Au temps où les Etats s'endettent les pots-de-vin des marchants fleurissent.
La doxa actuelle
qui voudrait s’imposer contre les principes que l’humanité a jugée utile d’accepter,
comme les Droit de l’Homme, le Serment d’Hippocrate […] est l’illusion que
cette doxa veut imposer à la population mondiale.
C’est le rêve
des dictateurs, despotes, tyrans […] pour y parvenir est essentiel de faire adhérer
(par tous moyens) à ses principes des collaborateurs avec le titre de « maitres »
(comme leurs commanditaires) sans leur avouer qu’ils sont et ne seront en fin
de compte que des « contremaitres ». Et nous constatons-là, moyennant
finances, l’adhésion de ces subalternes à une philosophie criminelle, puisque
tel est le concept, que ne peut masquer une pandémie créée de toutes pièces avec
la volonté de réussir avec des virus, là où les Romains ; Hannibal ;
Attila ou Hitler avaient échoué avec des armes. Bien qu’il faille
reconnaitre à ce dernier la volonté d’y inclure la médecine pour le servir d’avantage
lui que la cause. Comme l’avait fait le franquisme ou le sionisme.
Les guerres bactériologiques existent, leur but reste cependant un peu trop voyant, la pandémie est de ce point de vue bien plus intéressant.
En effet, le
constat est fait que promouvoir des guerres afin de prétendre à une domination globale
est désuet, y compris si le rapport influence/argent est intéressant, il n’atteindra
pas le but recherché par la doxa, qui est la domination des êtres avec leur
accord, des esclaves consentants en quelque sorte y compris avec des libertés
choisies par les maitres.
Naturellement
cette liste n’est pas exhaustive puisqu’elle ne concerne que la France, mais
cela vous donne une idée liée au principe de l’adhésion des contremaitres et
des laquais.
Se rend on
compte, qu’il n’y a pas si longtemps la plus-value que procurait le travail est
balayé par des capitaux imaginaires qui génèrent la dette des Nations ! Et
sont distribués moins pour qu’ils soient remboursés que pour parvenir au but de
la doxa. Balayant tous les principes dont l’humanité s’était imposée pour remédier
aux atrocités générées par les esprits cupides.
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