénéfice, indépendamment de toute justice. Tant de pharisaïsme voué a faire le mal, est inimaginable dans un cerveau en possession de ses facultés.  

lundi 29 septembre 2014

L’immense piège des bombardements en Syrie




19 septembre, 22:27

© Photo: AP

Que dissimule, en réalité, l'offensive aérienne longuement préparée contre l’EI ? Inutile de répéter que la cible finale n’est pas la Syrie. La cible finale, c’est Assad.
Obama a donné l’ordre à ses armées de réduire à néant les foyers de l’EI dispersés non seulement à travers l’Irak mais aussi à travers la Syrie. Comme l’armée américaine a davantage l’habitude de bombarder que d’effectuer des opérations terrestres forcément risquées, les pays en question peuvent s’attendre à une pluie de bombes non moins destructrice que le fut celle qui eut raison de Tripoli. Mieux encore ! Enfin … pire pour les autochtones – ils seront surtout bombardés par des drones la vie d’un pilote otanien valant son pesant d’or. Que dissimule, en réalité, cette offensive aérienne longuement préparée ?
Inutile de répéter que la cible finale n’est pas l’Irak, un pays qui ne s’est presque pas relevé de ses ruines avec un Maliki plutôt contrôlable quoiqu’enclin la rébellion. Que non ! La cible finale, c’est Assad.
Revenons en arrière et schématisons. D’abord il y a eu le massacre sous la fausse bannière de la Ghouta, ensuite la liquidation de l’arsenal chimique du pays qui aurait résulté de ce massacre coordonné par le renseignement turc. A partir de là, la Syrie sembla quelque peu oubliée. Or, après 6-7 mois de campagne américaine en Ukraine, une campagne franchement nulle, on a subitement vu apparaitre l’EIIL avec un certain Al-Baghdadi, Calife autoproclamé, à sa tête. Aux massacres des minorités refusant de se convertir s’ajouta la dure réalité de l’exil et le remue-ménage de la presse occidentale pour qui Al-Baghdadi n’était qu’un prédicateur radical tombé du ciel. Il a fallu attendre l’exécution (réelle ou pas, qu’importe) du journaliste américain James Foley suivie de deux autres exécutions du même type pour pousser l’OTAN à lancer une opération étendue en Irak et en Syrie, cela malgré la réticence de Damas et la non-approbation de l’ONU.
Toujours aussi originaux dans leur façon d’agir, les USA entendent armer l’opposition syrienne contre l’EI. L’opposition syrienne ou pseudo-syrienne, donc, principalement, le Front al-Nosra dont on fait mine de se demander s’il est oui ou non encore radical. Cette décision surréaliste intervient après la signature d’un accord entre l’EI et Al-Nosra, accord passé sous silence par le mainstream occidental.
Parallèlement, M. John Kerry nous apprend que la Syrie doit rester à l’écart de l’opération car il ne s’agit pas d’ « un combat en coopération ». Si la Syrie n’est pas appelée à participer, elle doit néanmoins tolérer sur son sol les pluies de drones qui l’attendent sans – dieu l’en préserve ! – abattre ne serait-ce qu’un seul drone, quelle que soit sa trajectoire !
S’il arrivait par hasard qu’un drone soit abattu par l’armée régulière, Obama donnera l’ordre de « balayer le système de défense aérienne syrien (…) » et de « destituer M. Assad ».
N’est-il pas d’emblée clair qu’un ou plusieurs drones seront joyeusement abattus pour faire ensuite porter le chapeau à Bachar el-Assad ?
Mais c’est là qu’intervient ce qu’Alain Rodier a qualifié dans son intervention pour Atlantico de « détail poutinesque ». Si l’on résume, il s’agit d’une allusion à une éventuelle riposte de la Russie qui défendra non seulement ses intérêts à Tartous mais aussi son statut d’exportateur numéro 1 d’armements en Syrie, car il est certain que les forces aériennes de l’OTAN frapperont autant les sites de l’EI que les usines d’armement du pays. Or, c’est là que le bât blesse. Si la Russie contre-attaque, c’est encore Assad qui en va en assumer toute la responsabilité. Si la Russie ne contre-attaque pas, il n’est pas dit que la Syrie pourra indéfiniment résister à une invasion longue de trois ans et qui n’est pas loin de son point de culmination. Qui plus est, Obama tient trop à en finir avec Assad pour ne pas sacrifier quelques misérables drones.
Dans la logique d’un plan qui semble maintenant cristallin, Al-Nosra, de nouveau armé par Washington, achèvera de faire le ménage. Voici pour l’enchaînement des faits à travers lequel transparaît l’immense piège que les USA ont tendu à Assad et, indirectement, à la Russie. Reste à savoir comment le déjouer. T

Doit-on bombarder les islamistes ?



Quelque soit le support, les supplétif du pourvoir décadent d'une république aux ordres, défendent l'idéologie voulue universelle. C'est ainsi que ces supplétifs défendent l'idéologie citée,  posent la question à l'interlocuteur, qui n'y adhère pas, de savoir si: "faut-il OUI ou NON bombarder les factions de la mouvance terroriste islamique?". 

L'interlocuteur pris au piège entre un soutien à des terroristes et un engagement pour la soi-disant démocratie, sa réponse est immanquablement : OUI.

Pourtant nous ne pouvons que constater qu'il n'y a pas un seul cas où la démocratie y a été amenée, bien au contraire, c'est la désolation la plus complète qui y règne. L'à où l'Occident prétendait y imposer un soi-disant système démocratique par la force des armes, c'est à la déstabilisation du pays, à la mise-en-place d'un fantoche et au pillage des ressources, ce à quoi nous avons assisté.   

Réfléchissons un peu:
  • Après la défaite de l'empire Ottoman, l'Occident (la France et l'Angleterre) et les accords secrets Sykes-Picot du 16 mai 1916, ces deux Etats se partagent son empire, l'Afrique par exemple suivit le même sort et des frontières artificielles sont établies au Moyen et Proche-Occident et aussi en Afrique, sans tenir compte de l'historiographie de ces territoires. (Frontières contestées et qui aboutissent encore de nos jours aux sempiternels conflits. 

  • Dans ces condition, poser la question de manière a ce que la seule réponse possible soit OUI ou NON est une manipulation, (l'Occident aujourd'hui avec les USA, Israël sont passés maitres dans sémantique qui mène à cette manipulation et tiennent au bout de leur laisse les moutons européens) car c'est une évidence une réponse loyale ne peut y être apporte par ces simple mots.

  • Du non respect de ces accords, du non respect de la Conférence de San Remo, du non respect de la Déclaration Balfour, du chantage qu'a représenté le vote à l'ONU de la résolution 181 du 29 novembre 1947, nait le conflit le plus injuste et le plus vieux de la planète, qui sert, à tort ou à raison, de comburant à la résistance anti occidentale du monde musulman, et c'est là, le premier élément réponse à la question posée. Car la mouvance islamique terroriste a été largement favorisé et entretenue par l'Occident.

  • Le deuxième élément de réponse est l'impérialisme occidental (incarné, principalement par les USA, mais aussi par l'Europe et Israël) qui s'est toujours autorisé à considérer que l'exploitation des richesses et matières premières que renfermait le sous-sol de ces pays, comme faisant partie de ses prérogatives personnelles. La  déclaration de Georges Kennan et la politique menée par cet Occident en atteste.

Exemple: Le Général Mohammad Mossadegh , est un homme d'État iranien, Premier ministre d'Iran par deux fois. Connu pour avoir nationalisé l’industrie pétrolière iranienne en 1951, il reste, dans de nombreux pays, une figure du nationalisme iranien.
Dans toute l’histoire universelle, il n’y a pas un seul conflit où l’occident y est mêlé qu’il n’en soit pas à l’origine. Le conflit du Proche et Moyen-Orient, où des frontières artificielles fixées arbitrairement  tracés par les britanniques et les français,  n’y fait pas exception.  Les hommes qui les ont tracées ne connaissaient rient des liens tribaux qui sont l’essence culturelle du Moyen-Orient.
Dans l’histoire récente il y a l’Iran du Shah (Pahlavi) qui en 1952, et suite à la déclaration de George Kennan et la brutale affirmation des priorités américaines, Mossadegh est écarté du pouvoir et le Chah d’Iran, grâce en grande partie au soutient que la CIA apporta aux conjurés. Dès son arrivé, le chah est assisté par le général Norman Schwartzkopf, (père du général de triste mémoire qui mena la guerre du golfe) pour former avec le Mossad la terrible police secrète, la SAVAK. Le peuple d’Iran entame une longue période de souffrances. (La SAVAK une des polices les plus répressives au monde, rarement égalée y compris pendant et après l'ayatollah Khomeiny, jusqu'à Hamadinejad, que les israéliens et les occidentaux voudraient nous présenter comme étant le danger imminent à la destruction du monde…).
L'histoire de la Palestine, nous la connaissons, de l'Irak, de l'Afghanistan, la Libye, du Mali, de la République Centre-Africaine, de la Syrie ou de l'Ukraine aussi. Enfin toute personne qui s'intéresse au monde dans lequel il vit et ne s'arrête pas à toutes les balivernes qu'expectorent les soi-disant journalistes.

Sans oublier bien entendu, comme pour Pearl-Harbour ou les attentats du 11 septembre du WTC, que le très finaud Occident à toujours su se servir des opposants et les mener à, ou leur permettre d'attendre, un demi objectif, qui au final allait justifier ses visées.
La mouvance terroriste islamiste (à ne pas confondre avec l'Islam, mais que les escrocs de la pensée -principalement pro-sioniste- pourtant confondent) colle parfaitement aux visées américaines et israéliennes,  justifiant l'hégémonie des premiers et l'aide et l'absolution qu'il apporte au second.
Au cas de l'Europe il faut ajouter un autre élément (sans oublier l'Holocauste, le génocide des juifs par les nazis) c'est que nous élisons des dirigeants favorables par leurs origines ou par le remords qu'a pu, justement engendrer l'Holocauste, qui n'ont plus la vision patriotique aujourd'hui, que tout dirigeants doit posséder, pour se soumettre à l'idéologie mondialiste qui soumet les peuples et au lieu d'agir pour le bien de la Nation, donc de ses populations, œuvrent dans l'intérêt de cette idéologie et pour leur intérêts exclusif, intérêt que permettent les tenants de la globalisation car c'est autant de pression sur les population puisqu'ils s'enrichissent à ses dépends.
        
En résumé: l'Occident à favorisé l'actuelle mouvance islamique, comme il l'a toujours fait, Le premier False-Flag du XXI siècle, qui voudrait justifier la déstabilisation et le pillage des richesses d'Etats moins bien armée que lui.
On croit qu'en Syrie, parce que c'est rarement dit, il n'y pas de richesses! En même temps, ou presque, que l'on a découvert des poches de gaz au large  du Liban, de la Palestine historique, on découvert, aussi, que la Syrie possédait les troisièmes réserves de gaz du monde avant le Qatar et après la Russie et la Chine, que le Nord de l'Irak (Kurdistan irakien) renferme la  majeur partie du pétrole irakien, que le bombardement de l'Irak et la Syrie est devenu indispensable!

Ce qui explique la déstabilisation de l'Ukraine pour atteindre Poutine, et le dénigrement toujours grandissant de la Chine, qui opposent leur VETO à toute sanction contre Bachar el-Assad ou contre l'Iran par exemple.

Sans l'hégémonie occidentale il n'y aurait pas eu, sans doute,  de révolution iranienne, l'Irak était parfaitement équipé pour lutter contre le terrorisme, il n'y aurait pas eu de révolution en Syrie, Ukraine, l'élection égyptienne n'aurait pas été invalidés par le renversement du Président Morsi (élu démocratiquement) pour y mettre l'actuel fantoche, le Hamas (démocratiquement élu) ne serait diabolisé et Israël n'utiliserait pas la Bande de Gaza pour y présenter sa panoplie commerciale d'armes, la Palestine (depuis les Ottomans) n'aurait pas cessé d'être un havre de paix pour les juifs, musulmans, chrétiens...

Comment peut-on faire de l'assassinat de deux milles de personnes (WTC et...), une cause internationale en oubliant les racines de l'assassinat  de dizaines de milliers d'autres personnes ou l'spoliation de millions de palestiniens. Car nul ne peut cautionner ni absoudre, à moins d'être un fourbe, déloyal, un hypocrite, ce qui s'est passé à Gaza...


A bon entendeur.