mercredi 27 février 2013

La Banque d'Investissements.



Ce matin mercredi 27 février 2013,  Ségolène Royal interviewé par Jean-Jacques Bourdin, répondait sur les prérogatives de la nouvelle Banque d'Investissements. 
Sans porter de jugement sur la réelle utilité de la banque, sur les interrogations qu'a soulève M Bourdin, je dois avouer mon incompréhension.  

Hier soir sur Arte, une émission expliquait en détail les difficultés de l'Irlande. De la manière dont elle à été amené à emprunter, pour rembourser les porteur de titres, autrement-dit, la Banque Européenne (BCE) à obligé un pays à s'endetter pour rembourser des banquiers. Parmi eux des banques allemandes, anglaises et françaises.

Dans ces condition, quelque soit les mesures  que nos dirigeants prennent, si les États ne sortent pas du système actuel, c'est-a-dire, tant que les États seront soumis aux banques privés, aucune mesure, quel-quelle soit, ne pourra fonctionner. C'est une évidence.

Aujourd'hui encore, je me demande comment est-il possible que l'on ait pu aliéner des Nations et ses populations, à la finance privé. C'est un crime. 

Crime dont Georges Pompidou, (ancien directeur de la banque Rothschild, Premier ministre du Général de Gaulle, Président de la France.) a été à l'origine de ce que l'on peut qualifier, aujourd'hui, de esclavage moderne. Comment un homme a pu commettre une tel blasphème envers d'autres hommes ?  M Dominique Strauss-Kahn, quant à lui, sous la Présidence Mitterrand c'est donné à la facilité, faisant appel sans retenue au crédit privé pour financer sa politique. Il a été le Ministre des finances le plus malveillant de la V République. 
Un chef d'entreprise qui aurait fait appel au crédit pour financer les dépensés courantes au point de mettre en péril sa société, pourrait  être mis sous tutelle. 
Dans la lancée du manque de discernement de nos dirigeants, Nicolas Sarkozy poursuivit cette politique d'emprunts, qui hypothèque pourtant l'avenir de nos enfants, sous des annonces contraires. François Hollande poursuit sans vergogne la même politique et est fier d'emprunter, soi-disant à un taux négatif, or un service d'une trentaine de personnes a comme mission de consulter journellement les banques privés, sur une liste pré-établie, choisies par Élysée afin de continuer d'emprunter. 

Pensez-vous une seule seconde que les escrocs de la finance n'y retrouveront pas leur compte ? Nos dirigeants ne nous veulent pas du bien.



Si je prends l'exemple des USA, la Banque Centrale Américaine continue à jouer son rôle total et entier. Comment se fait-il qu'en Europe, la finance privé ait autant d'influence ? Au point de dicter la politique économique et sociale aux États ? Et contrairement aux États-Unis, prête l'argent aux États Européens pour financer leur politique.
Est-ce que les dirigeants Américains seraient plus honnêtes et plus fidèles à leur État, que ne le sont les dirigeants européens ? C'est une certitude. 

Si je prends l'exemple français, par rapport aux USA, il y a deux fois plus de parlementaires, Députés et Sénateurs en France qu'aux USA. Pourtant, l'état ds finances françaises mériterait de se pencher sur la question et au lieux de voter des mesures restrictives pour la population, on pourrait envisager de réduire le nombre de parlementaires nationaux, en les transférant, par exemple, au Parlement  européen. Aujourd'hui il est trop tard, les députés européen ont été élus. Mais, il aisé de comprendre qu'il y a un double usage d'une même compétence. Cela coute cher, mais est-ce que nos dirigeants s'en émeuvent ? Non, tant qu'il pourront exprimer les citoyens, ils continueront de profiter de la manne avant la guillotine...  

La plupart des dirigeants Européens ruinent leur pays, fomenter des guerres ruineuses pour des motifs idéologiques (laisser croire que c'est pour y installer la démocratie s'est nous prendre pour des cons)  ou laissent faire, à la condition (la seule ) qu'ils ne perdent aucune de leurs prérogatives et même s'en accordent de nouvelles, quand au même moment, ces dirigeants abrogent ou diminuent les avantages sociaux y compris jusqu'à créer des difficultés aux retraités, (à ceux qui par leur travail ont permis à l’État d'exister jusqu'ici). Ces politiques se servent de l’État, au lieu de l'engagement pris en se présentant à une élection, qui est celui de servir l’État.

Est-ce que s'est mieux aux USA ou encore dans le pays qui abandonnent leur légitimité à la finance ? Non, aux USA les retraités perdent leurs économies parce que des truands on décidé de faire main basse sur ce "magot". Je dis qu'en Amérique l'Administration gouvernementale n'est pas assujettie à la finance privé.   


En dehors, de la politique qui se dessine en Occident : l'appauvrissement des populations, il est clair qu'une caste supranationale en tire tous les profits. 
Dans ces condition lorsqu'un gouvernement demande à ses populations de faire des efforts, et que ses propres dirigeants s'en abstiennent, que nos gouvernant ne commencent pas par nous donner l’exemple, c'est qu'il se prépare de lendemain nauséabonds.   

Nous sommes gouvernées par des truands, je parle des véritables tenants du "manche", pas les girouettes que nous élisons.

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