lundi 19 mars 2012

Fusillade à l'école juive Ozar-Hatorah


Par lefigaro.fr, Jean-Marc Leclerc  publié le 19/03/2012 à 09:06

L'école juive Ozar-Hatorah, dans le quartier résidentiel Bonnefoy à Toulouse.

Un homme a ouvert le feu ce matin sur un groupe de parents et d'enfants devant le collège juif Ozar Hatora. Un enfant serait grièvement blessé. La police indique que le tireur pourrait être celui qui a abattu trois militaires à Toulouse et à Montauban la semaine dernière.

Fusillade mortelle ce matin devant l'école juive Ozar-Hatorah, dans le quartier résidentiel Bonnefoy à Toulouse. Selon la police, un homme a tiré vers 8h10 sur un groupe de 4 à 5 personnes, en tuant au moins trois personnes: un professeur et ses deux enfants. Au moins un autre enfant est grièvement blessé.
Selon Patrick Rouimi, un des responsables des parents d'élèves, l'individu a ouvert le feu sur des gens qui attendaient à un point de ramassage scolaire informel.
Le tireur présumé a fui à bord d'un scooter noir, selon des témoins. La police indique que l'arme utilisée est un 11.43 , le même calibre utilisé par l'homme qui a tué des militaires la semaine dernière à Toulouse et à Montauban. La police pense qu'il pourrait s'agir du même tueur présumé. Il aurait également utilisé un 9 mm.
Le ministre de l'Intérieur Claude Guéant est attendu sur place en fin de matinée. La place Beauvau a par ailleurs demandé aux «préfectures de toute la France, particulièrement dans le Sud-Ouest, de renforcer la surveillance et la vigilance autour des lieux d'enseignement israélites».



Naturellement toute personne psychologiquement saine ne peut que condamner ces crimes, de tels actes, mais que Monsieur Prasquier (Président du C.R.I.F.) aille à Toulouse faire son prêche antijuif, est en soi, une injure aux victimes juives, mais aussi à tous les victimes quelque fusse le bras armé qui les a assassinées.  Il ne peut y avoir que les nains intellectuels, journalistes ou personnalités, pour croire à l'homélie de ce criminel par procuration. 
Medias qui ont pratiqué l'omerta, quasi totale, sur l'agression de l'armée israélienne à Gaza en particulier ou sur les victimes quotidiennes que fait le gouvernement israélien en Palestine et les colons juifs en Cisjordanie, ce sont des journalistes pour "moutons de  Panurge" incapables d'agir avec loyauté.
Je pense principalement à ce "journaliste" de la matinale de RMC faisant preuve de déférence envers M Prasquier qu'il a interviewé  par téléphone et a qui il voulait faire dire, a-tous-prix que c'étaient des crimes antisémites, a-t-il demande aux policiers qui s'occupent des assassinats  des militaires si s'étaient des crimes anti-musulmans ?

N'en déplaise à M Prasquier, de la même manière qu'il faut condamner les crimes racistes, ou les crimes contre les juifs, dits antisémites,  il faut condamner les crimes que commettent les juifs en Palestine et plus largement au Proche-Orient, a fortiori lorsque ces crimes touchent des enfants. Un enfant palestinien, ne vaut il pas un enfant juif ?
Il n'y a que le bavard extrémiste "zozoteur"  (plaidant à Jérusalem, autrement il crèverait de faim) pour croire, comme il l'a fait dans l'émission de Thierry Ardisson,   ou encore ces êtres mineurs, pour croire que l'assassinat d'un enfant juif est ^plus important que l'assassinat d'un enfant palestinien, ou encore qu'il y a une justice pour les juifs et une justice pour les autres.  De cette arrogance n'ait pourtant un principe simple :  se faire respecter par les autres, c'est aussi savoir les respecter. 
C'est peut-être là, le drame de ces juifs non-assimilables... 

La déférence il faut l'avoir pour les victimes, non pour les hâbleurs racistes.  

M Prasquier et le CRIF manifestaient (au moment où l'armé israélienne bombardait des civils avec des bombes au phosphore-blanc, des bombes à fragmentation radioactive..., toutes deux interdites par la 4e Convention de Genève) non en faveur des 10 victimes israéliennes, mais pour soutenir l'armée israélienne. Et je rappelle que l'agression israélienne à fait plus de 6 000 victimes dont 1350 morts et parmi eux des femmes, des vieillards mais surtout  450 enfant.
Tous ces criminels par procuration, M Prasquier en tête,  feraient mieux d'agir avec intelligence, plutôt que par idéologie, ou par antiracisme feint.  Et démontrer de la déférence à un criminel, fusse-t-il par procuration, signifie que l'on a la même immoralité que lui. 


Autre sujet de discutions, les militaires tués par, éventuellement, le même tueur ont fait le sujet des médias au moment des informations. La tuerie de l'école talmudique fait l'objet dans les  médias d'un sujet toutes les 10 minutes et où le caractère juif des victimes est sans cesse  rappelé et répété encore.   Il en aurait été de même si l'école avait été, par exemple, catholique ou les victimes musulmanes  ?  Non, non et non. Là, est peut être, un des aspects de la non intégration ethnique des juifs.  
Une école catholique où des enfants de toute confession y sont admis est appelle école privé y compris lorsqu'elle  possède une chapelle où ceux qui le veulent peuvent y aller prier. Pourquoi qu'une école dite juive devrait-elle s'appeler école juive ? Là, est peut être aussi, un des aspects de la non intégration ethnique des juifs.


La réalité du journaliste n’est pas de se mettre au service d’une idéologie, quelle qu’elle soit.   Il est nécessaire de reconnaître au moins deux concepts  journalistiques exactement contraires : les journalistes à l’éthique de légende, leur mission est une charge qui jamais ne se départit de la déontologie, à coté de ces « princes de l’info », les journalistes de Bazar, monnayant l’exercice de la profession, du prestige et privilèges que la fonction procure,  la déontologie est pour eux un sentiment abstrait, considérant leur métier en termes  de pouvoir, passe-droit, position sociétale que de la profession procure.  Ces journalistes de « Bazar » cherchent à faire passer leur idée plus que les tenants et aboutissants qui permettrait  au lecteur, au téléspectateur de se faire sa propre idée.

Je précise pour toutes les personnes mal intentionnées que je condamne sans aucune restriction cet attentat, c'est le traitement de l'information et les atavismes de cette intelligentsia nauséeuse, que je désavoue.



Ce matin mercredi 21 mars à 7h., RTL diffuse le reportage sur l'arrestation, probable, du tueur des trois enfants et un adulte de l'école toulousaine. Identifié d'après le é-mail de son frère, la police à pris d'assaut le quartier. L'arrestation devrait intervenir sous-peu.

Cela fait plus de dix ans que je dénonce les exactions des gouvernements israéliens et des colons juifs. Cela fait aussi dix ans qu'il me semble que cette politique légitime, aux yeux des djiadistes, les actes terroristes des membres, supposés ou réels, d'al-Qaida.

Par ailleurs, Catherine Ashton, Responsable de la Diplomatie Étrangère de l'Union Européenne y voit une corrélation.  Mais en France, les médias, les politiques s’égosillent à prétendre le contraire. Ils se perdent a nous apporter un argumentaire complexe et apocryphe qu'ils préfèrent à la réalité, pourtant les raisons du terrorisme dit islamiste prend son comburant dans les crimes que commettent les juifs immigrés en Palestine et notre protection a ces criminels ne se comprend que par des intérêts particuliers.   

Si la politique criminelle israélienne, légitime la résistance palestinienne elle n'autorise pas le terrorisme, comme celui que l'on vient de vivre à Toulouse. Il faut reconnaître, cependant, que l'acceptation de la politique hégémonique d'Israël par l'occident engendre, par solidarité, le terrorisme dit musulman.
Mais il faudrait encore être suffisamment intelligent pour l'admettre. 

Quant est-ce que cet Occident complice des crimes israéliens comprendra que ce conflit sème les graines d'actes dont leurs auteurs y prennent racine. Je parle bien évidemment  d'actes terroristes. A l'exclusion des actes de résistance palestinienne. En effet si l'on n'à pas la "vue" obstrué par le fanatisme sioniste toute résistance à l'occupant est légitime y compris lorsque des civils en sont les victimes. En Palestine il n'y à pas de juifs innocents.

Quand est-ce que l'on comprendra cela. 
Rendons la justice la vraie, pas celle des USA, pas celle de l'Europe, pas celle de la France, la vraie... 

Le droit pour les palestiniens de vivre en paix chez-eux.
Pourront rester en Palestine les juifs assimilables, ceux qui on respecté ou respecteront le Peuple qui les a accueilli. Et pour cela, c'est aux palestiniens de le dire, pas à M Prasquier ni a tous ces adorateurs faux culs à la cupidité débordante.

Cependant, deux interrogations se posent : 

  1. Pourquoi l'origine ethnique de ces français est toujours mise-en-avant. 
  2. Pourquoi le moindre fait-divers (je ne parle bien évidement pas de Toulouse) est considérée comme étant antisémite y compris lorsque l’enquête prouve le contraire ? 

De mon point de vue, deux facteurs se détachent : 

  • Répandre la peur de l'antisémitisme, qui profite au sionisme. 
  • Faire accepter les crimes que commet Israël.       
    

Mercredi 21 mars radio RMC, 10h30 les ... (débats d'intellectuels)  l'un d'entre eux affirme : "Que ces jeunes djiadistes enrôlés dans les groupes extrémistes  prospèrent a cause de la pauvrette, de l'ennui ! " Ils ont même donné la parole à un hurluberlu, qui lui savait que c'était forcement un extrémiste palestinien ou musulman. Mais en aucun cas n'a remis en cause la politique criminelle de ses coreligionnaires en Palestine. Il est vrai que la Palestine leur revient de droit, elle ne leur à pas été donné par Dieu ! Excusez du peu... 

Aucun des ces pseudo-intellectuels, ni les intervenants, n'a émis la possibilité  que le conflit israélo-palestinien crée un terreau favorable a cet enrôlement.
Heureusement que, au moins, l'un d'entre eux  a précisé que tous les extrémismes religieux engendrent ces fanatiques et a donné comme exemple : " les extrémistes religieux juifs  crachent  sur des enfants palestiniens  allant à l'école ou commettent aussi des actes criminels en Palestine ".
Je ne dirais qu'un mot bravo monsieur vous êtes au pied de la vérité...  



Tout ceci étant dit, sommes-nous capables de mener une vraie réflexion ?
Le terrorisme dit musulman trouve son comburant dans le conflit israélo/palestinien, même si un terrorisme mafieux aurait, sans doute,  existé. (enlèvements contre rançon, etc...)   Il faut cependant admettre la responsabilité occidentale dans ce conflit. Et la question qui se pose est : l'Occident peut-il avoir tord ? La réponse est : NON,   n'est-il  pas le mieux armé, ne fait-il valoir sa puissance militaire à chaque fois qu'il en a besoin ?  A tord ou a raison, d'ailleurs.  L'Occident n'utilise-t-il pas les instances internationales, soi-disant pour le bien du commerce, de la politique, de la finance, et il s'en sert surtout pour asservir les PEUPLES.

Pourtant la responsabilité de ce conflit, est sans l'ombre d'un doute, occidentale.
  • Le génocide des juifs par les nazis, qui a donné ses lettres de noblesse au sionisme et permis a ce dernier d'exécuter le plan de reconquête de la Palestine, mûrement réfléchi depuis 1896. Et dont la Shoah, que les sionistes voudraient comme un laisser-faire à ses crimes, est un argument qui tombe bien-a-propos et a culpabilisé les poltrons européens de cette époque, même si le sionisme avait prévu ses crimes dès 1896.
  • L’influence du Lobby juif aux USA qui amena ce pays a faire un chantage sur les pays du tiers monde pour qu'ils votent la résolution 181 du 29 novembre 1947 à l'ONU sur la partition de la Palestine.
  • La complicité de l'Occident avec les pourparlers de paix, entre israéliens et palestiniens, qui ne servent qu'a entériner la politique sioniste (criminelle) des gouvernements israéliens.
  • La poltronnerie des gouvernants européens d'aujourd'hui, qui n'osent s'opposer à Israël comme hier n'osèrent s'opposer à Hitler,  et permettent aux criminels sionistes de détruire les infrastructures palestiniens financées par la Communauté Européenne. Comme si le contribuable européens devait payer les turpitudes de ses dirigeants d'hier et d'aujourd'hui.
  • Les dirigeants européens ont manqué à tous leurs devoirs hier, ils manquent à tous leurs devoirs aujourd'hui.  Ce sont des êtres répugnants pour la plupart.
  • Je m'arrêté là, il me semble que cela suffit, il y aurait encore beaucoup a dire, mais nous savons tous qu'il a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre. Et quand je dis sourd... 



 Le grand Rabbin Schwartz prononça en 1936 à Strasbourg un sermon, à l’occasion de la fête de Roch Hachanah, retraçant les événements importants de l’année écoulée et rappelant les événements qui agitaient le monde et les attaques portées contre l’honneur des juifs expliquant en partie le resserrement des rangs et la nécessité d’une solidarité sans faille suite aux « lois de Nuremberg ».


Le 12 septembre 1940, les nazis ont détruit, puis rasé la somptueuse synagogue consistoriale du quai Kléber à Strasbourg. Ainsi fut jadis détruit par les Romains le temple de Jérusalem. Ainsi fut initiée la destruction du judaïsme européen.
Entre les deux guerres, des événements surprirent Consistoire et Communautés. L’antisémitisme et la misère favorisèrent l’immigration dans les années 20 des juifs de l’Est européen et à partir de 1933 ceux persécutés par Hitler. 

Le nouveau Consistoire tout en perpétuant la tradition, fut un Consistoire d’un style diffèrent. Il n’était question de se borner pour l’essentiel au culte, mais de se soucier avec intensité, de la culture juive, des écoles juives, de la solidarité avec Israël et les autres communautés juives en France et dans le monde, de la lutte pour les droits de l’homme et contre l’antisémitisme. Aussi de l’accueil et de l’intégration à partir de 1962 de nos frères sépharades d’Afrique du Nord.


(« -il est évidement que l’on ne peut que être d’accord avec ce témoignage.
- Cependant où finit la solidarité et où commence la complicité ? - La "solidarité" dont la "Diaspora" juive fait preuve à l’égard d’Israël est-elle de la solidarité ou de la complicité ? Le Consistoire devrait nous dire ou finit la solidarité et ou commence la complicité.
- La Palestine n’est que souffrance depuis que Théodore Herzl, fondateur du sionisme a  crée  l’organisation sioniste mondiale à l’issue du congrès de Bale en 1897. »)


(« Une solidarité sans faille est nécessaire, néanmoins cette solidarité doit-elle se transformer en complicité ou encore en un fonctionnement népotique ? Est-on en droit de se demander si, ce ne serait justement ce fonctionnement qui engendrerait l’animosité envers la communauté juive ? ») 


Bien entendu, les médias s'acharnent sur le caractère "salafiste" qu'ils déclinent à toutes les sauces. Néanmoins la question reste posée.  Y aurait-il eu l’extrémisme, le terrorisme salafiste, si le conflit israélo/palestinien n'avait pas attisé les haines ? 
Il faudrait que tous ces "intélos" pour moutons se posent la question de savoir si le salafisme aurait prône la guerre sainte, sans ce conflit ? 


Toute cette intelligentsia hypocrite échafaude toutes les hypothèses enfantant le terrorisme musulman, toutes sauf une, celle où le terroriste déclarait avoir agi pour venger les enfants palestiniens. La seule hypothèse qui n'a pas été retenue par ces "intelos", est justement celle dont l'assassin, lui même, y a fait référence. Bizarre, non ?
L'hypocrisie des dirigeants occidentaux n'a pas de limite. Ils condamnent le terrorisme dit musulman (islamiste) mais, non seulement soutiennent le terrorisme d'Etat israélien, mais encore l'absolvent. L'impunité dont bénéficie Israël, ne va pas de soi, ce n'est pas quelque chose de naturel. Dan ces conditions comment pouvons-nous admettre que le terroriste d'Etat reste impuni ?

Le fondement de la guerre de religion que veut mener le "salafisme" est bien parce qu'il y a une religion qui malmené des musulmans. Le soutient occidental aux crimes que commet Israël ne s'explique que par le caractère  poltron de nos dirigeants qui par carriérisme et surement pas cupidité, accordent  l'impunité à une bande de révolutionnaires revanchards, aujourd'hui désuets mais surtout criminels.  

La politique occidentale me fait penser à ces médecins qui soignent le cancer avec de l'aspirine.  Dans le conflit israélo/palestinien on préserve le mal et l'on pose des bout de sparadrap ça et là, mais en aucun cas une thérapie adéquate est mise en place.




190 enfants palestiniens souffrent dans les geôles de l’occupant israélien
[ 05/04/2012 - 11:47 ]


Le Bureau de la statistique au ministère des prisonniers allié à l'Autorité palestinienne a affirmé que les autorités d'occupation détiennent encore près de 190 enfants palestiniens, dans des circonstances telles que celles dans lesquelles les prisonniers adultes sont détenus, en termes de lieux d’incarcération, la cruauté et le traitement inhumain, la mauvaise nutrition et la négligence médicale ».
Dans un rapport publié par le bureau, le jeudi 5/4, à l'occasion de la "Journée de l'enfant palestinien", qui marque le 5 Avril de chaque année, a souligné que les autorités d'occupation "n'ont pas exclus un tel jour les enfants des campagnes d'arrestations, individuelles ou collectives, aléatoires ou Organisées, où elles ont détenue plusieurs dizaines de milliers depuis 1967, alors qu’elles ont kidnappé lors de l’Intifada d’el-Aqsa, depuis le 28 Septembre 2000 à aujourd'hui, plus de 9000 enfants qui sont sous dix-huit ans, sur 75 000 opérations d’ arrestations de Palestiniens dans leur ensemble au cours de la même période ».
 « Des centaines de prisonniers qui avaient été arrêtés comme des enfants et ont dépassé l’âge de l'enfance - et sont encore - dans les prisons sionistes », a souligné le ministère dans son rapport.
Il a souligné que « les enfants «sont soumis à la torture et de la pression et de chantage lors de l'enquête avec eux, les mains enchaînés et les yeux bandés, abusé roué de coups, soumis à des chocs électriques, contraints de rester debout nu ou presque nus dans le froid et le chaud, où ils sont privés de leur droit à l'éducation et de poursuivre leur éducation de base et d'achever de leur chemin de l'étude, ce qui affecte négativement leur avenir ».
Le rapport a attiré l’attention que les enfants palestiniens sont soumis à divers types de tortures, physique ou psychologique, et de mesures et mécanismes inhumains pour extorquer des aveux par la force et sous la pression et la contrainte, tout en soulignant que les tribunaux leur imposent des longues peines atteignant certains fois l’emprisonnement à la perpétuité pour une ou plusieurs fois. "

Ceci se passe de commentaires et si cela ne peut excuser la tuerie de Toulouse, cet état de faits permet de comprendre pourquoi. Il n'y a que les nains intellectuels ou le fanatisme des illuminés, comme on a pu le constater dans la quasi totalité des débats concernés, pour prétendre que ce que font les juifs en Palestine, c'est bien, et que la résistance palestinienne ou le terrorisme dit musulman que ce conflit engendre, c'est mal. 





  

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